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el lefébien
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je CRITIQUE et vous EXPLIQUE les images de déco, je DÉCORE, je DÉVOILE ma MAISON mon JARDIN, je COMMENTE les INFOS du jour les films et les séries en fait je PAPOTE comme devant un apéro ou un café . . . Il arrive aussi que je TRICOTE et que je CROCHÈTE
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28 mars 2020

LE C à LIRE . . . suite SANTÉ . . .

j'ai pris ces photos avec mon GSM
je suis en train de prendre mon petit déjeuner dehors  . . .     il fait magnifique  archi doux en ce moment  :  il est 9h45 
voici  et je le répète (c'est déjà sur le blog)   :  ce que je prends tous les matins
ainsi je ne regretterai RIEN 

20200328_092400

les perles de V.D  3000  c'est une prescription médicale (non remboursée)  que je prends depuis 2017 (avant je prenais des ampoules  et ça ne changeait en rien ma prise de sang était toujours dans le negatif limite en  urgence de prendre de fortes doses  puisque mon oassature est d'une fragilité terrible )  

je prends  une seule par jour : en entretien et ma prise de sang me dit que c'est bien   ce n'est pas ouffffffffffffffffff mais ça va 

ATTENTION   et ça je l'affirme : c'est MIRACULEUX  après 2 ou 3 mois quand on a des soucis  DE PEAU  dus aux  ALLERGIES    ET des crevasses aux doigts : essayez bon sang  

moi de mon coté je le dis  à ma mère mais elle ne fera toujours que le contraire de ce que je lui  DEMANDE DE FAIRE  : c'est à désespérer  

j'ai du racheter  de la V.C   j'ai arrêté en janvier  à la mer  . .  .  ce n'était pas cette marque mais celle -CI  est plus complete et de meilleur gout  : à boire en remplacement de votre jus d'orange PUR  

la V. ACE + sélénium j'en prends presque toute l'année    mais jamais en en juin -juillet- aout et septembre   

non je ne prends plus de OMEGA 3  depuis 5 ans   parce que simplement   -  c'est trop cher  -  en tous cas ma marque est trop cher . . .   et je n'en veux pas d'autre   . . .  alors en échange   je mange du saumon fumé   (ok c'est gras)  3 /4 x par mois  mais surtout  des boites de filets de maqueraux à l'huile d'olive  (c'est moins cher mort de lol)  

20200328_092415

et puis les 2 petites boites  .   ça je  prends uniquement UNE SEULE BOITE DE CHAQUE / UN SEUL  par jour POINT

évidemment que non tout ça ne va pas arranger les  "affaires"     :   je ne suis pas idiote à ce point 

mais j'ai toujours pris je ne vais pas changer aujourd'hui  

maintenant vous faites comme vous le voulez  . . . je vous donne mes petits trucs qui me paraissent etre de bonnes compositions

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28 mars 2020

LE C à LIRE . . . suite SANTÉ . . .

chloroquine contre coronavirus :

le cri de révolte du Dr Ménat

 

Vous le savez, je ne suis pas un inconditionnel de la chloroquine. . . .     Dès le 3 mars dernier, je vous disais que le rapport bénéfice/risque de certains traitements naturels était probablement supérieur, face au coronavirus.     Mais je vous disais aussi que, parmi les médicaments chimiques, c’était le plus prometteur.

Et c’est toujours le cas, au moment où je vous écris !     C’est pourquoi la polémique actuelle autour de la chloroquine et du protocole du Pr Raoult est invraisemblable.

Je vais vous expliquer pourquoi en détail    Vous allez voir la raison choquante pour laquelle les grands Professeurs de Médecine parisiens n’arrêtent pas de cracher leur venin sur le Pr Raoult et son traitement.

mon avis perso :

je trouve qu'il y va fort  non les médecins ne crachent pas sur lui du tout comme ça  . .  . il y a des contre et des pour  . . .  mais la polémique peut aussi faire avancer   . . .  les pour les contre font que ça peut  déclencher quelque chose de bon de positif

Mais d’abord, je vous invite à regarder cette vidéo du Dr Ménat, et à la partager d’urgence autour de vous.     Elle est en accès gratuit sur Youtube depuis jeudi, et elle fait fureur sur Internet, avec déjà plus de 100 000 vues. Dans cette vidéo de 10 minutes, le Dr Ménat pousse un énorme « coup de gueule » au sujet de la chloroquine – il faut absolument la voir et la diffuser  Dans cette vidéo, le Dr Ménat défend le protocole du Pr Raoult.

