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el lefébien
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je CRITIQUE et vous EXPLIQUE les images de déco, je DÉCORE, je DÉVOILE ma MAISON mon JARDIN, je COMMENTE les INFOS du jour les films et les séries en fait je PAPOTE comme devant un apéro ou un café . . . Il arrive aussi que je TRICOTE et que je CROCHÈTE
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26 février 2020

LE C à LIRE . . . suite : le CORONAVIRUS

je sais que vous savez lire

oui moi aussi  mais je  peux parier aussi qu'aucun d' entre vous  lisent nos quotidiens 

attention uniquement  lorsqu'il y a  des événements tels que celui -ci

mais je veux noter  sur le blog  ce dont on parle dans les quotidiens belges

et vous en faire un compte rendu

sans gouvernement

ici : nombre de jours sans gouvernement

déjà  là  :  nous,   on va devoir se "démerder" tout seul

coro

oui on est prêt ; c'est le CARNAVAL (m'enfin pourquoi mettre ce "bandeau")

coro liege

rtyurt

  la meuse

   tryer

dtyd

rrrrrrrrr

tyjt

et moi je suis à la FRONTIERE  non mais ???

tjyte

 SUITE  A PARTIR DE 13H

CORO

un president de tous les médecins

TYYYU

un médecin qui fait de la politique  arrivé au pied levé (un médecin qui fait de la politique pour moi n'est pas un médecin comme un médecin qui fait de la télé  on est en manque de médecin  partout ici aussi mais  . ..  ça importe peu aux yeux des gens )

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24 février 2020

LE C à LIRE . . . quelques petites informations SANTé et alimentation

 

Faites-vous cette erreur répandue au petit-déjeuner ?

 

fgyu

Faites-vous partie de ces personnes qui croient bien faire au petit-déjeuner et font pourtant l’inverse de ce que leur organisme réclame ?

Le jus d’orange est l’exemple le plus catastrophique., Un seul verre de jus d’orange contient autant de sucres qu’un coca. C’est le cas même si le fruit est pressé sous vos yeux et sans sucre ajouté.
Pire : le sucre du jus, faute d’avoir été ralenti par les fibre du fruit entier, devient presque aussi « rapide » que du sucre de table.

Il fonce dans votre sang, et force votre pancréas à produire en urgence une large dose d’insuline.

Résultat :

  • Au bout de deux heures, un « coup de pompe » : l’insuline finit par faire chuter votre sucre sanguin et vous risquez l’hypoglycémie légère.
  • Au bout de 30 ans d’excès : un risque accru de surpoids, de diabète, d’hypertension et un vieillissement accéléré de chacune de vos cellules. 

En 2015, l’Université de Harvard a estimé à 184 000 le nombre de décès attribuables aux boissons sucrées, sodas et jus de fruit. Et ce n’est qu’un exemple des erreurs les plus courantes commises au petit-déjeuner.

Se tromper sur le « bon » petit-déjeuner ne pardonne pas


Il n’est pas exact que « le petit-déjeuner est le repas le plus important de la journée » - vous verrez que certains gagnent à s’en passer. Mais il est vrai que c’est LE repas où vous ne devez pas vous tromper. Car l’erreur se répète chaque matin. Tous les jours, jusqu’à la fin de votre vie – tandis que nos autres repas sont plus variés.

La conséquence ? Pas seulement une moins bonne humeur et un manque d’énergie au quotidien. Pas uniquement un tour de taille qui s’élargit dangereusement.Mais une atteinte plus insidieuse à votre santé de long terme. Et un risque accru, à mesure que vous vieillissez, de contracter des maladies comme l’arthrose, l’ostéoporose ou même la dégénérescence du cerveau

Pain, lait, confiture ne sont pas des aliments santé


Vous n’avez pas besoin d’un nutritionniste pour savoir que vous devez éviter de manger chaque matin des croissants, viennoiseries et autres gâteries bourrées de sucre, de graisses saturées et d’autres substances nocives comme l’acrylamide (cancérigène).  Mais peut-être pensez-vous que le petit-déjeuner « à la française » - pain, lait, confiture – est recommandable.  Pour le pain, le problème est le même que celui du jus d’orange – aussi bizarre que cela puisse paraître.

Car contrairement à ce qu’on a longtemps cru, le pain est un sucre rapide.  Que vous preniez de la baguette ou du pain complet, le problème est le même : leur indice glycémique (qui reflète la rapidité du passage du sucre dans le sang) est supérieur au sucre de table. En excès, c’est la prise de poids assurée.  Si vous tenez à votre tranche de pain le matin – ce qui est compréhensible ! –, préférez les pains multi-céréales au levain, leur indice glycémique est moins élevé. Même chose pour la confiture. Seules celles drastiquement allégées en sucre sont acceptables. Les autres ont une charge glycémique trop élevée.   Mangez donc les fruits frais, entiers – plutôt que « transformés », cuits et baignés de sucre.

Les confitures « faites maison » classiques n’échappent pas à la règle, hélas. Savourez-les donc à petite dose, dans de belles occasions, mais pas tous les matins. A choisir, il vaut mieux tartiner son pain de beurre plutôt que de confiture. Car contrairement à ce qu’on a raconté pendant des années, le beurre est plutôt un aliment recommandable, qui contient de bons acides gras et des vitamines (A, E et K2).

L’idéal étant de prendre du beurre « clarifié », c’est à dire débarrassé des mauvais sucres et protéines du lait (lactose et caséine).  Car le lait, justement, est à éviter. La majorité des Occidentaux ne digèrent pas correctement le lactose. D’autant plus que le lait de vache contient plusieurs hormones bovines (insuline, estrogène) inadaptées au corps humain, ainsi que des « facteurs de croissance » qui pourraient stimuler les cellules cancéreuses.

