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el lefébien
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je CRITIQUE et vous EXPLIQUE les images de déco, je DÉCORE, je DÉVOILE ma MAISON mon JARDIN, je COMMENTE les INFOS du jour les films et les séries en fait je PAPOTE comme devant un apéro ou un café . . . Il arrive aussi que je TRICOTE et que je CROCHÈTE
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14 février 2021

Le c à lire LA CRISE SANITAIRE

les quelques infos du jour

gfyuiy

yujkyr

fo 14

ah bon alors pourquoi faire tant d'hhistoire avec les variants ?

ytyutr§u

Partis le 16 janvier, ces 22 touristes sont depuis bloqués dans le pays et demandent une intervention exceptionnelle de la France pour contourner le confinement. Un cas qui n’a pas manqué d’exaspérer les internautes.

 bientot

ça va etre de not'faute non mais ?????

 

Pris au piège, ils en appellent aux autorités. 22 touristes français ont été testés positifs au Covid-19 lors d’un voyage au Costa Rica, et ils ont lancé un appel ce jeudi pour être rapatriés en urgence. Six d’entre eux sont notamment hospitalisés.

Arrivés le 16 janvier dans le pays d’Amérique centrale, ils ont été testés dix jours après leur arrivée et sont depuis bloqués. En attente d’un test négatif pour avoir l’autorisation de rentrer en France, ils demandent « que les personnes positives puissent être rapatriées car elles sont à plus de 10 jours de confinement », comme évoqué sur BFM TV.

« Je suis confinée depuis 14 jours mais je ne suis pas malade. Le seul truc que j’ai, c’est que je suis positive », raconte notamment Evelyne au micro de RTL  Son compagnon se trouve lui dans un hôpital depuis le 9 février et elle lance un cri d’alarme : « Je ne sais même pas dans quel hôpital de la ville il est, je ne sais rien et d’ici peu de temps, on va tous se jeter par la fenêtre. (…) On est tous dans un état lamentable. »

Un appel à l’aide qui n’a pas manqué de faire réagir sur les réseaux sociaux, beaucoup d’internautes raillant le fait d’être partis aussi loin en pleine pandémie. Une réaction intransigeante – et contestable – de la Toile face à une vraie détresse

LES INTERNAUTES

67U76

MAIS DITES MOI mONSIEUR VOUS VOUS FICHEZ DE QUI  ???

moi je veux qu'on vous y laisse    :   appelez vos gosses  n'ennuyez pas les gens qui prennent le métro le train le tram qui  travaillent et qui suivent les règles du couvre feu

pendant que vous  vous n'en aviez rien à cirer

C'est UN COMBLE TOUT DE MÊME

et ils vont nous dire qu'il ignoraient qu'il y avait une pandémie

E7 H7I

TYI6 TYU

----------------------------------------

u!otè

Samedi après-midi, le baromètre d’affluence du littoral s’affichait déjà en orange à Knokke, une tendance confirmée dès ce dimanche midi. La zone commerciale située autour de la Lippenslaan est particulièrement fréquentée. “Il y a aussi beaucoup de gens sur la digue et la plage. C’est pour la sécurité de tous”, déclare le premier échevin Piet De Groote (GBL) à nos confrères de HLN.

“Nous vous demandons instamment de ne pas venir à Knokke aujourd’hui. Garder ses distances serait trop difficile”, poursuit l’échevin.

Quelque 21.000 secondes résidences s’étalent sur le territoire de Knokke. “Maintenant que les gens ne sont plus autorisés à voyager à l’étranger, beaucoup viennent dans leur seconde résidence”, explique Piet De Groote. “Ajoutez à cela les nombreux touristes d’un jour et ça devient vite très fréquenté”, conclut-il.

