Hier soir pendant la pub de l'émission " L'addition svp" . . . j'ai zappé sur une télévision belge dans l'émission DE QUOI J'ME MELE uneémission très bonne enfant comme on dit de nous . . . un tour de table comme le fait tout le monde sur toutes les chaînes : sur des faits de société chez nous en Belgique
Le sujet était le CÉLIBAT POURQUOI est- ce possible ? C'était assez virulent de la part de ceux qui étaient en couple - DE QUOI JE ME MÊLE - puisque vous êtes en couple comment pouvez -vous savoir ce qu'estvivre seul déjà ! Quels en sont LES BIENFAITS par exemple
ça m'a encore énervée
La majorité trouvait donc " ça " tout à fait Anormal ! . . Évidemment ils sont jeunes et n'ont encore rien vécu . . . On verra avec le temps . . . Les idées préconçues sur le célibat wouahhhhh : ça me sidère . . .
On se doit donc de vivre en couple : c'est donc ça la normalité ? Si on vit seule c'est qu'on n'est pas tout à fait net ?
qu'on le sache je suis 100 fois moins moins frustrée que n'importe quelle femme de mon âge qui vit en couple
Sur le magazine PARIS match pour ne pas le citer , Marius , 39 ans , le fils de coluche se confie . . . Il parle de son célibat et de la difficulté de vivre à 2 : il a essayé . . . en vain : " . . . Je ne suis pas très fort en couple. J'ai fait plusieurs tentatives qui n'ont pas été vraiment fructueuses", révèle-t-il. "Je préfère rester seul et m'occuper de mes trucs, réfléchir, garder du temps pour la créativité et me coucher tard si j'en ai envie. J'en ai marre de cette pression sociale qu'on vous met pour vivre à deux".
Et moi de DIRE TOUT PAREIL . . .
je suis seule depuis plus de 20 ANS . . . Certains pensent qu'il faut une aide surnaturelle pour vivre sans amour ( L'amour dans tous les sens du terme) . . . pour vivre sans personne . . .
On pense qu'on est un peu spééccc de vivre de cette façon . . .
Mais que connaît- on de la vie des gens de leur passé de leur cheminement de leurs désirs de leur but ? Qu'est ce qu'on connaît donc ?
Quand on sait comment c'est à deux . . . on peut se permettre de dire STOP , on ne jouera plus avec moi . . . on ne jouera plus avec mes sentiments , mes émotions , ma vie , ma dignité . . . . on ne me musellera plus . . . on ne m'obligera plus . . . on ne mettra plus des bâtons dans les roues . . . on ne m'empechera plus jamais de faire quoi que ce soit . . . on ne me considérera plus comme la domestique . . .
etc . . . etc . . . .
Combien de fois j'entends ou je lis : " moi je ne peux pas mon mari ne supporterait pas " - ????? -
* il ne supporterait pour rien au monde que je laisse mes cheveux blanc il veut que je les teigne (pourquoi ils lui appartiennent ? - ses goûts sont les meilleurs ? ça fait trop vieux pour lui qui aimerait se faire une gamine de 20 ans ? )
* Il ne veut pas qu'on change de cuisine alors qu'elle date de 1972 . . . (le mettre à contribution ? lui qui a le derrière sur le fauteuil du matin au soir - je parle des retraités - . . . plus de dérangement . . . ras- le- bol des travaux et du changement : alors qu'il n'a que 60/65 ans . . c'est LUI qui va vous entraîner vers la fin qui vous tirera vers le bas : . . . si si )
* Il ne supporterait pas qu'on puisse peindre des murs ou des meubles en noir par exemple : d'ailleurs pour lui f i n i les travaux . . suffit ! ! ! je veux la paix !
