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el lefébien
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je CRITIQUE et vous EXPLIQUE les images de déco, je DÉCORE, je DÉVOILE ma MAISON mon JARDIN, je COMMENTE les INFOS du jour les films et les séries en fait je PAPOTE comme devant un apéro ou un café . . . Il arrive aussi que je TRICOTE et que je CROCHÈTE
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26 juillet 2018

Le C à lire ou pas

La nuit a été suffocante : 26° dans ma chambre  si ça continue comme ils le disent encore 10 jours  on me retrouve décédée

hier il a plu  pendant 10 minutes 15 minutes  ce n'est pas pour autant qu'il a fait plus vivable ma voisine me  dit : j'ai comme l'impression que la pluie a amené encore pus de chaleur

Ce matin 6h : 20° alors après mon café : j'ai taillé l' arbre du fond du jardin 

A 7h30 : je suis épuisée  je serais de toutes façons incapable de tondre

Parlons livre

j'ai relu tous les KENNEDY ET  Je n'en achèterai  plus  même à 1 e

Quand on les lit tous  les uns à la suite des autres on comprend que c'est la même trame ,les mêmes mots  ,les mêmes histoires  ,dans les mêmes situations  . . Alors j'ai choisi un livre - tout différent -  dans ma bibliothèque , je ne l'ai pas encore lu

J'ignore  vraiment pourquoi j'ai choisi cet auteur que je ne  connais pas  et même le titre ? POURQUOI ? 

A44061

RESUMÉ  . . .   QUI N'EST PAS DE MOI

A la base de la vie de famille en Inde, il y a les mariages arrangés.

C’est une des traditions à peu près immuables encore aujourd’hui maintenue par les mères, les grand-mères, les tantes et les belles-mères, très soigneusement à l’insu ou presque des principaux intéressés.

Neel a beau avoir étudié aux Etats-Unis et être devenu un brillant anesthésiste dans le plus grand hôpital de San Francisco, il n'’y échappera pas — malgré son passeport américain et sa pétulante maîtresse californienne.

Au cours d'’un bref voyage en Inde, le piège se referme sur lui et le voilà marié à Leila qu'’il n’a vue qu’'une fois.

Certes, elle est belle, douce, cultivée, intelligente — bien plus qu'’il ne l’'imagine — mais il n’'en veut pas. Obligé de la ramener avec lui à San Francisco, il va lui mener la vie dure, avec comme seule idée de s’'en débarrasser.
Mais — et c’est tout le charme et la puissance de cet excellent   (???) roman — Leila va attendre son heure.

D’abord apeurée, soumise, perdue dans un univers dont elle ignore les codes, elle va se reprendre, deviner, comprendre, refuser d’'accepter — et gagner sur toute la ligne. Sans bruit, sans drame, sans scène, elle va peu à peu prouver à son insupportable mari qu'’on ne se coupe pas aussi facilement de ses racines et qu' ’avoir une bonne épouse indienne, c’'est sûrement ce qui pouvait lui arriver de mieux.

Emotion et humour garantis ! ( pour moi aucune émotion et pas l'esquisse d'un sourire )

je voulais vous dire que si vous ne lisez pas  . . .  et bien vous n'en serez pas moins cultivées

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6 juin 2018

Le c à lire

il est 7h

je suis dehors  je prends mon café il fait déjà lourd très lourd  le soleil est là mais voilé

hier soir 27° dans la maison mais la nuit pourtant  s'est bien passée

je pensais que nous aurions  les pluies venant  du bassin parisien mais pas encore  nous avons soit été épargnés soit elles vont arriver 

On l'a vu :  ces pluies torrentielles  bousillent tout sur leur passage ! Et cette boue  ? 

C'est  terrible de voir tous ces gens qui ont tout tout perdu  

je les comprends les inondations : l'explication est simple défrichage excessif construction en zone inondable arrachage des arbres des haies  . . .  