Ailleurs, c’est plus calme

La situation dans les autres communes du littoral semble plus calme, plusieurs zones s’affichant en vert comme à Nieuport, Coxyde et Blankenberge. Ostende, elle, est en code jaune, avec pas mal de monde près de la gare et dans le centre.

oui je trouve ça dingue 

C'EST FOU ça LES BELGES  INVESTISSENT mais ne peuvent pas aller chez eux  . . . en attendant LES GENS PAYENT  . . .   d'autant qu'ils sont là bas dans leur bulle de 4 ou de 6 

tyue§t pedroijyçer

 

allez pffffffff gjio

mais les gens sont des grands malades  ils s'entassent partout  . . .

la bretagne qui n'a presque pas de cas va être infectée par tous ces gens ?

gtty 

rhyt jhuhy

fht

tu§

ujkyu

et bien moi j'ai l'impression que c'est exactement le contraire

même le dimanche ça n'arrete pas

ry(r ergtr

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13 février 2021

Le c à lire CRISE SANITAIRE

  les quelques infos du jour

tyhjtyhj

tyuty

tyjhut

je ne suis pas une abonnée donc je ne peux en parler plus

cela dit ce n'est pas la première fois qu'on parle des eaux usées mais c'est la première fois qu'on dit que c'est avant  d'avoir les symptomes

non mais franchement

comment espérer qu'on s'en sorte ????

13 février 2021

Le c à lire LA CRISE SANITAIRE

LES QUELQUES INFOS DU JOUr

tyui§r

vfgf gfgv

ggg

c'est quoi ce truc ? on en a déjà parlé ici  . . . on va se bouziller les sinus  je vous l'dis

huhj hbhbh

meteo

froid glacial  10h30 . . . - 4°

gtygy

vgv

on continue non mais

Captureftfthg

yui

gtygy

quelle  "classe "  ce type

TUTY

12 février 2021

Le c à lire LA CRISE SANITAIRE

les quelques infos du jour

400 cas de variant sud africain et brésilien

en MOSELLE de ou ça vient ????

j'espère que ce n'est pas une partie de ceux qui sont revenus du COSTA RICA 

 mais comment peut on affirmer que personne de ces plus de 400 cas  en 48 hj ne sont pas partis  ?

ok mais il n'  y a pas que cette solution ou alors  il faut  avoir peur de la mort si on reste chez soi seule et qu'on attrape quand m^me le brésilien

non mais on rêve là

m'enfin ils ont  côtoyé des gens qui sont partis en vacances c'est plus que certain

m'enfin ils  ont côtoyé au Luxembourg  des gens revenus de leurs vacances dans leur pays  et ont contaminé   et le contaminé a contaminé père  mère  enfant tant ocle cousins et cousines NON?

il faut aller au fond des choses sinon on va croire que m^me chez soi seule dans son lit depuis 4 mois on attrape le variant brésilien

 

imaginez vous que  le nombre de morts du COVID  est égal à UN AIR BUS QUI S ÉCRASE TOUS LES JOURS

C4EST PLUS IMAG2 9A  ON SE REND MIEUX COMPTE OU ¨PAS

 

LE PLATEAU DEVAIT ÊTRE à 5.000  

AUJOURD'HUI IL EST à PLUS DE 20.000  

350  morts  par jour :  soit la capacité d'un AIRBUS QUI Se crache tous les jours

 MAIS  à part ça tout va mieux

allez ! ! ! !

§è!§( huhuhuh

ygygyg

ben voyons

yuièu

uikluy

yggtg

ygyg

hgktu drderdr

fake yui

,kkl,k, jjuju

uiot

??????????????

météo

8h30    gvgvg

hghyg

???????????????????????????????

immobiliser

yuiy gtft

ygygyg

je me demande encore comment des architectes ont pu construire des appartements sans  un petit acces à l'extérieur

c'est vraiment UNE HONTE  et c'est maintenant qu'on se réveille ? 

incendie encore et toujours

POUR MOI ELLES SONT TOUTES SUSPECTES sinon qu'on m'explique pourquoi il y en a eu autant depuis 1 an

hui  uhuhuh

ghyg jyyiy

 hghb

ughyugy

 

11 février 2021

Le c à lire CRISE SANITAIRE

a lire

leleleleele

je ne peux pas admettre que des EXPERTS 

restent sans réponse

 

L'équipe de l'Organisation mondiale de la santé (OMS) estime que le coronavirus a probablement migré de chauves-souris vers une espèce non déterminée avant de contaminer des humains. Elle a également jugé "hautement improbable" que le Covid-19 provienne d'un laboratoire de haute sécurité de Wuhan (centre), infirmant ainsi nombre de théories allant en ce sens.

Une pression planétaire pèse sur les experts depuis le début de leur enquête en Chine, ce qui revient à travailler "comme des fous dans l'environnement le plus chargé qui soit politiquement", selon l'un deux, Peter Daszak.  Après une mission de presque un mois, voici cinq questions restées sans réponse concernant l'origine du coronavirus.

