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el lefébien
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Je peux le dire : à 7 ans j'étais une très belle petite fille et TOUJOURS SOURIANTE m'a t- on dit à l'enterrement de mon père. Oui ici je CRITIQUE COMMENTE et EXPLIQUE les images de déco. Je DÉCORE, je PONCE je PEINS je DÉVOILE ma MAISON mon JARDIN, je COMMENTE les INFOS du jour les films et les séries . En fait je PAPOTE comme devant un apéro. Ah oui je CROCHÈTE et toujours la même chose
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1 janvier 2020

LE C à VOIR . . . FILM

Hier au réveillon vers 23 h j'ai regardé ce film

c'est une histoire vraie elle vous est racontée à la fin il faut tout lire  après le générique

alors oui  j'ai pleuré toute ma soirée

bizarre de programmer un tel film au nouvel an  plutôt qu'à Noël  je ne sais qui est  aux  " manettes  " ?

dygjd

 

ce fut dur dur

mais à voir

 

Sur la chaîne belge  de la 

RTBF 2  fin de journée à 18 H15

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17 décembre 2019

LE C à ÉCOUTER . . . seule

avec la neige qui tombe ou pas

au réveillon de Noël

on écoutera ceci

https://www.youtube.com/watch?v=IEQYRaxXSyA

en écoutant cette musique

trhte

 

13 décembre 2019

LE C à VOIR . . . je l'ai vu et c'est formidable

sur ARTE

ce vendredi 13 décembre

à 20 h55

 

je vais avoir du plaisir à revoir le film

parce  que c'est le style de film qui me plait  énormément  :  oui je vous le conseille  j'en ai déjà parlé sur le blog

rtyuzru

 

 

  • Genre : Téléfilm - Drame historique de Christiane Balthasar
  • Année : 2016   1 h 29 min
  • Avec : Maria Ehrich, Luise Heyer, Franz Dinda, Dirk Borchardt, Max Hopp, Karel Hermánek Jr....
Résumé
Noël 1890, dans la forêt de Thuringe, dans le centre de l'Allemagne. À la mort brutale de leur père, Marie et Johanna Steinmann se retrouvent dans le plus grand dénuement. Marie, la plus jeune, souhaite reprendre la verrerie familiale. Mais la masculine corporation des souffleurs de verre s'y oppose. Johanna se met au service du marchand Friedhelm Strobel, tandis que Marie voit son talent artistique exploité par Wilhelm Heimer, un confrère de son père. Confrontées à l'injustice, les deux soeurs se rapprochent et trouvent ensemble la force de se rebeller

 

Adaptée du roman « La Souffleuse de verre » de Petra Durst-Benning, cette fiction sur le thème de l'émancipation féminine à la fin du XIXe siècle est particulièrement émouvante. Les deux comédiennes Maria Ehrich et Luise Heyer portent ces deux personnages s’élevant contre les règles de la société étriquée de l'époque et contre la corporation masculine.

12 décembre 2019

LE C à VOIR

Sur RTL tvi

à 20h 30

évidemment que  tout le monde connaît

ce GRAND CLASSIQUE 

 attention c'est un remake récent avec des acteurs hors pair

c'est un film dont la

ghjkgh 

Synopsis et détails

Le luxe et le calme d’un voyage en Orient Express est soudainement bouleversé par un meurtre. Les 13 passagers sont tous suspects et le fameux détective Hercule Poirot se lance dans une course contre la montre pour identifier l’assassin, avant qu’il ne frappe à nouveau. D’après le célèbre roman d’Agatha Christie.

il faut le revoir rien que pour l'image

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 le-crime-de

je reviens  CE 15 DÉCEMBRE apres avoir regardé

et  j'ai détesté

ces faux paysages ,  le jeu desacteurs

oui  c'était autre chose avec  PETER USTINOV

4 décembre 2019

Le C à voir . . . ou pas

Ma kiné m'a proposé  - pour me sortir un peu  - (façon de parler)  de venir me chercher  pour aller voir le film    . . .    j'avais ma canne + un coussin   . . .  et je dois dire que j'ai eu assez de mal de résister  jusqu'au bout . . .   mais j'y suis allée  - je parle du bout  -

c'était le film

jdtj

j'ai  à moins de 500 m de chez moi  2 salles de cinéma  : voir les films à leur sortie ???? non mais à part dans les grandes villes qui peut se vanter d'avoir ça en campagne et bien hier encore nous étions dans cette grande salle  comme à chaque fois :   15 PERSONNES  (la salle comme d'habitude est surchauffée)  

