LE C à LIRE : LA CRISE SANITAIRE MONDIALE . . .

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 en province de LUXEMBOURG

C'EST la première des  grosses grosses CATASTROPHES ÉCONOMIQUES

vendredi samedi dimanche lundi    : 4 jours qui drainent un monde inimaginable (international)

LIBRAMONT est à 50 KM de chez moi 

VOUS AVEZ EN FRANCE LE SALON DE L'AGRICULTURE ET BIEN ICI  C'EST PAREIL

La Foire de Libramont plus que jamais au service de l’agriculture et du monde rural

Suite aux décisions gouvernementales concernant les grands rassemblements et à la consultation de nos exposants et partenaires, le conseil d’administration de la Société Royale  . . . ." Ensemble, nous avons pris la décision d’annuler la Foire de Libramont en 2020.

. . . . La Foire de Libramont, au cours de ses bientôt 100 ans d’existence, a grandi avec la préoccupation du bien-être et de la protection de chacun de ses visiteurs et de ses exposants. Les soumettre à un quelconque risque sanitaire n’est pas une option pour nous.

Cette décision douloureuse s’appuie sur notre volonté absolue de garantir les standards de qualité d’un événement dont l’importance est majeure pour le secteur agricole et la renommée, internationale.

Plus qu’un événement, la Foire de Libramont constitue une vitrine de l’agriculture wallonne dans son ensemble et des autres secteurs qui y sont intimement liés, la forêt et l’environnement notamment.

Les 4 jours de Foire contribuent à mettre en lumière nos agriculteurs et leur savoir-faire, ainsi que leurs fournisseurs et partenaires, comme aucun autre événement ne permet de le faire.

Rappelons également que la Foire de Libramont génère autour d’elle un impact de 40 millions d’euros.

L’expertise et le savoir-faire de nos agriculteurs doivent constituer l’une des plus grandes fiertés de notre région. À l’heure où tous recommandent de privilégier les artisans et commerçants locaux, il doit en aller de même pour les produits issus de l’agriculture, secteur éminemment stratégique s’il en est.

C’est pour cette raison qu’en accord et avec le soutien du Ministre de l’Agriculture, nous voulons mettre nos talents de communicateurs, d’éveilleurs d’idées et de rassembleurs d’horizons divers au service de notre communauté, celle de ces femmes et de ces hommes qui remplissent la mission noble et millénaire de nourrir leurs semblables en connexion avec notre bien le plus précieux : notre terre. Nous voulons vous retrouver régulièrement tout au long de ces longs mois qui nous séparent du 23 juillet 2021. . .  .  etc . . .  Ce travail devra nous permettre de disposer d’une édition 2021 à la hauteur de l’attente de tous.Portez-vous bien !

Vous n'imaginez pas l'impact  . . . . 

Un Dinantais  (une personne de DINANT) expatrié en Égypte a rapporté à Sudinfo qu’un groupe de Liégeois se trouvait en ce moment dans un hôtel de Hurghada. Selon l’homme, d’autres de ses connaissances lui auraient signalé qu’il y aurait aussi des touristes belges au Caire.

Cette situation fâche le Ministre des Affaires étrangères, Philippe Goffin (MR) : « Je suis désolé de le dire mais partir en vacances en Égypte n’est pas un comportement correct !

Ce foutu virus étouffe tout le monde et des gens adaptent la règle à leur petit profit et de manière hyperégoïste. C’est de l’incivisme pur et dur ! Rien ne justifie de tels comportements ! Rien ! »

moi je ne vois qu'une chose à faire : DISTRIBUER  SUR LE PAS DE MA PORTE  ALLEZ DISONS UNE CAISSE DE 24 ET  JE DIRAIS grand merci

C'EST LE maire de la ville

rien n'est jamais acquis 

je me suis posé la question 100.000 fois "" pourquoi les personnes au -dela de 65 ans étaient atteintes et pas les en dessous de 65 ans  ""

et combien de fois l'ont t- il dit et ont ils  insisté sur ce fait ????

tous autant qu'ils sont

il est bien évident que les jeunes n'ont entendu QUE ça  " AH ET BIEN ALORS ,donc NOUS , on ne risque rien l .  . . es vieux peuvent crever c'est pas not' probleme " 

on savait que tous ceux au- dessous n'en aurait rien à foutre  et  c'est UNIQUEMENT LA RAISON POUR  LAQUELLE  la  covid reprend

il fallait fermer SA GRANDE GU * * *E   , tous autant qu'ils sont les scientifiques comme les politiques

 1ere info  : très bien ça devrait etre le double  . . . .  

 2 ieme image  : mon dieu le pauvre  . .  . aux infos sur rtl à 13h on est entré dans sa "chambre de sortie de COMA"  j'ai du zapper  :  UNE HORREUR  le pauvre quelles souffrances DE PARTOUT  4 semaines de coma si je me souviens

dans le figaro le parisien  etc . . .

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ET PuiS . . .

et ce sera sans commentaire

???????????

Une semaine après l’incendie dans la cathédrale de Nantes, le  bénévole du diocèse est passé aux aveux et a été placé en détention provisoire dans la nuit de samedi à dimanche pour « destructions et dégradations par incendie ». Il avait été placé en garde à vue le 18 juillet quelques heures après l’incendie et l’ouverture de l’enquête, puis remis en liberté le lendemain soir.

Les enquêteurs souhaitaient l’interroger car après l’incendie aucune trace d’effraction n’avait été constatée sur les accès à l’édifice dans lequel trois points de départ de feu avaient été constatés. L'« homme » a reconnu, lors de l’interrogatoire de première comparution devant le juge d’instruction, avoir allumé les trois feux dans la cathédrale : sur le grand orgue, le petit orgue et dans un panneau électrique», a précisé le procureur de la République de Nantes Pierre Sennès. Que sait-on du suspect ?

« Rongé de remords »

Cet homme de 39 ans, mis en examen, est un « Rwandais, venu se réfugier en France il y a quelques années », avait expliqué la semaine dernière le recteur de la cathédrale de Nantes, le père Hubert Champenois. Il était chargé de fermer la cathédrale la veille de l’incendie. Selon le recteur, qui avait indiqué avoir « confiance en lui comme en tous les collaborateurs », le bénévole était « servant d’autel ». Le recteur le connaissait « depuis quatre ou cinq ans ».

n des informations de BFMTV, l'homme, en France depuis 2012, faisait l'objet d'une obligation de quitter le territoire français depuis fin 2019. Son titre de séjour n'était donc plus valable. Il n'était pas connu des services de polices.

Dans le cadre de cette enquête, « plus de trente personnes » ont été entendues et une vingtaine d’enquêteurs de la police judiciaire ont été mobilisés, avec notamment le renfort du laboratoire central de la préfecture de police de Paris, afin de déterminer la cause de l’incendie, selon le procureur.

Le bénévole encourt dix ans d’emprisonnement

« Mon client a coopéré », a affirmé au quotidien Presse-Océan l’avocat du mis en examen, Me Quentin Chabert. « Il regrette amèrement les faits et évoquer cela a été pour lui une libération. Mon client est aujourd’hui rongé par le remords et dépassé par l’ampleur qu’ont pris les événements », assure-t-il.

Le bénévole encourt pour cette infraction « une peine de dix ans d’emprisonnement et 150.000 euros d’amende », a précisé Pierre Sennés dans un courriel envoyé dans la nuit.

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