quelques infos du jour
"Les avez-vous vues ? Ces lumières dans le ciel, en ligne, parfaitement droite et toutes à égales distances, survoler le pays ? Il y en a eu une bonne vingtaine", nous écrit Christel via notre bouton orange Alertez-nous. Depuis plusieurs jours, vous êtes nombreux à nous signaler la présence de points lumineux dans le ciel. Cela s'explique par le lancement de satellites par la société spatiale californienne Space X.
Sur le site Heaven Above, spécialisé en prédiction de passages de satellites, il est possible de suivre la trajectoire de ces satellites en fonction de sa géolocalisation. On découvre ainsi qu'à Bruxelles, ces 20 et 21 avril, des satellites étaient visibles entre 21h et minuit. Ce phénomène sera encore visible dans les jours qui viennent.
Jusqu'à 42.00 satellites
La société spatiale californienne SpaceX envoie ses satellites pour sa constellation Starlink de fourniture d'internet à haut débit depuis l'espace, un service destiné à couvrir en priorité les zones isolées ou mal connectées du globe.
Au total, la société fondée par Elon Musk a demandé des licences pour envoyer jusqu'à 42.000 satellites, un chiffre tout à fait hypothétique à ce stade. Si la constellation se concrétise, SpaceX aura plus de satellites en activité que l'ensemble des autres opérateurs de la planète réunis, civils et militaires, qu'on estime à environ 2.100.
on s'étonne encore et toujours que le monde ne tourne pas rond
42.000 satellites c'est juste . . . infecte
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L'hydroxychloroquine n'a pas semblé améliorer le sort de malades américains du Covid-19, selon une étude relativement grande menée a posteriori sur ce médicament administré dans le monde entier, mais dont l'efficacité reste à confirmer ou infirmer rigoureusement.L'étude préliminaire, rendue publique mardi par ses auteurs avant d'avoir été évaluée par le comité de lecture d'une revue médicale, porte sur 368 patients du réseau des hôpitaux publics pour anciens combattants américains, et qui sont soit morts, soit sortis d'hospitalisation avant le 11 avril.
Les auteurs ont analysé a posteriori les dossiers médicaux de ces patients, qu'ils ont groupés en trois ensembles afin de les comparer: ceux traités avec de l'hydroxychloroquine seule (HC); ceux qui ont eu le cocktail hydroxychloroquine-azithromycine (un antibiotique) promu notamment par le médecin français Didier Raoult; et ceux qui n'ont jamais reçu d'hydroxychloroquine.
La proportion de patients décédés était la plus forte dans le groupe hydroxychloroquine seule (28%), comparé au groupe cocktail (22%) et au groupe sans HC (11%).
Mais cette conclusion peut être trompeuse car le groupe de malades n'ayant reçu que de l'hydroxychloroquine était, au départ, plus malade et plus à risque que les deux autres groupes: il contenait plus de fumeurs et de personnes ayant du diabète ou des antécédents cardiovasculaires et pulmonaires.
Les auteurs ont corrigé statistiquement ce déséquilibre initial, et observé que "le risque accru de mortalité dans le groupe hydroxychloroquine-seule persistait".
La spécificité des patients traités doit en outre conduire à la prudence sur toute généralisation à une population entière. Les patients étudiés étaient tous des hommes, en majorité noirs, une population plus durement frappée par l'épidémie aux Etats-Unis. L'âge médian était avancé: plus de 65 ans.
L'hydroxychloroquine est l'un des traitements utilisés dans de multiples pays en urgence sur les cas graves de Covid-19, mais une controverse existe sur son impact
L'idéal, scientifiquement, consiste à réaliser un essai clinique randomisé, où des groupes de malades comparables suivraient différents traitements, de façon aléatoire.
De tels essais à grande échelle sont en cours, notamment l'essai européen Discovery, mais leurs résultats ne sont pas encore connus.
En attendant, les médecins expérimentent les molécules et traitements. Les chercheurs peuvent regarder a posteriori les résultats, mais en l'absence de protocoles harmonisés sur la durée, les doses, les moments d'intervention, le degré de sévérité des cas au départ, il est difficile de tirer des conclusions fiables.
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L'hydroxychloroquine n'a pas semblé améliorer le sort de malades américains du Covid-19, selon une étude relativement grande menée a posteriori sur ce médicament administré dans le monde entier, mais dont l'efficacité reste à confirmer ou infirmer rigoureusement.
