Quelques infos du jour
on parle des vacanciers qui reviennent de ZONES ROUGES ?? Alors que la zone rouge est au pas de la porte
de MARS à JUIN : je regardais comme d'habitude C A VOUS . . . j'ai été choquée chaque soir de voir et ELISABETH LEMOINE et tous les autres : qu'ils soient chroniqueurs et invités (même les virologues les spécialistes et les médecins) VENIR SANS MASQUE à quoi ça rime alors de nous obliger à le mettre dehors ILS AVAIENT DONC UNE DÉROGATION ???? Le virus aussi avait LUI AUSSI une dérogations pour l emission ET TOUS CES GENS-Là ??????
POUR MOI LE FOOT c'est ça
je ne comprends pas ce monde : vous vous en fichez ? et si c'était vos bagnoles ???
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manque d'eau terrible chez nous
non mais on croit rêver : les autorités laissent n'importe qui ouvir n'importe quoi ça dure 6 mois et puis BASTA stop on arrete on se met en faillit et qui paie ??? Tout est fermé depuis des années . . . il n'y a plus de commerce LE COVID n'a rien a voir la- dedans RIEN DU TOUT . . .
c'est un comble
je parle de VIRTON et des années où je suis arrivée 1969 -1970 . . . il y avait pleins de boutiques c'était une merveille de petite ville ( encore des gros "restes" . . . une émulation acheteuse que les canadiens avaient laisséé les m^mes qui avaient fait vivre la ville durant quelques années ) ON TROUVAIT DE TOUT j'ai fait la liste sur un de me mes posts . . . . Même 2 magasins de décoration et 2 antiquaires c'est vous dire . . . on puvait n'avoir aucun besoin de pren,dre une vouiture pour faire des achats quoiqu'ils soient
M^me la piscine toute petite fonctionnait plein tube : aujourd'hui elle est gigantesque elle a coute une fortune et il n'y a personne
LE MONDE A CHANGE . . . ET VA A SA PERTE DEPUIS LA FIN DES ANNÉES 90 et ces soi- disant coatchs sont -ILS bien conscients de ça . . .
Et c'est au moment ou les grandes enseignent se esont installées partout dans des zone commerciales que tout est parti à vau l'eau . . . c'est fin des années 80 que tout a périclité LE COVID n'a rien à voir . . .
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Une chronique de Xavier Zeegers (1)
Les honneurs, c’est comme les groupes sanguins avec les majeurs et ses sous-groupes. Il en va de même pour l’institut de sondage Ifop qui décerne le titre frelaté de "personnage préféré des Français", soit le plus consensuel ; qui va de Line Renaud à Yves Cousteau, de l’abbé Pierre à Omar Sy.
Voici dorénavant, un étage plus bas, celui du journaliste préféré, décerné à l’inoxydable Jean-Pierre Pernaut. Son ex-confrère Bruno Masure, qui occupa sa place, le congratula à sa manière : "C’est le plus mauvais, il fait honte à notre métier !" Jalousie ou lucidité ? Il renonça à ce poste envié car jugeant imbuvable le cocktail people-spectacle-info, outré du fait que les décès de Diana et Johnny recouvrirent la… totalité du JT. Il se mit donc en retraite des paillettes, refusant tous les ponts d’or proposés pour qu’il se dédise. Et tint bon.
L’infotainment ne date pas d’hier, il y a participé, mais la dérive s’aggrave, en effet. Les seniors qui n’avaient ni la télé en couleur, ni la zapette, ni un grand choix, se souviennent de Léon Zitrone, légende du JT de 20 heures et champion de l’aplaventrisme qui atteignit le sommet de son art lors du mariage de Charles et Diana quand, lors d’une mémorable crise d’apoplexie jubilatoire, il s’écria : "Madame, merci d’être ce que vous êtes !"
Yves Mourousi, autre pitre notoire, le rejoignit dans le même collapsus trachéal à propos d’un mariage aussi barnumesque : le sien. Il fut aussitôt pastiché par Coluche et Thierry Le Luron qui s’unirent dans un hymen bouffon devenu mythique au point que ces deux couples déjantés sont confondus dans le souvenir de leur mort précoce.
La convivialité du marché de Montfort-en-Chalosse
Surgit alors presque timidement le jeune Pernaut qui eut la bonne idée de réduire la voilure tout en restant dans la facilité en se focalisant, un temps discret - qui ne dura pas - sur les charmes de la France profonde, si attirants il est vrai. TF1 vit là une mine d’or à exploiter et le futur JPP devint son Klondike, le treize heures tournant alors délibérément le dos à une véritable légende du journalisme : Albert Londres, inaccessible étoile pour qui l’honneur de sa profession est de porter la plume dans les plaies. Ce sera désormais la paille dans le pastis, proposé à ceux-qui-ne-se-cassent-pas-la-tête, celle des beaux villages, du pittoresque, le Verlaine des jours paisibles : "Mon Dieu mon Dieu, la vie est là, simple et tranquille…" Un journalisme de cartes postales. Certes, parfois Pernaut affiche une mine grave. Mais c’est parce que sa bonne ville d’Amiens a été vaguement inondée, ou que la dernière mercerie de Vic-Fezensac tenue par une nonagénaire si accorte et alerte va fermer. Mais courage : demain on évoquera les cochonnailles landaises à Castelnau-Barbarens, et ensuite la convivialité du marché de Montfort-en-Chalosse.
Avec JPP, le terroir ne ment pas. Et rapporte gros. TF1 étant privatisée, donc délivrée de la glu déontologique, peut bien miser sur ses bonimenteurs si populaires. Pernaut exhiba son bonheur tout frais lors de ses secondes noces avec Miss France 1987 - 19 ans, le veinard - ou évoqua - le bonheur est si fragile ! - son combat contre une prostate cancéreuse. Choquant ? Oui. Imaginons chez nous François de Brigode faisant de même… Impensable, pour lui en premier. Avec les chaînes débridées, on oublie trop vite que la tromperie sur la marchandise est dans leur ADN.
Ainsi Pernaut prétend "ne jamais vouloir imposer mes convictions, étant juste un homme de bon sens". Pourtant, on l’a entendu dire ;
"qu’on peut se demander pourquoi les policiers piègent et flashent en catimini pour capter un argent facile au lieu de se placer dans les lieux vraiment accidentogènes". Les gendarmes rackettent donc les braves gens au lieu de poursuivre les vrais délinquants : le bon sens même, non ? Récemment il pesta contre la gestion chaotique du Covid-19. "Cela me donne le tournis !" dit-il, soutenu par une claque complice ("Il est courageux et fait bien son boulot"), celle des Bigard, Debbouze et Hanouna, ces princes de l’esprit.
Mais ouf, il y a la pluralité des chaînes. Avec notamment la subtile et pétillante Elisabeth Quin, qui inspire le respect. Et pas seulement pour son travail. On la salue ici.
(1) : xavier.zeegers@skynet.be