 

L'origine animale ?

Selon les experts, des dizaines de milliers d'échantillons d'animaux sauvages, domestiques et d'élevage prélevés à travers le pays ont été analysés, mais aucun ne contenait le virus Sars-CoV-2.

La virologue néerlandaise Marion Koopmans a néanmoins expliqué que des espèces très sensibles au coronavirus - rat des bambous, blaireau, lapin - étaient vendues au marché Huanan de Wuhan, site d'un des premiers clusters, ce qui pourrait être un point de départ pour remonter la chaîne de contamination.

Le zoologue britannique Peter Daszak a ajouté que de nouveaux virus découverts sur des chauves-souris en Thaïlande et au Cambodge "déplacent le curseur vers l'Asie du Sud-Est". "Je pense que nous trouverons un jour", a-t-il jugé, mais "cela pourrait prendre du temps".

 

L'accès aux données ?

Certains se sont inquiétés des difficultés d'accès aux données chinoises pour les scientifiques, alors que Pékin avait été accusé d'avoir minimisé la gravité de l'épidémie à son début à Wuhan fin 2019.

Thea Kolsen Fischer, épidémiologiste danoise de l'OMS, a précisé que l'équipe n'avait pas reçu de données chinoises brutes, mais s'était appuyée sur les analyses des scientifiques chinois. Il est fréquent que des "données agrégées" soient fournies à des étrangers, a-t-elle ajouté.

Les experts de l'OMS ont assuré avoir obtenu accès à tous les sites et les personnes qu'ils ont souhaité.

 

La thèse des surgelés ?

Pékin a plusieurs fois évoqué la thèse que le coronavirus aurait pu être importé en Chine via des aliments surgelés.

Le responsable des situations d'urgence à l'OMS, Mike Ryan, estime qu'il n'y a "pas de preuve que des aliments ou la chaîne alimentaire participent à la transmission" du Covid-19.

Mais en Chine, son équipe semble avoir accordé un certain crédit à cette thèse. 

D'après le chef de la partie chinoise de la mission, Liang Wannian, le coronavirus peut voyager sur de grandes distances à la surface de produits froids, et l'analyse d'échantillons du marché de Huanan, qui vendait des animaux sauvages et des fruits de mer surgelés, a montré une "contamination généralisée" au Covid-19.

Le chef de l'équipe de l'OMS, Peter Ben Embarek, a néanmoins prévenu qu'on ignorait pour l'instant si le coronavirus pouvait se transmettre aux humains par la chaîne du froid.

 

De Chine ou d'ailleurs ?

Pékin a demandé avec insistance à l'OMS d'enquêter sur une éventuelle origine américaine de l'épidémie. Des responsables du ministère chinois des Affaires étrangères ont évoqué des théories sur la fuite du coronavirus d'un laboratoire militaire américain. 

Pressée d'échapper aux critiques internationales, la Chine a également diffusé des études suggérant que le Covid-19 serait apparu fin 2019 en Italie et dans d'autres pays.

Mais Mme Koopmans a jugé que ces études "ne fournissent aucune preuve d'une circulation antérieure" à décembre 2019 du virus hors de Chine, ajoutant néanmoins que des experts "devraient réellement rechercher des preuves d'une circulation antérieure".

 

Et maintenant ? 

Pour Mme Koopmans, les fermes fournissant en animaux sauvages le marché Huanan de Wuhan doivent faire l'objet de recherches supplémentaires.

En plus de prélever davantage d'échantillons sur des animaux sauvages en Chine et ailleurs, M. Ben Embarek a suggéré de retester des échantillons en utilisant de "nouvelles approches" pour les analyses sanguines et de rechercher des cas antérieurs à décembre 2019 à Wuhan.

La Chine, de son côté, espère que les prochaines investigations auront lieu dans un autre pays.

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ygtygytg

Les ventes ont par ailleurs nettement augmenté de 9% à 26,6 milliards de dollars sur un an, tirées par les nouveaux médicaments, la forte demande de produits contre des troubles générés par le virus, contre l'asthme par exemple. 

Cela malgré la baisse des revenus sur d'autres produits dont la distribution aux patients été ralentie par la pandémie, notamment en oncologie, à cause de traitements repoussés pour donner la priorité à ceux contre le virus.

