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el lefébien
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Je peux le dire : à 7 ans j'étais une très belle petite fille et TOUJOURS SOURIANTE m'a t- on dit à l'enterrement de mon père. Oui ici je CRITIQUE COMMENTE et EXPLIQUE les images de déco. Je DÉCORE, je PONCE je PEINS je DÉVOILE ma MAISON mon JARDIN, je COMMENTE les INFOS du jour les films et les séries . En fait je PAPOTE comme devant un apéro. Ah oui je CROCHÈTE et toujours la même chose
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7 février 2018

LE " j'ai vu "

DIMANCHE apres midi je me suis reposée devant

un film sur la RTBF

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Synopsis et détails

Lanie Kerrigan, une jeune et ambitieuse journaliste de Seattle, mène une vie de rêve : elle est fiancée à Cal Cooper, un joueur de base-ball, possède un très bel appartement et devrait être prochainement engagée par l'une des chaînes de télévision les plus regardées des Etats-Unis.
Mais un jour, alors qu'elle interviewe, dans le cadre d'un reportage, le prophète Jack, un sans-abri populaire, sa vie bascule. Celui-ci possède en effet un don de voyance et peut prédire à l'avance les résultats de compétitions sportives. Il lui annonce qu'elle n'a plus que sept jours à vivre.
Au départ, Lanie croit à un canular, une vengeance de la part de Pete, son caméraman, avec qui elle passe son temps à se disputer. Mais comme toutes les prédictions du "clochard-médium" s'avèrent exactes, celle-ci commence à paniquer et remet en question sa vie et ses priorités...

 

UN FILM SANS AUCUN INTERET ET EN PLUS LA VOIX SYNCRO  insupportable   : soit  comme j'ai toujours les mains occupées à un ouvrage  il m'arrive de relever la tète de temps en temps

a un moment don né je la vois au bar  la caméra me parait posée sur le bar et devinez ce qu'on voit  en GROS GROS PLAN

UN VERRE D' ORVAL au 1/4 REMPLI

RHOOO non mais je rêve  . . . .  J' étais scotchée  je hurlais de plaisir intérieurement  : je suis convaincue qu'en France vous ne connaissez même pas notre grande bière spéciale belge  de G A U M E je n'ai pas eu le temps de dégainer l'APN JE RÂLE ENCORE

 

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4 février 2018

le c à voir

en tous cas je suis toujours d'une neutralité sans faille

film ou série  belge américaine anglaise allemande :  

quand c'est bien c'est bien

quand c'est une vaste fumisterie c'est une vaste fumisterie

je pense pouvoir vous présenter une série tout à fait belge  qui m'a plu  - celle là  - contrairement aux autres passées sur les chaines françaises  très récemment : tels

"La trêve,   dgyjeyt

Ennemi public,

Unité 42

j'ai détesté j'ai regardé 40 minutes de chaque

là je vous parle de

e - - LEGAL  

"e-Legal", nouvelle série belge, pionnière de la lutte contre la cybercriminalité

et j'ai attendu  10  épisodes avant d' en faire l'éloge  . . .  ou pas

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C'est un trio de charme, cette fois, qui combat les crimes sur le web dans un petit cabinet d’avocats de la capitale.   Une série en 10 épisodes réalisée par Alain Brunard avec Raphaëlle Bruneau, Olivia Harkay et Adrien Letartre

pourquoi j'ai aimé ? car la prmeière série est terminée et diffusée

 * j'ai trouvé le sujet différent

* j'ai trouvé la façon de traiter archi actuel

* une série très belge : sans aucune envie de copier qui que ce soit 

* j'ai trouvé les acteurs excellents : vous en connaissez une d'entre eux  qui était dans la série française PJ il y a bien des années

* je trouve l'un des 3 acteurs principaux BEAU ET BON ACTEUR 

* chaque épisode est  une seule et même énigme

Il y a une hackeuse homosexuelle et anticapitaliste,mère  FRAN  ' Raphaëlle Bruneau ' célibataire  avec un fils surdoué 

son employeur  VALENTINE avocate libre libérée de tous tabous qui dirige le cabinet d'une main de "maître" afropéenne mais dont on ne parle jamais des origines - ça c’est moderne.  D' AILLEURS " Olivia Harkay, "   l'interprète de Valentine, s’est confié sur le sujet dans Nord Éclair : "la série ne porte pas de jugement moral, elle se borne à mettre en question l’outil internet et ainsi susciter le débat, la discussion…"

