Canalblog
Editer l'article Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Publicité
el lefébien
el lefébien
el lefébien

je COMMENT et je vous EXPLIQUE les images de déco., je DÉCORE, je vous DÉVOILE ma MAISON et mon JARDIN, je COMMENTE les INFOS du jour les films et les séries en fait je PAPOTE . . . Il arrive aussi que je TRICOTE et que je CROCHÈTE
Voir le profil de javi53 sur le portail Canalblog

MeS ViSiTeURS
Hier 270
Ce mois ci 11 020
Depuis la création 5 704 687
4 décembre 2019

Le C à voir . . . ou pas

Ma kiné m'a proposé  - pour me sortir un peu  - (façon de parler)  de venir me chercher  pour aller voir le film    . . .    j'avais ma canne + un coussin   . . .  et je dois dire que j'ai eu assez de mal de résister  jusqu'au bout . . .   mais j'y suis allée  - je parle du bout  -

c'était le film

jdtj

j'ai  à moins de 500 m de chez moi  2 salles de cinéma  : voir les films à leur sortie ???? non mais à part dans les grandes villes qui peut se vanter d'avoir ça en campagne et bien hier encore nous étions dans cette grande salle  comme à chaque fois :   15 PERSONNES  (la salle comme d'habitude est surchauffée)  

ENTRE parenthèse   (puisqu'on parle de la grève de demain en France)   . . . .

nous avons la chance d'avoir une piscine comme nulle part ailleurs  (il y a des articles sur le blog . . .  la construction a duré 1 siècle et ça , ça  n'augure jamais rien de bon pour l'avenir)   . . .   début septembre j'étais allée voir un peu ce qui se passait : PERSONNE  je n'ai vu personne  elle a coûté des millions et des millions  il n'y a PERSONNE   (ceux qui aiment nager 3 fois la semaine vont à PETANGE  si si au luxembourg à 30 km  d'ici ???) 

les gens sont comme ça : ils critiquent tout se plaignent du manque de ci du manque de ça 

nous avions des boutiques extraordinaires  dans cette toute petite ville  et les centres commerciaux se sont installés  - on doit avoir  à moins de 30k 1.000 enseignes  . . . et il n'y a plus eu personne et tout est allé à vau l'eau  : la ville est morte  et aujourd'hui les gens parlent de revenir  à  . . . . "l'essentiel"   aux petites boutiques aux  épiceries  ???  alors que ce sont les mêmes qui ont quitté cet essentiel    . . . .

TOUT BIEN RÉFLÉCHI :   c'est normal qu'on nous supprime tout . . .    tenez  par exemple  :  : savez vous que tous les bus roulent à vide ??? (en dehors des 2 moments de la journée où  ils sont bondés par les étudiants )  . . . .    Quand on va nous supprimer ça : les gens vont hurler leur rage  et vont dire qu'on vit dans un trou  CE QUI EST FAUX . . . . .

REVENONS AU FILM

 

LeMeilleurResteAVenirr_FP1

ob_06aa13_2796213-jpg-r-1920-1080-f-jpg-q-x-xxyx

Synopsis et détails

Suite à un énorme malentendu, deux amis d’enfance, chacun persuadé que l’autre n’a plus que quelques mois à vivre, décident de tout plaquer pour rattraper le temps perdu.
dites donc comme résumé (dans tous les médias ou presque )  on ne peut pas dire qu'on raconte grand chose  . . . NON  ils ne plaquent pas tout du tout  : un d'entre eux prend un congé d'une semaine
j'ai trouvé ceci

Les réalisateurs du Prénom signent une comédie débridée, moins satirique que mélancolique, sinon funèbre, portée par le duo de choc (?) Luchini-Bruel.

Le tandem Delaporte-De La Patellière n’a pas arrêté depuis le succès du Prénom, en 2012.

Dans l’intervalle, les deux auteurs ont été appelés au chevet de Papa ou Maman (dont ils ont musclé le scénario de départ, écrit la suite et showrunné la série), écrit à quatre mains Un illustre inconnu (réalisé en solo par Matthieu) et signé deux pièces de théâtre (Un dîner d’adieu, Tout ce que vous voulez). Pressés et boulimiques de travail, toujours en train de jongler entre les projets, ils ont décidé, pour leur deuxième réalisation en commun, très attendue, de se confronter à un sujet universel qui les a touchés de près : la mort.