Le groupe a également enregistré une hausse de ses coûts notamment logistiques, ou d'équipements à cause de la pandémie.

"Les réussites dans nos médicaments en développement, l'accélération de la performance de notre entreprise et les progès du vaccin contre le Covid-19 montrent ce que nous pouvons réaliser", tandis que l'acquisition proposée d'Alexion à 39 milliards de dollars "vise à accélérer notre évolution commerciale et scientifique", a commenté Pascal Soriot, le directeur général.

AstraZeneca prévoit des ventes en hausse de 1 à 4% et un bénéfice "qui accélère" l'an prochain mais souligne que ces prévisions ne prennent pas en compte les ventes de vaccin contre le virus, pour lequel il publiera des résultats à part à compter du prochain trimestre.

"Les activités hors pandémie continuent à progresser" remarque Richard Hunter, analyste de la plateforme de courtage en ligne Interactive Investors, étant donné que les ventes et profits tirés du vaccin ne sont pas inclus dans les chiffres publiés jeudi.

AstraZeneca souligne aussi avoir initié des essais de phase 3 pour un médicament à base d'anticorps contre le Covid-19. 

 

Doutes sur le vaccin

Le sérum a valu au laboratoire d'être initialement salué par la communauté internationale, qui table sur les vaccins pour tenter de tourner la page de la pandémie, mais des retards de livraison en Europe et des doutes sur l'efficacité pour les plus de 65 ans ont créé la polémique.

Le groupe rappelle avoir reçu en décembre l'autorisation d'urgence pour commencer la distribution de son vaccin au Royaume-Uni, suivi par l'Inde, l'Argentine, le Mexique, le Maroc et l'agence européenne du médicament (EMA).

En outre, l'OMS a annoncé mercredi que le vaccin anti-Covid d'AstraZeneca pouvait être administré aux plus de 65 ans et dans les pays où circulent des variants, malgré les doutes de plusieurs pays européens notamment la France et l'Allemagne.

L'EMA a pour sa part annoncé mercredi avoir demandé à tous les développeurs de vaccins d'évaluer si leur produit est efficace contre les nouvelles mutations du coronavirus.

Malgré les assurances de l'OMS, l'Afrique du Sud s'est aussi dite prête à revendre ou échanger un million de doses d'AstraZeneca, écarté au profit de celui de Johnson & Johnson.

Pour rassurer, AstraZeneca a dit mercredi s'associer avec l'allemand IDT Biologika afin d'être capable de produire dès le deuxième trimestre davantage de vaccins pour l'Europe.

L'action prenait 1,70% en début de séance dans un marché londonien en petite hausse. 

"Pour une entreprise à l'avant-garde de la lutte contre le Covid-19 la performance de l'action d'AstraZeneca a été médiocre, avec un cours au plus bas depuis dix mois", remarque Michael Hewson, analyste de CMC Markets.

"Beaucoup de cela est dû au fait qu'AstraZeneca et son partenaire l'université d'Oxford produisent le vaccin sans en tirer de bénéfice (...) ce qui n'est pas le cas pour ses concurrents", d'autant que le groupe a reçu beaucoup de critiques "sur la distribution plus lente que prévue du vaccin dans l'Union européenne", ajoute-t-il.

A F P

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11 février 2021

Le c à lire LA CRISE SANITAIRE

les quelques infos du jour

 ghukfh

alors quoi IL FAUT LES PLAINDRE ?

pire ce ne sont pas des jeunes ils ont plus de 65 ans

n'a t -on pas insiste sur le fait  qu'il fallait éviter de partir  ?   et EUX  sont tellement plus fort que tout  qu'ils sont partis  . . .  et bien qu'on les y laisse

 

Vingt touristes originaires de Lorraine, tous positifs au coronavirus, sont bloqués au Costa Rica depuis le 25 janvier dernier.

Sept d'entre eux sont hospitalisés, les 13 autres sont confinés dans leur hôtel.

Ils étaient partis en voyage le 16 janvier dernier dans ce pays qui n'exige aucun test PCR à l'entrée de son territoire. Dans l'intervalle, une nouvelle réglementation de leur compagnie aérienne ne leur a pas permis de monter à bord de leur avion retour. Depuis, ils sont tous contaminés et n'arrivent plus rentrer.