ENTRE parenthèse   (puisqu'on parle de la grève de demain en France)   . . . .

nous avons la chance d'avoir une piscine comme nulle part ailleurs  (il y a des articles sur le blog . . .  la construction a duré 1 siècle et ça , ça  n'augure jamais rien de bon pour l'avenir)   . . .   début septembre j'étais allée voir un peu ce qui se passait : PERSONNE  je n'ai vu personne  elle a coûté des millions et des millions  il n'y a PERSONNE   (ceux qui aiment nager 3 fois la semaine vont à PETANGE  si si au luxembourg à 30 km  d'ici ???) 

les gens sont comme ça : ils critiquent tout se plaignent du manque de ci du manque de ça 

nous avions des boutiques extraordinaires  dans cette toute petite ville  et les centres commerciaux se sont installés  - on doit avoir  à moins de 30k 1.000 enseignes  . . . et il n'y a plus eu personne et tout est allé à vau l'eau  : la ville est morte  et aujourd'hui les gens parlent de revenir  à  . . . . "l'essentiel"   aux petites boutiques aux  épiceries  ???  alors que ce sont les mêmes qui ont quitté cet essentiel    . . . .

TOUT BIEN RÉFLÉCHI :   c'est normal qu'on nous supprime tout . . .    tenez  par exemple  :  : savez vous que tous les bus roulent à vide ??? (en dehors des 2 moments de la journée où  ils sont bondés par les étudiants )  . . . .    Quand on va nous supprimer ça : les gens vont hurler leur rage  et vont dire qu'on vit dans un trou  CE QUI EST FAUX . . . . .

REVENONS AU FILM

 

LeMeilleurResteAVenirr_FP1

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Synopsis et détails

Suite à un énorme malentendu, deux amis d’enfance, chacun persuadé que l’autre n’a plus que quelques mois à vivre, décident de tout plaquer pour rattraper le temps perdu.
dites donc comme résumé (dans tous les médias ou presque )  on ne peut pas dire qu'on raconte grand chose  . . . NON  ils ne plaquent pas tout du tout  : un d'entre eux prend un congé d'une semaine
j'ai trouvé ceci

Les réalisateurs du Prénom signent une comédie débridée, moins satirique que mélancolique, sinon funèbre, portée par le duo de choc (?) Luchini-Bruel.

Le tandem Delaporte-De La Patellière n’a pas arrêté depuis le succès du Prénom, en 2012.

Dans l’intervalle, les deux auteurs ont été appelés au chevet de Papa ou Maman (dont ils ont musclé le scénario de départ, écrit la suite et showrunné la série), écrit à quatre mains Un illustre inconnu (réalisé en solo par Matthieu) et signé deux pièces de théâtre (Un dîner d’adieu, Tout ce que vous voulez). Pressés et boulimiques de travail, toujours en train de jongler entre les projets, ils ont décidé, pour leur deuxième réalisation en commun, très attendue, de se confronter à un sujet universel qui les a touchés de près : la mort.

Il y a d’abord eu celle, cruelle, de Valérie Benguigui, partie en septembre 2013, quelques mois après avoir reçu son César de la meilleure actrice dans un second rôle pour Le Prénom. Puis, il y a eu celle, virtuelle, de Matthieu, qui s’est cru atteint d’une tumeur irréversible pendant quelques semaines avant de s’en sortir sans dommages. Cinq années durant, les deux larrons ont tourné autour de ce sujet d’autant plus casse-gueule qu’ils ne voulaient pas en faire un drame mais une ode à la vie, une comédie un peu noire dans laquelle on entreverrait la lumière. Cette lumière, ils l’ont trouvée dans l’épreuve traversée par Matthieu dont Alexandre fut le seul informé. Et si la maladie passait au révélateur une amitié qu’on croyait indestructible ? Oui, mais comment ? C’est là qu’intervient la mécanique comique dont le duo est friand.

