Mes fleurs
eh oui j'ai acheté ce pot je le voulais en OCRE mais suis arrivée trop tard
Le C à lire
Des moyens inédits pour mener les recherches
Les Frank ont vécu enfermés, contraints au silence, dans la peur d’être repérés, du 6 juillet 1942 au 4 août 1944, jour où ils sont arrêtés, avant d’être déportés le 3 septembre 1944 par le dernier convoi qui part du camp de Westerbork vers Auschwitz. Otto Frank, le père, sera le seul survivant.
Deux enquêtes officielles, en 1947-1948 et 1963-1964, ont tenté de déterminer qui avait dénoncé les Frank et leurs amis. Sans résultat probant. Plusieurs livres ont essayé de résoudre cette énigme. Leurs conclusions sont battues en brèche par l’enquête de Vincent Pankoke. Ce qui distingue ce travail d’investigation de ce qui a été fait avant, c’est l’ampleur des moyens, humains et matériels, mis en œuvre.
Tout commence en 2016 sur une idée du cinéaste néerlandais Thijs Bayens auquel se joint son ami journaliste Pieter van Twisk. Les débuts sont lents mais en 2018, le projet est lancé : 22 experts travaillent sur le projet, avec l’objectif d’identifier "le traître". L'approche est pluridisciplinaire. L’enquête fait travailler ensemble des historiens, des enquêteurs, des criminologues, des graphologues, des spécialistes du profilage sous la direction d’un ancien agent spécial du FBI, recruté pour son savoir-faire.
"L’équipe", comme elle se surnomme elle-même, a recours aux moyens les plus modernes, qui n’existaient pas au moment où les crimes ont été commis. L’intelligence artificielle lui permet de compiler les millions de détails entourant l’affaire et de faire apparaître entre des personnes, des adresses et des dates, des liens qui n’étaient encore jamais apparus.
Après cinq ans de travail sur les archives, d’entretiens, de recherche, l’équipe finit par éliminer plusieurs suspects : un ancien employé d’Otto Frank, sympathisant nazi ; une petite frappe qui aurait fait chanter Otto Frank, menaçant de le dénoncer pour une broutille en 1941, quarante mois avant l’arrestation ; une informatrice juive, Ans van Dijk, qui sera condamnée à mort et exécutée après la guerre ; le directeur de l’entrepôt où les Frank se cachaient, Willem van Maaren, fouineur et pas très honnête; le marchand de légumes qui fournissait les captifs; la sœur de Bep Voskuijl, l’une des protectrices de la famille Frank.
Une lettre anonyme comme première piste
Ce qui conduit l’équipe sur la piste du notaire juif Arnold van den Bergh, c’est une lettre anonyme reçue par Otto Frank à son retour de déportation. Cette lettre indique que sa cachette a été signalée par le notaire, qui aurait fourni à l’occupant une liste entière d’adresses où des juifs se cachaient.
L’ancien du FBI, Vinvent Pancoke, a mis la main sur une copie de cette lettre, remise par Otto Frank lui-même au policier qui menait l’enquête officielle de 1963-1964. L’expertise a permis d’authentifier cette copie : elle a bien été tapée sur la machine à écrire d’Otto Frank.
Qui est donc ce notaire juif qui aurait fourni aux nazis des adresses d’autres juifs ? Au moment où la guerre éclate, Van den Bergh, marié et père de trois filles, possède l’une des études les plus importantes d’Amsterdam. C’est un membre éminent de la communauté juive. Il réside dans une élégante villa et se passionne pour les tableaux de maîtres des XVIIe et XVIIe siècles. En 1940, il s’occupe de plusieurs transactions qui conduisent des dignitaires nazis, comme Hermann Göring, à acquérir à bas prix de nombreuses œuvres d’art.
Une liste de juifs cachés donnée aux nazis?
Même quand les mesures anti-juives l’obligent à céder son étude à un aryen, Van den Bergh continue de bénéficier d’une certaine protection. Il était membre du Conseil juif, cet organisme, créé à la demande des nazis, officiellement pour servir d’interface entre les occupants nazis et la population juive, a fini par préparer lui-même les listes de déportation. Son rôle a été très critiqué après la guerre. Il avait obtienu un Sperres, un sauf-conduit qui lui garantissait de ne pas être déporté "jusqu’à nouvel ordre".