Quand on veut la paix on se tire . . . on va vire seul ! on ne s'impose pas à l'autre ! Ou alors on meurt . . .
je peux vous citer 1000 et une raisons qui vous abîment de jour en jour
- PLUS DE RÊVE ,
- PLUS DE PROJET,
- PLUS D'ESPOIR,
- PLUS DE FANTASME ,
- PLUS DE FANTAISIE ,
- PLUS DE CHANGEMENT ,
- PLUS DE PLAISIR D' ÊTRE A DEUX
On préfère avoir les petits- enfants dans les pieds pour combler le vide sidéral qu'il y a dans le couple )
. . . Bref plus rien !
Et c'est quand tombe une maladie grave sur la tête qu'on se dit : " . . . si j'avais su non pire , si ON AVAIT su . . ." Mais le pire pour moi c'est le ON . . . vous savez le on qui culpabilise l'autre . . . l'autre qui , lui , voulait POURTANT ? Pfffff
Seul (e) on n' ennuie PERSONNE d'abord . . . et . . . personne ne nous ennuie . . .
Bref : PERSONNE NE VOUS FRUSTRE
Partager quelque -chose qui n'intéresse pas l'autre c'est inconvenant d'abord et c'est surtout égoïste . . . Ensuite je trouve ça USANT pour ma part , moi qui croyais que partager c'était quand même mieux . . . Et et bien j'ai compris avec le temps que NON . . . JE SAVOURE MIEUX SEULE . . . il m'est arrivé d'atteindre "un état de félicité" au bord de l'eau que jamais je n'aurais ressenti accompagnée et de ça je suis convaincue
je vous donne ma parole que j'entends ça tout le temps : les femmes me le disent , elles restent pour l'argent , parfois contraintes par la famille et l'éducation (plus rare de nos jours c'est un fait MAIS ÇA EXISTE ! )
je lis :
Je ne me sens bien que seul : Solitaires à tendance associale, ils n’aiment rien tant que leur propre compagnie. Ne voir personne et rester seul chez soi : si, pour certains, cette image relève du cauchemar, elle est pour eux un idéal de vie.
Non ce n'est pas un idéal de vie : je ne suis pas conne au point de le croire .
Mais c'est quoi un idéal de vie svp ?
Pourquoi ? C'est ce que pense la majorité . . . mais la majorité vous envie . . . 99% d'entre vous ne peuvent rester en tête à tête avec lui- même et ne compter que sur lui-même vous est totalement étranger . . .
pas mal de femmes sont des "assistées " . . . Oui elles travaillent , bien entendu , enfin certaines pas . . . mais elles comptent sur l'autre pour tout . . . je le vois bien POUR TOUT !
Croyez -vous qu'il soit facile de vivre seule ? On vous croit archi forte donc nul besoin d'aider un personne comme ça ou de la plaindre . . elle l'a voulu n'est il pas ?
Mais faux : non on ne le veut pas c'est l'expérience qui fait que
Marcel Ruffo écrit : que dans une société de "l’hypercontact", les solitaires suscitent notre admiration par leur faculté d’autonomie. Leur indépendance révèle une grande force de caractère, à condition qu’elle soit relayée par des moments de sociabilité. Dans le cas contraire, leur repli confine à la phobie sociale.
je ne connais personne qui admire ma solitude - MON VOULOIR DE VIVRE SEULE - PERSONNE . . . Mais oui il y en a des masses qui se posent des questions à mon sujet à ma façon de vivre de me voir tout le temps seule en courses en promenade en brocante ailleurs . . .
La plupart me dit : "tu as facile toi "?