Et le troisième ,THEO  'Adrien Letartre'  c’est un jeune loup bardé de diplômes qui ferait tout pour réussir. :  jeu d'acteur  parfait

Oui ce contraste-là, plait  je crois  : moi ça m'a plus

je vous la suggère

Entretien: Karin Tshidimba

Ne pas niveler par le bas

Cette façon qu’ont les chaînes d’assurer sans cesse leurs arrières, exaspère profondément le réalisateur. "Tout ça parce qu'ils disent qu'ils connaissent leur public. Quelle prétention…

Et souvent, on prend les gens pour beaucoup plus idiots qu'ils ne le sont.

Ça me rend dingue.

Pourtant, il suffit de voir ce que la BBC propose à 20h : des choses intelligentes et les gens regardent…

Ça me rend dingue d'entendre qu'il faut niveler pas le bas sinon les gens décrochent.

En France, si vous vous appelez Eric Rochant ou Mathieu Kassovitz (pour la série Le bureau des légendes, NdlR) ou si vous travaillez avec Canal, alors là, oui, vous pouvez faire ce que vous voulez…

Heureusement, conclut-il, l’étiquette belge est plutôt un label de qualité aujourd'hui."

Quand les chaînes françaises décident  d'acheter La Trêve et Ennemi Public c'est parce qu'elles se rendent compte de cette différence."     Pour avancer cela, Alain Brunard se base sur ses expériences passées en France avec les fictions "Pasteur", "Marie Curie", etc. "Je connais bien les chaînes françaises, on y est cadenassé.  . . .  Ils nous disent ce qu'on doit faire, parce qu'ils ont peur, en fait. Une scène comme celle de tout à l'heure, ils seraient venus me dire : ça ne va pas du tout, il faut qu'on voie les acteurs de face. Et c'est ça qui fait que certaines séries manquent de personnalité."

2 février 2018

Le c à voir : FILM et pièce

svp 

regardez ce film

c'est une réussite

et c'est DIMANCHE 21H SUR FR 2

mais c'est peine perdue - j'en suis convaincue -  quand je vois qu'en face passe les ""Tuches"" on ne peut pas rivaliser avec la médiocrité"  ou la "connerie"  j a m a i s   et c'est à désespérer

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et pour ceux qui n'ont pas vu la pièce  DE yasmina Reza

NON , mais franchement :  c'est à se déplacer vous qui êtes tout près de PARIS   : non je ne l'ai pas vue avec les  nouveaux  3 acteurs   :  BERLING ET DAROUSSIN  . ..  et    ? ? ? 

ALORS ON EN PARLE PAS BEAUCOUP DU TROISIèME COMéDIEN (???? je ne comprends pas ) 

J'AI DU FEUILLETER POUR TROUVER LE NOM

TZ

DTUET5U

 

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OUFF JE VIENS DE TROUVER

le sujet est d'enfer  

j'ai  le livre de la  pièce  (qu'une de mes cousines m'a offert  en 2003 )   je l'ai en DVD  en  1994 avec Pierre Vaneck, Fabrice Luchini et Pierre Arditi   alors que je déteste ARDITI  j'ai adoré chacun d'eux   cette pièce a aussi été jouée  en  1998, avec Pierre Vaneck, Jean- louis Trintignant   et JEAN ROCHEFORT . je n'en avais jamais entendu parler

30 janvier 2018

Le c à voir : FILM

j'ai passé ,hier,  une excellente soirée cinéma

je n'avais rien lu du tout sur le film  . . .  il n'y avait rien qui vaille la peine  sur aucune chaîne  alors  j'ai testé ce film par défaut : nous avons le lundi  sur rtbf1 et le samedi sur rtbf2 des films très récents 

on ne peut pas dire que c'est le titre qui m'a fait tilt et encore moins les acteurs  

 

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je crois  , non je suis certaine  que le STAR SYSTÈME très  injuste protège des grands acteurs comme VLADIMIR YORDANOFF - que j'adore  parce qu'il est mon type d'homme aussi  -   Un  acteur hors pair -    un million de fois meilleur que plein d'autres qui sont "  bancables "  et qui ne lui arriveront JAMAIS A LA CHEVILLE  

c'est la sidération quand je vois des kev adams et autres du même acabit 

demandez dans la rue qui est Vladimir Yordoff je doute que 50 % le sache et puisse citer un de ses films

ils est comme beaucoup toujours second  ou troisième  : comme quoi ce n'est pas  UN IMMENSE TALENT qui fait la notoriété 

quelle injustice !   