L’hypothèse du livre est que le Conseil juif avait une liste d’adresses où des juifs se cachaient et que pour acheter la protection de ses relations nazies haut-placées, Arnold van den Bergh aurait donné cette liste. De fait, il n’a pas été déporté, sa famille non plus.
"En 1960, le traître était déjà mort"
Ce qui conforte cette hypothèse, selon le livre, c’est le fait que Miep Gies, protectrice de la famille Frank, qui a trouvé et conservé le journal d’Anne après l’arrestation du 4 août 1944, semblait détenir un secret. À son retour de déportation, Otto Frank a vécu chez elle et son mari. C’est sans doute à elle qu’il se confiait le plus volontiers.
Un soir de 1996, écrit Rosemary Sullivan, son ami, le père John Neiman "discutait tranquillement avec Miep quand, de but en blanc, elle lui asséna qu’Otto Frank connaissait le traître de l’Annexe et que celui-ci était mort". L’enquêteur Vincent Pankoke a obtenu cette information lors d’une rencontre avec John Neiman.
Ce n’est pas tout. Deux ans auparavant, lors d’une conférence à l’étranger, répondant à une question dans le public sur ce qui a perdu les Frank, Miep Gies déclare : "Quinze ans après, nous avons recommencé à chercher le coupable. Mais on était en 1960, le traître était déjà mort." Arnold van den Bergh est mort en 1950 d’un cancer de la gorge.
Dénoncer pour sauver sa famille
Des indices dans le livre laissent penser qu’Otto Frank savait qui l’avait dénoncé, ou à tout le moins, qu’il s’en doutait et ne voulait pas le dire. "Il ne voulait pas punir la famille et les descendants de l’homme qui avait trahi les siens", selon Rosemary Sullivan.
Consciente du caractère explosif de cette révélation, Rosemary Sullivan essaie d’en atténuer le choc. Arnold van den Bergh, souligne-t-elle, a été soumis à un dilemme abject. Il a agi pour sauver sa famille. "Il n’est pas l’ultime responsable de la mort des résidents du 263 Sprinsengracht. Cette responsabilité sera toujours celle des occupants nazis, qui ont terrorisé et décimé une société, forçant les gens à dénoncer leur voisin."
Elle évoque "les sentiments partagés" des membres de l’équipe à l’idée de rendre publiques leurs conclusions. "Ils savaient combien leurs découvertes étaient importantes – et douloureuses. Ils s’attendent aujourd’hui à des réactions tout aussi violentes."
"Un non-sens diffamatoire"
Ronald Leopold, directeur exécutif de la Maison d'Anne Frank, a été le premier à réagir, estimant que des questions subsistaient sur la lettre anonyme et qu'une enquête plus approfondie était nécessaire.
"Vous devez être très prudent avant d'inscrire quelqu'un dans l'histoire comme celui qui a trahi Anne Frank si vous n'êtes pas sûr à 100 ou 200% de cela", a-t-il souligné auprès de l'AFP. D'autres experts se sont montrés plus critiques. "Un non-sens diffamatoire", a même réagi avec virulence Bart van der Boom, professeur à l'université de Leiden, auprès de la télévision publique NOS.
"Qui a trahi Anne Frank ?", de Rosemary Sullivan, traduit de l’anglais par Carole Delporte et Samuel Todd, est publié par les éditions Harper
Une enquête affirme qu'un notaire juif aurait dénoncé la famille d'Anne Frank.
Celui-ci était membre fondateur du Conseil juif, organe administratif que les nazis ont utilisé afin d'organiser les déportations. La Maison d'Anne Frank s'est dit "impressionnée" mais avertit que des questions restaient en suspens.
Qui a dénoncé Anne Frank et sa famille en 1944 aux nazis ?
Un livre fondé sur l'enquête d'un ancien agent du FBI désigne comme suspect principal un notaire juif qui l'aurait fait pour sauver sa propre famille.
Le notaire, Arnold Van den Bergh, pourrait avoir révélé où se cachait la famille Frank à Amsterdam, affirme l'auteur d'une enquête de six ans sur cette affaire non élucidée, dont les résultats ont été publiés dans le livre "Qui a trahi Anne Frank ?" de l'auteure canadienne Rosemary Sullivan, qui paraît mardi en français aux éditions HarperCollins .
Les preuves contre Arnold Van den Bergh ont été étayées par des techniques modernes ainsi qu'une lettre anonyme envoyée au père d'Anne Frank après la Seconde Guerre mondiale identifiant le notaire comme un traître.