Rédaction 21-04-20, 22:05 Dernière mise à jour: 22:49 Source: Belga
L'étude préliminaire, rendue publique mardi par ses auteurs avant d'avoir été évaluée par le comité de lecture d'une revue médicale, porte sur 368 patients du réseau des hôpitaux publics pour anciens combattants américains, et qui sont soit morts, soit sortis d'hospitalisation avant le 11 avril.
Les auteurs ont analysé a posteriori les dossiers médicaux de ces patients, qu'ils ont groupés en trois ensembles afin de les comparer: ceux traités avec de l'hydroxychloroquine seule (HC); ceux qui ont eu le cocktail hydroxychloroquine-azithromycine (un antibiotique) promu notamment par le médecin français Didier Raoult; et ceux qui n'ont jamais reçu d'hydroxychloroquine.
La proportion de patients décédés était la plus forte dans le groupe hydroxychloroquine seule (28%), comparé au groupe cocktail (22%) et au groupe sans HC (11%).
Mais cette conclusion peut être trompeuse car le groupe de malades n'ayant reçu que de l'hydroxychloroquine était, au départ, plus malade et plus à risque que les deux autres groupes: il contenait plus de fumeurs et de personnes ayant du diabète ou des antécédents cardiovasculaires et pulmonaires.
Les auteurs ont corrigé statistiquement ce déséquilibre initial, et observé que "le risque accru de mortalité dans le groupe hydroxychloroquine-seule persistait".
La spécificité des patients traités doit en outre conduire à la prudence sur toute généralisation à une population entière.
Les patients étudiés étaient tous des hommes, en majorité noirs, une population plus durement frappée par l'épidémie aux États-Unis. L'âge médian était avancé: plus de 65 ans.
Des essais à grande échelle randomisés sont en cours
L'hydroxychloroquine est l'un des traitements utilisés dans de multiples pays en urgence sur les cas graves de Covid-19, mais une controverse existe sur son impact.
L'idéal, scientifiquement, consiste à réaliser un essai clinique randomisé, où des groupes de malades comparables suivraient différents traitements, de façon aléatoire.
De tels essais à grande échelle sont en cours, notamment l'essai européen Discovery, mais leurs résultats ne sont pas encore connus.
En attendant, les médecins expérimentent les molécules et traitements. Les chercheurs peuvent regarder a posteriori les résultats, mais en l'absence de protocoles harmonisés sur la durée, les doses, les moments d'intervention, le degré de sévérité des cas au départ, il est difficile de tirer des conclusions fiables.
EN FIN DE COMPTE on TOURNE EN ROND
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Les États-Unis sont le pays le plus touché par le Covid-19, avec 44.845 morts recensés mardi par l'Université Johns Hopkins. Plus de 820.000 cas ont été diagnostiqués à travers le pays.
M. Redfield a fait remarquer que l'épidémie a atteint les États-Unis à la fin de la saison de grippe, qui met déjà chaque année à rude épreuve le système de santé américain. Si les deux maladies avaient connu leur pic au même moment, "cela aurait été vraiment, vraiment, vraiment, vraiment difficile", a affirmé le responsable.
Se faire vacciner contre la grippe avant l'hiver prochain "pourrait libérer un lit d'hôpital pour votre mère ou votre grand-mère si elle contracte le coronavirus", a-t-il dit.
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"Traîtresse": une écrivaine chinoise qui a tenu un journal de confinée à Wuhan, à l'épicentre du Covid-19, est accusée de donner du grain à moudre aux critiques de la Chine en publiant son récit à l'étranger.
Rédaction 22-04-20, 08:09 Source: AFP
Wuhanaise, elle entame un journal peu après le confinement de la métropole le 23 janvier, qu'elle publie en ligne. Achevé fin mars après 60 entrées, il raconte la peur, la colère et l'espoir des 11 millions d'habitants.
Son contenu? Récit d'hôpitaux saturés qui refusent les malades, de son quotidien de confinée, du décès de proches, de l'entraide entre habitants, ou encore du plaisir simple de voir le soleil illuminer sa chambre.
"Un ami docteur m'a dit: nous les médecins savons tous depuis un moment qu'il y a une transmission interhumaine de la maladie, nous avons rapporté ça à nos supérieurs, mais pourtant personne n'a averti les gens.”
