Le c à lire LA CRISE SANITAIRE
LES QUELQUES INFOS DU JOUR
ET POURTANT JE L'ENTENDS DIRE QUE TOUS SONT TROP ALARMISTES . . . . QU'IL Y A URA PLUS DE MORTS D'ANGOISSE DE MALADEIS PSYCHIATRIQUES ET DE MALADIES QU'ON SE PROVOQUE A CAUSE DES ANGOISSES ET AUTRES TRACAS
alors pourquoi nous parle t- il
d'une autre EPIDÉMIE ????
autre media
Interrogé par CNews, il est revenu sur l'actualité entourant le coronavirus. Didier Raoult a notamment abordé avec nos confrères français les différents variants. A commencer par la question de la réinfection., a-t-il expliqué. "On a défini ça au départ comme une réinfection, puis on a vu ensuite que le virus n'était pas le même."
Il a ensuite étayé son propos. "Ce que nous vivons maintenant n'est pas un rebond, c'est une autre épidémie. Tous les nouveaux cas que nous avons actuellement sont dus à des virus qui sont différents des virus que nous avions en mars-avril. Ce ne sont pas des rechutes, c'est que l'immunité procurée par la première épidémie, chez un certain nombre de personnes, n'est pas suffisante pour protéger contre des virus qui sont proches mais un peu différents".
Le directeur de l'IHU de Marseille est ensuite revenu sur la communication du gouvernement français. Selon lui, elle est anxiogène et risque de faire disjoncter la population. Les chiffres employés par les autorités seraient biaisés car il y aurait "une base de 30 à 40 % de tests PCR faux positifs". Les analyses des courbes ne sont donc plus tout à fait les mêmes. "Si vous voyez ces courbes, vous ne pouvez pas être terrifiés. Ce n'est pas possible. Donc, il faut revenir au calme, que chacun fasse son métier. Il faut arrêter les communiqués de guerre tous les jours en disant qu'on va tous mourir. Parce que ce n'est pas sain, et à la fin on va avoir une surmortalité par les pathologies psychiatriques ou psychosomatiques parce qu'on ne peut pas terrifier les gens pendant un an entier pour une mortalité de cette nature."
Enfin, le professeur a embrayé sur les vaccins. Le vaccin chinois classique aurait sa préférence par rapport à l'ARN car "il le connait mieux et il permet de faire face à des variants de manière beaucoup plus logique."
j'ai écouté son interview et je suis sans doute une imbécile : MAIS JE NE COMPRENDS PAS CE QU' IL DIT
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je trouve ça CRASSE . . . et il y e n a des quantités comme ça et ils recoivent les aides en m^me temps qu'ils contaminent
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CHEZ NOUS : les entreprises en construction sont prises d'assaut . . . mon menuisier ne sait pas suivre . . . LES GENS construisent des piscines . . . inconsciemment les gens savent que les choses vont durer et il est mieux pour le mental de le savoir . . ainsi si ça arrive plus vite on en sera que plus heureux
il faut se faire du bien il faut essayer de vivre dans sa maison si petite soit elle et avec un extérieur si petit soit il . . MAIS CE CHANGEMENT EST DU EXCLUSIVEMENT AU COVID
Les valeurs des biens immobiliers vendus en Région bruxelloise ont continué à augmenter en 2020, malgré le contexte de pandémie, indique vendredi l'Union des Géomètres-Experts de Bruxelles (Ugeb) dans son rapport annuel. Les valeurs avaient entamé une hausse en 2019 après plusieurs années de stabilité.
Le rapport de l'Ugeb se base sur un système de points qui permet de quantifier chaque bien, en fonction de sa surface mais également de ses équipements (chauffage, sanitaires, cuisine...).
La valeur des appartements en vente publique connaissent une hausse "spectaculaire" depuis deux ans: l'indice moyen a augmenté de 16% en 2020 (+44% depuis 2019), pour un prix de 2609 euros/m2. En gré à gré, l'indice a augmenté de 14% en 2020 (2584 euros/m2).
Le jardin convoité
Les maisons unifamiliales ont également connu une forte hausse. Celles avec jardin sont particulièrement recherchées dans la capitale, a noté Eric De Keghel président de la commission du marché immobilier de l'Ugeb. En vente de gré à gré, l'indice moyen des maisons a augmenté de 13%, soit une nette augmentation entamée en 2019 (+6%) après cinq années de stabilité. En vente publique, l'augmentation est deux fois mois importante pour les maisons en 2020 (+7,5%). A noter qu'un "fossé" persiste entre le nord-ouest et le sud-est de Bruxelles concernant les valeurs des maisons.
L'évolution est similaire pour les immeubles de rapport, dont le marché est à la hausse depuis deux ans. En gré à gré, la hausse est de 12%, contre +13,8% en vente publique.
