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el lefébien

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je CRITIQUE et vous EXPLIQUE les images de déco, je DÉCORE, je DÉVOILE ma MAISON mon JARDIN, je COMMENTE les INFOS du jour les films et les séries en fait je PAPOTE comme devant un apéro ou un café . . . Il arrive aussi que je TRICOTE et que je CROCHÈTE
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7 janvier 2022

Le c à lire la crise sanitaire

recapitulation

oui je le sais ça vous  "emmerde"   de lire

" yr"

mais  c'est bien de le savoir et peut- etre de s'en souvenir

pour la suite des événements

o 1

A comme Afrique du Sud

Le variant Omicron ou variant B.1.1.529 du coronavirus a été signalé le 24 novembre en Afrique du Sud et depuis lors, il est présent dans près de 130 pays, dont la Belgique.

L’Organisation Mondiale de la Santé a classé ce variant comme préoccupant le 26 novembre.

Dans cette catégorie, on retrouve 5 types de variants associés à une augmentation de la transmissibilité ou à l’évolution préjudiciable de l’épidémiologie du Covid-19, à une augmentation de la virulence ou une modification du tableau clinique, ou encore à une diminution de l’efficacité des mesures de santé publiques et sociales ou des outils de diagnostic, des vaccins et des traitements disponibles.

L’Afrique du Sud est, avec le Botswana, le premier pays à avoir rapporté et rendu public le variant Omicron, mais cela ne signifie pas pour autant que la souche ait émergé dans ces pays-là. (????)  Les autorités sanitaires néerlandaises ont d’ailleurs déclaré que le variant Omicron circulait aux Pays-Bas avant que l’Afrique du Sud ne le signale pour la première fois.

B comme Belgique

En Belgique, le variant Omicron a été détecté pour la première fois le 24 novembre 2021. Il est devenu le variant dominant, à peine un mois après la détection du premier cas. Ce remplacement du variant Delta s’est produit extrêmement rapidement, comme l’a constaté le laboratoire de référence de la KU Leuven et de l’UZ Leuven, qui séquence le génome.

Durant la semaine du 27 décembre, ce variant Omicron représentait 69% des souches analysées.

Le laboratoire suit ces variants sur une base journalière. Un indice permet de détecter dès le test PCR qu’il s’agit d’Omicron : ce variant présente ce qu’on appelle une "délétion" sur le gène S, qu’on appelle en anglais "S gene target failure", ou en abrégé SGTF, qui se remarque au test PCR. Le 3 janvier, ce signal était présent sur 83 à 90% des échantillons positifs analysés par les 8 laboratoires de la plateforme fédérale.

C comme contagiosité

Omicron a une transmissibilité accrue, par rapport à Delta, mais dont il est difficile de trouver une évaluation chiffrée. Dans tous les pays où il est devenu dominant et notamment aux Etats-Unis, la croissance des cas est presque verticale, comme l’a déclaré le Dr Anthony Fauci, principal conseiller de la Maison Blanche sur la crise sanitaire.

En Belgique, les projections de la KU Leuven font part d’une croissance attendue d’Omicron vertigineuse, au niveau des contaminations, en janvier. Le record des cas détectés a d’ailleurs été franchi lundi dernier : plus de 27.000 cas positifs, du jamais vu depuis deux ans. Une croissance vertigineuse non suivie de façon parallèle, pour l’instant, par les hospitalisations et les occupations en soins intensifs (autour de 500 unités). La cinquième vague a bel et bien commencé, comme l’a déclaré à la conférence de presse de ce jeudi Steven Van Gucht, membre du groupe d’experts du GEMS, qui conseille le Comité de concertation. Le pic est estimé à la mi-janvier, dans une fourchette estimée entre 30 et 125.000 contaminations par jour.

 

D comme "dernière vague" ou pas ?

En France, le ministre de la Santé Olivier Véran a estimé que "cette 5e vague sera peut-être la dernière". Optimisme exagéré ? Les scientifiques invitent à la prudence. Pour l’instant, tout est dans le "peut-être" et dans l’hypothèse d’un variant moins virulent, mais plus transmissible, qui ferait du SARS-CoV-2 un virus endémique, qui vivote dans une population suffisamment immunisée par la vaccination et l’infection. Les études menées en Afrique du Sud et au Royaume-Uni semblent à ce sujet encourageantes, mais comportent des limites et les situations ne sont pas transposables d’un pays à l’autre.