Mais aujourd'hui, je vais aller un cran plus loin

 

je vous transmets ce qu'on m'a envoyé  MAIS VOILA  ici je  DOUTE fortement ce  que je suis en train de lire 

maintenant à vous de juger



J'ai l'impression qu'on cherche à saboter son traitement prometteur.    Cela paraît fou, je sais.   Et pourtant :

On vous cache les résultats prometteurs

d’un médecin new-yorkais

Vous avez peut-être entendu parler de cet Américain qui est mort parce qu’il a avalé de la chloroquine.   Tous les médias en ont parlé – même le Ministre de la Santé !  Mais ce qu’ils ne vous ont pas dit, c’est que cet Américain a avalé du désinfectant pour aquarium (contenant de la chloroquine) !!!    Ce qu’il a avalé n’est pas le médicament chloroquine, et encore moins le médicament recommandé par le Pr Raoult (l’hydroxychloroquine).

Je suis désolé de le dire, c’est triste, mais cet Américain est mort de sa propre bêtise.    (Et je suis certain que des Français vont mourir d’une hépatite fulminante à cause des déclarations irresponsables du Ministre de la Santé sur l’intérêt du paracétamol contre le coronavirus – mais ces morts-là, on ne vous en parlera pas).

Une autre histoire dont les médias ne vous parlent pas, c’est celle d’un médecin new-yorkais, qui a des résultats très prometteurs avec le protocole du Pr Raoult.

Il s’agit du Dr Vladimir Zelenko, qui a développé le protocole suivant pour les malades du coronavirus avant leur hospitalisation :

  • Hydroxychloroquine : 200 mg deux fois par jour pendant 5 jours ;
  • Azithromycine : 500 mg par jour pendant 5 jours ;
  • Sulfate de zinc : 220 mg par jour pendant 5 jours.

Et les résultats semblent prometteurs.

Sur 350 patients traités, il rapporte :

  • Zéro décès ;
  • Zéro intubation ;
  • Zéro hospitalisation.

Tout cela, sans effet indésirable majeur, en dehors de 10 % des patients ayant eu des nausées et des diarrhées transitoires (un effet indésirable bien connu de l’azithromycine).   Je précise qu’il n’a pas appliqué ce traitement à tous les testés positifs au coronavirus.

Non, il l’a réservé aux patients ayant des difficultés respiratoires ET aux patients à haut risque ayant des symptômes légers.

Pour moi, le choix du Dr Zelenko est très pertinent, à tous points de vue :

  • Il traite les malades avant que leur état ne s’aggrave fortement (à ce moment-là, c’est trop tard pour appliquer le protocole du Pr Raoult) ;
  • Il ne traite pas tout le monde, mais seulement les malades à risque de mourir ou d’être intubés : il a raison car il n’y a aucune raison de faire subir des effets indésirables éventuels à des patients qui ont toutes les chances de guérir naturellement ;
  • Au protocole du Pr Raoult (hydroxychloroquine + azithromycine), il a ajouté du zinc, et il a bien raison ! C’est ce qu’on fait les Coréens du Sud, avec des résultats prometteurs.

Bien sûr, ces résultats ne valent pas une étude scientifique en bonne et due forme.    Mais vu l’urgence de la situation, il n’y a aucune bonne raison de ne pas l’essayer avec les patients les plus à risques – ceux qui risquent de mourir ou de finir en soins intensifs !    En plus, ce protocole ne coûte rien, ou presque : 20 euros environ par patient !   Et pourtant, le gouvernement français ne cesse de mettre des bâtons dans les roues à ceux qui voudraient le prescrire :

Réserver ce traitement aux cas les plus critiques

est une ABSURDITÉ !

Il y a quelques jours, le Haut conseil de la santé publique français a demandé de réserver le traitement du Pr Raoult « aux cas les plus graves ».    Réaction du Pr Raoult, avec son franc-parler : « Ce sont des conneries car il faut traiter avant que cela ne soit grave ».    Et il a raison, évidemment !    On sait que la charge virale est faible quand les patients sont dans un état grave : le virus a déjà fait tous les dégâts dont il est capable, et il est trop tard pour le combattre !

Voici ce qu’a très bien expliqué le Pr Raoult :

« On est en train de voir que les malades au moment où ils ont une insuffisance respiratoire, où ils rentrent en réanimation, en réalité, ils n’ont presque plus de virus.

C’est quand ils ont des formes modérées, moyennes ou qui commencent à s’aggraver qu’il faut les traiter parce qu’à ce moment-là, on contrôle les virus qui se multiplient.

Quand vous faites entrer des gens de plus 80 ans en réanimation, le problème ce n’est plus le virus. Moi, je plaide pour qu’on commence à traiter les gens avant. »

Et pourtant, les autorités françaises viennent de décider… le contraire !    Après plusieurs revirements, le gouvernement vient de publier un décret hyper restrictif :

« Ces prescriptions (d’hydroxychloroquine) interviennent, après décision collégiale, dans le respect des recommandations du Haut conseil de la santé publique et, en particulier, de l'indication pour les patients atteints de pneumonie oxygéno-requérante ou d'une défaillance d'organe » (décret du 27 mars[2]).