Par contre : d'où vient cette puissance  cette force terrifiante devant laquelle on ne peut rien si ce n'est attendre que ça passe et que ça ait tout détruit ? Avez vous vu les murs de pierres des enceintes  des jardins  ?  C'est la terreur et le découragement  chez ces gens qui subissent 

 

allez parlons lecture

je n'ai pas parlé de mes précédentes lectures car

figurez- vous que j'ai relu presque tout Douglas Kennedy  . . .    non faux : j'ai lu - mais l'un à la suite de l'autre  -  6 titres  . . .  je me suis rendu compte que c'est toujours le même scénario  (2 titres différents j'ai oublié lesquels sont quasiment pareils)   presque les mêmes mots les mêmes  situations 

par exemple :  on campe la situation

une femme avec enfant s'enfuit  des USA au Canada

une femme qui a perdu son enfant s'enfuit au Canada

une femme qui va avoir un enfant s'enfuit au Canada . . .

le dernier ce n'est plus une femme mais un homme qui passe la frontière des USA au Canada  . . .

plus rien ne va  dans la vie du personnage  et bien qu'à cela ne tienne  : on prend  quelques fringues , presque rien,  et on passe la frontière pour s'installer au canada  ou on  va se ressourcer  :  ça c'est le décor ! 

non mais ?????

maintenant je dis STOP  je n'achete plus rien de lui (j'ai quasiment tous les titres )  je n'ai pas de LEVY et je n'en aurai et n'en lirai jamais  : insupportable de mièvrerie (mais ça mon sentiment perso)   et   Kennedy  c'est du pareil au même   avec la perversité en plus 

comment peut on faire un très bon livre tous les ans et en si peu de temps ? 

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parlons plutôt d'un auteur DIGNE DE CE NOM

J'ai achevé  il y a quelques jours ce titre

fh

synopsis

À l’' heure où le régime castriste semble avoir vécu, Juan del Monte Jonava, à plus de soixante ans (si je me souviens)  , chante toujours dans les cabarets de La Havane. Sa voix magnifique  électrise les foules et lui vaut le surnom de « Dom Fuego » la chant la musique c'est SA  vie

Le temps passe   . . .  sa gloire aussi 

Les cubains  sont habitués aux restrictions ,  on est toujours dans un régime totalitaire  , Juan  vit chez sa soeœur  son mari handicapé et ses enfants

Il cherche des nouveaux contrat dans toutes les salles de la ville ! Il traîne donc dans les rues de la ville  Il ne supporte pas   ne pas être reconnu  : les paillettes lui manquent 

Il se réfugie tous les soirs dans un vieux train en bout de courses et il y rencontre un soir une jeune fille sublime  -  Mayensi -   fille sauvage à la chevelure flamboyante qui a fui son village . ..  Il  est touché par son physique de rêve  et la peur qu'elle dégage  . . .   Il l' emmène chez sa soeœur. Mais ça ne se passera pas si bien que ça

Malgré la différence d’âge,  - 40 ans les séparent -  il en tombe éperdument amoureux . . . toutes ses émotions perdues reviennent puissance 10

Sa femme l'a quitté avec sa fille ,   il  a gardé son fils

Cette jeune fille  nourrit  une bizarre méfiance envers les hommes  . .  .  il réussit pourtant à la séduire  (?)   Son meilleur ami  - le musicien  le plus  talentueux de la havane  si ce n'est de CUBA  -  retiré des spots line ,   n' a  de cesse que de l'avertir sur leur différence et des gros problèmes qui pourraient survenir :   qu'importe  il plonge  tout entier  dans cette  relation qu'il qualifie de miraculeuse

est ce que ça va durer ?