 

Date de sortie 23 septembre 2015 (1h 41min)
Genre Drame

Nationalité français

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 Boomerang est l'adaptation d'un roman de "Tatiana De Rosnay."

C'est la seconde fois qu'une oeuvre de cette auteure est adaptée pour le cinéma après "Elle s'appelait Sarah"  (film extraordinaire dont je n'avais  pas lu le livre non plus )    film réalisé par Gilles Paquet-Brenner en 2010.
Le roman " Boomerang " a été vendu à 550 000 exemplaires en France et les droits du livre ont été cédés sur 27 territoires dans le monde dont 450 000 exemplaires vendus aux Etats-Unis et 275 000 aux Pays-Bas
Le tournage s'est déroulé  entre Paris, le Gois et l'île de Noirmoutier
a savoir :
3 futures adaptations
Trois autres romans de Tatiana De Rosnay sont en cours d'adaptation : il s'agit de Moka qui est en cours de tournage avec Nathalie Baye et Emmanuelle Devos, puis Le voisin et Spirale. (que j'ai lus) 
.
résumé d'allo ciné   toujours mal fait et qui n'engage jamais à aller voir quoique ce soit
En revenant avec sa sœur Agathe sur l’île de Noirmoutier, berceau de leur enfance, Antoine ne soupçonnait pas combien le passé, tel un boomerang, se rappellerait à son souvenir. Secrets, non-dits, mensonges : et si toute l’histoire de cette famille était en fait à réécrire ? Face à la disparition mystérieuse de sa mère, un père adepte du silence et une sœur qui ne veut rien voir, une inconnue séduisante va heureusement bousculer la vie d’Antoine
quel drôle de synopsis ? je ne comprends pas ces résumés  à l'emporte - pièce et ce n'est certainement pas en lisant ça que ça va me donner l'envie de voir le film
j'ai vraiment beaucoup aimé  : j'ignorais que c'était  un livre de Tatiana de Rosnays  c'est un de ses titres que je n'ai pas parmi les 5 ou 6 romans que je posséde et que j'ai lus
"Elle s'appelait sarah"   est un  excellent film de cinéma  comme l'est tout autant BOOMERANG
 
Le suspens est tenu jusuq'au bout du film  mais je ne m'attendais pas du tout à ça  : Laurent LAFFITE  y est  PARFAIT  ça change de ce que j'ai vu avec lui  et de lui et ce pourquoi je n'appréciais pas cet acteur  j'avais été gênée lors de sa présentation au festival de Cannes
La critique de PARIS MATCH

"Boomerang": Famille décomposée

C'est exactement ça : une famille décomposée  !

tout commence par un week-end de pèlerinage  - 30 ANS  JOUR ANNIVERSAIRE DE LA MORT DE LEUR MèRE - sur l'île de Noirmoutier, où, enfants, ils ont poussé, arrosés par les embruns et vivifiés par l'air marin. Une enfance heureuse et insouciante ­interrompue brutalement par la noyade de leur mère.

Ils ne se souviennent même plus de son visage qui s'est effacé au fil des décennies à la manière d'une sculpture de sable balayée par les vagues d'une plage.

Mal dans sa vie, Antoine est suffisamment à fleur de peau pour ressentir que quelque chose ne colle pas. Un nuage de plomb semble peser comme une pierre tombale sur la disparition de leur mère. Une ancienne domestique pas franche du collier, une montre dévorée par le temps… des ­indices, tels des grains de sable, s'immiscent comme du poil à gratter dans l'esprit de ce fils en mal de mère.