En clair, ils n’autorisent ce traitement que lorsque c’est trop tard !   Et bien sûr, ils le réservent aux médecins hospitaliers, ce qui empêche les médecins de ville d’utiliser ce traitement avant l’hospitalisation, au moment où il serait le plus prometteur !    En France, les médecins généralistes n’ont donc pas le droit de suivre l’exemple du Dr Zelenko, à New York.    Je vous le dis comme je le pense : il vaudrait mieux, pour nos autorités, que ce protocole se révèle inefficace, sans quoi ils auront des morts sur la conscience.

Et vous savez quoi ?     On dirait qu’ils se sont déjà organisés pour conclure à l’inefficacité de ce traitement !!    Ce n’est pas de la théorie du complot.

Lisez très attentivement ce qui suit :

L’aveu INCROYABLE, à la télé, du Pr Karine Lacombe,

égérie de Big Pharma

Scène hallucinante à la télé, le 24 mars dernier, sur LCI.    David Pujadas interroge Karine Lacombe, infectiologue et cheffe de service à l'hôpital Saint-Antoine à Paris.

Je précise que Karine Lacombe a tenu des propos hyper violents contre le Pr Raoult, quelques jours plus tôt :  

« Ce qui se passe à Marseille est scandaleux. Utiliser un médicament comme ça hors autorisation de mise sur le marché en exposant les personnes qui le prennent à des complications sans avoir vérifié les conditions d'utilisation de base, c'est en dehors de toute démarche éthique ».

Vous allez comprendre dans une seconde pourquoi cette femme est si « remontée » contre le Pr Raoult.

Mais d’abord, il faut voir (pour le croire) ce qu’elle a dit, le 24 mars, sur LCI :  

« Grâce à Didier Raoult, et on le remerciera pour ça, on a mis en place beaucoup plus rapidement que prévu les essais qu’il fallait et on montrera très rapidement que la chloroquine ne marche pas et que d’autres marchent »

Donc, Madame Lacombe sait déjà que la grande étude clinique européenne visant à évaluer la chloroquine montrera que ce médicament ne marche pas.    Pourtant, l’étude a commencé deux jours plus tôt, le dimanche 22 mars... alors comment pourrait-elle déjà connaître ses conclusions ?

Réponse : peut-être parce que tout a été fait pour qu’on conclut à l’inefficacité de la chloroquine !!

 Et en effet, dans l’étude Discovery :

  • Seuls les patients hospitalisés sont visés (dont beaucoup sont déjà en réanimation – donc pour eux, c’est trop tard !)
  • Et l’étude teste l’hydroxychloroquine seule, donc ni l’azithromycine, ni le zinc !

Bref, il y a en effet de fortes chances que cet essai clinique conclut à l’inefficacité de l’hydroxychloroquine… mais cela ne voudra pas dire que le protocole du Pr Raoult était inutile !   Et ce n’est pas tout : pourquoi la Pr Lacombe est-elle si certaine que « d’autres médicaments prouveront leur efficacité » ?

Serait-ce parce qu’elle touche de belles sommes d’argent des laboratoires qui commercialisent ces autres médicaments ??

C’est un fait : le Pr Lacombe a été rémunérée par :

  • Gilead, qui vient de lancer le Remdesivir, un anti-viral testé dans Discovery ;
  • et Abbvie, qui commercialise le Kaletra, un anti-VIH testé lui aussi dans Discovery (seul ou en combinaison avec une autre molécule)[5].

Bref, elle a touché de l’argent des laboratoires qui fabriquent les deux autres médicaments (hors de prix) testés dans l’étude Discovery.  Le plus fou, c’est qu’il n’y a aucune raison majeure de penser que ces médicaments ont de grandes chances de marcher.  Figurez-vous qu’on a déjà une étude fiable, publiée dans le New England Journal of Medicine montrant l’inefficacité du Kaletra . . .   Et en plus, ces médicaments anti-viraux ont des effets indésirables beaucoup plus graves que ceux de l’hydroxychloroquine.

D’après le Dr Ménat, certains anti-viraux testés sont même « hypertoxiques » !

Je rappelle aussi qu’on n’a aucun recul sur la dangerosité du Remdesivir de Gilead, qui n’est même pas encore commercialisé !    Alors qu’on a des dizaines d’année de connaissance sur l’hydroxychloroquine et l’azithromycine, qui ont des risques faibles et bien maîtrisés !!    On nage en plein délire !    Et je ne vois qu’une seule explication à tout ça : nos grands « pontes » sont arrosés d’argent par l’industrie pharmaceutique !