E comme efficacité vaccinale

Le variant Omicron présente un échappement immunitaire. Des chercheurs de la KU Leuven et de l’institut Pasteur ont montré, dans une étude parue sur un site de prépublication, que 5 mois après deux doses de vaccin Pfizer ou AstraZeneca, les anticorps présents dans le sang ne sont plus capables de neutraliser Omicron. De même, 6 à 12 mois après les symptômes d’une infection antérieure, Omicron échappe également à une réponse neutralisante. La plupart des anticorps monoclonaux thérapeutiques perdent aussi de leur efficacité contre Omicron. En revanche, une dose de booster après une vaccination complète permet de récupérer une activité neutralisante efficace, la question est "pour combien de temps ?".

F comme "fin" de la pandémie ?

C’est l’espoir formulé par certains scientifiques. Au Danemark, Tyra Grove Krause, épidémiologiste en chef de l’Institut National du sérum, estime ainsi qu'"Omicron amène la fin de la pandémie".

Cependant, d’autres experts estiment qu’il s’agit d’un excès d’optimisme. Interrogé par France 24, Samuel Alizon, chercheur au CNRS et spécialiste des maladies infectieuses, estime qu'"avec cinq variants préoccupants en 2021, il semble excessivement optimiste de penser qu’il n’y aura aucun nouveau en 2022". Un avis que rejoint notre expert maison, Yves Coppieters, professeur de santé publique à l’Université libre de Bruxelles, en raison de l’inégalité vaccinale qui permet au virus de continuer à circuler dans des pays sous-vaccinés, et qui favorise l’apparition de nouveaux variants.

G comme génome

D’après la Société Française de Microbiologie, les caractéristiques génomiques d’Omicron suggèrent qu’il évoluait depuis longtemps (2020) à partir d’autres lignées du virus SARS-CoV-2, difficiles à définir exactement, sans avoir été détecté auparavant.

L’une des hypothèses envisagées pour son émergence est celle de l’incubation chez une personne immunodéprimée, une personne dont le système immunitaire a été affaibli, par exemple à la suite d’une infection par le virus du sida non traitée. Le virus s’attarderait à l’intérieur de la personne, mois après moi, sans la tuer, mais en se reproduisant de façon continue. Richard Lessells, spécialiste des maladies infectieuses à l’Université du KwaZulu-Natal à Durban, en Afrique du Sud, qui fait partie de l’équipe qui a identifié Omicron, a pu tester cette hypothèse en analysant des échantillons de coronavirus prélevés sur une période de 6 mois sur une femme séropositive.

H comme hospitalisations

D’après l’institut Pasteur, qui a réalisé un modèle mathématique sur l’impact et le contrôle de la pandémie en France cet hiver, le variant Omicron "apparaît nettement plus transmissible que le variant delta mais sa sévérité intrinsèque semble réduite".

Il est cependant pour l’instant difficile d’évaluer avec précision cette sévérité. L’institut souligne que les données sud-africaines et écossaises suggèrent une réduction de 80 à 80% du risque d’hospitalisation pour Omicron par rapport à Delta, et les données anglaises, une réduction de 50 à 70%. Cependant, il est difficile de savoir si cette réduction du risque est liée à la moindre sévérité du variant Omicron, par nature, ou bien au fait qu’Omicron, capable d’échappement immunitaire, infecte plus souvent des personnes infectées ou vaccinées et donc à moindre risque de formes graves.

Les hospitalisations Covid en Belgique ont cependant recommencé à augmenter fin décembre. Les autorités sanitaires belges estiment qu’elles vont continuer à monter jusqu’à fin janvier, et que l’on pourra arriver à un pic allant de 400 à plus de 1000 hospitalisations par jour. L’occupation totale pourrait varier entre 2500 et 10.000 lits occupés. Les occupations en soins intensifs dépendront de la gravité, mais le virologue Steven Van Gucht estime que nos capacités en soins intensifs devraient être suffisantes.