Il y a d’abord eu celle, cruelle, de Valérie Benguigui, partie en septembre 2013, quelques mois après avoir reçu son César de la meilleure actrice dans un second rôle pour Le Prénom. Puis, il y a eu celle, virtuelle, de Matthieu, qui s’est cru atteint d’une tumeur irréversible pendant quelques semaines avant de s’en sortir sans dommages. Cinq années durant, les deux larrons ont tourné autour de ce sujet d’autant plus casse-gueule qu’ils ne voulaient pas en faire un drame mais une ode à la vie, une comédie un peu noire dans laquelle on entreverrait la lumière. Cette lumière, ils l’ont trouvée dans l’épreuve traversée par Matthieu dont Alexandre fut le seul informé. Et si la maladie passait au révélateur une amitié qu’on croyait indestructible ? Oui, mais comment ? C’est là qu’intervient la mécanique comique dont le duo est friand.

CONTRASTES
Tout commence par un quiproquo, cet artifice inusable du boulevard. Arthur (Luchini), médecin  (CHERCHEUR)  méthodique et rigide, va récupérer les examens de son meilleur ami, le flamboyant César (Bruel), à qui il a prêté sa carte de Sécu après une mauvaise chute ayant nécessité une courte hospitalisation. Le chirurgien lui apprend alors que ces examens ont révélé incidemment la présence d’une tumeur incurable. Dans la vraie vie, Arthur dirait à César de quoi il retourne. Mais nous sommes dans la fiction. Arthur bredouille et, devant la joie de vivre de son ami, lui fait involontairement croire que c’est lui qui est malade ! Pas de quoi rire ? Évidemment que si. On sait depuis La guerre est déclarée et Intouchables que les sujets graves peuvent déboucher sur des comédies trépidantes dont l’apparente légèreté rend encore plus saillante la fragilité de nos existences. Comme dans les films précités, un personnage décide d’infléchir ce foutu destin en réenchantant la vie de l’autre. L’idée géniale du film est d’en confier la responsabilité au mort en sursis, au solaire et énergique César, bien décidé à partager des moments magiques avec celui qu’il croit condamné, cet Arthur apathique et enfermé dans ses névroses.

Le déplacement des enjeux favorise le burlesque mais aussi le retour de bâton, inéluctable.

GLISSEMENT
Dans son premier tiers, Le meilleur reste à venir est filmé comme une comédie de Francis Veber, le roi du pitch à qui les réalisateurs doivent beaucoup. Montage et dialogues du tac au tac, sens du burlesque, complicité avec le spectateur culminent dans un face-à-face croustillant entre Arthur et une cancéreuse en rémission (la formidable Zineb Triki), rencontre organisée par César pour permettre à son ami de libérer sa parole et trouver du réconfort. Arthur va en profiter pour dire la vérité, une vérité que personne n’arrive à entendre. Et la comédie de se muer progressivement en drame feutré à mesure que l’échéance fatale se profile. De Veber, on passe à (Yves) Robert et à Sautet ; d’une suite de quiproquos à la description douce-amère des liens d’amitié et d’amour qui se distendent sous l’effet du retour implacable de la réalité, au détriment de la fiction que se racontaient les personnages. Émotion garantie.

bon mon avis ? d'abord je ne comprends pas trop le titre  , on y parle sarcome cancer et  mort ??  rassurez- vous ON NE PLEURE PAS (et je n'ai vu pleuré personne)   Il était inutile de me déplacer dans mon état -  vraiment  -  j'ai eu droit à 3 ou 4 belles réparties mais pas plus  . . . OUI LUCHINI EST BON . . .  décidément  je deviens de plus en plus difficile  -  cinématographiquement   - JE PRÉCISE  pour certaines  -    ( ma kiné est de mon avis) 

PARCE QUE MINE DE RIEN  :  j'ai beaucoup  aimé ou adoré 

LES FEMMES DU 6 IEME , (vu 3 x)

HERMINE , (2x)

ALCESTE A BICYCLETTE , (vu 3x)

L' HOMME PRESSÉ

GEMMA BOVERY  (vu 2x)

LES INVITES DE MON PÈRE  (vu 3x)

DANS LA MAISON  (vu 2 x)

 

j'ai rencontré Mr. Cadet qui s'occupe de la salle DEPUIS 40 ANS AU MOINS et qui a crée le festival du film de Virton (qui a un succès fou ) c'est donc un cinéphile AVERTI ainsi que son épouse  et tous les 2 ont dit que c'était NUL DE CHEZ NUL

Publicité
Publicité
Commentaires
MES CATÉGORIES
Publicité
MES ARCHIVES
Publicité