Tous les experts qui crachent sur le Pr Raoult

sont en conflit d’intérêts !!

Le cas du Pr Karine Lacombe n’est pas isolé, loin de là.    Je vous ai parlé dans mes dernières lettres du Pr Yazdanpanah, coupable d’avoir refusé de tester la chloroquine dès le début du mois de mars… et qui a été comme par hasard au conseil scientifique de Gilead et Abbvie.   Mais il y a encore beaucoup d’autres exemples !   Prenez François-Xavier Lescure, de l’hôpital Bichat à Paris, qui a également critiqué vertement l’hydroxychloroquine et le Pr Raoult.    Eh bien lui aussi a été au conseil scientifique du laboratoire Gilead] !    Même conflit d’intérêts pour un autre chef de service de la Pitié Salpêtrière à Paris[9]… et mêmes critiques acides de sa part contre la chloroquine !     Vous voyez comment fonctionne notre système médical ??

C’est une HONTE !!!  Et tout ça, en violation flagrante des règles éthiques les plus élémentaires !  Écoutez ce qu’a déclaré la courageuse Dr Nicole Delepine, sur Sud Radio :

« Il y a une loi en France qui dit que tout médecin qui s'exprime en public doit déclarer ses liens d'intérêt avec des laboratoires susceptibles de produire des produits que l'on va utiliser sur la maladie dont on discute »[11].

Mais aucun de ces « pontes » n’a révélé ses liens d’intérêt avant de parler à la télé !   Bref, vous voyez pourquoi il y a des raisons d’être en colère.   Cela fait des années que je dénonce la main-mise de Big Pharma sur notre santé.    Cette crise va-t-elle, au moins, permettre aux Français d’ouvrir les yeux ?

Espérons-le.      Transmettez ce message autour de vous.     Diffusez la vidéo du Dr Ménat.   C’est important.    Cette crise doit au moins servir à ça.

Je compte sur vous,

Xavier Bazin

PS : une note plus positive pour finir.

Les chiffres que vous donnent les médias ne sont pas les plus pertinents pour suivre l’évolution de l’épidémie.

  • Le nombre de cas positifs au coronavirus ne reflète que le nombre de tests réalisés (plus on réalise de tests, plus on trouvera de cas positifs) ;
  • Et le nombre de morts reflète l’intensité de l’épidémie 2 à 4 semaines plus tôt (ceux qui meurent du coronavirus n’en meurent pas immédiatement).

Le chiffre le plus fiable, en réalité, est le nombre d’hospitalisations en soins intensifs.

Et de ce point de vue, contrairement à ce qu’on vous dit, les chiffres italiens sont encourageants : l’Italie compte 30 % de patients en moins admis en réanimation depuis une semaine environ

16 mars 2020

LE C à LIRE . . . suite SANTÉ . . .

Huiles de cuisine

 

6 graves erreurs à éviter (la n°4 est la pire)


Cela peut paraître difficile à croire, mais bien choisir votre huile de cuisine est un des gestes les plus importants que vous puissiez faire pour votre santé.

Si vous faites le bon choix, vous pouvez sans effort améliorer votre tour de taille et gagner des années de vie en bonne santé.

A l’inverse, plusieurs huiles répandues ou « à la mode » augmentent drastiquement votre risque de mourir foudroyé par un infarctus.

Ce n’est donc pas le moment de vous tromper, surtout que vous en avalez probablement tous les jours, en assaisonnement ou en cuisson.

Mais comment s’y retrouver, au milieu de tant d’informations contradictoires… et tant d’huiles différentes ?

Entre

les huiles classiques – huile de tournesol, d’arachide, d’olive, de soja, de colza –

Les plus spécifiques – huile de lin, de pépin de raisin, de noix – et les franchement confidentielles – huile de perilla, de cameline, de son de riz ou de pépin de courge

il y a de quoi s’y perdre.

Heureusement, comme vous allez le voir, faire le bon choix est simple, moins coûteux qu’on ne le croit, et franchement délicieux.   Pour cela, il faut se défaire des 6 erreurs et contre-vérités qui empoisonnent nos cerveaux depuis les années 1970 :


Erreur n°1 

Se priver volontairement d’huile parce que ce serait « trop gras »


Vous auriez dû voir le visage abasourdi d’une bonne amie à moi lorsque, attablé à déjeuner, j’ai arrosé généreusement mes courgettes d’huile de colza.
 