Un veau nourri au lait de vache passe de 30 à 200 kilos en 6 mois. Laissez-lui ce lait fabriqué sur mesure pour ses besoins à lui !   Et contrairement à ce qu’on raconte souvent, le lait n’est pas bon pour vos os. Des précurseurs comme le Professeur Joyeux ou le journaliste scientifique Thierry Souccar le disent depuis des années.

Mais c’est désormais admis par tous les experts indépendants (l’Université de Harvard, le British Medical Journal, etc.). Une synthèse d’étude publiée en 2015 l’a réaffirmé : le calcium de l’alimentation ne réduit pas le risque de fracture . . .   D’ailleurs, les pays les plus touchés par l’ostéoporose (un affaiblissement des os) sont aussi ceux qui consomment le plus de lait ! Les Japonais, qui n’en consomment pas, ne connaissent quasiment pas cette maladie. . . .    Il n’y a plus guère que les « experts » ayant des contrats avec l’industrie du lait qui continuent mordicus de conseiller « trois produits laitiers par jour ».

Mais je sais que je touche un point sensible.  
Ma propre mère avale tous les matins un grand bol de lait depuis sa tendre enfance, et aucun argument au monde ne pourrait lui faire totalement renoncer. Mais, harcelée (gentiment) par mes soins, elle a divisé la quantité par deux et choisit désormais son lait bio, qui contient moins de « facteurs de croissance ».  Cette méthode des petits pas est d’ailleurs efficace : plutôt que de tout révolutionner d’un coup, mieux vaut parfois réaliser des petits ajustements progressifs qui peuvent faire une réelle différence sur le long terme.
Comme de limiter sa consommation de céréales.



Les céréales, le müesli ? Pas l'idéal

A titre personnel, lorsque j’ai commencé à me préoccuper de mon alimentation, j’ai cru faire un pas immense dans la bonne direction en décidant de faire une place de roi aux céréales. Fini les petits pains industriels tartinés de confiture : place à cet aliment que tout le monde vante : les céréales complètes, plongées dans du yaourt nature !

En fait, j’étais encore loin du compte.  La plupart des céréales du commerce sont des bombes à sucre. Regardez l’étiquette : dans les ingrédients, le sucre est souvent cité en deuxième ou troisième position (plus il apparaît tôt dans la liste, plus un aliment en contient).

Le résultat est le même que pour le jus d’orange, le pain classique et la confiture : un coup de fatigue à 11h et des risques de maladies accrues sur le long terme.

Si vous ajoutez à cela le mode de cuisson à haute température, qui accroît encore leur indice glycémique, vous comprenez que ce sont de véritables « junk food », dont les enfants devraient être les premiers protégés.   (Si vous me demandez mon avis, avant de s’attaquer au vin rouge, nos autorités devraient obliger les industriels à inscrire un avertissement énorme, en rouge, sur les boîte de céréales. Et faire comme pour les paquets de cigarette : imposer le paquet de céréales uniques, sans marketing).

Mais si vous, adultes qui me lisez, ne pouvez pas vous passer de céréales le matin, alors voici quelques astuces pour les choisir :

  • Limitez le sucre – choisissez les marques qui ont moins de 5 grammes par portion ;
  • Choisissez les céréales riches en fibres – au moins 3 grammes par portion ;
  • Choisissez les céréales non grillées, comme les flocons d’avoine – si vous supportez le gluten (car l’avoine contient également du gluten) ;
  • Mangez vos céréales avec des protéines. Mais plutôt que de les tremper dans le lait, préférez le yaourt nature, idéalement au soja, sinon au lait de chèvre ou brebis.

Tout ceci fait un petit-déjeuner parfaitement acceptable, surtout si vous y ajoutez ces « super-fruits » peu sucrés que sont les myrtilles, mûres ou framboises, bourrés d’anti-oxydants favorables à votre santé.    Ce sera le jour et la nuit… par rapport à un petit-déjeuner fait de pain à la confiture, de céréales soufflées enrobées de sucre et d’un bol de lait.
Mais si vous cherchez l’idéal, vous n’y êtes pas encore tout à fait.


Et si vous essayiez le salé ?

Des œufs, des noix, avec du jambon cru ou du saumon fumé (sauvage) le week-end, et, si vous avez le temps, des légumes cuisinés ou en jus : voilà de vrais ingrédients santé !

Oui, des œufs, chaque matin.

Ce n’est pas seulement un régal pour les papilles (mes anciens petits-déjeuners sucrés ne me manquent pas une seconde !), c’est aussi un des meilleurs aliments santé qui existe !

Ils contiennent du cholestérol ? Aucun problème. Je répète pour que ce soit bien compris car la désinformation sur ce sujet est sévère : à moins d’avoir des problèmes de santé spécifiques (hypercholesterolémie, diabète), vous ne prenez aucun risque à consommer deux œufs (bio) tous les jours.

La raison est simple. Le jaune d’œuf contient effectivement une dose importante de cholestérol. Et on a longtemps pensé que ce cholestérol alimentaire allait directement dans vos artères.  Mais on sait aujourd’hui que l’essentiel de votre cholestérol est produit par votre foie qui joue le rôle de « thermostat » : si vous ingérez du cholestérol alimentaire, votre foie va naturellement réduire sa propre production.  
En fait, votre cholestérol sanguin n’augmente structurellement que lorsque votre foie est dépassé par une mauvaise alimentation générale et une hygiène de vie approximative.
Devant l’accumulation de preuves scientifiques, les autorités de santé américaines ont d’ailleurs fini par reconnaître ce qui est devenu l’évidence.