Les géomètres-experts constatent une hausse significative des valeurs des biens vendus en vente publique qu'ils expliquent par l'arrivée de la plateforme de vente en ligne Biddit.
"La pandémie a probablement soutenu les ventes en ligne. On verra si la tendance se poursuit en 2021", a commenté Eric De Keghel.
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A LONDRES les gens quittent la ville . . . mais là c'est aussi pour une autre raison
Londonienne de cœur depuis cinq ans, Petra Hlubuckova, 31 ans, est repartie en Tchéquie en mars pour fuir la pandémie. « Je travaillais dans un théâtre et j’ai été mise en chômage partiel. Je suis retournée chez mes parents, pour ma santé mentale ! »
Comme elle, quelque 700 000 personnes sur les neuf millions d’habitants du « grand LONDRES » ont quitté la capitale entre l’été 2019 et l’été 2020, selon le Centre d’excellence des statistiques économiques. Une chute de près de 8 % de la population qui concerne surtout les Londoniens nés à l’étranger. « Pour retrouver une baisse aussi rapide, il faut remonter à la Seconde Guerre mondiale, quand les habitants ont fui les bombes », observe Jonathan Portes, co-auteur de l’étude.
Le Covid semble la première cause de cette hémorragie. « Des étudiants internationaux sont partis car ils n’avaient plus les moyens de payer leurs loyers. »
À la crise sanitaire s’ajoute le Brexit. Impossible de savoir combien sont partis pour cette seule raison, admet Jonathan Portes, mais « l’impact de la sortie de l’UE sur l’immigration se vérifie depuis quatre ans ». Et il est probable que le cumul Covid plus Brexit ait accéléré certains départs.
Partis pour mieux revenir ?
Pas sûr que ces exils soient définitifs. « Tout dépendra de l’évolution de la pandémie, estime Jonathan Portes. Le Royaume-Uni a été plus durement frappé que d’autres pays, mais on peut espérer qu’il se remettra plus rapidement grâce à l’efficacité de la campagne de vaccination. »
Petra Hlubuckova veut y croire ; elle a même déjà fait une tentative. Revenue à Londres après avoir été licenciée en août, elle a déniché un poste de manager dans un salon de coiffure… Mais avec le reconfinement, et sa mise en chômage partiel, elle a dû repartir chez ses parents… Depuis la Tchéquie, elle guette désormais la réouverture des commerces. « J’espère revenir mi-février, mais les directives changent tout le temps, déplore-t-elle. Mon rêve reste de travailler de nouveau dans un grand théâtre et je ne peux pas trouver ça en Tchéquie. »
Pour certains Londoniens, la pandémie a aussi questionné leur choix de vie. Selon une étude réalisée par la municipalité, un habitant sur sept envisage encore de quitter la ville. Et un tiers veut, a minima, changer d’habitation… Bonne nouvelle pour eux : selon l’agence Rightmove, le départ de nombreux Londoniens a déjà fait baisser les loyers de plus de 12 % dans le centre. Mais pour combien de temps ?
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c'était notre ex ministre de la SANTÉ au début de la pandémie / elle est médecin et elle fait ce qu il ne faut surtout pas faire????. JE NE COMPRENDS PAS QU'ELLE NE COMPRENNE PAS QUE FAIRE UN RÉGIME C'EST PIRE QUE TOUT j'en ai connu des quantités qui ont fait ET repris tout + 5 à 10 kg en + (quand on voit la fille de Balasko qui perd je ne sais combien de kg et qui en a repris le double de ce qu'elle a perdu ) et la santé dans tout CA
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ils ne savent plus quoi utiliser pour se marrer comme des malades mentaux c'est honteux et ça fait 2 ou 3 ans que ça dure de toutes façons si ce n'est pas ça c'est autre chose
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JE PENSE QUE CET ARGENT DOIT ALLER AILLEURS QUE DANS CES EXPÉRIENCES très inutiles ON NE VA PAS ALLER SE RÉFUGIER LA HAUT A CAUSE DU COVID . . SI ,
LES INCENDIES ?
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météo
AILLEURS
et puis
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comment pourrait elle détruire la vie pour son frère qu'il lui la lui a rendu : être à sa place doit être terrible là aussi je préférerais la croire
comment se forger une opinion ? ON N' A PAS LE DROIT . . . on ne sait rien . . . seuls les 2 personnes savent
les autres rien . . . et à mon avis on restera TOUS DANS LES DOUTES
je n'aime pas cette femme que je trouve méprisante mais je la plains sincérement c'est une horreur pour elle . .. on ne souhaite pas ça à son pire ennemi comme elle doit etre mal et malheureuse : elle ne tergiverse pas . . . il y va franco . .. mais il a disparu depuis quelques années il me semble
décidément . . . . c'est terrible ces choses là . . . et c'est DANS TOUS LES MILIEUX