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el lefébien
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Je peux le dire : à 7 ans j'étais une très belle petite fille et TOUJOURS SOURIANTE m'a t- on dit à l'enterrement de mon père. Oui ici je CRITIQUE COMMENTE et EXPLIQUE les images de déco. Je DÉCORE, je PONCE je PEINS je DÉVOILE ma MAISON mon JARDIN, je COMMENTE les INFOS du jour les films et les séries . En fait je PAPOTE comme devant un apéro. Ah oui je CROCHÈTE et toujours la même chose
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4 avril 2018

Le c à voir : FILM

LUNDI DE PÂQUES , après midi sur la RTBF 1 ,   J'ai re - re gardé  un joli très joli film et j'ai encore passé un excellent moment

ok c'est un film  un  peu gnangnan un peu cuculapral mais je n'ai pas honte de dire que C EST  exactement TOUT TOUT TOUT CE QUE J 'aime 

ça me fait rêver

 

J'aime trop cette ambiance qui me berce et me ramène à mon enfance

j'aime les actrices

j'aime les costumes

j'aime l'époque

j'aime trop les décors

j'aime l'histoire aussi

il s'agit du film

l'école de tous les talents

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voici la la bande annonce

http://www.allocine.fr/video/player_gen_cmedia=19407747&cfilm=136099.html

  Date de sortie 22 juillet 2009 en DVD (1h 25min)

Genres Drame, Famille
Nationalité britannique

résumé

Dans le Londres des années 30,  un explorateur d'un age certain rentre  dans sa belle grande demeure avec dans ses  bagages ,  une année : un bébé fille ,  l'autre année  un autre bébé fille et plus tard encore une autre petite fille  encore  bébé
C'est sa jeune nièce et sa dame de compagnie qui gere tout
maintenant elles ont la responsabilité de 3 orphelines, Pauline, Petrova et Posy
Les 2 femmes vivent le plus souvent  entre elles   . . . elles vont donc non seulement gérer l'entretien de l'immense maison mais aussi de l'éducation des 3 petites filles 
L'explorateur  habitué à être absent du pays : laisse de quoi vivre pour au moins 5 ans
Grand collectionneur ,  des vertébrés  occupent une partie des grandes pièces de la demeure
Mais cela devient de plus en plus difficile d'assumer  :  les 2 femmes ne s'en sortent plus
Elles décident alors de vendre toute la collection puisqu'elles n'ont plus de nouvelle de l'explorateur depuis plus de 12 ans
Elles décident alors de faire de la demeure une maison d'accueil  - des chambres d'hotes  -     3 chambres vont leur rapporter de quoi survivre tant bien que mal  car l'éducation des filles coûte une fortune
Les années passent passent passent  et les filles grandissent  et sont très demandeuses . . . .
 
un joli film sur l'ambition . . .  sur le féminisme aussi
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3 avril 2018

Le c à voir : FILM

je vous l'ai  déjà conseillé

http://vip53.canalblog.com/archives/2014/10/01/30685044.html

ça alors j'ai l'impression que c'était l'an dernier  non mais franchement on parle de 2014 ?

arrêtez le temps svp arrêtez le temps

help ! !

il passe sur arte 20h55 mercredi 4 avril

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je n'apprécie pas ce monsieur du tout : mais c'est un acteur très JUSTE 

c'est UN GRAND

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j'ai vraiment aimé

parce que  je trouve que  CES FILMS  sont la parfaite représentation de ce qu'est le bon

cinéma français

et puis quand des films sont  'PROPRES'  dénués de toute perversité doux calmes intimistes

    pour moi c'est déjà une réussite  

28 mars 2018

le C à LIRE OUI MAIS QUEL TITRE ET AVEC QUI ?

je ne sais de quel film il s'agit ni avec qui

en tous cas c'est tourné  en partie chez nous à ARLON  et en avril à SAINT HUBERT

gyu§'u!

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e§tèu§

etyuet

etyuet

gyu§'u!

