Le c à lire LA CRISE SANITAIRE
les quelques infos sanitaires et autres
de ce lundi 3 janvier au fil des heures
déjà première info qu'est ce que le temps passe vite : c'est incroyable
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CE QU'ON EXPLIQUE PAS DU TOUT c'est qu' (selon mon analyse) il est normal QU'il y ait AUTANT DE VACCINÉS QUI "ONT" L'OMICRON
puisqu'il y a plus de vaccinés et que le vaccin n'empêche pas de contracté le virus mais les conséquences seraient bien moindre - SOIT -
Mais BON forcément : les gens vaccinés pensent qu'ils n'y a plus de danger alors le gel le lavage des mains et les distances ILS S' EN FICHENT
on a vu les images dans les restos au nouvel an malgré la fermeture à 23 h . . . les gens ont tout fait ET SE SONT COMPORTÉS COMME EN 2019
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anvers l'un des plus grands si ce n'est le plus grand hopital COLONIAL (les maladies troopicial) au monde
en 1948 mon pere a été rapatrié là du congo belge (zaire)
En 1906, le roi Léopold II fonda l’ ‘École des Maladies tropicales’, essentiellement consacrée à la formation des médecins et des infirmiers qui se destinaient à une carrière dans l’État Indépendant du Congo (alors propriété personnelle du roi).
L’école avait pour modèle l’Institut für Schiffs-und-Tropenkrankheiten de Hambourg, et surtout les Schools of Tropical Medecine de Londres et de Liverpool, qui existaient depuis déjà 1899.
L’école était logée dans une ancienne villa bruxelloise. En 1933, entretemps passée à l’État belge, elle fusionna avec la Clinique Léopold II pour les Maladies tropicales, et déménagea à Anvers.
Elle s’appela désormais ‘Institut Prince Léopold pour la Médecine tropicale’, ou simplement ‘Institut de Médecine tropicale’. Elle consistait surtout en un institut de formation pour les personnes qui partaient vers les tropiques (principalement les agents sanitaires), ainsi qu’en un hôpital pour ceux qui en revenaient. La plupart des professeurs étaient des coloniaux à la retraite.
Après la décolonisation en 1960, cet institut devint un institution de pointe au sein du système de l’enseignement supérieur belge.
En 1964, le curriculum s’élargit à des cours de médecine vétérinaire tropicale.
En 1969, un Master of Public Health vit le jour. Le public étudiant se recrutait toujours davantage à l’international, et le personnel allait aussi donner des cours dans des pays en voie de développement.
Dans les années 70, les activités de recherche s’élargirent considérablement, et l’institut se consacra bien davantage à la recherche dans les pays en voie de développement. Il en découlait naturellement un soutien médical et une collaboration avec les chercheurs, instituts et autorités locales. Le champ des recherches dépassa le traitement ou la prévention des maladies ; l’épidémiologie et l’organisation de systèmes de soins de santé gagnèrent en importance. En effet, les maladies n’ont pas qu’un aspect biologique : des facteurs socioéconomiques jouent aussi un rôle.
En 1988, le Ministère belge de l’Éducation publique fut fédéralisé. L’Institut de Médecine tropicale dépendant de ce ministère pour l’essentiel de son financement, il fut intégré au paysage académique flamand, sans équivalent francophone. Dans les années 80 apparut une Maîtrise en Sciences Biomédicales Tropicales, internationale, transformée en 1998 en un Master in Disease Control.
En 1993, l’IMT adapta ses statuts, lesquels remontaient encore à la période coloniale. Sa position interuniversitaire fut confirmée par l’entrée de représentants de toutes les universités flamandes au sein du Conseil d’Administration. Ce conseil coopte trois membres au sein du conseil scientifique consultatif international. En vertu d’un gentlemen’s agreement, il s’agit de représentants des universités belges francophones.
En 1996, l’Institut établit des accords de coopération avec les universités flamandes, notamment en matière d’enseignement, de recherche et de formation doctorale.
En 1999, les autorités publiques flamandes reconnurent l’Institut comme "Instelling van Openbaar Nut voor Postinitieel Onderwijs, Wetenschappelijk Onderzoek en Dienstverlening". En contrepartie du financement structurel, l’IMT s’applique à délivrer des plans de gestion clairs, une offre fixe d’enseignement, l’organisation et le respect de contrôles qualité externes, et la coopération avec les autres universités et les instituts internationaux. En échange de ces efforts, l’Institut reçut un campus supplémentaire. À la même époque, les vétérinaires recevaient eux aussi leur propre campus.