En 2015, leur comité d’expert a écrit noir sur blanc qu’il est inutile de s’inquiéter de la quantité de cholestérol dans son alimentation. C’est pourquoi, d’ailleurs, vous avez le droit de manger du beurre

Les œufs sont des merveilles de la nature. (mais combien je suis d'accord oui je sais on s'en fou mais je l'ai toujours dit )

Le jaune d’œuf est rempli de vitamines et nutriments indispensables à votre santé. Il est riche en choline, un nutriment qui protège cerveau contre Alzheimer, et en lutéine, qui protège vos yeux de la dégénérescence liée à l’âge.

Le jaune est gras ? Oui, mais ce sont d’excellentes graisses pour votre cœur, comme celles de l’avocat ou des oléagineux (noix, noisettes, amandes).   Quant au blanc d’œuf, il est composé à 100 % de protéines, qui est le meilleur type d’aliment à prendre au petit déjeuner !


Pas de petit-déjeuner sans protéines !


D’innombrables études ont montré que prendre des protéines plutôt que des céréales au petit-déjeuner favorise la perte de poids. [6] 

Les protéines donnent un meilleur sentiment de satiété, tandis que les glucides (sucres), surtout s’ils sont rapides, donnent davantage envie de se resservir.

Et contrairement à une idée reçue, vous n’avez pas besoin de la moindre dose de sucre pour bien « démarrer » la journée.

Au contraire, les protéines favorisent la production de dopamine, un neuromédiateur qui permet au cerveau d’être alerte et productif. La dopamine est idéale le matin pour vous donner l’entrain la motivation dont vous avez besoin.

Si vous ne supportez pas les œufs, faites comme nos amis nordiques, qui mangent du hareng mariné le matin.

 

Bon, d’accord, c’est peut-être un peu extrême dès le matin. Heureusement, il reste d’autres sources de protéines animales (le poulet, le saumon, le jambon cru) et végétales si vous ne consommez pas de viande (légumineuses).


Régalez-vous, variez les saveurs !


Pour peu que vous en preniez l’habitude, le petit-déjeuner salé est un régal sans cesse renouvelé.

Vous pouvez varier les plaisirs à volonté :

  • Œuf à la coque avec une tranche de jambon, éventuellement un demi-avocat arrosé d’un filet d’huile d’olive et de colza et d’un peu de citron ;
  • Des œufs brouillés avec des légumes (carottes, brocolis, épinards) frits avec de l’huile de coco, avec un peu d’épices ;
  • Des œufs au plat mélangés à d’autres légumes avec de l’huile d’olive, du beurre clarifié, du jus de citron et du yaourt grec ;
  • Une quiche (sans gluten si possible) au chèvre, champignon et épinards ;

Cela dit, si rien de tout cela ne vous fait envie, personne ne vous force à manger le matin.



Une alternative : et si vous vous passiez de petit-déjeuner ?

 

Car sauter le petit-déjeuner pourrait être ce qui vous convient le mieux.  On a longtemps déconseillé cette pratique parce qu’on observait statistiquement que ceux qui prenaient un petit déjeuner était en meilleure santé que les autres.    Mais on a fini par en comprendre la raison : le mode de vie de ceux qui sautaient le petit-déjeuner était en moyenne plus malsain : ils fumaient plus, buvaient plus et faisaient moins d’activité physique.
Aujourd’hui, on sait désormais que l’impact du petit-déjeuner dépend des personnes. Certains supportent mal de s’en passer.

D’autres, au contraire, voient leur tour de taille s’améliorer et leur sucre sanguin se stabiliser, grâce à ce « jeune intermittent » de 20h du soir à 12h le lendemain. Le mieux est donc de suivre votre instinct : ressentez-vous le besoin de manger le matin ? Est-ce un plaisir ou une obligation ? Comment vous sentez-vous dans la journée ?


Essayez, jugez par vous-même



Faites l’essai. Pendant 3 à 5 jours d’affiliés, essayez l’une de ces formules :

  • Sucré, mais à indice glycémique faible et un peu protéiné : flocons d’avoine, yaourt nature, fruits et noix ;
  • Salé : œufs, légumes, jambon cru ;
  • Sauter le petit-déjeuner.

Observez les effets sur votre énergie, votre concentration, votre vigilance. Et ce que vous dit votre corps.  Et choisissez, parmi les trois, le petit-déjeuner qui vous apporte le plus de plaisir : c’est le seul moyen de le tenir dans la durée !

Bonne santé !

je ne suis pas médecin ni devin  ni spécialiste je laisse tout ça au docteur  fgyu

Xavier Bazin

druer

23 février 2020

LE C à LIRE . . . quelques petites informations SANTÊ alimentation

Les 8 plus gros mensonges

 

officiels

 

sur l’alimentation

 

fgyu

 

Chers amis de la santé globale,

C’est malheureux, mais les recommandations des nutritionnistes « officiels » sont souvent à mille lieues des enseignements de la science et du bon sens.Pourquoi ? Parce que l’alimentation est au cœur d’intérêts politiques, industriels et financiers puissants !

Voyez plutôt les 8 énormes mensonges qu’on entend quotidiennement dans les grands médias… et qui nuisent gravement à votre santé.


Mensonge n°1 : Il faut manger « un peu de tout »


Combien de fois ai-je dû supporter cette vieille rengaine ? « Manger équilibré » ce serait tout simplement « manger un peu de tout ».