15 mars 2018

Le c à voir : mini série que je pense "wouahhhhhh"

je pense que c'est à voir

ce soir sur fr3

mais comme j'aime   -  NON j'adore -  l'acteur JAMES NORTON   (j'aurais 30 ANS DE MOINS  il serait pour moi)  

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Origine : Grande-Bretagne
Créatrice : Sally Wainwright
Réalisateurs : Euros Lyn, Sally Wainwright, Tim Fywell.
Distribution : Sarah Lancashire, Siobhan Finneran, James Norton, Charlie Murphy, George Costigan, Joe Armstrong…
Genre : Drame/Thriller
Nombre d’épisodes : 6

Le Pitch :
Dans le West Yorkshire en Angleterre, le sergent Catherine Cawood tente de faire respecter la loi, en pourchassant notamment les nombreux dealers qui ont fait de cette région, l’une des plaques tournantes d’un trafic croissant. Catherine qui apprend un jour que Tommy Lee Royce, l’homme qui a violé sa fille, provoquant le suicide de cette dernière, vient de sortir de prison.

Obsédée à l’idée de punir celui qui a plongé son existence dans un marasme de colère et de tristesse, elle décide de le pister, sans se douter que de son côté, le criminel s’est impliqué dans une affaire d’enlèvement…

D'abord avare en détails, il finit par craquer et explique qu'il a organisé un complot consistant à enlever la fille de son patron, dans le but de recevoir une rançon suffisante, lui permettant de mettre ses enfants dans une école privée. Mais, maintenant que le caïd du trafic de drogue local, David Cowgill, a mis le plan en action, Colin réalise l'horreur et la dangerosité de son projet. L'enlèvement de l'excentrique et colérique Ann Gallagher a lieu accompagné de ses retombées. Dès lors, Catherine s’évertue à rassembler les pièces du puzzle. Pour la jeune femme, retrouver Ann et traduire ces ravisseurs en justice est l'occasion de venger la mort de sa propre fille.

pardon mais quand je lis le PITCH ça ne me donne pas envie

mais oui je vais regarder évidemment puisque

c'est anglais

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Siobhan Finneran j'aime aussi  cette actrice  :  souvenez  - vous d'elle  DANS DOWNTON ABBEY  évidemment  . . .   L' habit fait le MOINE puisque j'aurais pu poser la question a tous ceux qui ont vu la série  personne ne l'aurait reconnue (j'ai fait un sujet sur ce sujet justement)  

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.rtyrz  La Critique :
Les américains ont HBO. Les anglais eux, ont la BBC.
Dans les deux cas, la qualité est au rendez-vous, tout comme l’assurance de voir régulièrement débouler des fictions de haut-vol.
Les pépites se succèdent depuis longtemps dans le poste.
Les exemples sont légion et Happy Valley, dont le premier épisode fut diffusé là-bas en avril 2014 de s’inscrire non seulement dans une noble tradition, mais aussi dans la lignée de ces œuvres capables de transcender leur sujet sans donner l’impression d’en faire des tonnes.

À la base d’Happy Valley, aucun concept vraiment accrocheur ni aucune star. Contrairement au hit Broadchurch, dont Happy Valley se rapproche sur certains points, et qui pouvait compter sur David Tennant, le Docteur le plus populaire de l’Histoire des séries, le show en 6 épisodes de Sally Wainwright repose notamment sur le charisme d’une actrice certes connue outre-Manche, mais pas non plus extrêmement populaire. Sarah Lancashire, c’est son nom, étant surtout appréciée pour avoir tenu l’un des premiers rôles du soap Coronation Street.

Visuellement, Happy Valley ne mise pas non plus sur du spectaculaire et prend pied dans une bourgade moite et morne d’une Angleterre qui semble s’être figée depuis l’après-guerre. Mais alors, qu’est-ce qui fait de cette série, l’une des meilleures de récente mémoire ?
C’est simple : tout..

La discrétion avec laquelle Happy Valley a imposé son génie, sa puissance et sa propension à chambouler de nombreux codes sont à la base de son succès. Dès les premières minutes, elle sait alors se montrer fortement addictive, allant jusqu’à ne pas lâcher son emprise avant le tout dernier plan du sixième et ultime épisode de cette première saison remarquable.


Sarah Lancashire n’est bien sûr pas étrangère au magnétisme de cette fiction exemplaire.

Armée d’un charisme indéniable, elle fait montre d’une présence dont peu peuvent se vanter et contribue à conférer à la série une large part de sa personnalité. Son personnage, Catherine, n’est pas un flic comme les autres. C’est un bon flic mais un flic torturé par un passé sombre. Jusqu’ici, rien de bien nouveau mais comme souvent quand on parle d’œuvres misant sur l’écriture plutôt que sur un sensationnalisme facile, c’est le traitement qui fait toute la différence. Sally Wainwright ayant tout misé sur un réalisme âpre.