« Comment fais-tu pour rester mince avec une telle habitude ?? »

Pour elle, les huiles végétales étaient très grasses, très caloriques. Et c’est incontestable :
  • Les huiles sont composées à 99 % de graisses (lipides) ;
  • Et les graisses sont très caloriques – pour être précis, un gramme de lipide est 2,25 fois plus calorique qu’un gramme de glucide (sucre) ou de protéine.
Mais cela ne veut pas dire qu’il faut éviter les graisses pour maigrir. C’est même une des erreurs nutritionnelles les plus malheureuses de ces 30 dernières années.   Car c’est le contraire qui est vrai : les graisses saines (huiles, avocats, noix, poissons gras) sont des atouts minceur car elles permettent d’arriver à satiété plus rapidement.   Vous serez « calé » plus facilement par des aliments riches en bonnes graisses que par des glucides comme le pain, les pâtes ou les pommes de terre.   Ainsi, les bonnes graisses vous permettent de manger moins de calories au total, sans que vous n’ayez besoin de vous restreindre.

On voit l’absurdité de la diabolisation du « gras » qui a eu lieu pendant des décennies. Heureusement, une prise de conscience est en train de se produire.

En 2013, la Suède a ouvert le bal. Après avoir passé en revu plus de 16 000 études scientifiques, son comité d’experts a reconnu que le meilleur régime contre l’obésité et le diabète était… un régime faible en glucides et non un régime faible en graisses.

Voilà pourquoi il ne faut surtout pas lésiner sur les huiles de qualité, même si elles sont « grasses ».

Ne pas lésiner, cela signifie prendre chaque jour :
  • Pour un homme : environ 4 cuillères à soupe d’huile
  • Pour une femme : environ 3 cuillères à soupe d’huile

C’est la dose qui vous permet d’avoir une alimentation bien proportionnée, composé d’un peu plus de 15 % de matières grasses ajoutées.
Mais attention à ne pas choisir n’importe quelle huile :

 

Erreur n°2 

Consommer les huiles végétales qui ruinent votre cœur – tournesol, maïs, pépin de raisin


Ces huiles sont à fuir à tout prix.   Aucun peuple sur terre n’en a fait une consommation traditionnelle. Il faut dire que leur méthode de production industrielle est tout sauf naturelle : ces huiles sont généralement extraites à haute température ou à l’aide de solvants pétro-chimiques.

Plus grave : elles regorgent d’omégas-6.

Les omégas-6 font partie, comme les omégas-3, des acides gras dits « essentiels », que notre organisme ne peut produire seul.

Ils ne sont pas mauvais en soi. Mais le problème est que notre alimentation moderne comporte beaucoup trop d’omégas-6 et insuffisamment d’omégas-3.

On estime que l’idéal santé se situe autour d’un ratio de 3 omégas-6 pour 1 oméga-3.  Mais depuis un demi-siècle, nous consommons en moyenne plus de 15 omégas-6 pour 1 seul oméga-3, soit un ratio de 15 pour 1 !

Ce déséquilibre a des conséquences désastreuses pour notre santé   :    Il augmente drastiquement le risque d’infarctus : plusieurs études ont montré que la consommation d’huiles végétales riches en omégas-6 favorise les maladies cardiaques ;

Il accélère le vieillissement et favorise les maladies inflammatoires chroniques (arthrose, diabète, etc.). La raison est que l’excès d’omégas-6 dégrade les cellules de notre corps en les soumettant à un « stress oxydatif » qui les conduit à rouiller progressivement (comme un morceau de métal abandonné à l’air libre) ;

Et comme si cela ne suffisait pas, l’excès d’omégas-6 est soupçonné de provoquer le cancer, et en particulier le cancer du sein.   Voilà pourquoi vous devez veiller à respecter un bon l’équilibre entre omégas-6 et omégas-3 dans votre alimentation.

Or

L’huile de tournesol a un ratio catastrophique de 71 pour 1.

L’huile de maïs de 57 pour 1.

L’huile de pépin de raisin, très à la mode, est l’une des pires, avec un ratio de 72 pour 1 !

Les consommer régulièrement, c’est se donner toutes les chances de se rendre malade.


Erreur n°3 

Se passer des fabuleux anti-oxydants de l’huile d’olive



L’huile d’olive est plus équilibrée, avec un ratio omégas-6 / oméga-3 de 11 pour 1.  Ce n’est pas encore l’idéal – d’autres huiles font beaucoup mieux, comme nous le verrons.   Mais il serait criminel de se priver totalement de cette huile traditionnelle, utilisée abondamment dans l’Egypte ancienne, l’antiquité romaine et bien sûr tout autour de la Méditerranée.

Car l’huile d’olive a d’impressionnants atouts santé dans sa manche.

Une étude récente réalisée sur 4 152 femmes a montré qu’un régime méditerranéen riche en huile d’olive extra-vierge diminue nettement le risque de cancer du sein par rapport à un régime pauvre en graisses.