Si l’on suit cette logique, cela voudrait dire qu’il faudrait manger « un peu de frites », « un peu de charcuterie », « un peu de viennoiseries industrielles », « un peu de pain blanc », « un peu d’huile de tournesol », « un peu de glace », boire « un peu de coca-cola ».

Vous voyez le problème…   Manger « de tout » était un bon conseil quand toutes ces cochonneries n’existaient pas. Il était alors utile de varier les plaisirs au sein du cercle des aliments bons pour la santé (fruits, légumes, viandes, poissons, œufs, noix).

Mais dans la jungle alimentaire que nous connaissons aujourd’hui, s’il y a une règle à suivre, c'est de manger le plus possible de bonnes choses, et le moins possible de mauvaises.

Manger « de tout » est d’autant plus inadapté qu’il existe des catégories d’aliments qui ne conviennent absolument pas à certaines personnes.

Par exemple,

les féculents sont bons pour les sportifs… mais désastreux pour les diabétiques.

Le lait et le blé peuvent être consommés avec modération par ceux qui les tolèrent, mais doivent être évités à tout prix par ceux qui les digèrent mal.

Ces derniers ne mangeront donc pas de « tout »… mais cela n’a aucune importance !

Car le lait ou les céréales ne contiennent aucun nutriment qu’on ne peut retrouver dans d’autres aliments (certaines variétés de choux contiennent plus de calcium que le lait).

Même les fruits peuvent être évités sans dommage pour la santé – du moment que vous consommez un maximum de légumes variés.

Quant au régime végétarien, sans viande ni poisson, il est plus compliqué à équilibrer, mais pas impossible si vous avez une excellente connaissance de la nutrition !


Mensonge n° 2 : Surtout pas plus de trois œufs par semaine !


« Les œufs sont pleins de cholestérol ! Limitez-les au maximum, pour le bien de votre cœur et de vos artères ! »

Et voilà comment un slogan sorti des années 1970 a privé inutilement des millions de personnes d’un des aliments les plus sains de la planète.

Car cela fait maintenant des années qu’on le sait : le cholestérol contenu dans les aliments n’a aucune influence négative sur votre cholestérol.

La raison est simple : c’est le foie qui produit l’essentiel du cholestérol de votre organisme.

Lorsque vous avalez du cholestérol contenu dans les aliments, le foie réduit d’autant sa propre « production ». C’est pourquoi vous pouvez avaler 3 œufs par jour sans que votre cholestérol (LDL) ne bouge d’un iota.

Aucun risque, donc, pour votre cœur. Des études portant sur des centaines de milliers de personnes ont montré de façon répétée que ceux qui consomment beaucoup d’œufs n’ont pas plus de risque que les autres de développer une maladie cardiaque.

Face à cette avalanche de preuves, les autorités américaines ont fini par changer leur fusil d’épaule. Les nouvelles recommandations officielles, publiées en 2016, contiennent enfin, noir sur blanc, l’aveu qu’il est totalement inutile de réduire sa consommation d’aliments riches en cholestérol.

Et cela tombe bien, car ce sont souvent des aliments extrêmement sains, comme les fruits de mer, le foie de veau (et autres abats) ou les sardines. Quant à l’oeuf, c’est un véritable « super-aliment » qui mériterait être consommé tous les jours.

Le blanc d’œuf est composé à 100 % d’excellentes protéines, idéales pour le petit-déjeuner. Et le jaune est rempli de vitamines (A, B2, B5, B6, B9, B12, D, E et K), d’anti-oxydants ainsi que de « choline », un nutriment rare qui protège votre mémoire.

D’ailleurs, saviez-vous à quoi l'ex doyenne de l’humanité, l’italienne Emma Morano (elle a vécu jusqu'à 117 ans !), attribuait son incroyable longévité ? Aux trois œufs qu’elle mangeait tous les jours, depuis l'âge de vingt ans !

MOI JE RAFFOLE DES OEUFS


Mensonge n°3 : Remplacez le beurre par l’huile de tournesol


Priver les citoyens d’un « super-aliment » est dommage. Mais il est beaucoup, beaucoup plus grave de leur conseiller d’avaler un aliment toxique.

C’est ce qui s’est produit dans les années 1970 (encore !), lorsque l’on a commencé à dire aux gens de remplacer les graisses animales, comme le beurre, par des huiles végétales, comme l’huile de tournesol ou de maïs.

Or on sait aujourd’hui que ces deux huiles font partie des aliments les plus nocifs qui existent.

Le problème est qu’elles sont bourrées d’omégas-6, dangereux lorsqu’ils sont consommés en excès : ils augmentent votre risque de surpoids, de diabète… et de crise cardiaque !

Etait-il au moins justifié de recommander de réduire les graisses animales, pour éviter de boucher les artères ?
Même pas.
On s’est aperçu que le régime traditionnel des Eskimos (inuits) était composé presque exclusivement de viandes et poissons extrêmement gras comme le phoque, la baleine, le morse ou le renne…

cela ne les empêchait pas d’avoir un des taux de maladie cardiaque les plus bas au monde !

En réalité, il n’existe aucun lien entre la consommation de graisses animales dites « saturées » et le risque de maladie cardiaque. C’est ce qu’a conclu le rapport de référence de 2010 sur le sujet, qui incluait 21 études et 347 000 personnes suivies.

Pour enfoncer le clou, deux chercheurs ont publié en avril 2016 les résultats d’une étude datant des années 1970, qui sont d’autant plus explosifs qu’ils ont été camouflés pendant près de 30 ans.