I comme incubation

Le temps d’incubation du variant Omicron semble plus court que celui du variant Delta. Alors que la forme originale du virus mettait généralement 5 à 6 jours pour faire apparaître des symptômes, une fois fixée dans nos cellules, le variant Omicron pourrait produire ses effets plus vite : en moyenne 3 jours, d’après de nouvelles données publiées récemment par le CDC américain (Centers for Disease Control and Prevention).

J comme jeunes

Aux Etats-Unis, les hospitalisations des moins de 18 ans ont atteint un pic record, depuis le variant Omicron. A la toute fin de décembre, en une semaine, elles ont représenté une augmentation de 66% par rapport à la semaine précédente, d’après les chiffres des CDC. Cette tendance à la hausse des hospitalisations pédiatriques pourrait s’expliquer mécaniquement par le fait que les taux de vaccination sont bien plus bas chez les plus jeunes. On ne peut pas, pour l’instant, affirmer que la hausse des hospitalisations pédiatriques s’explique par le fait qu’Omicron soit plus grave que Delta chez les enfants. Une surveillance est néanmoins mise en place chez nous au niveau pédiatrique.

K comme Kiadi ?

Omicron a cette faculté de délier les langues et de favoriser le sens du don de l’expertise, tant chez ceux qui le sont vraiment, que chez ceux qui rêvent de l’être. Par ailleurs, puisque c’est un variant qui se dévoile jour après jour, il fait naître l’espoir d’un "après", d’un virus qui change la donne de la pandémie. Cependant, personne n’est sûr encore de ce qui va se passer maintenant.

Ceci entraîne, de la part de nos experts, des paroles parfois contradictoires, entre "nous espérons que" et "il est avéré que". Le virologue Marc Van Ranst oscille par exemple sur Twitter entre un Omicron peu dangereux et un Omicron qui va surcharger la première ligne. L’un n’empêche pas l’autre, il est vrai, et il a raison, mais la perception est brouillée. Ce n’est cependant pas spécifique à Omicron, mais typique de cette phase de la pandémie.

L comme laboratoire

Les tests PCR contre Omicron sont-ils moins efficaces ? Et quid des tests antigéniques rapides ? A propos de ces derniers, tout d’abord, la FDA, l’administration américaine de la santé, avertit à leur sujet, dans un rapport publié le 28 décembre dernier :"Les premières données suggèrent que les tests antigéniques détectent le variant omicron mais peuvent avoir une sensibilité réduite". Cela signifie que ces tests, en fonction de leur sensibilité, peuvent présenter des risques plus ou moins élevés de faux négatifs. Ils sont de toute façon, quel que soit le variant, déjà moins sensibles que les tests PCR, mais cette baisse de sensibilité serait accrue avec Omicron.

Le virologue Marc Van Ranst conseille aux personnes qui souhaitent réaliser un autotest de s’introduire l’écouvillon, non pas dans le nez, mais dans la gorge, pour améliorer la fiabilité

M comme mutations

Le variant Omicron présente 62 mutations dans son génome, par rapport à la souche originelle de Wuhan. Parmi elles, 11 n’ont pratiquement jamais été observées jusqu’à son apparition. Et le plus important, c’est que trois quarts de ces mutations affectent des protéines structurelles, dont plus de 50% (une trentaine de mutations) concernent la protéine Spike, la clé d’entrée du virus dans nos cellules. De nombreuses mutations présentes sur cette protéine augmentent son affinité avec la "serrure" d’entrée dans nos cellules, le récepteur ACE2.

N comme anticorps neutralisants

Lorsqu’on parle d’anticorps contre le virus, on vise généralement les anticorps dits "neutralisants", capable de le neutraliser. En ce qui concerne le variant Omicron, les chercheurs de l’Institut Pasteur et du Vaccine Research Institute, en collaboration notamment avec la KU Leuven, ont montré qu’Omicron est beaucoup moins sensible aux anticorps neutralisants que le variant Delta. Il est donc, comme l’explique l’Institut Pasteur, "particulièrement peu sensible aux anticorps anti-SARS-CoV-2 actuellement utilisés comme outil thérapeutique ou obtenus après deux doses de vaccin. Par contre, une 3e dose de rappel avec un vaccin à ARNm, ou l’injection d’une dose chez des personnes préalablement infectées, augmente fortement les taux d’anticorps à un niveau suffisant pour neutraliser Omicron".