Que ce soit au niveau de l’écriture donc, mais aussi de la réalisation.

Son héroïne est ainsi extrêmement stimulante en cela qu’elle incarne une résistance à double tranchant et appelle très vite à une identification persistante. Qu’on la suive sur le terrain, face à des criminels qu’elle mate avec une vigueur incroyable, ou dans le privé, quand elle tente de maintenir à flot une existence dont les fondations ont été mises à mal par un drame qui ne cesse de faire résonner son écho, le parcours de Catherine Cawood est passionnant.

À elle toute seule, Sarah Lancashire se fait le vecteur d’une émotion palpable, à fleur de peau. Son personnage d’écorchée vive, personnifie une persistance ahurissante, et donne au script, déjà exceptionnel, une résonance tout aussi spectaculaire. Surtout qu’à côté, les autres comédiens n’ont de leçon à recevoir de personne.

Les collègues, les membres de la famille et ce bad guy, le fameux Tommy Lee Royce, campé par un James Norton glaçant, dont l’ascension au fil des 6 épisodes marque de manière croissante les esprits jusqu’à incarner un mal insidieux, mais aussi beaucoup moins unilatéral que parfois.

Contrairement à Broadchurch, qui, dans ces deux saisons, mise sur le mystère quant à l’identité du tueur ou encore quant à la véritable nature des protagonistes, Happy Valley donne toutes les clés au spectateur. Un peu comme dans Columbo, on sait qui a fait quoi, comment et pourquoi. Un stratagème que Sally Wainwright (qui non contente de produire et de porter la série, l’a aussi écrite dans son intégralité) s’approprie pour livrer au final un pur polar, mais aussi un authentique drame humain, aux répercutions éloquentes.

Vous l’aurez compris, Happy Valley n’illustre pas juste une enquête.

L’enquête, d’ailleurs, est presque secondaire, tant qu’elle ne vient pas croiser les propres velléités du personnage central, dont le déchirement, entre rester du bon côté de la loi et céder à ses pulsions de vengeance, constitue le vrai centre névralgique d’une narration reposant sur un mécanique aussi bien huilé que redoutable.
Aucun accro ne vient ralentir la progression d’une histoire superbement ficelée, à la fois émouvante, puissante, violente et toujours très réaliste. Happy Valley, dont le titre sonne avec une délicieuse ironie, gagne ses galons par la seule force de sa sincérité et de sa capacité à faire du neuf avec du vieux. Elle mise sur les anciens codes sans se soucier des courants et des modes. À l’image de cette région, comme indiquée plus haut, un peu hors du temps, elle s’appuie sur une dynamique connue qu’elle adapte à ses personnages.

.Le format, 6 épisodes d’1 heure, est aussi parfaitement maîtrisé et pertinent.
Le rythme est impeccablement calibré.
On ne s’ennuie jamais, que ce soit quand le script tente avec brio les rebondissements, sans jamais faire de sortie de route, où lorsqu’il suit le quotidien chaotique de Catherine Cawood.
C’est franchement brillant, d’autant plus quand la réalisation met ses fameux coups d’accélérateur, sans perdre de son vue son objectif, ni l’émotion qui imprime chaque image.
Même le générique, composé par Jake Bugg, le petit prince de la pop à l’anglaise, fait office de modèle du genre, tout en décalage, comme une façon de rappeler que sous son sérieux apparent, Happy Valley ne renie pas pour autant un héritage qu’elle sait utiliser à ses propres fins.

En Bref…
Merveille de narration, la première saison de Happy Valley fait preuve d’une incroyable maîtrise. Devant la caméra, la révélation Sarah Lancashire impose un personnage puissant, tandis que se déroule sous nos yeux une trame palpitante et déchirante à plus d’un titre. Un must !

@ Gilles Rolland


eh bien  . . .  si j'en crois ce que je lis
je vais me régaler  . . . et vous aussi
12 mars 2018

Le c à voir : mini série wouahhh

je vous "supplie" de regarder

cette mini série de 4 épisodes

elle est  passée ce jeudi 8 mars  dernier sur ARTE . . .    vous pouvez la regarder encore en replay 

 “Sous influence” : une femme mise à l’index

RéSUMé    :   Une quinquagénaire violée est poussée par un tribunal à avouer un adultère.

Adaptée du best-seller de Louise Doughty, la série “Sous influence” a fait débat outre-Manche.