Ah bon ? En quoi ? je leurs demande et bien elles ne savent quoi me répondre alors que si elles étaient honnêtes elles m'avoueraient simplement : " . . . JE T 'ENVIE j'aimerais tant être capable de vivre seule et de m'assumer . . ." oui c'est exactement ce qu'elle pensent mais jamais elle ne vous le diront
Un sentiment de suffisance :On pourrait croire qu'on a besoin de personne qu'on s'auto suffit ? qu'on a une haute opinion de soi même ? Qu'on jouit d'un complexe de supériorité" ? Ce serait une suffisance qui aurait pris forme dans l'enfance : de ça je suis convaincue
Petite fille je préférais vraiment m'isoler . . . mes parents partaient en courses pour 2 ou 3h et moi je voulais rester seule à la maison que j'aurais pour moi toute seule . . . parce que je voulais les surprendre quand ils rentreraient : frotter le parquet à la paille de fer j'avais une énergie dingue toute fluette que j'étais et une force folle , puis je cirais . . . puis je lustrais . . . puis vite vite je préparais le repas du soir puis je dressais la table . . . puis je faisais un petit plat : j'avais 11 /12 /13 et 14 ans ans . . . c'est alors que je mettais un disque et que je chantais à tue tête
j'étais enfin seule
Et je le fais toujours je chante comme une dératée je danse aussi je fais ma folle
j'écrivais
Et je le fais toujours - oui car j'aimais par dessus- tout tout ce qui a rapport à la papeterie , les cahiers de toutes sortes de tout gabarit et les beaux carnets aussi . . . puis les feuilles lignées et quadrillées les textures de papier wouahhhh -
Et j'aime toujours autant tout ça . . .
je ne rêvais pas : moi et les trucs de princesse ? Je ne comprenais pas trop . . . par contre le chaperon rouge m'a donné des frayeurs le petit pierre et la petite pierette aussi . . .
Et je ne rêve toujours pas ni de prince et encore moins d'être une princesse . . . je suis bien trop consciente de toutes les fragilités de la vie
Je me faisais des petits coins , cachée que j'étais par un plaid tendu entre 4 chaises et je me retirais de tout je pouvais ainsi arranger mon petit espace mon petit petit cocon
Et je suis toujours et sans cesse occupée à le faire encore aujourd'hui avec personne pour m'en interdire . . .
Ma tante disait de moi tu n'es qu'une orgueilleuse . . . j'étais toujours à côté des autres rarement parmi eux ! Comme si je ne vivais pas la même histoire le même moment . . . je les trouvais olé olé : j'étais une petite fille bien trop docile par rapport à mes cousines Et je dois dire que personne n'avait un père comme le mien non plus . . . Et aucune aucun n'avait vécu ce que j'avais vécu
il faut observer les enfants si on sait décelé observé cesser de le comparer aux autres : on saura et on admettra plus tard ce qu'il sera ce qu'il sera devenu et le travail qu'il aura chosi
je me vois encore partir seule avec sous le bras un plaid (d'où sans doute mon amour pour les plaids ) et un petit panier . . . avec 2 tartines de beurre parsemée de "crottes" en chocolat ou 4 bâtons de chocolat au lait côte d'or ! je partais et j'allais m'asseoir dans une prairie tout au -dessus de la maison à 1/1,5 km (je me demande comment je ne suis pas tombée sur un pervers) et là je m'installais , oh pas longtemps, juste le temps de pique- niquer et d'observer !
Observer quoi ?
JE NE SAIS PAS . . . mais j'aimais ça ! et aujourd'hui c'est toujours pareil !
je retournais vite vite toujours de peur qu'on ne se demande où j'étais passée . . . je n'ai jamais été tranquille : JAMAIS
Les petites voisines du quartier ne me convenaient pas du tout et je ne sais même pas pourquoi . . . c'était de bonnes gamines pourtant . . . peut être bien meilleures que moi
Étant l'ainé j'ai eu très tôt le goût du partage et du don de soi . . . je dormais avec ma soeur . . . alors qu'il y avait d'autres chambres libres (?) sans doute qu'elle ne voulait pas dormir seule . . . je n'ai jamais été gênée par rien - ou plutôt je ne le montrais pas - alors que j'étais gênée par tout . . . Plus tard , vers 14 ans j' 'avais fini par me retrancher seule dans une autre chambre et je changeais mes meubles de place de sorte d'y dormir le mieux possible . . . je rangeais j'arrangeais . . . j'écrivais . . . je tricotais je brodais . . je dessinais . . . je lisais, mais peu uniquement parce que je le devais pour les cours
je continue maintenant tout tout tout pareil !