Le virologue belge Steven Van Gucht et l’Institut de santé publique Sciensano évaluent la protection après le booster à 60-70%, et le risque d’être contaminé, divisé par trois. Mais après 10 semaines, cette protection tombe à 40%. La dose supplémentaire place la protection contre la maladie grave à 88%.

O comme OMS

C’est l’Organisation Mondiale de la Santé qui définit si un variant est préoccupant, d’intérêt ou à suivre. Elle a classé Omicron comme variant préoccupant le 26 novembre dernier. Sa vision récente n’est pas qu’après Omicron, ce sera le calme.

Ce mardi, elle a averti que la multiplication des cas d’Omicron dans le monde pourrait, selon elle, accroître le risque d’apparition d’un nouveau variant plus dangereux du Covid-19.

A contrario de la perception d’un risque amoindri par un variant moins pathogène, Catherine Smallwood, responsable des situations d’urgence à l’OMS, a indiqué à l’AFP que la montée en flèche des taux d’infection pourrait avoir l’effet inverse.

P comme protéine Spike

Les scientifiques italiens de Bambino Gesu ont mis en évidence la structure en 3D de la protéine Spike d’Omicron, comparée à celle du variant Delta. C’est la protéine qui est la clé qui entre dans la serrure de nos cellules. Avec Omicron, elle ressemble à passe-partout. Sur la représentation graphique, les points rouges montrent une très forte variabilité par rapport à la souche précédente ; les points bleus, une très faible.

Une récente étude de Glasgow réalisée in vitro suggère aussi qu’Omicron entre dans les cellules par une autre voie que tous les SARS-CoV-2 connus à ce jour. Comme l’explique le virologue Benoît Muylkens, "il emprunte un chemin que d’autres coronavirus utilisent. Son enveloppe virale ne fusionne pas (ou beaucoup moins bien) avec la membrane cellulaire en surface de la cellule, mais après que le virus a été internalisé dans une petite vésicule à l’intérieur de la cellule. On parle d’une fusion membranaire suivant l’endocytose de la particule virale."

Q comme quarantaine

Y a-t-il des raisons scientifiques de modifier la durée de la quarantaine à l’égard du variant Omicron ? A ce stade, non. La décision modifiant les règles de testing et de quarantaine en Belgique est politique et découle d’une anticipation de la dynamique qui va submerger les centres et le monde économique, tant le nombre de cas positifs va augmenter. Le laboratoire de référence de la KU Leuven estime d’ailleurs qu’il s’agit à ce stade d’une décision "hasardeuse". "Nous n’avons pas d’arguments scientifiques à ce stade pour soutenir la suppression ou la réduction de la durée de la quarantaine parmi les personnes vaccinées", précise son dernier rapport (page 8).

Cependant, 20% des contacts vaccinés à haut risque sont positifs, d’après Sciensano. Les personnes vaccinées ayant un contact à haut risque en Belgique sont donc incitées à porter un masque FFP2.

R comme réinfection

Omicron présente un risque accru de réinfection des personnes guéries de la maladie ou vaccinées. D’après ce rapport de l’Imperial College de Londres, le risque de réinfection avec le variant Omicron est 5,4 fois supérieur à celui du variant Delta. Cela implique que la protection contre la réinfection par Omicron offerte par une infection passée peut être aussi basse que 19%.

Mais ce qui est positif, c’est que les anticorps dirigés contre Omicron sont efficaces contre les variants antérieurs, au cas où une personne serait recontaminée par une autre souche existante.

S comme sévérité

Comment évaluer la sévérité d’Omicron ? En observant l’évolution des hospitalisations, des admissions en soins intensifs, la proportion de patients en insuffisance respiratoire aiguë, ayant besoin d’une oxygénothérapie, placés sous ventilation mécanique et l’évolution des décès.

Une analyse statistique sud-africaine dirigée par des épidémiologistes du National Institute for Communicable Diseases (NICD) de Johannesburg a comparé la sévérité clinique des patients admis au cours des quatre premières semaines de la vague Omicron, avec celle des patients admis lors de deux vagues précédentes (variants Beta et Delta) : les cas hospitalisés pour le variant Omicron ont été moins sévères. Ils présentaient un risque trois fois moindre de présenter une forme sévère, que ceux admis lors de la 3e vague Delta.