Et bien lisez - le

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oui j'ai aimé ce livre c'est pas tant l'histoire  (car j'ai préféré le précédent  CE QUE LE JOUR DOIT A LA NUIT)   ,  mais l' écriture est tellement fluide que  le récit passe en second  . . .  on  prend plaisir  à  la subtilité des mots  de l'auteur

je me demande  ce que peuvent en dire  des françois bunel des bernard pivot ???? car ce que j'en lis  sur l'auteur  est  horriblement méchant et très vache  alors je me dis qu'il doit y avoir des centaines d'auteurs qui devraient se trouver dans les corbeilles  : non ?

je n'ai pas la culture pour :   évidemment  ! je le dis et le répète 

je n'y vais que par mes ressentis mes émotions  mon plaisir 

Et non :   je n'intellectualise  rien  puisque je ne connais pas grand chose   . . .   plus encore dans ce domaine

je cherchais des critiques  pour confirmer mes impressions   : je ne trouve rien de ces gens que j'ai cité plus haut  -  les françois et les bernard -

wouahhhhh  gjyu

tyrt

oui j'ai lu aussi pas mal d'articles à son sujet  - et loin d'être bienfaisants  -  dans des magasines littéraires  nord africains alors  ????????

je ne sais que croire car  tout est plus centré sur la politique que sur la littérature : je comprends pourquoi il écrit sous le pseudonyme féminin :  cesont les 2  noms de son épouse   puisque son nom de naissance est MOHAMMED  MOULESSEHOUL   ET C'eST UN MILITAIRE  IL TERMINE SA CARRIèRE COMME COMMANDANT EN 2000

ceci donc explique  tout à fait cela   . . .

12 mars 2018

Le C à lire

j'ai lu et j'ai aimé

 

images

Ferdinand, octogénaire aigri, méchant, conçoit la vie à sa manière :

ne jamais dire bonjour,

ne jamais complimenter sa femme (ce qui explique son départ avec le facteur sans un regard en arrière),

ne jamais faire comme tout le monde.

Mais voilà, après le décès de son ex-femme, Ferdinand s'est installé avec sa chienne Daisy, dans l'appartement de cette dernière héritage de sa fille.

Il pense y vivre comme bon lui semble et faire de la résidence ce qu'il en veut...

C'ést sans compter sur Mme Suarez, la concierge  : une  harpie trop maquillée et militariste au possible .qui rapporte ses faits et gestes à sa fille partie pour l'étranger

Lorsque sa chienne Daisy disparait, Ferdinand ne trouve plus le moindre plaisir sur cette Terre.

A quoi bon rester ?

Après avoir tenté de se jeter sous les roues d'un bus, le vieil homme passe un moment à l'hôpital et découvre que sa vie va changer du tout au tout...

 . . . .  une nouvelle voisine, Juliette haute comme trois pommes sonne un midi à sa porte...

 

et puis

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vous comprenez déjà que le livre  je l'ai choisi pour la couverture : trop belle !

Un lieu aussi fascinant qu’effrayant !

En Haute-Provence, une famille sans histoires est sauvagement assassinée dans sa ferme. nous sommes début du 20 iéme siècle

De nos jours.  c'est Géraldine qui  hérite de cette propriété à Maurin-en-Provence entretenue un maximum depuis 100 ans par la  guérisseuse (un peu "sorcière" )  du village  elle en hérite mais à une seule condition  : elle va devoir s'y installer avec sa famille .

Géraldine et son mari Jean-Louis y voient l’occasion d’un nouveau départ, loin de Nice. Pourquoi ne pas faire un gîte de cette maison tombée du ciel ?

Mais sur place, Géraldine est tout de suite saisie par un sentiment d’angoisse.

De sombres secrets hanteraient-ils encore l’idyllique demeure ?

 

j'ai adoré et

ça m'a énervée  !

18 février 2018

Le c à lire : un livre

je vous ai dit que je relisais MES  "DOUGLAS KENNEDY"   (une lecture sur trois) 

Douglas Kennedy est né à New York en 1955, et vit entre Londres, Paris et Berlin.