Le musée de la Maison d'Anne Frank s'est dit "impressionné" par l'enquête menée par le détective à la retraite du Bureau fédéral d'enquête Vince Pankoke, mais a souligné qu'une enquête plus approfondie était nécessaire.
Lettre anonyme
L'adolescente, connue dans le monde entier depuis la publication de son journal intime rédigé entre 1942 et 1944 alors qu'elle et sa famille se cachaient dans un appartement clandestin à Amsterdam, a été arrêtée en 1944 et est morte l'année suivante, à l'âge de 15 ans, dans le camp de concentration de Bergen-Belsen.
Différentes théories ont circulé sur ce qui avait mené au raid qui a révélé l'annexe où se cachait la famille.
En 2016, Vince Pankoke, détective à la retraite du FBI, a été enrôlé par un réalisateur de documentaires néerlandais pour diriger une équipe chargée de résoudre ce "cold case".
Le nom de Van den Bergh, décédé en 1950, avait jusqu'ici reçu peu d'attention. Le notaire était un membre fondateur du Conseil juif, organe administratif que les nazis ont utilisé afin d'organiser les déportations. Selon les enquêteurs, sa famille bénéficiait d'une exemption de déportation, et celle-ci avait été révoquée au moment de la trahison des Frank, mais la déportation n'avait finalement pas eu lieu.
Le notaire disparut des radars à la fin de la guerre, à laquelle il a survécu ainsi que le reste de sa famille.
Mais l'élément le plus convaincant a été le sérieux avec lequel Otto Frank a traité l'allégation, ont indiqué les médias néerlandais.
Le père d'Anne a déclaré aux enquêteurs en 1964 qu'il avait reçu une lettre peu après la guerre nommant Van den Bergh comme celui qui avait trahi les Frank et plusieurs autres familles juives.
Les experts divisés
Une copie faite par Otto Frank de la lettre a été retrouvée par les enquêteurs dans les archives d'un policier. "Nous n'avons pas de pistolet fumant, mais nous avons une arme chaude avec des douilles vides à côté", a déclaré Vince Pankoke, cité par la chaîne publique néerlandaise NOS.
Ronald Leopold, directeur exécutif de la Maison d'Anne Frank, a averti que des questions subsistaient sur la lettre anonyme et qu'une enquête plus approfondie était nécessaire. "Vous devez être très prudent avant d'inscrire quelqu'un dans l'histoire comme celui qui a trahi Anne Frank si vous n'êtes pas sûr à 100 ou 200 % de cela", a-t-il souligné auprès de l'AFP
D'autres experts se sont montrés plus critiques. "Un non-sens diffamatoire", a même réagi avec virulence Bart van der Boom, professeur à l'université de Leiden, auprès de la télévision publique NOS. "Ils (les enquêteurs) disent qu'il ne se cachait pas, donc il a dû acheter sa sécurité d'une autre manière. Mais ils ne savent tout simplement pas où il était", a-t-il souligné.
La petite-fille d’Arnold Van den Bergh, qui a parlé aux chercheurs de son histoire familiale, a été informée de leurs découvertes le week-end dernier. Elle a refusé de commenter l'affaire à la NOS.
Avec AFP
A LA MER
tiens le soleil est là ? ça ne durera pas . . .
les tarifs ont augmenté
mais pourquoi ont- ils augmenté là aussi il faut savoir
derrière cette haie ce sont les appartements très chics avec pelouse du rez de chaussée et les gens ramassent les crottes de leurs cabot et jettent les plastic dans la pelouse et dans les haies et donc CA PUE et c'est infect
non mais ? moi ce serait 1000 e immediatement
↓
voilà ce que j'ai vu sur les rails du tram à un des arrets
JAMAIS DE LA VIE NOUS N'AURIONS VU çA IL Y A 2 OU 3 ANS jamais de la vie en flandre ET OU QUE CE SOIT au botrd de mer ou en ville (BRUGES GAND )
je ne comprendrai jamais ça JAMAIS
pour moi le pire d'entre ceux qui ont jeté LEUR POUBELLE : c'est l'asthmatique ou l' allergique qui a jeté son "pump" (je l'appelle comme ça je l'ai eu moi aussi quelques années)
honte à lui
vous voyez ça ? jamais ça ne s'est produit . . . alors 350 e pour des crottes dans un plastic noir ou bleu jeté sur la pelouse des gens quI paient des fortunes pour être là : JE TROUVE CE MONTANT ASSEZ PEU
ET SI ON FAISAIT ça CHEZ VOUS ?