D’autres études ont montré que l’huile d’olive limite l’élévation du taux de glucose après le repas , et réduit le risque d’accident vasculaire cérébral (AVC) de 26 %.

Son secret ?

Elle est particulièrement riche en polyphénols, ces substances bénéfiques que l’on trouve également dans les baies, le thé vert ou le vin rouge (tanin).   Or d’innombrables études ont montré que les polyphénols avaient des effets anti-oxydants, anti-inflammatoires et anti-cancer.    Voilà pourquoi il serait regrettable de se passer de l’huile d’olive.  Simplement, pour respecter un bon ratio oméga-6/oméga-3, l’idéal est de la mélanger avec une autre huile riche en omégas-3. 
Comme la superbe huile de colza.


Erreur n°4 (la plus grave)

Se priver des incroyables omégas-3 de l’huile de colza


L’huile de colza est une huile gravement sous-utilisée en Europe.

C’est pourtant une huile traditionnelle, consommée depuis des centaines d’année en Asie. Elle fait partie du régime d’Okinawa, l’île japonaise où l’on trouve le plus grand nombre de centenaires au monde.

En France, la popularité de l’huile de colza a été tristement abîmée, au début des années 1970, lorsqu’une étude isolée (jamais confirmée depuis, bien au contraire) a rapporté des effets négatifs sur les rats.   Ironie du sort : c’est l’huile de tournesol qui est sortie gagnante de ce duel. Avec la publicité massive de l’industriel Unilever (qui fabrique également du liquide-vaisselle, de la lessive etc.), elle est même devenue l’huile la plus consommée par les Français… malgré ses effets dévastateurs pour la santé !

L’huile de colza, au contraire, a d’incroyables bienfaits pour le cœur.  La preuve la plus spectaculaire est venue d’une étude conduite par le docteur Michel de Lorgeril et publiée dans la plus prestigieuse revue médicale existante, The Lancet.

Les chercheurs ont recruté plus de 600 patients ayant déjà eu un accident cardiaque (infarctus). La moitié d’entre eux devait suivre les conseils habituellement donnés par les cardiologues à leurs patients (arrêt du tabac, exercice physique, etc…). L’autre devait adopter un régime « méditerranéen », enrichi en huile de colza.

En mars 1993, les premiers résultats sont tombés. Stupéfiants : on ne comptait pas moins de 20 décès dans le groupe « cardiologue », contre 8 seulement dans le régime « colza » !   Au total, les chercheurs estiment aujourd’hui que l’huile de colza réduit de 62 % le nombre d’accidents cardiaques et de 50 % le nombre d’infarctus du myocarde. Ce sont des résultats à peine croyables, 10 fois supérieurs au meilleur des médicaments.

Ils s’expliquent par la richesse de l’huile de colza en omégas-3.  Notez que l’huile de lin et, dans une moindre mesure, l’huile de noix et de soja comportent aussi beaucoup d’omégas-3.    Mais ces huiles sont moins bien équilibrées que l’huile de colza, qui a un ratio omégas-6 / omégas-3 parfait de 2 pour 1.


Erreur n°5

Cuire les huiles de qualité à haute température

Toutes les huiles ne sont pas égales devant la cuisson.

Pour l’huile de lin, c’est simple : il ne faut jamais la cuire !

L’huile de colza est dans une situation intermédiaire. Contrairement à une idée reçue, elle peut être utilisée en cuisson, à température moyenne. Elle est stable au moins jusqu’à 160° (feu 6 sur une échelle de 1 à 9) mais déconseillée au-delà.

L’huile d’olive supporte mieux la chaleur. Elle est parfaitement stable jusqu’à 180 degrés (feu chaud, 7/9) mais commence à perdre ses propriétés à partir de 190 degrés. [10]

A plus haute température, c’est l’huile de coco qu’il faut privilégier : elle est quasiment inoxydable !    C’est une huile étonnante dont nous reparlerons. Utilisée traditionnellement en médecine ayurvédique, elle est de loin la meilleure huile pour la cuisson à haute température et contient des substances très prometteuses pour les malades d’Alzheimer.

Mais n’oubliez pas que les cuissons douces sont les meilleures pour la santé, l’idéal étant même celles à basses température (moins de 100°), par exemple à la vapeur ou à l’étouffée.


Erreur n°6 

Choisir des huiles raffinées et mal les conserver


En supermarché ou en boutique diététique, votre réflexe doit être simple : privilégiez les huiles vierges contre les huiles raffinées.

Les huiles raffinées sont obtenues par un procédé industriel qui supprime une partie des bons antioxydants (polyphénols, vitamine E), dégrade les omégas-3 et contribue à la formation de nouvelles molécules néfastes pour la santé.