Auteur de trois récits de voyages remarqués, dont Au pays de Dieu (2004), c'est celui que je'ai le moins aimé  mais je le relirai  il s'est imposé avec, entre autres, L'homme qui voulait vivre sa vie  super et La Poursuite du bonheur super  (1998 et 2001), suivis d'Une relation dangereuse (2003), des Charmes discrets de la vie conjugale super  (2005) et de La Femme du Ve (2007), je n'ai pas aimé celui là du tout et je ne le relirai pas  tous parus chez Belfond et repris chez Pocket. En 2008, Belfond a également publié son roman-culte, Piège nuptial,  pour l'ambiance de fou qui règne dans ce roman et là je  ne vous dis que ça

j'apprécie plus encore qu'il y a 13/14 ans lors de ma découverte de l'auteur  : je posséde tous ses titres  . . .. et dans celui que j'ai  terminé avant hier  il n'y avait pas que l'histoire d' appréciable ,  j'y ai trouvé quelques pensées qui m'ont  vraiment beaucoup touchée  puisqu'elles sont EXACTEMENT LES MIENNES  ! 

gyjdtyjs

Le soir de son treizième anniversaire, lors d'une énième dispute entre ses parents, Jane Howard annonce qu'elle ne se mariera jamais et n'aura jamais d'enfants.
Mais sommes-nous maître de notre destinée ? Une quinzaine d'années plus tard, Jane est professeur à Boston et amoureuse de Theo,  PROFESSEUR , homme brillant et excentrique qui lui donne une petite Emily.

A sa grande surprise, Jane s'épanouit dans la maternité.

Mais la tragédie frappe et Jane, dévastée, n'a plus qu'une idée en tête : quitter le monde.

Alors qu'elle a renoncé à la vie, c'est paradoxalement la disparition d'une jeune fille qui va lui donner la possibilité d'une rédemption.
Lancée dans une quête obsessionnelle, persuadée qu'elle est plus à même de résoudre cette affaire que la police, Jane va se retrouver face au plus cruel des choix : rester dans l'ombre ou mettre en lumière une effroyable vérité...

je déteste les synopsis   : ces résumés ne donnent pas envie  de lire le livre  moins encore la "valeur"  de l'histoire  :  je vous assure ça ne se résume pas qu'à ça !

quelques  pensées qui m'ont fortement touchées

comme je viens de vous l'écrire

elles sont sorties de leur contexte  qu'importe  : c'est si juste 

les vêtements sont un message , un reflet de la personnalité  , de la situation sociale de l'éducation de l'image que chacun de nous veut renvoyer au reste du monde 

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face au deuil les gens veulent être compatissants mais ils ne savent pas quoi dire et on ne sait quoi leurs répondre non plus

c'est un dialogue de sourds de l' I N D S C I B L E  et la seule échappatoire c'est le TRAVAIL

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ne nous arrive t il pas d'affirmer désirer quelque chose tout en nous demandant dans le secret de noitre coeur si c'est vraiment ce que nous voulons ? Nous manquons constamment de cohérence dans notre vie

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Est-il possible d'expulser de son subconscient un père  une mère si néfastes aient -ils été  : si on parvient à surmonter les dommages psychologiques qui les ont causés il demeure  une présence entêtée  :  un stigmate VÉRITABLE  

je reçois de temps en temps une phrase du jour d'une amie  cette phrase est pour elle

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La discipline est avant tout la mise en place du contrôle de soi  : l'idée qu'en s'astreignant à des règles d'airain (pour décrire une règle particulièrement sévère) et en évitant les distractions  . . . on parviendra à se tenir loin du grand désordre du monde  : c'est sans doute cette conviction qui me tire de mon lit chaque matin

je suis  en accord à 2000% et je me "discipline"  chaque jour que Dieu fait  : je me fais mes repas complets  chaque soir  . . .  je me fais belle dès le matin au cas ou on viendrait me surprendre   . . .. j'ordonne ma maison je l'arrange  j'en prends soin je l'aime  . . . je donne de mon temps à des gens qui ont besoin (c'est une discipline humaine)  tiens je nourris ce blog pour moi ok ,  mais pour partager et apprendre tous les jours en même temps que vous 

etc . . .etc . . . . ayant été éduquée par un père très dur  ainsi que par les soeurs au pensionnat de 5 ans à 148 ans  : ça laisse des traces et des bonnes   : ça vous donne les valeurs les plus exigeantes et  les plus nobles