CONTRASTES
Tout commence par un quiproquo, cet artifice inusable du boulevard. Arthur (Luchini), médecin  (CHERCHEUR)  méthodique et rigide, va récupérer les examens de son meilleur ami, le flamboyant César (Bruel), à qui il a prêté sa carte de Sécu après une mauvaise chute ayant nécessité une courte hospitalisation. Le chirurgien lui apprend alors que ces examens ont révélé incidemment la présence d’une tumeur incurable. Dans la vraie vie, Arthur dirait à César de quoi il retourne. Mais nous sommes dans la fiction. Arthur bredouille et, devant la joie de vivre de son ami, lui fait involontairement croire que c’est lui qui est malade ! Pas de quoi rire ? Évidemment que si. On sait depuis La guerre est déclarée et Intouchables que les sujets graves peuvent déboucher sur des comédies trépidantes dont l’apparente légèreté rend encore plus saillante la fragilité de nos existences. Comme dans les films précités, un personnage décide d’infléchir ce foutu destin en réenchantant la vie de l’autre. L’idée géniale du film est d’en confier la responsabilité au mort en sursis, au solaire et énergique César, bien décidé à partager des moments magiques avec celui qu’il croit condamné, cet Arthur apathique et enfermé dans ses névroses.

Le déplacement des enjeux favorise le burlesque mais aussi le retour de bâton, inéluctable.

GLISSEMENT
Dans son premier tiers, Le meilleur reste à venir est filmé comme une comédie de Francis Veber, le roi du pitch à qui les réalisateurs doivent beaucoup. Montage et dialogues du tac au tac, sens du burlesque, complicité avec le spectateur culminent dans un face-à-face croustillant entre Arthur et une cancéreuse en rémission (la formidable Zineb Triki), rencontre organisée par César pour permettre à son ami de libérer sa parole et trouver du réconfort. Arthur va en profiter pour dire la vérité, une vérité que personne n’arrive à entendre. Et la comédie de se muer progressivement en drame feutré à mesure que l’échéance fatale se profile. De Veber, on passe à (Yves) Robert et à Sautet ; d’une suite de quiproquos à la description douce-amère des liens d’amitié et d’amour qui se distendent sous l’effet du retour implacable de la réalité, au détriment de la fiction que se racontaient les personnages. Émotion garantie.

bon mon avis ? d'abord je ne comprends pas trop le titre  , on y parle sarcome cancer et  mort ??  rassurez- vous ON NE PLEURE PAS (et je n'ai vu pleuré personne)   Il était inutile de me déplacer dans mon état -  vraiment  -  j'ai eu droit à 3 ou 4 belles réparties mais pas plus  . . . OUI LUCHINI EST BON . . .  décidément  je deviens de plus en plus difficile  -  cinématographiquement   - JE PRÉCISE  pour certaines  -    ( ma kiné est de mon avis) 

PARCE QUE MINE DE RIEN  :  j'ai beaucoup  aimé ou adoré 

LES FEMMES DU 6 IEME , (vu 3 x)

HERMINE , (2x)

ALCESTE A BICYCLETTE , (vu 3x)

L' HOMME PRESSÉ

GEMMA BOVERY  (vu 2x)

LES INVITES DE MON PÈRE  (vu 3x)

DANS LA MAISON  (vu 2 x)

 

j'ai rencontré Mr. Cadet qui s'occupe de la salle DEPUIS 40 ANS AU MOINS et qui a crée le festival du film de Virton (qui a un succès fou ) c'est donc un cinéphile AVERTI ainsi que son épouse  et tous les 2 ont dit que c'était NUL DE CHEZ NUL

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18 novembre 2019

Le c à voir ou pas et seulement après avoir vu en faire la critique

je viens d'aller voir  les critiques des téléspectateurs en France  : les gens n'ont pas vu  et pourtant ILS CRITIQUENT  c'est inimaginable çà  / MAIS  pourquoi ?  c'est un truc de dingue quand même

eT là je me dis : "  si l'histoire ?  OU DES LES FAITS QUE SE SONT AINSI DÉROULÉS COMME JE VAIS LE  RACONTER  -   nE SONT BASES  que sur des témoignages aussi aléatoires et fous ?"  BON?JOUR  . . .