Choisissez donc toujours des huiles extra vierges. Elles sont fabriquées avec les procédés les plus naturels. Qui conservent toutes leurs propriétés santé… et leur saveur unique.   Certes, elles sont un peu plus chères, mais c’est un investissement de longue durée à mon avis indispensable – contracter une maladie du cœur est très coûteux…

Mais attention : parce qu’elles sont plus riches en vitamines et omégas-3, les huiles végétales non raffinées sont aussi plus fragiles.   Mises au contact de la chaleur, de l’air et de la lumière, elles ont tendance à s’oxyder, exactement comme une pomme croquée brunit à l’exposition de l’air.

C’est la raison pour laquelle il faut toujours acheter votre huile dans des bocaux opaques, et non transparents. Puis les conserver dans un placard, à l’abri de la lumière et à température ambiante (si possible ne dépassant pas 20°).

L’huile de colza étant plus fragile que l’huile d’olive, il vaut mieux la conserver au réfrigérateur après ouverture et la consommer dans les 3 mois qui suivent.

Notez que l’huile de lin est encore plus délicate et devient même toxique une fois oxydée. Elle doit donc impérativement être consommée dans les 3 semaines suivant l’ouverture (mais rassurez-vous, si elle rancit, vous le sentirez immédiatement au goût).

Bonne santé ! Xavier Bazin

15 mars 2020

LE C à LIRE . . . SANTE . . .

 Douleurs, mal de dos

essayez le pouvoir de l’esprit !

Mal de dos, douleur au cou, aux bras, aux jambes et même fibromyalgie : aussi ancrées soient-elles, le Pr Sarno prétend guérir toutes ces douleurs définitivement, en quelques heures, quelques mois au plus. 

Le plus incroyable est que vous n’avez pas besoin de le consulter : sa « thérapie » fonctionne à distance, vous pouvez la pratiquer chez vous, gratuitement, sans effort ni matériel.   J’ai conscience que cela paraît peu vraisemblable. Et comme vous, j’étais sceptique quand j’ai entendu parler de cette méthode.   Mais voici pourquoi j’ai changé d’avis :


88 % de patients totalement guéris

Le Pr John Sarno est professeur de médecine orthopédique et de rééducation à la prestigieuse Université de New York.   En plus de 40 ans de carrière, il a obtenu des résultats objectivement époustouflants auprès de ses patients, tout particulièrement dans le traitement du mal de dos.


Pas de méthode d’évaluation scientifique, mais…

L’idéal, dans un cas comme celui-là, serait de réaliser une étude dite « randomisée, contre placebo ».   Le principe est simple : vous prenez un groupe de patient, vous les divisez en deux groupes aléatoires (au hasard), et vous donnez à l’un de ces deux groupes le « vrai » traitement, tandis que l’autre ne reçoit qu’un placebo (un faux médicament).

Puis vous observez les résultats. Si le groupe réellement traité va mieux que le groupe sous placebo, on peut être certain que c’est grâce au traitement.   Cette méthode est le graal de la rigueur scientifique. Mais cela ne veut pas dire qu’il faut rester les bras croisés, sans rien faire, lorsqu’aucune étude de ce niveau n’a pu être conduite.

Car le traitement du Pr a beau ne pas avoir été validé avec ce niveau d’exigence, il présente l’immense avantage :

  • De ne pas avoir le moindre effet secondaire ou indésirable
  • D’être gratuit ou quasiment gratuit, pour le patient comme pour la société
  • Et de traiter des douleurs chroniques face auxquelles la médecine conventionnelle reste souvent impuissante (la plupart des médecins se contentent de donner des anti-douleurs, dont les effets secondaires à long terme sont problématiques)
En fait, la méthode du Dr Sarno est tellement simple que ceux qui souffrent depuis longtemps ont tout à gagner à l’essayer. Au pire, c’est un peu de temps perdu.   Et vous pouvez vous-même essayer maintenant ! Prêt ? Alors allons-y :


Un seul accessoire, un seul médicament : votre cerveau

Le Dr Sarno explique : dans de très nombreux cas, les douleurs chroniques ne sont pas causées par un problème corporel, elles sont produites par notre cerveau.

Attention : il ne dit pas que les douleurs ne sont pas réelles. Elles s’incarnent bien dans notre corps, dans notre chair.     Mais selon lui, elles sont produites non pas par un dysfonctionnement physique (anomalies structurelle de la colonne vertébrale, disque déformé, musculature déficiente etc.) mais par un souci psychologique que le cerveau « répercute » sur le corps via une douleur physique.


Conclusion logique : ce n’est pas parce que l’on a mal qu’on a forcément une déformation, et ce n’est pas parce qu’on a déformation qu’on a forcément mal.