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réduisez votre quotidien à l'essentiel et vous verrez que vous pouvez vivre très agréablement

cette seule pensée philosophique n'est pas en adéquation avec ce que je pense  avec qui je suis  : elle devrait  mais mon désaccord vient du fait que ,  selon moi , c'est le superflu qui rend heureux . . .  (pour un temps seulement j'en convient mais tout de même )  . sinon pourquoi j'aimerais faire les brocantes ????  je n'ai besoin de rien  et je le sais  . . .  cela dit  attention au verra au fil du récit  que l'essentiel n'est pas assez  LOIN DE Là

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L'avantage quand on n'a pas beaucoup d'argent c'est qu'on apprend à mener une vie intéressante sans nourir des besoins incessants . c'est seulement quand on commence à gagner beaucoup d'argent  que l'on se trouve convaincu de la nécessité de se procurer des choses auxquelles on ne pensait même pas avant : un fois qu'on les a obtenues  on se met alors à convoiter des choses dont on n'a même pas envie    

Une insatisfaction permanente s'ensuit lorsque l'on se découvre prisonnier du désir  d'acquérir toujours plus ,  de sacrifer  à ce consumérisme que l'on sait dans les moments de lucidité uniquement destiné à colmater les fissures de son existence 

Ensuite on essaye de se raconter que cette avalanche de biens matériels finira par étouffer l;e doute et la melancolie à l 'oeuvre dans toute vie humaine

car l'argent : c'est la drogue la plus trompeuse qui soit  , elle nous donne l'illusion de pouvoir controler notre destin  : UN VRAI MESNONGE

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" . . .il n'y avait personne d'autre en vue (plage du grand nord en plein  hiver)  et je me suis dit que si je me cassais un pied ???

Sans doute  j'étais en train de vivre une sorte d'extase panthéiste ( philosophie d'après laquelle tout ce qui existe est identifié à DIEU)  devant cette puissance incommensurable de l'ordre naturel (vent vague froid sibérien) tout ça m'avait libérée de toutes les incertitudes qui encombraient ma vie  . .quoiqu'il en soit je me sentais légère  portée par les éléments  et même l'espace d'un moment j'ai éprouvé un sentiment qui ressemblait au bonheur  la perception SANS MÉLANGE  d'être vivante ici et maintenant ! Dégagée du scénario complexe qu'est ma vie ! au fond n'était -ce pas là LE BONHEUR  ! UNE PARENTHÈSE PENDANT LAQUELLE SANS Penser AU Passé OU A L'AVENIR  . ..  ON ARRIVE A S' ENFUIR DE SOI- MÊME

Plus de réminiscences venant vous hanter  plus d'appréhension qui ruine votre sommeil  : juste  la redécouverte que l'instant  présent est PRÉCIEUX . . . .  ai- je besoin de me trouver dans un espace particulier pour me rappeler  qu'être au monde pouvait en soi : vous rendre heureux !

j'ai une chance dingue d'avoir ressenti ce sentiment incroyable 2 ou 3 fois dans toute ma vie : il m'a été donné  de ressentir exactement la même sensation : je suis certaine que ce n'est pas un endroit précis qui vous emporte au plus loin de vous  :  ça se saurait et j'y retournerais souvent  car je me souviens  parfaitement de l'endroit  : il se trouve que oui  c'est vrai  c'était aussi à la mer  oui c'est vrai j'étais seule  . . .. oui c'est vrai je me suis dit si j'ai une crise cardiaque  . . .. n'importe quoi peut vous arriver qu'importe vous êtes  à la perfection  de votre être  : mais  c'est indescriptible

 

ETC . . . 

 

ETC . . . 

ETC . . .

5 janvier 2018

Le C à lire . . .

oui il faut le lire

rtyr

Le bonheur, Hannah l'a trouvé.

Épouse de médecin, mère de famille, c'est une femme comblée. Le gentil garçon, rencontré à l'université et épousé au mépris de ses parents, s'est révélé un mari parfait.
Sa route a pourtant dévié, l'espace d'une nuit, des années auparavant.

