Le c à lire
j'ai vraiment beaucoup aimé
Mon oncle me disait : "Si une femme t'aimait, et si tu avais la présence d'esprit de mesurer l'étendue de ce privilège, aucune divinité ne t'arriverait à la cheville."
Oran retenait son souffle en ce printemps 1962.
La guerre engageait ses dernières folies.
Je cherchais Emilie.
J'avais peur pour elle. J'avais besoin d'elle. Je l'aimais et je revenais le lui prouver. JE me sentais en mesure de braver les ouragans, les tonnerres, l'ensemble des anathèmes et les misères du monde entier."
Yasmina Khadra nous offre ici un grand roman de l'Algérie coloniale (entre 1936 et 1962) - une Algérie torrentielle, passionnée et douloureuse - et éclaire d'un nouveau jour, dans une langue splendide et avec la générosité qu'on lui connaît, la dislocation atroce de deux communautés amoureuses d'un même pays.
----------------------------------------------
je connais l'auteur je ne connaissais aucun de ses livres peut être un titre ou deux grâce aux émissions littéraires que je "survole" de temps à autre le jeudi quand il n'y a rien d'autre (tout dépend des invités) . . . je ne manquais pas apostrophe vers la fin
je suis entrée dans un sujet qui ne me passionne pas du tout absolument très facilement sous une plume magnifique légère facile (même si j'ai rencontré quelques mots de vocabulaire que je ne connaissais pas mais pas du tout ) une écriture pourtant simple coulante et élégante une écriture douce aussi
j'ai a d o r é ce livre
et vous le conseille