A l’époque, les chercheurs avaient sélectionné 9 000 personnes qui vivaient en établissement médicalisé, et dont ils pouvaient contrôler le régime alimentaire à 100 %.

Pendant des années, la moitié d’entre eux a suivi un régime alimentaire « classique », relativement riche en graisses saturées (beurre, fromage et viande). L’autre moitié s’est vu priver d’une bonne partie de ces graisses et, pour compenser, a consommé une dose importante d’huile de maïs.

Eh bien au bout de cinq ans, les pauvres cobayes du deuxième groupe ont eu deux fois plus de crise cardiaque que ceux du premier (41 % contre 21 %) !

Voilà ce qui arrive quand on demande aux gens de consommer massivement des produits industriels (huile de maïs ou de tournesol) qui n’ont jamais fait partie du régime traditionnel d’aucun peuple sur la planète ! (les huiles d’olive et de colza, elles, sont consommées depuis des millénaires et sont précieuses pour la santé).


Mensonge n°4 : Le « sans-gluten » est une mode stupide

 On présente souvent le « sans-gluten » comme un « effet de mode », un « nouveau snobisme », voire même « un régime risqué ».

Mon propre médecin m’a regardé avec pitié, il y a des années, lorsque je lui ai parlé d’arrêter le gluten.
Pour la médecine officielle, si vous ne faites pas partie des 1 % de la population intolérante au gluten (maladie coeliaque), vous n’avez aucune bonne raison de vous en priver.
Mais si vous écoutez les patients, vous entendez un tout autre son de cloche.

Ils sont de plus en plus nombreux à arrêter le gluten, et à témoigner du bien que cela leur a fait : fini les problèmes digestifs qu’ils traînaient depuis des années, fini les douleurs inexpliquées ou les fatigues anormales.

Et pourtant, Dieu sait qu’il est pénible de devoir manger sans gluten 365 jours par an. C’est une protéine contenue dans les céréales comme le blé ou l’orge, et que l’on trouve donc dans la plupart des pains, des pâtes, des sauces et des gâteaux.

Manger « sans gluten » est donc un parcours du combattant dès que l’on sort de chez soi et que l’on mange à la cantine, au restaurant ou chez des amis.

Ceux qui suivent ce régime ne le font pas par gaieté de cœur, et encore moins par effet de mode… mais bien parce qu’ils en constatent les effets sur leur santé !

Et la science leur donne raison.
Car le blé d’aujourd’hui n’est pas le même qu’au début du 20ème siècle. Par croisements génétiques, le blé moderne contient 42 chromosomes, là où le blé ancestral n’en avait que 14.
Et l’un des effets de ce blé « mutant »… est qu’il contient beaucoup plus de gluten qu’avant !
Or la gliadine du gluten produit un effet désastreux sur votre intestin : il le rend plus perméable, plus poreux. [4]

C’est dangereux, car votre intestin risque alors de laisser passer dans le sang des fragments d’aliments, ce qui peut déclencher des réactions inflammatoires, des douleurs… et même des maladies auto-immunes.

Voilà pourquoi tout le monde gagnerait à réduire sa consommation de gluten, y compris ceux qui le supportent très bien.

Le seul « risque » que vous prenez, c’est de vous priver d’aliments peu recommandables comme le pain, les pâtes et la plupart des produits industriels… et de devoir compenser ce « manque » en mangeant plus de fruits, de légumes et de bonnes graisses !


Mensonge n°5 : Buvez un bon jus d’orange le matin !

La plupart des gens s’imaginent que les jus de fruit sont bons pour la santé.

Et le très officiel Programme National Nutrition Santé (PNNS) les conforte dans cette erreur. Pour ces « experts », un verre de jus « compte » comme une portion de fruit. 

Ce n’est pas seulement faux: c’est dangereux.
Car un verre de jus d’orange contient autant de sucre qu’un Coca Cola, avec les mêmes effets désastreux sur votre santé

Pour les chercheurs de l’Université de Harvard, les boissons sucrées (sodas ET jus de fruits) sont responsables de 133 000 décès par diabète, 44 000 décès par maladie cardio-vasculaire et 6 000 décès par cancer. [5]

Car le sucre est l’ennemi numéro 1 de votre santé.
Les Français consomment 17 fois plus de sucre aujourd’hui qu’au 19ème siècle. Et comme par hasard, cette nouveauté a coïncidé un peu partout avec une augmentation vertigineuse de l’obésité, du diabète et de la quasi-totalité des maladies modernes. 

Le pire est le fructose ajouté, que l’on trouve dans les pâtisseries mais aussi la plupart des produits industriels, sous forme de « sirop de maïs » ou « sirop de fructose-glucose ». 

Quant au sucre de table, composé à 50 % de fructose et à 50 % de glucose, il faut savoir qu’il est la nourriture privilégiée des… cellules cancéreuses ! Plus vous consommez de sucre, plus vous risquez de déclencher un cancer… et de l’alimenter. 

Voilà pourquoi il est si important de réduire au maximum sa consommation de sucre, y compris celui des jus de fruit, même s’ils ont été soigneusement pressés par vos soins. 

Et ne croyez surtout pas que manger un fruit entier équivaut à boire du jus de fruit.
D’abord parce que le jus empêche de vous rendre compte de la quantité de sucre que vous avalez. Saviez-vous qu’un seul verre de jus contenait le sucre de deux oranges ? Et que pour produire 1 seul litre de jus, il faut 2 à 3 kilos d’orange ?

