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el lefébien
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Je peux le dire : à 7 ans j'étais une très belle petite fille et TOUJOURS SOURIANTE m'a t- on dit à l'enterrement de mon père. Oui ici je CRITIQUE COMMENTE et EXPLIQUE les images de déco. Je DÉCORE, je PONCE je PEINS je DÉVOILE ma MAISON mon JARDIN, je COMMENTE les INFOS du jour les films et les séries . En fait je PAPOTE comme devant un apéro. Ah oui je CROCHÈTE et toujours la même chose
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17 août 2017

Le C à lire

 

 

 

 

Realisation_du_18-08-17

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17 août 2017

Le c à lire EMOTION PERSO

ça alors

et immédiatement je pense à mon histoire parce que j'y pense très souvent 

mais allez vous me croire ?

vous auriez tort  du contraire parce que c'est vrai !

pareil pour moi mais en mieux pour moi

et bien j'y crois comme si c'était moi puisque moi c'est   pire ce n'est pas mon propre jardin

c'est une route très fréquentée

ok ce n'est pas 13 ans non plus

 

je fête  mon anniversaire le 31 décembre (?)  . .  et c'est ce jour là qu'on m'offre  une bague de fiançailles sans qu'on m'ait demandé mon avis .

on a  toujours eu l'art de me réunir toutes les fêtes mêmes les "principales"  :  ça leurs coûte à tous bien moins cher 

ça m'exaspère depuis toute jeune

je reçois donc une bague en or blanc avec un tout petit  diamant de o, ????? je ne connais plus les  dixièmes de carats  . . . je ne veux rien inventer

je la porte évidemment  à l'Institut  (je parle de l'institut des Soeurs Notre Dame de Bastogne)   Mais j'ajoute que ce  même  31 décembre ;  je reçois de ma mère un super bracelet composé de  8  chaînettes en or ( je l'adore )

cette histoire qui commence doit se passer en mai  qui suit cette date du 31 

j'ai un cour de gym  et on doit ôter ses bijoux   . . .   je les cache sans doute le mieux que je peux et laisse tout ça dans la cabine  - nous avions de cabines fermées par une tenture  -

vous dire où je les ai cachés je mentirais  :   le sac ?  une poche de pantalon ?  une des poches du tablier  ?  (oui je portais l'uniforme)  . . .

je rentre à la maison

Ma mère me demande où sont mes bijoux

je regarde  : une sueur  froide puis chaude manque de me faire m'avanouir 

je n'ai plus rien  . . .

je cherche dans mon sac de gym   puis dans mes cahiers ,  classeurs et livres  non je n'ai pas de sac car la mode de l'époque était de relier  tout ça dans un élastique  spécial coloré dessiné que sais -je encore  :    nous sommes 45 ans en arrière ok

oui évidemment je sais à l'époque où je les avais cachés   :  là aujoud'hui je mentirais si je vous disais où je les avais placés 

On part toutes les 2  et on cherche tout le long du chemin  chacune d'un côté de la route - toujours le même chemin emprunté depuis des lustres  - la route n'est pas macadamisée partout et  il y a par endroits  de la pierraille grise

rien 

Pourtant on fait  tout le chemin  jusqu'à  l'entrée de l'école  et je vais vite voir dans la cabine : vous pensez bien que  de toutes façons et on se le dit :  si c'est tombé sur le chemin quelqu'un les  a pris : je ferais pareil   . . . .  mais je sais que j'irais les porter à la gendarmerie   puisque ça m'est arrivé

où alors ,  me dit elle,   on les a  peut être volés  dans la cabine ??

on va  donc à la gendarmerie demander si on a rien trouvé et on décrit les bijoux .

NON RIEN  !

ON RENTRE décaties toutes les 2  . . .   j'ai un mal fou à dormir 

je dois  bien l'avouer , je suis ultra matérialiste ,   dans le sens ou quand  j'aime  un objet quelqu'il soit  j'y tiens  à fond   quelque soit la valeur   1 e ou 1000 e  :  pour moi c'est pareil  (j'ai un jour égaré mon tout petit galet où est marqué un V dessus j'ai cru avoir une crise cardiaque j'aurais préféré perdre 100 e : ouff je l'ai retrouvé )

Là c'était du lourd et des cadeaux 

C'est vous dire l'état dans lequel je me trouvais  :   migraine épouvantable  coeur qui bat la chamade :  bref tout ça me rend  vraiment malade

le lendemain matin ,comme tous les jours,  je pars tôt  le matin   - 8 h -   et  de ça je me souviens  parfaitement car à ce moment- là : les cours commençaient à 8h30 

je suis à pieds  . . .   je marche , toujours   tète baissée    à l'époque . . . .  et je vais vous dire ,  ça n'avait rien à voir avec les bijoux du tout  : c'était une habitude 

vous savez pourquoi ? 

Et bien quand on voyait un écrou,  une vis , un clou rouillé ou pas  ;  on ramenait le butin à mon père qui était fou de joie  : parole d'honneur   (je suis pliée en 2 je suis occupée de mourir de rire   . . .  rhooo le traumatisme des enfants car : je ramasse toujours aujourd"'hui et  pas plus tard qu'hier j'ai trouvé un écrou  impeccable  : impossible de passer à coté sans me baisser  )

non mais ???  HELO QUOI  !

c'est une route de passage même à l'époque

Devinez quoi ? 