Là comme d'hab je passe du coq à l'ane  mais ce  "mode de fonctionnement humain " me rend dingue aussi

j'ai un peu peur de ce que je lis de ce qu'on raconte  de ce qui se dit :

mon père me le répétait toujours : méfie- toi de ce tu lis dans les journaux de ce qu'on te dit aux infos   .  . . d'autant que : quand mon petit frère de 22 mois  s'est noyé  , tout et son contraire a été raconté relaté  et décrit d'une façon différente dans les journaux différents . . .  c'est une honte

autre exemple  :  hier aux enfants de la télé ils parlaient pour la cent millième fois des bronzes   : on nous fait écouter un doc de chez  REICHMAN  une femme parler du film  "DES BRONZES FONT DU SKI " et  surtout c'est  d'elle qu'elle parle  . . . et après ce petit  reportage PATRICE LECOMTE  de dire :    "mais  c'est une folle cette femme  OU   - CETTE FEMME EST FOLLE  -  "  . .. rien n'avait de sens

Et bien  c'est pareil pour tout  . . .  les gens ne racontent que des cracks . . .  ils  mentent avec un aplomb surréaliste  . . .  j'en ai dans ma famille  wouahhhh  des pas mal non plus   . . .  et ces gens me font peur  . .  . Tiens : je me  souviens d'une cousine un peu . . . simple . . .     déposer son témoignage à charge en ce qui concernait un accident de voiture d'un autre petit cousin qu'elle détestait à qui elle voulait faire du mal  alors qu'elle était dans sa cuisine (ou au bar)   . . . pourtant la déposition a été faite  alors qu'elle était sans fondement  mais ça reste dans le dossier 

méfiez- vous de tous et de tout le monde

 

 

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nous avons déjà vu la semaine dernière sur la RTBF 1

la série

Le BaZaR De La CHaRiTé

 

parlons d'abord d'histoire

l'histoire vraie  de ce terrible fait divers

nous avons connu pire en Belgique avec l'incendie de l'INNOVATION  22 mai 1967  (un grand magasin tel les galeries Lafayettes) et où ont péri 251 personnes et fit 62 blessés. Plus de 150 pompiers furent mobilisés pour le combattre. Un deuil national fut proclamé en Belgique. 

Oui TOUT LE MONDE  (moi la premiere ) a encore cette catastrophe en tête  . . .  je vous en parle évidemment sur ce blog    catégorie LES C A LIRE  

Le Bazar de la Charité est une vente de bienfaisance mise sur pied en 1885 par le financier Henri Blount .

Le principe en était de vendre des objets — lingerie et colifichets divers —, au profit des plus démunis.

le Bazar fut le théâtre, le 4 MAI 1897 , d'un dramatiqu INCENDIE  causé par la combustion des vapeurs de l 'ETHER  utilisée  pour alimenter la lampe du projecteur du cinématographe .

La catastrophe coûte la vie à plus de 120  personnes, la plupart étant des femmes charitables issues de la haute société parisienne.

Ce terrain était alors occupé par un hangar en PITCHPIN de quatre-vingts mètres de long sur treize de large, loué le 20 mars 1897 par le baron de Mackau

Le 6 avril 1897, le baron de Mackau réunit les responsables du Bazar de la Charité  et leur annonce que le Bazar sera décoré pour représenter une rue de Paris au Moyen Âge avec ses éventaires, ses échoppes aux enseignes pittoresques, ses étages en trompe-l'œil, ses murs tapissés de lierre et de feuillage.

En prime, le Bazar proposera, sous un appentis, un spectacle de cinématographe où l'on pourra, pour cinquante centimes, voir les images animées des Frères Lumière 

Le bâtiment est organisé de la façon suivante : une porte à double battant ouvre sur une vaste allée, bordée de vingt-deux comptoirs en bois, d’une longueur de 80 mètres ; à gauche de l’entrée, une loggia accueille les bureaux, à droite se trouve le « salon des dames ».

Les comptoirs portent des noms évocateurs : « À la tour de Nesle », « À la truie qui file », « Au lion d’or », « Au chat botté ». Face à l’entrée se trouve un buffet, assorti d’une cuisine et d’une cave.

L’arrière du hangar donne sur une cour intérieure, bordée par l’« Hôtel du Palais » ; adossé à la façade arrière du hangar se trouve un local abritant le cinématographe 

Les ventes sont organisées pour avoir lieu les 3, 4, 5 et 6 mai 1897.     Les comptoirs sont tenus par des dames appartenant à la plus haute aristocratie française ou à la grande bourgeoisie.