Sa rencontre avec une thanatopractrice rock'n'roll (Audrey Dana) va lui redonner vie et vigueur. Face à ses doutes quant à la véritable cause de la mort de sa mère, son père (Wladimir Yordanoff) reste muet, sa sœur joue les aveugles et sa grand-mère (Bulle Ogier) fait la sourde oreille.

Mais les secrets de famille, tels des cadavres que l'on croit avoir enfouis à jamais, finissent ­toujours par remonter à la surface avec un rictus moqueur ou un ­sourire aux lèvres…

Cet angoissant (non ce film n'a rien d'angoissant du tout )  polar  (polar ????? non )  familial se suit comme un thriller (moi je ne l'ai pas suivi comme un thriller du tout mais comme un énorme drame qui selon moi est certainement une histoire réelle )  et se ressent comme une tragédie. S'appuyant sur la solide trame ­romanesque tressée en nœud coulant par Tatiana de Rosnay

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Résumé et critique  belge

de la LIBRE.BE par Hubert Heyrendt

Boomerang" : Joli drame à la française

 

Laurent Lafitte enquête sur une sombre histoire de famille.

La vie d’Antoine, 40 ans, n’est pas des plus joyeuses.  . . . Séparé de sa femme, il emménage seul. . . . .  Tandis que, de retour d’un week-end en Bretagne avec sa sœur Agathe, il provoque un accident de voiture.  . . . . S’il est un peu à côté de la plaque, c’est que c’est le trentième anniversaire de la mort de leur mère, retrouvée noyée dans la baie de Noirmoutier dans des circonstances troubles. . . . . Il a beau essayer de parler de cet accident avec son père, sa grand-mère ou sa sœur, personne dans la famille n’a envie de remuer le passé. . . . . Pourtant, Antoine en est certain : on ne leur a pas dit toute la vérité sur la disparition de leur mère

voilà EXACTEMENT LE TRES BON Résumé du film 

critique de spécialiste cinéma

Pour son troisième long métrage, le cinéaste français François Favrat  explore un lourd secret de famille qui ne  possède pas la gravité d’ "Un secret" de Claude Miller, d’après Philippe Grimbert, ou la délicatesse de "Je vais bien, ne t’en fais pas" de Philippe Lioret, d’après Olivier Adam. "Boomerang" n’en reste pas moins un joli drame à la française.

Si l’on s’intéresse à cette sombre histoire de famille, c’est parce que Favrat parvient à lui conserver son mystère jusqu’au bout, au gré d’un scénario bien ficelé. C’est aussi grâce à ses comédiens attachants. Sorti de ses comédies plus ou moins finaudes EXACT ! ! !   C'EST POURQUOI JE N'APPRéCIAIS PAS L. LAFFITE    ("De l’autre côté du périf", "Papa ou maman", "L’art de la fugue") l'art de la fugue qui passait en seconde partie de soirée après BOOMERANG)   , Laurent Lafitte, "de la Comédie-Française" , trouve enfin un premier rôle dans lequel glisser sa drôlerie décalée et sa sensibilité. Il incarne à merveille ce jeune quadra déboussolé, atteint d’une paranoïa pas si délirante qu’il n’y paraît… Face à lui, on retrouve la délicate Mélanie Laurent mais aussi Audrey Dana, Wladimir Yordanoff (toujours excellent) et la trop rare Bulle Ogier.

Un peu trop écrit, un poil convenu, "Boomerang" est une comédie dramatique sans prétention autre que de sonder les sentiments plus profonds, les plus humains face à la mort et au deuil…

20 janvier 2018

Le c à voir ? et bien ça je ne sais pas du tout

je voulais voir  et savoir ce que le critique cinéma    FERNAND DENIS  de LA LIBRE  .be  aimait particulièrement   :  POUR NE PLUS ME LAISSER AVOIR PAR DES BANDES ANNONCES Mensongères 

 pour lui le film de l'année 2017

c'était

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j'attends alors qu'il passe sur ARTE  mais en français

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Cinéma

Zviaguintsev transcende un sujet convenu par une mise en scène impressionnante de puissance et de profondeur.