MA BAGUE EST Là . . .  pas à plat  . . . .  non .  . . .  la "pierre"  vers le haut comme si on avait enfoncé l'anneau  pour qu'elle tienne comme en vitrine  : j'en ai encore des frissons en vous relatant les faits 

elle est là dans la pierraille grise qu'on a tournée qu'on a  retournée  qu'on a mélangée toute les 2 la veille comme 2 folledingues  qui gratteraient le sable à  MIDI  en plein cagnard du sahara  pour trouver de l'eau  et  là . . . . .  

je hurle ma joie   . . . .  je saute en l'air  par contre  - c'est très vrai -  je crois que je rêve et  de cette impression  Je m'en souviens incroyablement  . . . 

je remonte , au risque d'être en retard  -  on n' est jamais en retard chez leS Petit  - pour vite montrer et raconter à ma mère  (oufffffffffff mon père était déjà lui aussi parti à l'école mais en voiture )  et là elle me dit  : " Rowouuuuhhhh  et l'bracelt ??????????"  

faut pas pousser non plus   ! !

Non je n'ai pas eu la chance de retrouver mon bracelet  j'aurais préféré le retrouver lui plutôt que l'autre bijou mais on ne choisit pas  (chuipliée) !

mais avouez  tout de même ??????

Merci de croire à mon histoire parce que elle est drôlement  et étonnement vraie 

savez vous que je pense très très souvent à cette histoire  et plus encore à mon bracelet qu'une autre que moi porte

 

 

26 juillet 2017

Le c à lire Pour le Père JACQUES HAMEL

une pensée

 

pere JACQUES HAMEL

 

17 juillet 2017

Le c à lire . . . et à réfléchir

 

 

 

sans aucun doute

 

 

30 juin 2017

Le C à lire GRANDE ÉMOTION

à 10h - 5

ce vendredi 30 juin 2017

j'entends

 

simone-veil

Simone Veil 

VIENT DE MOURIR à L'AUBE DE SES 90 ANS

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16 juin 2017

Le C à lire

on n'a jamais fait grand cas de la dispiration de ces grands hommes tels le

professeur CABROL

ça me consterne : quelques lignes dans les quotidiens et puis s'en va . . . j'ai remarqué que  pour tous ces GRANDS HOMMES  ça se passe comme ça

 

Cabrol sans qui  des centaines de gens seraient morts aujourd'hui   . Le PROFESSEUR a réalisé la première greffe cardiaque en Europe en avril 1968

un homme remarquable que j'ai toujours admiré  est mort ce matin 

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Christian Cabrol, né le 16 septembre 1925 à Chézy-sur-Marne et mort le 16 juin 2017 à Paris
ET OUI j'ai pleuré quand j'ai entendu la nouvelle  : j'avais un grand  plaisir  à l'écouter
(alors que je hais les émissions de médecine)
pour moi ce sont des dieux ils sont peu en ce bas monde mais il en faisait partie
Fils de paysan

Rien pourtant ne prédisposait ce fils de paysan, à devenir un pionnier de la chirurgie cardiaque. Il apprécie le calme des bois et des champs mais son grand-père, médecin de campagne, le convainc de devenir chirurgien.

Le professeur Cabrol réussit le difficile  concours  d’internat des Hôpitaux de Paris et se trouve affecté dans le service de chirurgie du professeur Gaston Cordier, un patron visionnaire, qui l’incite à s’intéresser à la chirurgie du poumon et par extension à celle du cœur.

En 1956, il part à Minneapolis, aux Etats-Unis, dans le service de chirurgie cardiaque de Walton Lillehei, le père de la chirurgie cardiaque.

Le professeur Cabrol devient en 1989 le grand défenseur de la greffe à la tête de l’Association France Transplant, qui organise notamment les prélèvements d’organes, une mission aujourd’hui confiée à l’Agence de la biomédecine.

La même année, il fonde l’Association pour le développement et l’innovation en cardiologie (Adicare), qui contribue à la création de l’Institut de cardiologie de l’hôpital de la Pitié-Salpêtrière. Le chirurgien est en effet convaincu qu’il faut regrouper  tous les professionnels de santé impliqués dans le diagnostic et le traitement des maladies cardio-vasculaires en un même endroit.

 

Il était extrêmement humain et proche de ses patients », a déclaré le professeur Gandjbakhch. Il se souvient aussi de « ses colères, qui comportaient une bonne part de comédie quand ça l’arrangeait ». Opérée par le chirurgien en 1980, l’actrice Mireille Darc loue également « un homme sublime, merveilleux » :

« Je ressens beaucoup de tristesse. Je savais qu’il était malade et je m’attendais à son départ. »

Il a écrit de nombreux livres  liés à son expérience professionnelle et était Commandeur dans l’Ordre de la Légion d’honneur et officier de l’Ordre national du mérite.

cela dit quand on voit à qui on accroche la légion d'honneur sur la poitrine ????????? consternation là encore ! qui  de ceux qui ont reçu cette médaille peut se comparer à cet homme ? 

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