A LA MER
le temps est d'une douceur incroyable et le ciel est beau
mon passe temps favoris ? ramassé les coquillages que j'ai souvent bien du mal à trouver il y a je pense des saisons pour ça des courants froids ou chaud je l'ignore en tous cas en 14 ans j'ai ramassé l'équivalent d'un vase normal . . . et bien là en 30 minutes j'avais 500 gr ???? . . le lendemain RIEN . . . le surlendemain 1 kg
mdr
je ne vous raconte pas mon dos tout au long du séjour : vraiment parfois un enfer et de la le découragement . . .
si bien que les gens s’arrêtaient pour me demander (6 personnes en 3 jours) ce que je prenais ?
j'avais envie de leurs dire des pommes des poires et des scoubidous mais je n 'ai pas osé
que ramasse t- on sur une plage à part des coquillages ?
Avez vous vu sur les photos la plage à marée basse peut faire plus de 600 m et il n'y a personne - le monde arrive demain - et bien un sale TYPE accompagné de sa femmes - mon age - sont passés à tout juste 50 cm de moi (parole d'honneur j'étais accroupie me demandant comment j'allais me redresser ) - pour écraser de toute évidence exprès et de tout leurs poids les coquillages en quantité devant lesquels j'étais
???????????????????????????????????????
JE N INVENTE RIEN . . . des fous vraiment des fous . . . que dire sur des comportements aussi débiles ? Que sont ils capables de faire dans la vie ? Pourquoi cette haine cette rage ????? car on reprochait à un flic d'avoir verbalisé ,non loin de là, un homme qui toussait . . .
moi avant de critiquer ou de rire ou de hurler ô scandale . . . j'aimerais savoir comment il toussait : bien capable de se retourner sur les gens et de leurs tousser en pleine figure c'est peut être le même type . .. je l’espère car s'il y en a des quantités comme ça wouahhhhh il y a de quoi se méfier de tout le monde et tout le temps
Et je me suis dis si j'osais je placerais des bijoux de pacotille et EN OR dans un plastic transparent et à leurs questions débiles je leurs montrerais ce que je trouve en grattant le sable parque je suis VOYANTE
MDR MDR MDR JE RIAIS COMME UNE FOLLE
ils sont dans un seau je vais les faire tremper dans de l'eau chaude + javel + les faire sécher au soleil quand il réapparaitra
et quand je serai à la maison . . . ensuite trouver une verroterie et les y placer avec des loupiotes
en souvenir
Les balades A LA MER
petite balade il fait super beau
ce sont les quelques heures de soleil que j'ai eues
LAPANNE
koksijde
↓
une petit prière à NOTRE DAME DES DUNES
je pars pour le troc de DIXMUDE c'est le seul endroit ou je suis allée
↓
Le c à voir ce que sont de vrais agents immobilier nouvelle saison
demain jeudi 13 janvier
à 21h15 sur TMC
l'émission
"l'agence immobilier de LUXE en famille" revient
A LA MER koksijde
Je décide d'aller voir ce qui se passe en "ville"
vers 13h30
on est mercredi la plupart des boutiques sont fermées puisqu'elles ouvrent tout le week end lundi compris en janvier il n'y a personne sauf tous les week- end
j'adore
chez mon antiquaire préféré
↓
on retrouve un peu trop ce qu'il y avait en septembre
il manque tous les beaux meubles qu'ils a rangés en réserve : les gens ne s'en intéressent plus
moi ça me manque surtout que c'est pas mal d'anglais en chêne et patinés par le temps
↓
chez un monsieur face à l'antiquaire de l'autre coté de la rue il vend ce qui se trouve dans le château qu'il a acheté en France
(j'ai vu les photos et sa voiture)
splendide
et là je craque devant l'armoire
je C R A Q U E PAS DE PRIX . . personne les photos sont prises avec mon GSM au travers de la vitre
↓
c'est trop beau et rigolo
quoique . . . .