En hiver, au bord d’un étang, les arbres sont nus, enfin presque, couverts d’une pellicule de neige. D’un angle, un tronc couché n’a pas fière allure. Mais d’un autre point de vue, avec son reflet dans l’eau, on dirait un dinosaure. Au départ d’un plan banal qui succède à un autre, puis à un troisième, on sent l’écran se charger d’une puissance de fiction, de métaphore. Objectivement, on observe la beauté du cadre, subjectivement on sent la puissance d’un artiste se déployant à travers la mise en scène.

Ces arbres, Aliocha les voit tous les jours, en allant et en revenant de l’école. Il les regarde souvent, joue parfois avec eux. Et puis, il rentre chez lui.

Chez lui, pour combien de temps encore ? Des gens visitent son appartement et parfois déboulent dans sa chambre. Ses parents divorcent dans un climat de haute tension.

En fait, il est le dernier problème à régler. Sa mère n’en veut pas. Son père n’en veut pas, non plus. Sa grand-mère n’en voudra pas. C’est alors qu’arrive un plan qu’on n’oubliera jamais. C’est pourtant un moment de pause. La discussion vient de s’arrêter car la mère a pris la direction des toilettes, la caméra la suit jusqu’à la cuvette, son regard est indécent alors elle panote et découvre planqué dans l’ombre, le gamin. Son visage est dévasté par les horreurs qu’il vient d’entendre. C’est le cri de Munch, vivant et terrifiant. On ne verra plus l’enfant de tout le film, mais la puissance de ce plan le rend omniprésent.

Quelques jours plus tard, l’école se manifeste, inquiète de l’absence d’Aliocha depuis 48 heures. Ses parents, trop occupés ailleurs, ne s’étaient pas aperçus de sa disparition. La police est prévenue. Un film stressant, scotchant, commence, mais on ne peut le qualifier de thriller car son cœur n’est pas le suspense. Le cœur est bergmanien. Il observe ces parents qui, au début, ne sont pas loin de penser : déjà qu’on ne sait pas quoi faire, voilà qu’il nous emmerde avec une fugue ! Le cœur du film n’est pas "va-t-on retrouver le gamin ?" mais "comment un père, une mère, peuvent-ils en arriver ce sentiment-là ?"

Quand on fait la connaissance de la grand-mère, on comprend un peu mieux pourquoi. Comment pourrait-on donner ce qu’on n’a pas reçu ? Elle n’a pas reçu d’amour de sa mère, peut-elle en donner à son fils ?

Quand cette mère fait son jogging dans un training marqué Russia en gros caractères, le film prend automatiquement une dimension métaphorique à la mesure du pays entier. "Faute d’amour" est aussi un scanner de la Russie contemporaine, plus précisément de sa classe moyenne aisée. Où vivent-ils ? Comment vivent-ils ? Dans la cour d’école, les petits Moscovites ne sont pas bien différents des petits Bruxellois. La mère d’Aliocha a les yeux vissés en permanence sur son portable et son père trouille que son patron ultra-orthodoxe apprenne son divorce car c’est le C4 dans l’heure.

Car si l’Eglise est toute puissante, la police est plutôt impuissante. Elle ne s’en cache pas. Elle s’en remet aux statistiques : un fugueur réapparaît après 8-10 jours. Sinon, mieux vaut s’adresser au child focus local.

On découvre alors une organisation privée, pour le coup très organisée. Elle est composée de citoyens solidaires, motivés, bien introduits dans les institutions d’un Etat délabré, a l’image du terrain de jeu du gamin perdu, un grand hôtel désaffecté au milieu des bois.

Ainsi le film est russe comme ses fameuses poupées. Les différents niveaux s’emboîtent les uns dans les autres et la mise en scène de Zviaguintsev transforme l’ensemble en œuvre d’art. On n’a jamais vu des plans d’arbres exhaler une telle puissance tragique. On n’a jamais vu la fouille nocturne d’un immeuble aussi lumineuse. On n’a jamais vu la tension monter dans un plan parce qu’il dure plus que ce qu’il devrait, comme s’il poussait le spectateur à scruter l’écran avec plus d’attention que les enquêteurs qui sont peut-être passés trop vite à côté d’un indice.

Depuis son premier film "Le Retour", on sait que Zviaguintsev est un metteur en scène d’exception. Son talent a encore gagné en volume, en épaisseur et il se rapproche du grand public.