UNE BANDE DE DÉBILES INCONSCIENTS et on doit faire quelque chose pour eux  ?  . . . mais ils ont bravé les regles  je suppose qu'ils ont crotiqué tous les rassemblements de jeunes à coté de chez eux ?????? honte à eux

C'est le deuxième voyage de groupe que Cécile Perez , responsable de l'agence Couleurs du monde, avait réussi à organiser en un an depuis la pandémie. Un groupe de 22 touristes lorrains, originaires de Metz, Thionville et Nancy, ont souscrit à un voyage organisé de 10 jours au Costa Rica, par le biais du Groupement d'action sociale de Moselle (GDAS) Orange et La Poste. Le pays d'Amérique central n'impose aucun test de dépistage du Covid à l'entrée sur son territoire. Les voyageurs sont donc partis sans avoir eu besoin de se faire dépister.

ça va être de la faute du CISTA RICA maintenant ?

Test antigénique imposé : des centaines de passagers refoulés

Pour rentrer en France, les 22 voyageurs se soumettent au test PCR. Il se révèle positif au coronavirus pour six d'entre eux. Les 16 autres se présentent à l'aéroport le 25 janvier, avec un test PCR négatif. Ils doivent faire escale aux Pays-Bas. Deux jours plus tôt, le gouvernement néerlandais a décidé d'imposer à tous les passagers voyageant par avion de fournir un test rapide (« antigénique ») négatif immédiatement avant leur départ, en plus du test PCR négatif déjà obligatoire à réaliser dans les 72 heures qui précèdent. 

Plusieurs centaines de passagers sont refoulés, dont les 16 passagers lorrains. Problème : il est impossible de réaliser un test antigénique au Costa Rica, selon leur tour-opérateur.

Le virus importé depuis la France

Les touristes lorrains retournent à leur hôtel. Deux d'entre eux seulement, toujours testés négatifs, rentrent ensuite chez eux via un vol Air France, qui n'exige qu'un test PCR. Les 14 autres voyageurs qui s'étaient présentés à l'aéroport repassent un test PCR qui se révèle cette fois positif. Ce sont désormais 20 lorrains qui sont contaminés : " D'après ce que j'ai pu comprendre à l'hôpital, c'est un virus qui est français. Ils l'ont pris avec eux et se le sont passés pendant les 12 jours de vacances ", déclare Cécile Perez, la responsable de leur agence de voyages.

Sept touristes hospitalisés

Sept des 20 touristes sont hospitalisés au Costa Rica. Leur guide costaricain l'est également. Guy Poirot, âge de 65 ans, originaire de Metz, fait partie de l'un d'entre eux. Il est hospitalisé à San José, la capitale costaricaine, et sous oxygène depuis lundi soir : " Moi ça va bien, mais j'aimerais bien que le groupe puisse rentrer. Je n'ai pas de nouvelles des six autres à l’hôpital. La plupart ont autour de 65 ans.

Parmi les sept personnes à l'hôpital , trois autres messins : Armand, âgé de 75 ans,   (autour de 65  c'est pas 75 ans si ???)  et un couple de retraités âgé d'un soixantaine d'années. Leur fils a pu les contacter : " Ma mère s'en remet, mon père est endormi dans un état stable".  Une dame de 72 ans, originaire de Pont-à-Mousson, qui vit aujourd'hui en Creuse, fait également partie des patients. 

Les autres sont confinés dans leur hôtel depuis deux semaines. Certains n'ont pas de symptômes, mais les derniers tests PCR se révèlent toujours positifs : " On ne sait pas combien de temps ça va durer, combien de temps le test va continuer d'être positif ", commente Cécile Perez, à pied d'œuvre tous les jours pour essayer de dégager ses clients de cette situation. 

CELUI QUI VA AU DANGER Y PERIRA  disait ma grand mère   ;  c'est à cause d'inconscient pareils qu'on attrape LE VIRUS 

Demande de rapatriement

Guy Poirot dit qu'il attendra le temps qu'il faudra, mais veut juste que ses co-voyageurs puissent rentrer : " Le Quai d'Orsay ne fait rien, dit-il. J'ai demandé à une attachée de presse de prévenir le maire de Thionville, le maire de Metz, le maire de Nancy, et le Président du conseil départemental de Moselle ainsi que les députés."