Et surtout, les fibres du fruit ont l’avantage de « ralentir » le passage du sucre dans le sang. Lorsque le fruit est réduit en jus, sans les fibres, il augmente brutalement votre taux de sucre sanguin et force votre pancréas à injecter une dose massive d’insuline pour rétablir la situation. 

Résultat : au bout de deux heures, c’est l’hypoglycémie. C’est la fameuse fringale de 10-11h, après un petit-déjeuner sucré. Au bout de quelques mois, c’est la prise de poids… Et au bout de quelques années, c’est l’ensemble de vos cellules que vous endommagez. 

Voilà l’effet que les sucres « rapides » produisent sur votre organisme… Et le pain n’y fait pas exception :


Mensonge n°6 : Le pain complet est la base d’une alimentation santé

Ah, le pain complet, les céréales complètes, voilà qui sonne « sain », n’est-ce pas ? 

Malheureusement, les choses ne sont pas si simples.
Les nutritionnistes recommandent le pain complet car il contient une dose correcte de fibres et des vitamines (contrairement au pain blanc, très pauvre nutritionnellement).
Mais c’est loin d’être un aliment irreprochable.
Le pain complet contient beaucoup de gluten, de sel et de pesticides (lorsqu’il n’est pas bio).

Et contrairement à ce qu’on croit trop souvent, c’est un « sucre rapide ».

On le sait grâce à la mesure de son « index glycémique », qui reflète la rapidité avec laquelle les aliments augmentent votre taux de sucre sanguin.
Eh bien l’indice glycémique du pain (blanc ou complet) est très élevé (71), et même légèrement supérieur à celui du sucre de table (67) !

Lorsque vous mangez du pain, votre taux de sucre dans votre sang augmente brutalement, et comme on l’a vu avec le jus d’orange, cela finit par dérégler votre appétit, favoriser le surpoids et accélérer le vieillissement de vos cellules. 

Choisir des aliments à indice glycémique bas est donc un des gestes les plus importants que vous pouvez faire pour votre santé… et votre tour de taille. 

Si vous tenez à votre pain quotidien, préférez le pain complet au levain (bio), qui a l’avantage d’avoir un indice glycémique un peu plus bas. 

Mais ne croyez surtout pas que le pain complet, ou les céréales complètes en général, sont des aliments indispensables à une alimentation « santé ». Vous trouverez davantage de bonnes fibres et de vitamines dans les légumes.


Mensonge n°7 : les compléments alimentaires sont inutiles et dangereux

Quand on écoute les médias, les autorités ou les médecins, on a souvent l’impression que les compléments de vitamines, minéraux et autres micro-nutriments sont au mieux de la poudre de perlimpinpin, et au pire des poisons en puissance.

Il est vrai qu’il existe de véritables arnaques, particulièrement dans le domaine de la « minceur » : non, évidemment, vous ne perdrez jamais 5 kilos par mois en avalant des pilules !

Mais n’oublions pas que de nombreux médicaments ne valent pas mieux. D’après les Professeurs Even et Debré, plus de la 1/2 des médicaments vendus en pharmacie sont inutiles… avec des effets secondaires parfois effrayants.

Les compléments alimentaires, eux, sont inoffensifs dans l’immense majorité des cas. Et si vous les choisissez bien, ils peuvent faire une grande différence pour votre santé.

Car contrairement à une idée reçue, il ne suffit pas de « manger équilibré » pour ingérer toutes les vitamines et minéraux dont votre corps a besoin.

L’exemple le plus évident est la vitamine D. C’est une vitamine qui a la particularité d’être quasiment absente des aliments… et d’être synthétisée par notre organisme uniquement lorsque notre peau est exposée au soleil !

Et comme nous passons l’essentiel de notre temps entre quatre murs, il est très fréquent d’être en carence aujourd’hui. Selon une étude publiée en 2012, pas moins de 80 % des Français sont en déficit de vitamine D !

C’est un chiffre dramatique quand on sait qu’une carence en vitamine D est associée à un risque plus élevé de mourir d’accident cardiaque, de cancer ou d’infection.

Je suis obligée de prendre DES PERLES dosage 3.000  de VD ma prise de sang a légèrement monté en VD j'étais largement sius la barre

Voilà donc un premier complément alimentaire que presque tous les Français devraient prendre, tous les jours, la vitamine D !

Mais ce n’est pas le seul.
Un effet pervers du développement de l’agriculture intensive est que les fruits et légumes sont désormais beaucoup moins nutritifs qu’avant.
Des chercheurs ont calculé qu’une pomme d’aujourd’hui contient 100 fois moins de vitamine C qu’il y a 50 ans ! Et si vous voulez obtenir la même dose de vitamine A contenue dans une orange de la même époque, vous devez désormais en consommer 21 ! 

evidemment il n'y a plus de sélnium dans la terre par exemple tous les pesticides  insecticides ont tout détruit la terre n'est plus du tout ce qu'elle était il y a 60 ans c'est d'une logique implacable

Voilà pourquoi des nutritionnistes éminents, comme le professeur Willet de l’Université de Harvard, recommandent à tous, en plus d’une alimentation équilibrée, de prendre chaque jour un complément multivitamine de qualité.

 Mensonge n°8 : Les produits laitiers sont nos amis pour la vie


Tout le monde l’a entendu au moins une fois : il faudrait manger « au moins 3 produits laitiers par jour ». je n'ai jamais entendu ça de ma vie  . . .   5 fruits 5 légumes oui  et quelle vaste couillonnade  . . . qui mange 5 fruits par jour  ?   et le diabète dans tout ça
et le porte monnaie
C’est le conseil donné aux Français sans relâche depuis des dizaines d’années. Mais sur quoi repose-t-il vraiment… sinon sur l’influence du lobby laitier ?