Une deuxième étude sud-africaine publiée dans la revue américaine JAMA montre une tendance similaire. Le taux d’admission aux urgences des patients porteurs d’Omicron a été plus faible que lors des vagues précédentes, la proportion de patients en insuffisance respiratoire aiguë était plus faible, et celle de patients ayant besoin d’une oxygénothérapie a diminué.

Au Royaume-Uni, où la pyramide des âges et le taux de vaccination sont plus proches des nôtres, les données publiées fin décembre par l’Agence britannique de sécurité sanitaire (UKHSA) indiquent que le risque d’être hospitalisé avec Omicron est environ le tiers de celui avec Delta.

Aux Etats-Unis, une étude rétrospective a conclu que les risques de visite aux urgences, d’hospitalisation, d’admission aux soins intensifs et de ventilation mécanique étaient (à 3 jours) systématiquement réduits de plus de moitié par rapport à ceux observés dans la cohorte de patients infectés par le variant Delta.

Face à ces études, il faut rester vigilants, car elles comportent des limites, et observer également ce qu’il se passe dans la vie réelle, dans des pays comparables au nôtre, après une période significative.

T comme transmissibilité

Le variant Omicron s’est répandu de façon très rapide dans les pays où il est apparu. Cela peut suggérer qu’il est plus transmissible que d’autres variants. Cependant, il est difficile de savoir si c’est bien une caractéristique intrinsèque du virus ou un effet lié à d’autres paramètres, comme un temps d’incubation plus court, un échappement immunitaire.

U comme vaccin "universel"

C’est l’espoir de demain : mettre au point des vaccins efficaces contre les variants actuels et futurs du SARS-CoV-2, voire étendus à tous les coronavirus humains. Plusieurs techniques sont à l’étude pour trouver un vaccin "pancoronaviral" chez l’homme, comme celles autour d’anticorps largement neutralisants, ou d’ARNm codant pour une protéine Spike multiplexe chimérique (composée de segments multiples issus de protéines Spike de divers bêtacoronavirus de l’homme et des chauves-souris).

V comme virulence

Qu’est-ce qui pourrait expliquer la moindre sévérité du variant Omicron ? Des travaux expérimentaux menés récemment par une équipe de la Faculté de médecine LKS de l’Université de Hong Kong sur des hamsters et des souris indiquent que ce variant pourrait être devenu spécialisé dans l’infection des voies respiratoires supérieures, et non dans les poumons humains, dans lesquels il semble se multiplier plus lentement que le variant Delta. Ce serait une explication supplémentaire à son échappement immunitaire, puisque les anticorps des muqueuses sont très peu impliqués dans la vaccination, et à sa plus grande contagiosité.

Le virologue belge Steven Van Gucht a déclaré à la conférence de presse du premier Comité de concertation de cette année 2022 qu’Omicron était "beaucoup plus clément" et présentait 50 à 75% moins de risque de développer une forme grave.

X comme Xi

Une lettre de l’alphabet grec qui ne sera pas attribuée à un variant. Comme le "Nu", qui ressemble trop à "new" en anglais. "Xi" est un nom de famille chinois et il se trouve que c’est le patronyme du président Xi Jinping.

L’OMS a publié des recommandations, dès 2015, indiquant que "les termes à éviter dans les noms de maladies sont les lieux géographiques (par exemple, syndrome respiratoire du Moyen-Orient, grippe espagnole, fièvre de la vallée du Rift), les noms de personnes (par exemple, maladie de Creutzfeldt-Jakob, maladie de Chagas), les espèces animales ou les aliments (par exemple, grippe porcine, grippe du poulet, orthopoxvirose simienne), les termes renvoyant à des aspects culturels ou désignant des populations, des secteurs d’activité ou des métiers (par exemple, celui de légionnaire) et ceux susceptibles de susciter des peurs inutiles (inconnu, fatal, épidémique)".