Fang Fang, écrivaine
"Un ami docteur m'a dit: nous les médecins savons tous depuis un moment qu'il y a une transmission interhumaine de la maladie, nous avons rapporté ça à nos supérieurs, mais pourtant personne n'a averti les gens", écrit-elle au 38e jour de confinement.
Sa chronique subjective d'écrivaine, présentée comme non-journalistique, a été suivie par des millions de Chinois intéressés par un point de vue différent sur l'actualité, face à des médias très contrôlés.
Mais Fang Fang est devenue controversée.
Car son journal sera publié dans les prochains mois dans plusieurs langues étrangères, dont l'anglais, l'allemand et le français. En France, il sortira le 9 septembre chez Stock sous le titre "Wuhan, ville close".
“Traîtresse”
Principal reproche: offrir avec cette traduction un prétexte aux étrangers pour critiquer le gouvernement chinois. Notamment aux États-Unis, qui accusent Pékin de réaction tardive face à l'épidémie.
"Un média américain dit déjà vouloir se servir du livre pour demander des comptes à la Chine. Bravo Fang Fang, tu donnes aux pays occidentaux des armes pour tirer sur la Chine", ironise un internaute sur le réseau social Weibo. "Tu révèles ainsi ta nature de traîtresse", conclut-il.
"Pour combien as-tu vendu ton journal?", s'interroge un autre commentateur, qui l'accuse de s'enrichir sur les quelque 3.900 morts de Wuhan.
Présentation politisée
Autre élément qui a enflammé le web: la présentation politisée de l'ouvrage fait par son éditeur américain HarperCollins.
Saluant un récit "mélangeant l'étrange et le dystopique", il vante une écrivaine qui s'élève contre les "problèmes politiques systémiques" d'un "pays autoritaire".
La traduction du livre en pleine confrontation avec Washington "n'est pas vraiment de très bon goût", a déploré Hu Xijin, influent rédacteur en chef du tabloïd nationaliste Global Times.
"Au final, ce seront les Chinois, y compris ceux qui soutenaient Fang Fang au départ, qui devront payer le prix de sa renommée en Occident", souligne-t-il sur Weibo, s'attirant plus de 190.000 "j'aime".
“Partial”
Le Global Times évoque un récit "partial" qui "n'expose que le côté sombre de Wuhan".
Critiquée voire insultée, Fang Fang se dit victime de la "cyberviolence" de nationalistes - même si un certain nombre d'internautes lambda la critiquent également.
Conséquence: plusieurs éditeurs chinois intéressés à l'origine par la publication du texte de Fang Fang hésitent devant la polémique, affirme l'écrivaine.
"Pourquoi on ne sortirait pas ce livre? Juste parce que certains risquent de nous utiliser? (...) Si les gens lisent vraiment mon journal, ils découvriront toutes les mesures efficaces que la Chine a prises contre l'épidémie", argumente-t-elle dans une réponse publiée sur le site internet du magazine Caixin. Elle promet par ailleurs de verser toutes ses royalties "aux familles des soignants décédés".
Interrogé par l'AFP, son éditeur français Stock a justifié mardi la publication du journal par son "intérêt documentaire" à propos d'un événement "qui s'annonce comme peut-être une page de l'histoire de l'humanité".
“Fang Fang ne doit rien à personne”,
Face à cette lapidation en ligne, beaucoup d'internautes ont volé au secours de l'autrice sur Weibo, jugeant les attaques "disproportionnées".
"Fang Fang ne doit rien à personne", souligne une commentatrice. "Libre à vous d'écrire un journal qui va à l'encontre de ce qu'elle raconte, de le traduire et de le publier à l'étranger!”
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Une pollution venue de France frappe l’Escaut sur plusieurs dizaines de kilomètres sur sa partie belge. Début avril, une digue a cédé dans un bassin de décantation d’une sucrerie au nord de Cambrai. Une pollution d’une ampleur comparable à une marée noire, selon les agents du SPW déployés sur place pour constater l’ampleur des dégâts. Ce sont 100.000 mètres cubes de boues polluées qui se sont déversées dans le fleuve. La biodiversité est anéantie. Depuis l’entrée de l’Escaut sur le territoire belge à Bléharies, les agents du SPW progressent et suivent le lit du cours d’eau pour mesurer l’ampleur de cette pollution. Toute la partie wallonne du fleuve est touchée et ils sont à présent en Flandre.
Un accident ?