Le Bazar est béni à 15 heures : celui-ci, après un tour rapide, s'en va sans que la foule qui se presse là s'en rende bien compte.  

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C’est une série sur laquelle on n’aurait pas parié. c'est ce que disent les critiques ici   Il faut dire que les fictions dites “en costume” sont souvent reléguées à la case du dimanche après-midi pluvieux en compagnie du chat ou de mamie, c’est selon. Et moi je n'aime que ça et je pense exactement le contraire SINON expliquez moi donc le succes de DOWNTON ABBEY

Mais comme nous lui consacrons deux pages, il faut bien avouer qu’on a vu en Le Bazar de la Charité plus qu’une petite série française d’époque. Démonstration.

L’action commence le 4 mai 1897 à Paris. Ce jour-là se tient une vente de bienfaisance au Bazar de la Charité, réunissant tout le gratin parisien. Lorsqu’un incendie se déclenche dans la salle du cinématographe, le grand hangar construit uniquement en pin ne résiste pas longtemps aux flammes. L’évacuation du bâtiment par l’unique porte (tournante) est trop lente pour sauver tous les occupants. 124 personnes y perdent la vie et la majorité des victimes sont des femmes.

le premier épisode que le feu le feu le feu et une musique  insupportable  ensuite aucun acteur n'est crédible ceci ce n'est que moi qui le dit

Si vous êtes un passionné d’histoire, vous savez que, oui, ce terrible incident a bien eu lieu.

Frappées par ce drame historique, les scénaristes Catherine Ramberg et Karine Spreuzkouski écrivent Le Bazar de la Charité, une série en huit épisodes qui, à partir de cet incendie, raconte les histoires de trois femmes.

L’une est bourgeoise et coincée dans un mariage sans amour (Audrey Fleurot).

L’autre est sa nièce, en passe de se marier à un riche prétendant (Camille Lou). (????)

La dernière est sa bonne, sur le point de partir vivre la grande vie à New York (Julie de Bona).

Leurs projets seront évidemment mis à mal par cet événement traumatique.

Du feu en plateau

Pour faire vivre le drame aux spectateurs, la production n’a pas lésiné sur les moyens. Tourné aux Studios de Bry-sur-Marne, en région Île-de-France, le premier épisode est une longue et terrifiante reconstitution de l’incendie. (c'est incroyablement mal joué  vraiment aucune credibilité)  

On a passé 50 % du temps des sept mois de préparation à parler de ce feu et à comment on allait le réaliser. Il fallait d’abord trouver un studio qui accepterait de le faire. En France, jamais un feu si grand n’avait été recons-titué dans un studio”, explique le réalisateur Alexandre Laurent (La Mante) lors d’une ren- contre presse au Festival de La Rochelle.

Après deux refus d’experts, une solution est finalement trouvée: deux énormes ventilateurs accrochés au plafond seront actionnés entre chaque prise pour désenfumer le studio. Un détecteur de monoxyde de carbone est aussi installé et la durée des prises n’excède pas les 33 secondes. Passé ce délai, la chaleur était trop forte, tant pour l’équipe technique que pour les actrices, au centre des flammes.

Ça faisait très peur, on était très près du feu et la chaleur qui s’en dégageait était impressionnante, raconte Camille Lou. Pendant les scènes, je me rappelais que ça s’était réellement passé, ce qui fait que je n’arrivais pas à m’arrêter de pleurer tellement je trouvais ça bouleversant et horrible.

Passé ce premier épisode rempli de flammes, de cris et de larmes (et qui en fait des caisses, avouons-le)  (oui de fait)  , la série prend son envol narratif dès le deuxième épisode pour raconter les trois destins de ses héroïnes.

Car plus que raconter un événement historique, Le Bazar de la Charité s’intéresse à la condition des femmes dans le Paris de la fin du XIXe.

C’est grâce à cette direction claire que la série ne s’embourbe pas dans les menus détails d’un fait historique suranné et nous emporte avec elle dans son récit rocambolesque.