Y comme Yves Van Lathem

Le porte-parole interfédéral belge à la lutte contre le Covid-19 s’est le premier avancé en Belgique sur l’espoir d’un Omicron rikiki en hospitalisations mais costaud en contaminations. Avant même la dinde et le fromage, à l’heure des pantoufles devant la cheminée, il se lançait : "Ce serait notre meilleure arme écologique et biologique contre le variant actuel, le Delta. Le nouveau serait en effet moins virulent, ce qui permettrait d’avoir une protection croisée", disait-il à nos confrères de la Dernière Heure. "Si on peut renverser le Delta de la sorte, ce serait un cadeau inespéré, un très beau cadeau de Saint-Nicolas."

Précipité ou visionnaire ? Les hôpitaux belges seront les premiers évaluateurs.

Z comme zinc

Bien qu’il soit un oligoélément essentiel, réputé pour ses propriétés anti-inflammatoires, antioxydantes et de renforcement de l’immunité, le zinc n’est pas plus efficace de façon préventive ou curative contre le variant Omicron que contre les autres variants du coronavirus.

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7 janvier 2022

Le c à lire c'est surtout à voir

c'était hier sur

ARTE 

(et je dis  vive arte)

et je vous assure que c'est une excellente mini série française

LES HAUTES HERBES

excellent

tuet

 

mais quand je lis les critiquent : je ne les comprends pas

sans doute  que les TUCHES  et les bronzes sont des chefs d'oeuvres

moi en tous cas j'étais dedans  vers le fin j'ai même émis un cri : non mais ?????

7 janvier 2022

Le c à lire la crise sanitaire

LES QUELQUES INFOS DU JOUR AU LONG DE LA JOURNÉE

 JE me demande parfois s'ils ne s'amusent pas à nous faire peur 

 PLUS LES JOURS PASSENT  -  2 ANS MAINTENANT  -   ET PIRE C EST

 

 

les soignants (infirmières surtout)  ne veulent  plus soigner les gens qui ne sont pas vaccinés

 

?

mais ces gens sont abjectes

ces gens font du chantage ?  

ça les amuse ? 

et bien qu'ils fassent surtout très attention à ce que réserve LA VIE 

je ne parle pas pour moi  - j'ai un papier -   mais de ça on ne parle jamais  on ne parle pas de tous ceux qui ne peuvent recevoir de vaccin . . .  j'ai entendu  qu'on  doit être en France et  en Belgique réunis  700.000  . . .   je risque la paralysie  . . .  non mais  ??????   on me donne 100.000 euros cash  et bien je dis non  . . .  

TYJ

FGYUG

le FLURONA 

AH AH VOUS NE LE CONNAISSIEZ PAS CELUI Là  . . .

on va nous dire que les non vaccinés sont responsables de tout ça ? 

je sature  je sature

et je sature

SFHYZR

FGYUIRY

 

BJIOFJ

H7IDY

FTRJUS

 

XDFGUS VH7IF

DGYU

CGHJD

c'est certain  qu'avec cette satanée pandémie les gens deviennent dingues  : croyez le ou pas j'ai vu des  dames de mon age (3  que je connaissais avant)  perdre les pédales : elles parlent toute seules elles ne sont plus habillées normalement  à peine coiffées  . ..  sont elles lavées

il serait abjecte de se moquer ou de critiquer  : c'est d'une immense tristesse d'en arriver là  et oui ça me fait peur aussi  pourquoi donc y échapperait on  tout ça n'arrive donc qu'aux autres ? 

à quoi sert donc TOUT CET ARGENT QUE NOUS DONNONS  tous pour la recherche  . . . 5 / 10 / 15 euros  : c'est déjà ça

ou passe cet argent  chaque année   :   le televie en belgique  le teleton en France

et on ne compte pas  tout ce qui est récoltés dans tous les pays  :   les chercheurs de tous pays CHERCHENT  mais ils ne trouvent rien

ce  sont (des promesses)  des  centaines de millions  d'euros  qui sont récoltés

alors quoi ?   . . .    a part le viagra  ?  on guérit quoi depuis le temps ?

BJUIPBG BUIOPF

FTY

ben oui je le savais QUE çA FERAIT BOULE DE NEIGE  ce VANDENBROUCKE   serait capable d'enfermer les non vaccinés . . .