 © IPM Réalisation : Andreï Zviaguintsev. Scénario : Oleg Neguine, Andreï Zviaguintsev. Image : Mikhaïl Kritchman. Avec Maryana Spivak, Alexey Rozin, Matvey Novikov… 2h07

voilà de qui on parle

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je ne suis pas une intellectuelle  : ni de cinéma ni de rien d'autre d'ailleurs 

je ne connais strictement pas  ce réalisateur russe  je n'en ai jamais entendu parlé et tout ce qui se passe à Cannes ne m'a jamais intéressée 

cela dit je veux bien le croire   parce qu'il semblerait que je sois en accord avec ce critique  belge de la libre belgique  , qui lui , connaît   le cinéma sur le bout des doigts

s'il passe en sous titré je suis incapable de suivre  : mais  s' il passe en français je veux le voir 

mais voyons plutôt Le Top 15 de Fernand Denis  de la libre belg. des films  de 2016

je n'ai pas trouvé  2017 ?

1. Paterson de Jim Jarmusch

2. Toni Erdmann de Maren Ade

3. Baccalauréat de Cristian Mungiu

4. Voyage à travers le cinéma français de Bertrand Tavernier

5. Eternité de Tran Anh Hung

6. An (Les délices de Tokyo) de Naomi Kawase

il est passé à la séance de 18h  juste avant le "sens de la fete" à 20h  il y avait un monde fou : les gens étaient ravis et  pour vous donner un ordre d' idée   : "Brillantissime"   : 23 personnes dans la salle pas un rire

7. Aquarius de Kleber Mendonça Filho

8. Les premiers, les derniers de Bouli Lanners

9. L’Economie du couple de Joachim Lafosse

10. Elle de Paul Verhoeven

11. Ma vie de courgette de Claude Barras

12. Demain de Cyril Dion et Mélanie Laurent

13. Truman de Cesc Gay

14. Nocturama de Bertrand Bonello

15. Cafe Society de Woody Allen

je ne connais aucun de ces films même si je connais certains réalisateurs  c'est dire  "mon inculture cinématographique"    : par contre je sais dire si un film populaire  est bon   ou  mauvais et en ça il me parait tout à fait en accord avec mes émotions et  mes critiques  

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18 janvier 2018

Le C à voir . . . . . ou pas d'ailleurs

la tempête continue de sévir : ras le bol . . . ça tape sur le système !il a beacuoup plu depuis hier  . . . neigé aussi . . .  il faisait glacial et il neigeait vers 20h en arrivant au cinéma et quand nous sommes sortis vers 22h15 : une douceur  dingue

je sais que c'est la période  :  mais février  est plus venteux  . . ..  alors je me demande si ça ne va pas durer encore et encore ou alors reprendre de plus belle  :   j'ai horreur de ça

je me suis ennuyée comme il n'est pas permis . . . je ne comprends pas cet engouement pour cette actrice ????   je  ne  c o m p r e n d s  pas . . .  A force de rire tout le temps  et  pour rien  :  pour moi c'est suspect  en tous cas ici chez nous  on la trouve anormalement rieuse  !   Ce n'est plus de la bonne humeur c'est de l'esbrouffe ou alors c'est une imbécile heureuse