Ce serait une digue retenant des terres polluées au sein d’un bassin de décantation en France qui aurait cédé. Il existe depuis longtemps une collaboration transfrontalière en ce qui concerne la qualité des eaux de l’Escaut. Chez nous, ce sont les services régionaux des ministères et les "contrats-rivières" qui assurent cette surveillance. Leurs pendants français et flamand assurent la même observation. Il s’agit d’un projet qui bénéficie de financement européen INTERREG, des fonds destinés à soutenir des projets qui relient les régions transfrontalières concernées par des problématiques communes. Et, semble-t-il, il n’y a pas eu de communication entre les partenaires. La pollution remonterait au 9 avril. Les observations chez nous ont été signalées par des pêcheurs ce lundi 20. Les dommages sont catastrophiques. Les responsabilités seront certainement traquées.
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il n'est pas normal qu'il existe encore des agence d'interime ça n'engraisse que LES AGENCES (prestataires de service) je peux en parler J' ai été engagée par des agences si si . . Une d'entre elle grassement payée par l 'europe m'a reconduite tous les 3 mois et vous savez combien de temps ça a duré ??? et bien 3 ans je n'ai jamais su faire de projet JAMAIS . . . j'aurais du emprunter OU POUR UNE VOITURE OU POUR UNE TOITURE / CE STYLE DE DOSSIER m'en aurait empechée . . . . heureusement JUSQU A CE JOUR - 66 ans - je n'ai jamais eu recours à UNE BANQUE . . . okééééé j'ai emprunté - 15 ans - pour ma maison mais qui ne le fait pas j'en connais qui ont emprunté pour 30 voire 40 ans
MAIS DE QUEL DROIT c'est trop facile d'employer et de jeter . . . et là le pauvre il travaille et en plus il ne touche pas le chomage quand arrive cette saloperie jer n'ai pas voulu lire l'article ça me met en rage . . .
Alors arretez de nous parler de la reprise des match de foot : ici c'est bien plus important et bien plus grave
ah ben eux ils en ont bien profité croyez moi ; ça c'est tout au long de l'année
pfffffffffffffffffffffff notre été n'est pas encore là (et moi je le redoute) qu'on parle de l'hiver
alors PREPAREZ LE MESSIEURS LES VIROLOGUES ET SAVANTS QUE VOUS ETES TOUS
J'AIMERAIS SAVOIR
QU'AURAIENT FAIT CES grands noms de "MAGASINS" cotés en bourse SANS LES CAISSIERES et les R☺RÉASSORTISSEUSES . . . VONT ELLES AVOIR UN PRIME DIGNE DE CE NOM ?
SI DIEU ( tous les dieux) POUVAIT L' ENTENDRE
je ne comprends pas les piscines ? j'en connais qui ont une piscine depuis des années elle ne sert quasiment pas . . . .
et puis franchement les QUIK et Mc do ????? allez c'est grave non ?
j'entends sur RTL infos de 10 h que un gros certain pourcentage vivent chez eux sans slip sans culotte sans soutien gorge et alors de quoi je me mêle ????
les gens font ce qu'ils veulent CHEZ EUX NON ?
Tiens c'est un gain de consommation d'eau et d'electricité . . .
moi je le ferais volontiers et je l'ai souvent fait . . . je ne peux pas je suis accidentée et s'il m'arrivait encore un truc : je préfère etre au top . . . . je parviens même à laver mes bouts de doigts de pieds 4 / 5 x par jour (ce qui reste à l'air vous avez les photos) mais il y a un %tage qui ne se lave pas ?? Wouahhh ça c'est une horreur . . . et je n'ose imaginer quand ils sont 2 / 3 voir 5 en confinement . . . si c'est vrai : c'est que ce sont des gens qui ne se lavent guère car c'est juste pas possible de rester une journée sans se laver (je l'ai fait 1 seule fois il y a 15 jours ou 3 semaines ) il a fallu prendre un long bain ou une sacrée bonne douche la fin de journée arrivée ; c'est juste pas possible
on ne peut pas etre bien dans sa peau et dans sa tete . . . par contre une douche de 5 minutes suffit largement a étre très propre plus je ne vois aucune utilité . . . le matin surtout . . . et le soir pareil avant dentrer dans son lit
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ils se sont plaints de trop de monde une fois autorisés à ouvrir c'est fou ça
il font leur beurre
j'espère qu'ils ne vont pas encore se plaindre