On peut se poser la question quand on sait que les trois quarts de l’humanité ne possèdent pas l’enzyme permettant de digérer le lactose… et ne boivent donc pas la moindre goutte de lait à l’âge adulte.

Sont-ils pour autant en mauvaise santé ? Pas du tout. Les Japonais vivent même plus longtemps que les Européens, sans le moindre produit laitier.

Mais ne manquent-ils pas de calcium ? Leurs os ne sont-ils pas fragiles ?
Au contraire : ils subissent nettement moins de fractures que les scandinaves, qui sont pourtant les plus grands consommateurs de produits laitiers au monde !
En fait, la dose quotidienne de calcium indispensable à la santé de vos os est assez basse et très facile à atteindre sans la moindre goutte de lait.

Inutile, donc, de vous gaver de lait en croyant faire du bien à vos os. Et ce d’autant moins que les produits laitiers ont une face très sombre :

  • Le lait non bio contient de forts taux de pesticides ;
  • Le lait de vache est riche en hormones bovines (œstrogène, progestérone et insuline) utiles à la santé du veau, mais inadaptées à notre organisme ;
  • Et de nombreuses études ont établi que les gros consommateurs de lait ont plus de risque que les autres de contracter un cancer de la prostate. 

Et je ne vous parle pas des dégâts digestifs que peut causer le lait chez ceux qui le digèrent mal. Or les intolérants au lactose sont beaucoup plus nombreux qu’on ne l’imagine : en France, ils représentent environ 41% de la population !
Bref, ne vous forcez surtout pas à manger le moindre produit laitier. Et si vous les appréciez, essayez de ne pas dépasser une portion par jour, de privilégier le lait de brebis ou de chèvre… et de les choisir bio !

 

XAVIER BAZIN

23 février 2020

LE C à LIRE . . . suite : le CORONAVIRUS

la tempête souffle et ça devient infernal   . . .   PARCE QU' une tempête  et bien quand ça vous fait des dégâts si petits qu'ils soient :  ça coûte cher

Et comme vous le savez  . . .   ou pas  d'ailleurs  . . .     :   un ardoisier sur un toit voisin a vu les dégâts sur le mien  (ok j'avais vu une partie derrière  le faîtage qui s'était envolé ) mais j'ignorais que j'avais un trou   de 25/40 cm sur l'avant (??)

avec les pluies torrentielles que nous avons eues  après la première tempête  "ciara"   je pense que j'ai du dégât au grenier mais je n'ai pas le cran d'aller voir   - ras le bol je n'ai pas le moral pour tout ça ni la force de ranger  ou de caser quoique ce soit  -  MAIS je n'avais donc pas vu l'avant ni le pignon 

il est donc venu frapper durant son heure de repas  pour me dire qu'il fallait quelqu'un rapidement pour réparer : ajoutant qu'il avait assez de travail donc  , peu importe  à qui je faisais appel  . . . mais que ça se fasse puisqu'on annonçait encore une tempête pour le week end  ,   ce que je venais d'entendre aux infos avant qu'il frappe 

Il me conseillait de faire appel assez vite avant les prochaines tempêtes (qui a recommencé pour l'une d'entre elle jeudi soir vers 19 h durant quelques heures )   et  ça c'était jeudi  . . .

il m'a dit si vous désirez que je le fasse  j'accepte parce que je suis sur le toit à coté sinon je ne reviens pas vers vous plus tard j'ai du travail plus loin    . . .   j'ai accepté immédiatement puisque j'avais déjà tenté d'appeler mon ardoisier  quand j'ai vu l'arrière   et il l'a fait  fin de journée  (un peu plus de 2 h de travail à 2 )

Et il est 10h41 c'est insupportable  je parle des vents

---------------------------------------

j 'ai pris le  temps de lire  plein d'articles

je sais que la plupart ne s'informeront pas  et ça ce n'est pas normal

parce que  ça peut toucher TOUT LE MONDE

TOUT LE MONDE ENTIER

la libre belgique

le virus

AFP

Publié le samedi 22 février 2020 à 18h05 - Mis à jour le samedi 22 février 2020 à 18h45

.

Taux de mortalité, modes et niveau de contagion, période d'incubation: les chercheurs traquent l'épidémie provoquée par le nouveau coronavirus apparu en Chine, même si de nombreuses inconnues demeurent.

Quel taux de mortalité ?

Plus mortel que la grippe saisonnière, mais moins virulent que les précédentes épidémies liées à un coronavirus: voilà où semble se situer la dangerosité du nouveau Covid-19, même si l'on ne connaît pas encore avec précision son taux de mortalité.

Selon les derniers chiffres de l'OMS vendredi, 2.239 décès ont été recensés sur 75.569 cas confirmés en Chine continentale (soit 2,96%). Hors de ce pays, l'OMS comptabilisait vendredi 8 décès pour quelque 1.200 cas de contamination confirmés dans 26 pays et territoires. L'Italie et surtout l'Iran ont depuis annoncé de nouveaux cas mortels.

Le Centre chinois de contrôle et prévention des maladies a publié cette semaine une étude portant sur 72.314 cas confirmés, suspects, diagnostiqués cliniquement et asymptomatiques de la pneumonie virale, constatés en date du 11 février

Il s'agit de la plus importante menée depuis le début de l'épidémie et selon ses résultats la maladie est bénigne dans 80,9% des cas, "grave" dans 13,8% des cas et "critique" dans 4,7% des cas.