 

gyujdgyu

tant mieux . . .  ils vont devoir revoir leurs prix leurs regles  leurs exigences

si j'avais eu une chambre et une mini salle d'eau  en rez de chaussée  je l'aurais gardée chez moi  : a cause du CST  (covid save ticket)  ils ne reçoivent plus personne déjà que certains restent seuls  tout le temps et d'autres qui avaient  une visite tous les 50 jours n'en ont plus

ils avaient dit jusqu'au 15 janvier . . .  tu parles Charles

bon ce n'est pas le cas chez nous mais tout de même  : si elle elle veut  dès qu"'il y aura de très beaux jours je la sortirai   (je lui demande 2 x par semaine  pour la sortir bien enveloppée . . . bien couverte  mais elle ne le veut pas je dois donc rester devant la baie vitrée en essayant de la faire lire sur mes lèvres mais elle n'y arrive pas ou plutôt ça ne l' intérresse  pas elle ne fait pas l'effort)  ) 

dftru

yèirdgzr

fyu

tyjutyjit

komh

PARDON MAIS  : QUI NOUS DIT QUE NOUS NE SOMMES PAS TOUS PORTEUR ?

dftude

POUR CEUX QUI ONT une tres bonne raison  je suis d'accord  . . . pour ceux qui disent non pour dire non :  ça me crispe puisque encore une fois je suIS PRO VAX  ? 

gcfgxd

gftry

hgt

jnhjgh

 

autres infos

FGYUIR

quand on voit ce que je vois là  . . . et elle était infirmière . . . l'intérieur est aussi sale que les extérieurs

quand on pense à entretenir ce qui nous entoure (pour les autres) notre intérieur (pour notre santé)  on va bien mieux  et il arrive moins de choses pareilles

pourquoi le procureur aurait il menti ?  qu'est ce que c'est que cette histoire ?   je trouve qu'il y a d'autres sujets que parler de ces racailles chaque jour que dieu fasse

(pas la peine de m'envoyer de mail c'est bon je dis ce que je veux et surtout je n'  e****de personne moi  et je crois bien ne l'avoir jamais dit )

ghjhyj

jnhjgh

gft gftrf

DJYUT

 

jnhjgh

licensed-image Adivinhe-Quem-Vem-para-Jantar-1967-sidney-poitier

Sidney Poitier décédé aujourd'hui  à 94

je pense avoir vu 10 x  DEVINE QUI VIENT DINER  le film qui me l'a fait  connaitre  avec SPENSER TRACY et  KATARIN HEPBURN

ghvsscij8nppkom9snn69vttnwe-247

je suppose que tout le monde a vu ce film ?  sinon il faut se l'acheter

et aussi DANS LA CHALEUR DE LA NUIT

ça va vous changer des TUCHE

7 janvier 2022

la decoAnglaise CREATRICES

on continue  en ANGLETERRE  . . .

JE N'AI PAS CHOISI je vous l'assure :  J'AI noté  LES PRINCIPALES CRÉATRICES  anglaises du moment  et c'est ainsi  je suis tombée sur des choses archi CHARGÉES 

Exactement ce que toutes vous n'aimez pas  . . .  alors que souvent celles qui n'aiment pas ont un chez elle hyper chargé  - oké mais pas en papier peint ni tissus à motifs soit bizarres soit hyper chargés et colorés - mais c'est chargé  et parfois mal chargé limite  "BROL" 

commençons par une créatrice de

papier peint

juliet creatrice papier peint (1) juliet creatrice papier peint (1)

juliet creatrice papier peint (12)

juliet creatrice papier peint (3)

170401JulietTravers-399

juliet creatrice papier peint (1)

ici ce qui me plait à merveille  non pas le papier mais  sa couleur oui le lambris surtout

je ne suis pas certaine de choisir ce sol

juliet creatrice papier peint (11)

et ce sol non plus

juliet creatrice papier peint (2)

 

je suis certaine que ce papier peint n'est pas d'elle

juliet creatrice papier peint (5)

juliet creatrice papier peint (3)

c'est ce qui est très chouette à faire chez soi : papier peint oh que oui je suis  pour  à 1000% surtout dans un hall

et avec cette partie basse peinte c'est aussi super  parfait

juliet creatrice papier peint (1)

juliet creatrice papier peint (4)

juliet creatrice papier peint (4)

juliet creatrice papier peint (6)

juliet creatrice papier peint (7)

juliet creatrice papier peint (8)