Les problématiques des héroïnes font écho à des problématiques actuelles: encore aujourd’hui, certaines femmes ne peuvent pas aimer qui elles veulent ou vivent sous la coupe de leur mari", explique la productrice Iris Bucher. "Les mots d’ordre étaient: résonance avec aujourd’hui et comment faire d’un drame en costume une série contemporaine.

À la page

Cette modernité, on la retrouve autant dans la réalisation d’Alexandre Laurent que dans l’écriture des dialogues. Ici, pas de vouvoiement ni de phrasé théâtral. Les personnages parlent “normalement”, se tutoient et nous épargnent les phrases alambiquées. “La limite c’était “Ouais gros” ”, plaisante le réalisateur.

Cette vision contemporaine de l’époque a d’abord surpris Audrey Fleurot, habituée au maintien langagier et corporel d’Un village français.

Au début, ça m’a fait bizarre, mais comme tout est traité comme ça, cela devient cohérent. Il y a une forme d’intemporalité. On a beau porter le corset, on s’est autorisées à parler de façon plus contemporaine.  (??? on se demande pourquoi  ça fait tellment de bien  plutot que "putain"  à tout bout de champs et il y a quelques incohérences dingues )  C’était une vraie volonté, et je dois dire que c’est une réussite. Les séries d’époque peuvent faire peur, car on a peur que ce soit ennuyeux et poussiéreux. Or là, il y a un côté assez rock qui me plaît beaucoup”, se réjouit l’actrice.

Pour mettre ses comédiens dans l’ambiance, Alexandre Laurent n’hésite pas non plus à user de sa voix et de musique dans les studios, le son étant refait en postproduction. “Il hurlait pendant les prises, il mettait la musique à fond, c’est un fou furieux! Je n’ai jamais été dirigé comme ça!”, se souvient Antoine Duléry  qui joue le père de Camille Lou. “Il me faisait les cris des femmes qui mouraient pendant la scène!”, explique cette dernière.

il aurait du stopper la musique (c'est mon avis)

avec Le Bazar de la charité TF1 renoue avec la tradition des séries d'époque en costumes, en vogue outre-Manche (The CrownDownton Abbey )  ils ne vont quand même pas comparer  avec DOWNTON  j'espère ???? , et nous en met plein les yeux.  PAS LES MIENS EN TOUS CAS NI CEUX DE MA KINÉ QUI EST FOLLE DE CINÉMA ET NOUS AVONS PENSÉ LA MËME CHOSE

Moderne dans ses dialogues   - POURQUOI ETRE MODERNE DANS UN FILM D'ÉOQUE ????  -   et dans sa mise en scène, balayée par un souffle épique, et visuellement époustouflante est ce que TF1 a proposé de plus ambitieux en terme de fiction jusqu'à présent. Et le budget conséquent de 2 millions d'euros par épisode se voit à l'écran. et moi  je me suis retrouvée immédiatement dans des décors bien visibles  et la fin de l'incendie qui se termine au dessu de la fleche de violet LEDUC  de NOTRE DAME ????? c'était avant l'incendie de Notre Dame ou après  que ça a été tourné ?????

Ensuite souvenez vous de la série PROFILAGE  - le lieu de tournage au commissariat qui se trouve au bord de la seine  -  ? c'est le meme endroit  et ça me dérange terriblement 

Oui dans un film  ce qui m'interesse :

c'est l'histoire 

c'est le jeu d'acteurs et les acteurs (ici rien n'est plausible on retrouve julie de Bona partout dans les séries c'est usant )

ce sont les images d'intérieur et extérieurs

ce sont les costumes (surtout ceux de 1930 . . .1950) 

et je reconnais toujours les endroits ou ils tournent  :  toujours 

maintenant à vous de voir et de faire votre propre avis sur cette série qui pour lmoi n'est pas traitée comme elle aurait du bref je ne suis pas pressée de voir la suite

 

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et aussi

J'ai regardé pour la seconde fois

samedi sur la RTBF 1  le film 

IMITATION GAME

et je vous le conseil évidemment

En savoir plus ?

oui alors allez dans catégorie " c'est à voir "   :  ce sera complet

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2014_45_film

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c'est aussi en COSTUME

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GHJDG

 2 d'entre eux sont des acteurs de DOWNTON  

il passera chez vous cette semaine je pense : regardez- le

 

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