C'est dans l’un de ces petits recoins dont Londres regorge. Quelques dizaines de mètres carrés de tranquillité à l’écart du tumulte de la ville, quelque part entre les pelouses bucoliques de St James’s Square et l’agitation de Piccadilly Circus. Une discrète percée parmi les immeubles de briques, dont le nom évoque la promesse d’une échappée charmante loin de la grisaille quotidienne : Apple Tree Yard. Un endroit caché et exigu, à l’origine du titre du best-seller de Louise Doughty – dont l’adaptation télévisée est aujourd’hui diffusée par Arte – parce qu’il a déterminé le sort de son héroïne, Yvonne Carmichael (magistrale Emily Watson), faisant subitement basculer son histoire du drame sentimental au thriller judiciaire.

Apple Tree Yard est en effet le lieu privilégié où s’épanouit la liaison extra-conjugale que cette mère de famille quinquagénaire, généticienne à la carrière accomplie et à la vie sociale sans remous, entretient avec Mark, mystérieux haut fonctionnaire rencontré dans les couloirs du Parlement.

Les rendez-vous secrets et les étreintes furtives, partagées là où trônait autrefois un pommier – l’arbre du fruit défendu qui valut à Adam et Eve les foudres divines ! –, prennent fin brutalement.

Au terme d’une soirée arrosée, Yvonne est violée par un de ses collègues.

Puis l’étau se resserre autour de la femme adultère, prise dans un engrenage infernal qui l’amènera bientôt à devoir se défendre devant un tribunal

Série dramatique par Louise Doughty

1 seule saison 4 épisodes à la suite

Nationalité : britannique

Avec : Ben Chaplin, Emily Watson, Mark Bonnar ... 

Année : 2017

autre synopsis

Ce thriller britannique en quatre volets proposés au cours de la même soirée, met en scène une biologiste de 52 ans, Yvonne Carmichael, qui semblait avoir tout pour être heureuse, et surtout, une vie bien rangée. C'était sans compter sa rencontre avec Mr X, qui va, à la suite d'un rapport torride et inattendu dans un lieu public, chambouler ses principes et faire redécouvrir à cette femme mariée les affres de la passion. Mais un évènement terrible va ensuite faire basculer l'idylle des deux amants dans l'horreur.

Adaptée d'un roman intitullé "Apple Tree Yard", cette série qui nous vient d'Outre-Manche s'était déjà faite remarquée lors de l'édition 2017 de Séries Mania, en entrant dans le top cinq des favoris du festival.

Ce succès est sans doute dû, en plus d'un scénario qui sait tenir le spectateur en haleine, à son actrice principale, Emily Watson.

Celle qui prête ses traits à l'héroïne de Sous Influence n'en est en effet pas à son premier succès. La star a déjà été nommée à deux reprises aux Oscars, dont une fois pour son tout premier rôle en 1996, dans Breaking the Waves de Lars Von Trier.

Si son visage vous est familier, c'est sans doute aussi à cause de Cheval de guerre de Steven Spielberg, ou Une merveilleuse histoire du temps, ou encore peut-être l'avez-vous vue plus récemment dans le second opus de Kingsman. À cette comédienne chevronnée vient se joindre Ben Chaplin, qui avait déjà été son partenaire dans film Le Dragon des Mers - La Dernière Légende, en 2007. L'acteur qui incarne Mr X a lui aussi une belle carrière à son actif, que ce soit grâce au Portrait de Dorian GraySnowden et Tarzan sur grand écran, ou avec de nombreuses apparitions dans des séries britanniques.

GJHDTG

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 Passion, noirceur et secrets sont au rendez-vous dans "Sous influence" .

Laissez-vous transporter dans les intrigues de ce thriller londonien, où l'adultère réveille de bas instincts
Louise Doughty
ce que certains sont prets à perdre pour une HISTOIRE DE SEXE  
c'est horrible  et j'ai du mal à comprendre
par contre IL FAUT LE VOIR
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8 février 2018

Le C à voir je pense

ce soir 21 h sur fr 3

je l'attendais cette série

 

The Halcyon, un palace dans la tourmente

dgyjtey

MAIS

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Synopsis et détails 

Intrigues, drames et romance sont le quotidien du Halcyon, un hôtel cinq étoiles londonien, terrain de jeu préféré de la Haute société, en 1940, dans un contexte, politique, économique et social marqué par la Grande guerre.

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