et là je l'envie

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Date de sortie 17 janvier 2018 (1h 35min)
Genre Comédie
Nationalité français
résumé
Angela pense avoir une vie idéale. Elle vit à Nice, dans un bel appartement, avec un beau mari et une charmante ado. Mais le soir de Noël, sa fille la laisse pour rejoindre son petit copain, son mari la quitte et sa meilleure amie préfère prendre des somnifères plutôt que de passer la soirée avec elle. Le choc ! Angela n’a plus d’autre choix que celui de se reconstruire... et ce n’est pas simple avec une mère tyrannique, une meilleure amie hystérique et un psy aux méthodes expérimentales
une nullité comme rarement vu
comment peut on  défendre son propre film  durant plus d'une semaine  analysé et encensé par  tous les journalistes ????
c'est un film pour sa famille  d'abord  et mettre en exergue sa fille qu'elle fait chanter afin de séduire quelques gens du métier (on se demande que viens faire la séquence  dans ce film)  elle a engagé les copains copines  et même la bande des  3 (       )qui vont aussi entrer dans la bande des enfoiréset ses meilleurs amis 
* sa fille . .. elle la fait chanter surtout
* sa mère  . ..  elle est autour d'une table  de bridge et elle rit !
* kad merad + sa compagne Julia Vignali (????)  non mais je reve 
* michael youn : son meilleur ami
* Pierre Palmade  : son frère de planches  . . . un rôle qui n'a aucun intérêt 
* Gerard Darmon  : wouahhh là on touche un peu le fond  . . .  on se demande s'il n'a pas oublié son texte on se demande ce qu'il fait là si on me dit qu'il était gêne d'y être  :  je le croirais
* le trio de la bande à fifi   dont elodie fontan (qui rit tout le temps aussi en interview ???? )  (on les voit à peine mais ils sont là et  ils vont aussi faire leur entrée aux enfoirés (??????)) 
il a tout juste manqué  :  murielle Robin claude chirac line renaud et françois baroin ( l'album photos aurait été rempli) 
c'est DÉBILE 
c'est cuculapraline  - comme elle  - 
c'est sans intérêt
c'est toujours dans un excès enfantin et potache 
pour preuve :
quand elle entre dans la boucherie ??? 
quand elle va faire des achats dans un sex shop
quand on retrouve tous les sextoys  - une bonne dizaine (????)  -  sur la cheminée (là JE NE COMPRENDS M¨ME PAS le délire) un seul suffisait non?  
quand elle va sur le marché aux fleurs : elle reçoit des bouquets par dizaine de tous les commerçants ???? m'enfin c'est quoi cette connerie
quand elle porte des coupes en argent à un primeur du parc pour que les fruits soient mieux présentés ?
quand la cliente lui prend des dizaines de fruits  dont elle n'a nulle besoin pour qu'elle se sente mieux  : m'enfin ???
C'était ça sa vie   : puisque c'est autobiographique
UNE Vraie CINGLÉE
et tout le TOUT PARIS trouve ce film BRILLANTISSIME ? 
C'est dire le niveau  . .  . dE CE TOUT PARIS

MAINTENANT ON VA LIRE  LE SPéCIALISTE DU CINéMA DE LA libre belgique

 wdg

Cinéma

Brillantissime. Voilà un beau cas d’école. Le titre est une escroquerie. Le spectateur pourrait-il, dès lors, intenter une action en tromperie sur la marchandise ? C’est que l’avocat de Michèle Laroque aurait beau jeu de plaider : c’est de la daube de premier choix. Comment lui donner tort ? Sans aller jusqu’à appeler son premier film "Nullissime" ou "Daubissime", Michèle Laroque aurait pu proposer un titre plus honnête comme "La femme qui avait un petit pois à la place du cerveau" ou "Psychologie d’une cagole niçoise". Au moins, on était prévenu tout en ayant une idée du sujet.

Angela est une grande bourgeoise - grande, grâce à Louboutin surtout - et sa vie tourne essentiellement autour de deux axes : déplacer de l’air et voir son psy. Ça lui prend tout son temps. On comprend que la veille de Noël, sa fille et son mari cherchent une autre compagnie pour passer le réveillon. Elle est très embêtée pour les huîtres car son chien - qui l’aide à déplacer de l’air - n’en raffole pas. Mais le marchand de fruits et légumes en poste jour et nuit dans le square au pied de son immeuble est amateur de fruits de mer.

Angela est insupportable mais on lui accorde des circonstances atténuantes dès qu’on a vu sa mère. C’est là qu’on voit le talent. Le rôle est pourri mais Françoise Fabian en tire quelque chose. Kad Merad, Gérard Darmon, Rossy De Palma, Pascal Elbé, Pierre Palmade ne peuvent en dire autant. En revanche, ils témoignent de leur amitié inconditionnelle pour Michèle Laroque. Mais un véritable ami ne devrait-il pas tout faire pour vous épargner le ridicule ?

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SON PREMIER MARI
PS  : pourtant  je l'ai trouvée formidable  et excellente dans le film de télévision  "UN FILS"  un fils incroyable  et un sujet terrible
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