wouahhh tout ça pour ne pas parvenir à lire l'heure c'est chercehr la complication inutile
je suis éreintée il n'est que 16h45 le soleil se couche déjà c'est magnifique
c'est mon quartier sur l'avant
je suis juste entre les 2 on pourrait me voir sur le balcon au travers des arbres
voilà vu de mon balcon entre les arbres
on verra par la suite : le temps a été très moche (et c'est rare d'avoir cette malchance presque pas de pluie mais du gris et du brouillard)
ok j'ai eu quelques heures de soleil pas plus et je n'ai pas bougé du tout vu le prix de l'essence c'était préférable
Les balades A LA MER
le temps sur la route de la mer
ici c'est à ETALLE à quelques km de Virton
plus tard à plus de 500 m d'altitude dans les ARDENNES belges que je traverse un tout petit peu
je vais voir un paysage de reve
impossible de stationner pour prendre 3 clichés vite fait
LE MERCREDI je pense n'avoir pas autant de circulation que les autres jours de la semaine
car même le samedi et même le dimanche ça roule vite et puissemment si vous voyiez ça (les limitations tout le monde s'en fout)
surtout sur le ring que je redoute à chaque fois
↓
↓
à l'arrivée 12H
↓
Le c à lire la crise sanitaire
LES QUELQUES INFOS DU JOUR AU LONG DE LA JOURNÉE
BEN ALLEZ ENCORE DES ANGOISSES
le gaz l' électricité le fuel l'essence
ras le bol mais qu'est ce qu'on va devenir ?
NON MAIS ILS SE FICHENT DE NOUS ???????
LES AUTRES INFOS
a midi nous étions toujours à 0° . . . oui je sais c'est la haut qu'on parle un d'allemand assez approximatif qu'on appelle PLAT - DEUTCH d’où les noms un peu compliqués
mais à BASTOGNE . . . ILS AVAIENT TRÈS FROID
TIENS c'est aujourd'hui qu'on s'en rend compte
Mon père fumait beaucoup (énormément ) et il a arrêté net en 1986 suite à une chute du à un infarctus des intestins (ben si) j'entends encore un soir
quelqu'un qui le regardait lui dit (je le vois encore on était en 1978) : " Dites donc vous savez que vous pourriez avoir un château en Espagne avec tout ce que vous fumez ça coute "
Oui vous avez raison et vous ? vous fumez ?
OHH non
Donc vous avez un château en Espagne ?
ben non !
et bien moi j'en ai un (véridique ce n'était pas un château c'est une très jolie villa toujours dans la famille)
VÉRIDIQUE : mon père ne supportait pas recevoir des leçons des imbéciles MDR
on ne veut pas soigner les non vaccinés on va faire un tri par contre on laisse en vente LES Cigarettes LE TABAC
TROP DRÔLE ça ET BIENTÔT EN FRANCE CE SERA LE CANNABIS COMME ICI et AUX PAYS BAS pareil pour les alcools
LE SUCRE LA GRAISSE
MOI LE Covid JE NE L'AI PAS CHERCHÉ
C'EST INFECT CE QU'ILS FONT
n'oubliez jamais : le mal qu'on fait la violence envers les autres la haine vous reviendra 3 x plus fort
(vous n'avez pas vu C A VOUS la semaine dernière jeudi ou vendredi ? allez revoir en streaming )
et de ça j'en suis convaincue : il y a une justice sur terre
prions surtout pour tout le monde . . . surtout pour tous ceux que nous connaissons pour notre famille
afin que tous se protègent au maximum
croisons les doigts pour eux
Mon image deco du jour
oui depuis -2 ans-
je trouve que c'est pas mal une plante
verte dans son intérieur . . .
c'était une folie dans les années 60/70 et vraiment JE DÉTESTAIS CA . . . il y en avait des dizaines sur les table des mariages offertes le soir à tous les invités parce que les mariés n'avaient pas de place dans leur petit appartement
Non mais ? et ça à la place d'un cadeau
. . . dans les années 90/2020 on avait supprimé les pots de plantes définitivement des intérieurs . . .
c'était dans les maisons de maitre et châteaux dans les années 1920/1930 qui possédaient presque toutes une verrière et c'est là où on les plaçait par dizaine avec de jolis meubles en rotin et des loupiotes comme aujourd'hui
aujourd'hui c'est très différent on croirait presque que c'est vital : rassurez vous ça ne durera pas car tout le monde n'a pas la main verte LOIN DE Là
ce qui est joli c'est de les rassembler là ou elle s vont être à leur aise et offrir le meilleur d'elles mêmes
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elles sont hyper jolies . . . j'aime particulièrement lorsque les pots sont placés dans des vanneries différentes je trouve ça plus chic mais surtout plus cosy plus dans l'R du temps