Qu'est ce qu'on fait si nous sommes toujours positifs au bout de 12 jours de confinement ? On tourne en rond - Christine, touriste confinée

tu n'avais qu'à rester chez toi tu y serais parfaitement bien et libre

Christine, originaire de Vandoeuvre-les-Nancy, avait réservé ce voyage de rêve il y a plus d'un an, et se mord les doigts d'être partie : " J'avais vu sur le site du ministère des Affaires étrangères qu'il était déconseillé de partir.  MAIS ELLE EST PARTIE QUAND MËME c'est pas 20/ 30ans qu'elle a c'est plus de 65 ???????? Ce que je ne comprends pas, c'est que l'agence n'a pas exigé de tests PCR au départ, parce que le Costa Rica ne l’exigeait pas. Nous, nous l'avons fait de nous-mêmes, nous étions négatifs. Je conçois qu'on a pris des risques effectivement, mais il y a une grosse responsabilité de l'agence pour nous faire partir " , explique-t-elle.   c'est toujours la faute des autres TOUJOURS  

L'agence de voyages indique s'être conformée aux recommandations du ministère des Affaires étrangères, qui n'interdisait pas le départ vers cette destination : " Le Costa Rica est une destination ouverte depuis le mois de novembre, ce sont donc des conditions d'annulation classiques qui s'appliquent, précise Cécile Perez, de Couleurs du Monde, mais le responsable du groupe aurait pu demander un report du voyage ". En cas de test positif au Covid au départ, l'assurance prise par les voyageurs aurait également pu couvrir leurs frais d'annulation.  

Christine indique avoir reçu une première réponse de la part du ministère des Affaires étrangères, qui se déclare incompétent dans le litige qui l'oppose à l'assurance du tour-opérateur.

UDFY

HJK

yuiy

tu§

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BHJGYJ

uiou dtyu

et bien oui nous sommes à 2 pas de BRAY DUNES  de DUNKERQUE

§èi

ghku

yuiy

si avec tous ces gros titre on dit encore qu'on ne savait pas ??????

tyuet

tyèi

quand j'ai vu comme sont saccagés les sentiers balisés en bois c'est une honte  . . . le monde est vraiment pourri on parle de notre environnement  d'écologie  de changement climatique  je suis POUR BIEN ÉVIDEMMENT   mais commençons tous  CHEZ SOI  et à COTE DE CHEZ SOI . . .

MOI JE VIENS DE DÉNONCER   mon voisinage vous le savez  j'ai posté ds photos  . ..  il vont recevoir  la visite de la police et l'obligation de dégager : je reçois le courrier communal à l'instant

HJK

gilui

tyu'§ gyjkry

allez voir  cette vidéo  : c'est de la folie est ce le COVID  ou LA PANDÉMIE  ou les restrictions   je ne sais mais des grands malades mentaux y en a plus dehors que dedans

c'est de la daube

BIEN FAIT POUR ELLE   . . . c'est de la DAUBE copy/ collé avec les USA  et cette femme est une teigne  . . .vraiment une teigne mal élevée  . . . aucune éducation

je l'ai entendue en interview  quand je pense qu'elle tape sur son oncle mais qu'avant elle savait mais  n'avait jamais rien dit ?????

 

a lire

ICI ON NE PARLE PAS DE VACANCIERS

MAIS D'EXPATRIÉS DE PLUSIEURS PAYS D'EUROPE A  wuang

GFTY

Nicolas Cuvelier faisait partie des passagers.

HJIL HUK

HUKFY

JE N'OSE IMAGINER L'ÉTAT D'ESPRIT DE CES RAPPATTRIÉS

Ce Belge avait décidé de quitter Wuhan le jour où les supermarchés ont annoncé leur fermeture, signe que le confinement de la ville devenait désormais total : "On voyait vraiment tout qui se fermait progressivement. On nous a dit que la nourriture allait être livrée par l'armée. C'est à ce moment-là que moi, j'ai décidé de partir". 

Dans l'avion, Nicolas a dû monter au second niveau, celui des asymptomatiques, parce qu'il avait des maux de tête. L'ambiance y était assez tendue : "Certaines personnes s'énervaient notamment parce qu'elles avaient peur de ceux qui semblaient malades. Je me rappelle qu'il y avait un Portugais assis à côté de moi. Il se lavait les mains à l'alcool toutes les cinq minutes. Dès que quelqu'un éternuait, il sursautait. C'était stressant."