Celle qui sut passer entre les gouttes de la contestation politique des années 1970 se voit accusée aujourd'hui des agissements les plus subversifs. Alors qu'elle observe son existence sombrer dans l'anarchie, Hannah va prendre les armes

 

je ne vais pas vous résumer le livre   :  Quand je lis  celui du net :  ça n'engage absolument pas à acheter 

j'ai vraiment du mal avec les résumés dont je me méfie lorsque je choisis un livre   . . . .  pareil pour un  film ,  il me suffit d'entendre les matraquages  sur tous et dans tous les médias pour ne pas y aller

La première phrase déjà   ELLE N ' EST PAS JUSTE DU TOUT  c'est exactement l'inverse  . . . .  (à moins qu' être heureuse c'est tromper son jeune mari ??? c'est détester sa mère ???  c'est d'avoir manqué de peu de réaliser son plus grand rêve en faveur d'un mariage tristoune ???  on ne doit pas avoir la même notion du bonheur  . . . .  

j'ai  peut être un sacré soucis de compréhension alors ,  d'analyse de texte et de raisonnement  (c'était pourtant mon fort à l'école) 

je l'ai lu en novembre 2005  ce livre reçu de ma copine Anick  et en première page je note s 'il m' a plu ou pas : je pense avoir presque tout lu de KENNEDY   : j'avais noté comme je le fais sur chaque première page : * * *  étoiles

vous le savez je relis au moins 2 fois presque tous mes livres

Cette fois j'ai mis  * * * * * 

comment c'est possible ?

 

quelques justes constatations

" . . . Nous voulons toujours ce que nous n'avons pas. Nous ne cessons jamais d'être insatisfaits, du moins en partie, par la vie que nous nous sommes organisée, si réussie puisse-t-elle être, parce que nous n'arrivons pas à être entièrement comblés par la réalité, l'ici et le maintenant . . . " 

" . . . avec mélancolie  :  la tristesse fondamentale du "grand" âge tient dans la certitude que non seulement ta fin peut arriver à tout moment mais surtout que le monde s'est déjà habitué à compter sans nous   . . . la vie se termine au mieux dans les regrets au pire dans la défaite . . ."

"  . . . elle avait été une force impétueuse déstabilisatrice mais vitale  à mon existence  . . . Hannah le dit au moment ou elle tombe dans alzeimer profond . . .   ( sa mère)

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15 décembre 2017

Le c à lire

 j'ai vraiment beaucoup aimé

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Mon oncle me disait : "Si une femme t'aimait, et si tu avais la présence d'esprit de mesurer l'étendue de ce privilège, aucune divinité ne t'arriverait à la cheville."
Oran retenait son souffle en ce printemps 1962.

La guerre engageait ses dernières folies.

Je cherchais Emilie.

J'avais peur pour elle. J'avais besoin d'elle. Je l'aimais et je revenais le lui prouver. JE me sentais en mesure de braver les ouragans, les tonnerres, l'ensemble des anathèmes et les misères du monde entier."


Yasmina Khadra nous offre ici un grand roman de l'Algérie coloniale (entre 1936 et 1962) - une Algérie torrentielle, passionnée et douloureuse - et éclaire d'un nouveau jour, dans une langue splendide et avec la générosité qu'on lui connaît, la dislocation atroce de deux communautés amoureuses d'un même pays.

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je connais l'auteur je ne connaissais aucun de ses livres peut être un titre ou deux grâce aux émissions littéraires que je "survole"  de temps  à autre le jeudi quand il n'y a rien d'autre (tout dépend des invités)  . . . je ne manquais pas apostrophe vers la fin

je suis entrée dans un sujet qui ne me passionne pas du tout  absolument très facilement sous une  plume magnifique  légère  facile (même si j'ai rencontré quelques mots de vocabulaire que je ne connaissais pas mais pas du tout )  une écriture pourtant simple coulante et élégante  une écriture douce aussi

 j'ai   a d o r é    ce  livre

et vous le conseille

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