Depuis 1998, l’Institut de Médecine tropicale s’est engagé dans plusieurs accords-cadres avec la Direction générale Coopération au développement. La Direction subsidie de nombreux projets de recherche. La subvention par projet, les recettes propres et le mécénat représentent la majeure partie du financement. En 2007, l’Institut a conclu un accord avec l’administration de la Politique scientifique, grâce auquel l’institut peut faire appel à des bourses de recherche.
Pour la plus grande partie de son histoire, l’IMT fut reconnu internationalement comme centre of excellence
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autres INFOS
ce fut une mauvaise fin de soirée et une mauvaise nuit ici aussi . . . . par contre l'agence belga et ses photos ? je ne vois pas de clocher comme celui- là en wallonnie mais je peux me tromper je sais c'est un détail POUR QUI lit l'info . . . pas pour moi . . . le plus souvent les journalistes utilisent des photos des autres années et d'ailleurs
pffffffffffff on se souvient des épisodes horriblement tempetueux de décembre1999 . . .
mais aussi de 1992 (si mes souvenirs sont bons)
au journal de la rtbf
c'est aux infos de 19h30 qu'on nous annonce que des autos-pompes sont mises en place à SAINT MARD parce que des pluies torrentielles sont attendues vers les 4h du matin
on se souvient en juillet des inondations terrifiantes dans la province de liege et de namur qui furent MORTELLES et catastrophiques . . . mais aussi des montées d'eau ici à SAINT- MARD comme par exemple 30 cm dans les couloirs du tout nouveau HOME LES OLIVIERS juste avant que ma mère n'y entre
premier article ça fait presqu'n an qu'on en parle . . . . .
second article : encore ????
ça c'est le pire de tout profiter de la faiblesse des gens . . .c'est une honte
quelle tristesse et pour des scientifiques c'est à n'y rien comprendre
déjà qu'on ne me dise pas que parce qu'ils sont des jumeaux ils devaient mourir en même temps
au village chez moi à MUSSY : 2 sœurs et 2 frères impossible a différencier sont décédés il n'y a pas si longtemps que ça : les jumeaux HOMMES ( dont 1 était le père de ma marraine) sont partis à 6 ou 7 ans d'intervalles . . . Les 2 sœurs , elles, à 3 ou 4 ans d'intervalles : et à plus de 90 ans tous
un autre "couple" de garçons de mon age (des ultra vrais) qui sont impossibles à différencier ont épousé des vraies JUMELLES aussi
ce qui était assez choquant quand on les voyait tous les 4 : car les filles aussi étaient 2 gouttes d'eau c'était Monique et Martine : nous nous connaissions très bien
Monique est décédée depuis 8 ou 10 ans et par chance Martine se porte à merveille et habite dans le midi (67 ans)
et chez les garçons ? 1 des 2 a des maladies très graves (tel un lupus par exemple il est en chimio pour le moment) : SA VIE EST UN CALVAIRE alors que l'autre n'est jamais malade : pas une grippe me disait- il il y a quelques mois
ICI LES FRÈRES BOGDA
pourquoi dit -on qu'ils ne prenaient jamais de médicaments ? ok les basiques . . . qu'ils ne mangeaient que des graines et très très peu (?????) ah bon comment se comporte des lors le systeme immunitaire ????? qu'ils ne buvaient jamais d'alcool (moi je les trouvais très empâtés pas gros mais tout de même )
je veux bien : mais pourquoi les infos ne sont- elles JAMAIS complètes
je veux savoir : que se sont -ils INJECTÉ DANS LEUR VISAGE (alors qu'ils hurlaient en voyant un dafalgan . . . non mais je reve ? )
est ce eux mêmes ou sont ce des médecins ?
et qu'on ne dise pas que c'est du botox : ce serait prendre les gens pour des imbéciles
donc à part ça ils ne prenaient jamais rien . . . .
donc c'est étrange qu'ils soient entrés en même temps aux soins intensifs et que leurs symptômes aient été exactement les mêmes au même moment
toutes les saloperies injectées n'y sont elles pas aussi pour quelque chose
je parle et de leur système immunitaire et les autres systèmes : je ne suis pas médecin je ne connais rien mais je n'aime pas qu'on me prenne pour une conne en nous faisant croire que . . . . .