Johan Smets et son épouse faisaient eux aussi partie du voyage. Johan avait rejoint sa femme qui était partie plus tôt que lui à Wuhan pour y fêter le Nouvel An chinois. "Il y avait du stress mais j'étais aussi soulagé de partir et de pouvoir rentrer chez moi. Si je refusais ce rapatriement, on m'a dit que je risquais d'être bloqué là-bas pendant des semaines, voire des mois". 

Atterrissage à Istres

L'avion atterrit à l'aéroport militaire de Istres aux alentours de 15h. "Les français nous y attendaient pour faire un premier tri des malades et un check-up des analyses qui avaient été faites en amont à l'aéroport de Wuhan. Ils ont vérifié s'il y avait vraiment des cas graves ou pas".

Parmi les Belges, certains présentent des symptômes équivalant à ceux d'un rhume. Rien d'alarmant donc.

Les 9 Belges devront attendre le début de soirée pour prendre un deuxième avion en direction de l'aéroport de Melsbroek en Belgique.

A son bord, se trouvaient également des Danois, des Tchèques ou encore des Hollandais pour qui Melsbroek n'est donc pas la destination finale mais une transition de plus pour leur pays, qu'ils rejoindront via un autre vol ou par autocar. 

Arrivée des Belges à Melsbroek : "La bascule, elle s'est faite ici"

A 21h, l'avion atterrit à l'aéroport de Melsbroek qui a dû aménager ses infrastructures en très peu de temps pour pouvoir prendre en charge ces personnes rapatriées et potentiellement infectées par le virus. "C'était une course contre la montre", explique le commandant Benoît Meurice, directeur adjoint de l'aéroport. Nous avons eu royalement trois jours pour tout installer. On a modifié l'infrastructure pour avoir une zone d'accueil de ces passagers dans le hall d'entrée de l'aéroport et trois tentes dans notre zone cargo initiale pour assurer un support psychosocial si nécessaire". 

L'arrivée des Belges a profondément marqué les équipes de l'aéroport.

Pour le commandant Benoît Meurice : "C’est là qu’on s’est rendu compte qu’on est dedans. La machine est lancée. La bascule, elle s’est faite ici, à l'aéroport. Ça, c’est une chose que, personnellement, je retiendrai. A partir du moment où le premier vol estampillé Covid a eu lieu, c’était switch dans un nouveau monde. Tout a changé après".

C'est d'ailleurs à partir de cet instant que l'adjudante Chantal Limbourg, hôtesse d'accueil au checking, également présente ce jour-là, a décidé de commencer à s'isoler de ses proches; bien avant que notre gouvernement ne tire la sonnette d'alarme : "Après ce rapatriement, je me suis auto-confinée. Je trouvais que c'était important. J'ai envoyé un message à mes proches en disant que j'avais été en contact avec des gens qui revenaient de l'Asie. J'ai donc fait attention à garder mes distances au travail et à la maison". Pour elle aussi : "Il y a un avant et un après ce rapatriement".

En un an, les rapatriements de Belges depuis des zones infectées se sont multipliés à l'aéroport de Melsbroek. "On ne doit pas être loin de la quarantaine", précise Benoît Meurice.

Transfert vers l'hôpital militaire 

Après avoir notamment profité d'un repas à l'aéroport militaire, les Belges sont invités à monter dans un autocar pour rejoindre l'hôpital militaire Reine Astrid. "On était escorté par la police", explique Johan Smets. "Ils ont fait un détour pour éviter la presse".

Arrivés à l'hôpital, le personnel les accueille un par un : "On a été conduits dans notre chambre. Et là, la quarantaine a commencé". Une quarantaine minutieusement préparée elle aussi : "Tout a été mis en place pour hospitaliser ces personnes", explique le lieutenant-colonel Patrick Soentjens, chef de service des maladies infectieuses à l'hôpital militaire. "Les mesures d'hygiène étaient très strictes. On avait mis en place une unité de quarantaine et autour de cette unité, une zone de sécurité pour éviter une éventuelle propagation du virus dans l'hôpital".