Une anxiété sociale : Le psychothérapeute Frédéric Fanget affirme que « personne ne peut se suffire à lui-même ». Ce ne sont que « des arguments rationnels que ces solitaires se cherchent, par refus d’admettre la vraie raison de leur retranchement : la peur des autres ».
je ne comprends pas qu'un spécialiste peut dire une chose aussi sûrement . . . moi j'affirme que je ne veux pas vivre en couple pas parce que j'ai peur de l'autre (????) d'autant que je n'ai peur de personne mais c'est pour ma tranquillité d'esprit ma tranquillité de décision ma tranquillité tout court
Une anxiété sociale qui peut être génétique , reconnaît Frédéric Fanget . . .
OUI DE ÇA je suis convaincue . . . je suis pareillle à mon père qui n'aimait que ça : SA Tranquillité (lire, apprendre, penser, faire son jardin écouter les oiseaux sans être emmerder par des pipelettes qui vont raconter tout et n'importe quoi . . . des discussions vaines et imbéciles)
j'ai toujours été une individualiste . . . toujours . . . pourquoi ?
Je vais être la plus sincère du monde : En groupe j'avais les idées , je faisais quelque chose , j écrivais un truc . . . à la fin : toutes s'appropriaient ce que j'avais fait et ça JE NE VEUX PAS je ne peux plus !
Un souvenir traumatique : Ce comportement peut aussi être l’effet d’un souvenir traumatisant.
Oui sans doute !
La mort d'un petit frère par noyade par exemple ne vous laisse pas indemne pour le reste de votre vie même si vous n'avez que 4,5 ans . . . maintenant on ne laisserait pas un enfant de cet âge évoluer sans aide . . . A l'époque j'ai bien du grandir sans ou avec
je ne vis pas une vie d'ermite loin de là : mais comme le dit très justement Frédéric Fanget : « Quand les premières expériences de confrontation aux autres se signent par des échecs et des humiliations, elles peuvent donner lieu plus tard à de tels comportements d’évitement.
Une angoisse de rupture ?
On parle d'un évitement pour ces grands solitaires dont je fais partie et qui sont conscients de leur personnalité de dépendants affectifs. JE NE SUIS PAS CERTAINE D'être UNE DÉPENDANTE AFFECTIVE mais je peux aussi me tromper . . se connait- on si bien que ça . . . ? Si je l'ai été alors j'ai bien changé : j'ai appris vite que cette dépendance peut tuer alors on évite et comme il le dit . . . .
« Eviter de créer des liens devient une façon d’échapper au risque de tomber en état de dépendance, indique Frédéric Fanget. Ce qui les angoisse, c’est l’idée de pouvoir perdre l’autre, auquel ils se seraient attachés. » Plutôt rester seul que de revivre la douleur d’une expérience antérieure : séparation d’avec la mère, deuil ou rupture amoureuse...
En ce qui me concerne . . . Ce n'est pas du tout ça . . . j'en suis convaincue . . . La tromperie, l'injustice , le faux , le retors, la perversité, restent les choses que l'on veut impérativement éviter . . . dont il faut impérativement SE PROTÉGER
Que faire ? . . . Allez vers les autres ?
Pour moi c'est chose très facile . . . je vais vers eux . . . j'en ressors toujours toujours toujours déçue . . .
Plus vous fuyez les sorties, plus vous serez angoissé par les occasions de rencontrer du monde et valoriserez le repli.
Ça c'est tout à fait exact ! . . .Quand on est sur le marché du travail . . . ne me dites pas que tout n'est pas plus facile . . . toutes les occasions sont possible tous les jours si on veut si on le peut et si on a la santé pour le faire !