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juliet creatrice papier peint (13)

32-min

juliet creatrice papier peint (14)

bon je ne vais pas me ruer  et passer mes nuits a chercher ou je peux trouver son papier puisqe ses styles ne me plaisent absolument pas mais par contre ils peuvent vous plaire à vous

1033722e918843b7d982b3a5ce8f2b35

 

Clare-Gaskin-Interiors-1

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nathalie farman

la décoratrice NATHALIE FARMAN

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gfyut

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DecoAnglaise DESIGNER NATHALIE FARMAN decors barbares (35)

1

1

j'aime trop

et le papier peint  et la couleur choisie pour peindre la cheminée  et surtout cette AUDACE  

mais   attention

ça ne peut se faire que dans de toute toute petites pièces  . . .

DecoAnglaise DESIGNER NATHALIE FARMAN decors barbares (1)

toujours avec ce lambris peint et en bois : un reve

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DecoAnglaise DESIGNER NATHALIE FARMAN decors barbares (1)

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oui j'aime  chez mes parent celle du salon ressemblait à celle là on ne s'en est JAMAIS FATIGUÉS 

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ON EST DANS CE STYLE dont je ne connaissais pas le nom 

un mélange audacieux de tous les motifs possible  ok  on aime ou pas mais on reconnait que dans une petite pièce c'est sacrément cosy

DecoAnglaise DESIGNER NATHALIE FARMAN decors barbares (10)

c'est pas ce papier que j'aurais placé au mur

DecoAnglaise DESIGNER NATHALIE FARMAN decors barbares (27)

DecoAnglaise DESIGNER NATHALIE FARMAN decors barbares (23)

DecoAnglaise DESIGNER NATHALIE FARMAN decors barbares (21) DecoAnglaise DESIGNER NATHALIE FARMAN decors barbares (27)

DecoAnglaise DESIGNER NATHALIE FARMAN decors barbares (11)

pourtant ces femmes sont  . . . jeunes  !!!!!!. . .

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DecoAnglaise DESIGNER NATHALIE FARMAN decors barbares (24)

DecoAnglaise DESIGNER NATHALIE FARMAN decors barbares (18)

gfyjt

DecoAnglaise DESIGNER NATHALIE FARMAN decors barbares (33)

DecoAnglaise DESIGNER NATHALIE FARMAN decors barbares (29)

décidément on semble revenir avec elle sur le STYLE VICTORIEN MAIS TRÈS Coloré

ici cette pièce  /   JE DOUTE QU UN JOUR ça REVIENNE

DecoAnglaise DESIGNER NATHALIE FARMAN decors barbares (26)

OUI ça j'aIME PARCE QUE C'EST CLASSIEUX

DecoAnglaise DESIGNER NATHALIE FARMAN decors barbares (17)

DecoAnglaise DESIGNER NATHALIE FARMAN decors barbares (32)

DecoAnglaise DESIGNER NATHALIE FARMAN decors barbares (22)

ON RETROUVE les chinoiseries un peu partout

je parle de décoration chic bourgeoise classieuse  pas intemporel mais très classique

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vè

je pourrais mélanger les tissus et leurs motifs  :  comme ça ?   pas du tout

image

ici c'est TERRIFIANT  de laideur  mais c'est ce que fait la décoratrice

7 janvier 2022

Les ambiances de ce 7 janvier

il recommence à neiger

il est 9 h . . . + 1,6°

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7 janvier 2022

La DecoAnglaise visite UN HOTEL

Il est  6h30 quand je me lève et que vois- je ? il neige a gros flocons il fait  +1° . . .

on visite anglais  - encore oui  - 

et ce sera un HOTEL  :  drtde

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antique-library-the-maker-hotel-new-york-nordroom

Si JE DEVAIS RETOURNER  a l’hôtel  . . . c'est ce style là que je choisirais 

je connaissais déjà  il y a de ça plus de 20 ans  les hôtels étaient déjà très personnalisés comme celui -là peut être moins sophistiqués

mais très différents d'ici

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vintage-bedroom-the-maker-hotel-hudson-new-york-nordroom

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