Si les procédures mises en place rassurent les membres du personnel, ces derniers ont naturellement une appréhension face à un virus inconnu : "Il y avait une crainte de l'attraper et on se demandait quelles conséquences cela avait sur le corps. C'était du stress pour notre propre santé et pour celle de nos proches". 

Le lundi matin, les Belges sont soumis à une batterie de tests : "On a fait le fameux test PCR et c'était la première fois en Belgique. Les tests ont pris une journée pour être analysés", explique Patrick Soentjens. A 18h, les résultats tombent enfin. A la surprise générale, aucune des personnes semblant enrhumées n'est positive. C'est finalement un homme asymptomatique qui est diagnostiqué premier cas Covid-19 en Belgique. Suite à ce résultat, Patrick Soentjens et l'équipe médicale ont à nouveau dû agir très rapidement : "On a transféré le patient discrètement vers l'hôpital Saint-Pierre dans la soirée, pour préserver son identité".

Testés négatifs, les autres Belges peuvent quant à eux très vite sortir de leur chambre pour se balader dans la zone de quarantaine aménagée spécialement pour eux. Ordinateurs, revues et même une salle de gymnastique sont mis à leur disposition pour rendre le temps moins long. Car ce n'est que le 16 février qu'ils sortent de quarantaine.

Prise en charge du premier cas au CHU Saint-Pierre

C'est donc au CHU Saint-Pierre que le premier cas Covid-19 est admis. L'hôpital est en effet le centre de référence belge des maladies infectieuses telles qu'Ebola ou la tuberculose. Philip Soubry passera près de deux semaines dans une des 30 chambres à pression négative de l'hôpital et sera soumis à une série de tests. Malgré lui, il a permis à la Belgique de mieux comprendre cette maladie : "L'hospitalisation a été plutôt surréaliste puisqu'il était asymptomatique. Donc c'était compliqué pour lui. C'était lourd de rester enfermé. On avait décidé qu'on le laisserait sortir s'il avait deux tests PCR négatifs consécutifs". Mais à chaque fois que Philip Soubry obtient un test négatif et qu'il pense pouvoir bientôt sortir, le test suivant s'avère positif et détruit ses espoirs de sortie. "A l'époque, on connaissait moins bien les choses et donc on lui demandait énormément de contribution à la sciences. On le faisait cracher aussi, on lui faisait des examens des selles et d'urine tous les jours".

Philip Soubry pourra enfin sortir de quarantaine après deux tests PCR négatifs consécutifs le 15 février. Considéré comme guéri, il n'aura eu aucun symtôme du début à la fin de la maladie. Contacté par téléphone, Philip Soubry nous a expliqué être rentré rapidement à Wuhan où il habite avec son épouse et où il tente d'oublier cette mésaventure. 

Mais au soulagement de Philip Soubry et des Belges rapatriés de l'hôpital se mêlent déjà l'inquiétude du personnel soignant face à l'arrivée attendue d'autres cas Covid-19. "On était déjà en train de constituer des stocks d'urgence de masques, de protections", explique le directeur du CHU Saint-Pierre, Philip Leroy. "On améliorait nos protocoles d'habillage du personnel soignant et de prise en charge des patients de ce type. Donc pour nous, c'était la très grande effervescence. Il y avait une espèce de dichotomie entre l'attention médiatique sur ce patient en particulier alors que nous, on était complétement tourné vers l'avenir, vers la préparation d'une crise qu'on pressentait". Même s'ils se doutent à cet instant que d'autres personnes infectées seraient hospitalisées, les membres du personnel de l'hôpital comme Michèle Bernard, hygiéniste, était loin de s'imaginer l'ampleur qu'allait prendre cette crise. "Quand le premier patient a été accueilli ici, on ne s’attendait pas à ce qu’un an plus tard, il y ait toujours deux unités remplies de patients Covid et que les équipements de protection fassent encore partie de notre quotidien, en particulier le masque qu'on ne quitte que quand on va dormir". 

Un sentiment partagé par Dany Roemers, infirmier au CHU Saint-Pierre : "On ne s'attendait pas à ce tsunami. Cela a été très difficile. L'exemple est peut-être fort mais personnellement, je l'ai vécu comme une guerre".

 

tout viendrait de produits congelés venant d'ailleurs que de chine ??????? en attendant on est bel et bien dans le caca ET POUR TRES LONGTEMPS ENCORE  

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