- en ai -je eu des occasions - ? Oui peut-être . . . et si oui vraiment, alors je suis passée à côté je n'ai pas compris ou plutôt mon inconscient m'a guidée et m'a sans doute dit : STOP PROTECTION . . . Mais quand on n'est plus sur le marché du travail je ne vois pas bien comment on peut faire pour faire une rencontre qui bouleverserait tout vos préjugés sur le couple
ah le virtuel me direz vous puisque quand même on vit en 2016 ? Oui et alors 2050 ou 1950 pour moi la rencontre c'est pas ça du tout : au contraire je suis assez écoeurée de savoir que la plupart de cellesque je connais qui ont mon âge pratiquent : tout ça est si MALSAIN
Ça m'a coûté de ne plus voir personne parce que plus de travail . . . Ce fut si dur que j'ai eu peur d'en devenir très malade . . . j'ai compris ce qu'était l'être humain et c'est alors que j'ai commencé à vraiment désirer ne plus voir personne. Je n'ai pas peur des autres comme je viens de l'avouer : " . . . je n'ai peur de personne d'ailleurs même de ceux qui font le mal " Simplement, j'ai appris à ne pas avoir besoin d'eux . . . Enfin de compte j'ai compris que les gens ne S4INT2RESSAIENT PAS 0 MOI MAIS 0 EUX QU4ILS SE COMPORTAIENT EN OPPORTUNISTES ET CONSUMÉRISTES Et puis basta . . . on zappe . . . c' est chacun pour sa pomme et ça m'a dégoûté du genre humain . . . puisque je ne suis pas comme ça
j'ai plein de choses à dire et c'est pourquoi la création de ce blog
Il me permet de m'exprimer il arrive que je n'entende pas ma voix pendant plus de 8 jours si je décide de ne plus faire de courses ayant ce qui m'est nécessaire dans le frigo . . . ça c'et fou par exemple je ne savais pas que c'était possible !
je n'ai aucune confiance en moi enfin je dirais plus justement que j'ai quand même plus confiance en moi qu'en les autres et qu'on ne me rendra jamais ce que j'ai pu "donner" ou "offrir" . . . (ces mots dans leur sens profond)
On oublie fortement la personnalité de chacun dans un couple . . . un écrase l'un et l'autre le frustre . . . une évolue plus vite plus intellectuellement que l'autre . . . d'où un éloignement certain et un manque de complicité et de connivence et de respect et d'estime (les 4 qualités primordiales pour moi plus encore que l'amour puisque je n'y crois pas du tout ) . . .
je crois au besoin de l'autre mais à l'amour si gand qu'il devient abnégation de soi : non je n'y crois pas .
Un homme vous dit vous a d o r e r . . . demandez le divorce et vous verrez à quel point ce mot n'a plus aucune valeur ! Et pourtant c'est la même personne
Comment "durer" dans ce cas là ?
Non ça ne dure pas ça fait semblant de durer . . . quand l'un meurt l'autre retrouve aussi sec une ou un autre . . . ah lalala encore une belle preuve que pour l'autre vous n'avez pas eu l'importance à laquelle vous avez cru dur comme fer !
non je dis non :
mes envies ne sont pas celles de l'autre . . .
mes besoins ne sont pas ceux de l'autre . . .
mon caractère n'est pas celui de l'autre . . .
mes goûts ne sont pas ceux de l'autre . . .
mon intellect n'est pas celui de l'autre . . .
ma morale n'est pas celle de l'autre . . .
ma foi n'est pas celle de l'autre . . .
mes pensées ne sont pas celles de l'autre . . .
mon comportement dedans comme dehors n'a rien à voir avec celui de l'autre . . .
mon intimité non plus n'est pas celle de l'autre !
Oui je pourrais dire oui pour le couple à condition que l'on vive dans le même immeuble ou sur le même palier : chacun chez soi
mais non ??? . . . Ce n'est pas ce que j'appelle former un couple . . .
Je reste sur mon opinion : je vois plus d' inconvénients de vivre en couple que de vivre seul et vivre seul est très difficile plus pour des raisons pratiques . . . et je n'ai pas changé d'avis depuis plus de 23 ans . . .
Et puis je vais vous l'dire simplement ?
C'est ma vie, et j'en fais ce que je veux. . .