Le taux de létalité augmente avec l'âge et les plus de 80 ans sont les plus à risque, avec une mortalité de 14,8%. Les patients déjà atteints de maladies cardiovasculaires sont les plus menacés par une issue fatale, devant les diabétiques ou les personnes souffrant de maladies respiratoires chroniques ou d'hypertension.

Les estimations globales de taux de mortalité doivent toutefois être prises avec prudence car on ignore combien de personnes sont réellement infectées.

Quel niveau de contagion ?

Les spécialistes semblent s'accorder sur le fait que chaque malade infecterait entre 2 et 3 personnes (ce qu'on appelle le "taux de reproduction de base" de la maladie, ou R0). C'est plus que la grippe (1,3), nettement moins que la rougeole (plus de 12), et comparable au Sras (3).

Mais certains mettent en garde sur une sous-estimation possible du nombre de cas. Ainsi une étude vendredi de chercheurs de centre des maladies infectieuses de l'Imperial college de Londres "estime qu'environ les deux-tiers des cas de Covid-19 sortis de Chine sont restés indetectés au niveau mondial, avec pour résultat potentiel des chaines multiples non-détectées de transmission humaine hors de Chine

Le patron de l'OMS Tedros Adhanom Ghebreyesus a d'ailleurs exprimé vendredi sa "préoccupation" face au "nombre de cas sans lien épidémiologique clair, tels que les antécédents de voyage ou les contacts avec un cas confirmé".

Une des préoccupations pourrait être les cas asymptomatiques, avec des patients infectés ne présentant aucun signe de la maladie. La durée d'incubation, estimée selon les études entre deux et 10 jours, a conduit à fixer à 14 jours la période d'observation ou de quarantaine pour les cas suspects et les personnes rapatriées.

Quels modes de transmission ?

Le virus se transmet essentiellement par voie respiratoire et par contact physique.

La transmission par voie respiratoire se fait dans les gouttelettes de salive expulsées par le malade, par exemple quand il tousse.

Les scientifiques estiment que cela nécessite une distance de contact rapprochée (environ un mètre).

Pour se prémunir d'une contamination, les autorités sanitaires insistent sur l'importance des mesures-barrières :

se laver les mains fréquemment,

tousser ou éternuer dans le creux de son coude ou dans un mouchoir jetable,

porter un masque si on est malade...

Par ailleurs, la diarrhée pourrait être une voie secondaire de transmission.

Symptômes et traitements ?

"Les plus courants comprennent les troubles respiratoires, de la fièvre, une toux, un essoufflement et des difficultés respiratoires", indique l'OMS.

"Dans les cas les plus graves, l'infection peut entraîner une pneumonie, un syndrome respiratoire aigu sévère, une insuffisance rénale, voire la mort".

Il n'existe ni vaccin ni médicament contre le coronavirus, et la prise en charge consiste à traiter les symptômes.  Certains patients se voient malgré tout administrer des antiviraux, dont l'efficacité est en cours d'évaluation.

Quelle origine ?

Le nouveau coronavirus est sans doute né chez la chauve-souris, mais les scientifiques pensent qu'il est passé par une autre espèce avant de se transmettre à l'homme.

Des chercheurs chinois ont affirmé que cet animal intermédiaire pourrait être le pangolin, petit mammifère à écailles menacé d'extinction. La communauté scientifique internationale a jugé cette hypothèse plausible, mais elle devra être vérifiée. 

 EN FAIT ON NE SAIT RIEN FAIRE DU TOUT

19 février 2020

LE C à LIRE . . . SANTÉ faites gaffe

 faites gaffe

LE SUCRE LE SUCRE LE SUCRE (1)

C'EST TERRIBLE  voilà des années que je vous parle du sucre

protégez vos enfants  . . .  parlez aux plus grands

stop avec ces  TRES GROSSES "exagérations " d'allergies au GLUTEN  

c'est dans l'R du temps 

LE SUCRE LE SUCRE LE SUCRE (2)

ça fiche la trouille  vraiment

la mal bouffe

 1 . on ne  fait que parler régime

2. de proner  la commande de  cartons de  nourriture  (plats préparés ) et d'autres produits nécessaire pour les plats pour une semaine 

qui arrivent  par internet chez vous    - vous n'avez plus rien à faire  -   ce qui  VOUS LAISSE LE TEMPS DE VOUS PRÉLASSER DANS LE DIVAN ET DE PRENDRE ENCORE 15 KG DE PLUS   . . . . plus tard vous verrez

3. faites vos courses vous même (ce n'est pas gai moi non plus je n'aime pas) 

4. préparez tous vos plats  , faites toutes vos soupes . . .  au moins vous savez ce qu'il y a dedans

 

5. et puis quand on voit le prix d'un paquet de cigarette ???  10 e ?? qui peut encore se payer ça ? 

et on parle  des  "fast food "  ?? (très chers d'ailleurs)    alors qu on nous ferait croire qu' acheter ses plats tout préparés  au DELHAIZE  par exemple barquettes qui sont remplies de graisse  d'oie (pour  faire brillant et attirant  , puis de  sucre  )   a des prix dingues

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16 février 2020

LE C à LIRE

on aura peut être plus de détails plus tard 

 

nghjd

hkhy

uuuuuuuuuiilug

jk

hkhy

hkhy

hkhy

 

derniere page

pour suivre  les conseils IL FAUT IMPERATIVEMENT CONSULTER VOTRE MEDECIN

m^me si le plus souvent  c'est d'une grande LOGIQUE  on se doit  d'être en forme pour supprimer telles ou telles choses

 

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