Pour guérir : abandonner la croyance en une cause « physique » de la douleur

La première étape du « traitement » du Pr Sarno consiste à se persuader que votre douleur chronique a une origine psychologique :

« La douleur ne cessera pas tant que vous ne serez pas capable de vous dire : ‘mon dos est normal, je sais désormais que la douleur est due à un problème somme toute anodin initié par mon cerveau (…) et que les anomalies structurelles trouvées sur une radio, un scanner ou une IRM sont des modifications normales liées à mes activités ou au vieillissement ».

Il est vrai que ce n’est pas évident, surtout lorsqu’on découvre effectivement une anomalie, révélée par un scanner ou une IRM. Difficile, dans ce cas, de se dire qu’il ne s’agit que d’une coïncidence…

Mais le jeu en vaut la chandelle.

Pour ceux qui y parviennent, la guérison est souvent à portée de main. Chez certains patients, l’effet est même immédiat : « Souvent, il suffit de reconnaître qu’un symptôme est d’origine émotionnelle pour qu’il disparaisse », nous dit le Pr Sarno.

Et il le prouve, en publiant le témoignage de nombreuses personnes ayant vu leur douleur s’arrêter, à peine avaient-ils achevé l’un de ses livres.

Mais dans la plupart des cas, cela prend un peu plus de temps, avec un travail d’introspection. 


Trouver la rage refoulée

Le Dr Sarno recommande ainsi à ses patients de réfléchir aux « rages refoulées » qui pourraient causer leurs douleurs. Celles-ci peuvent être de plusieurs sortes :
  • Colère, blessure émotionnelle ou traumatisme pouvant remonter à l’enfance
  • Colère provenant de la pression qu’on s’impose à soi-même pour être « parfait » (le perfectionnisme exacerbé est un trait de personnalité qui revient souvent chez ses patients)
  • Colère engendré par les pressions de la vie
  • Culpabilité, honte, peur, insécurité, vulnérabilité
En pratique, il recommande de faire une liste, très longue s’il le faut, de toutes les pressions ou contraintes que l’on a subies au cours de notre vie et qui pourraient susciter une forme de rage au fond de nous-mêmes.

Plus étonnant, le Dr Sarno conseille également de « parler à son cerveau » :

« Des patients soignés avec succès disent que lorsqu’ils sentaient le signe annonciateur d’une crise, un élancement de douleur, ils se parlaient ou même se criaient dessus et la douleur disparaissait ».

Le cœur de sa stratégie est simple : penser « émotionnel » et pas « physique » ; ne plus se focaliser sur la douleur mais sur son origine potentiellement psychologique.

Et en accompagnement de ce « traitement », le Dr Sarno conseille de se préserver, chaque jour, une période de méditation. Il insiste enfin pour maintenir un bon niveau d’activité physique, en essayant d’oublier la douleur et de ne pas craindre de malmener un « dos fragile ».

Je crois avoir résumé l’essentiel de la méthode du Dr Sarno, mais si vous voulez l’essayer sérieusement, il est à mon avis indispensable de se procurer son livre, Le meilleur anti-douleur, c’est votre cerveau (je ne touche bien sûr aucune commission). 

Xavier Bazin

PS : D’autres techniques fondées sur le pouvoir de « l’esprit » obtiennent de formidables résultats sur les brûlures, les allergies… et même le cancer ou Alzheimer.

?????????????????  

je ne partage rien  avec vous de ce que je ne croirais  absolument pas  . . .

par contre ici : même si je sais qu'il y a une partie de vrai  et de juste  . . . jamais de la vie je ne  le croirais pour ALZEIMER  CANCER  et ALLERGIE  

à vous de réfléchir  . . .   d'aller lire   pour s'en instruire

14 mars 2020

LE C à LIRE

Une lectrice , Mme Martine B.  ,   suite aux sujets  que je vous poste   sur  la catégorie  "C A LIRE :  LA SANTE  . . .  "  depuis quelques jours maintenant ,   m'a envoyé  hier  soir ce lien   .

J'attendais ce matin (5h)  ,   pour aller écouter et ENTENDRE  surtout   ce qui se dit dans ces docs   :  ils m'ont donc emmenée vers d'autres  documents sur le sujet  . . .   

https://www.youtube.com/watch?v=dD5eBwxC_PA

la terre de plus en plus PAUVRE hhhhh

On nous demande de manger 5 fruits et légumes par jour  - QUI LE FAIT D 'abord  - ?  Depuis près de 20 ans  SI  ce n'est plus  , je sais que dans nos régions d'europe de l'ouest nos terres se sont appauvries  fortement   : un grand manque de sélénium   en particulier 

C'est pourquoi j'en prends depuis tout ce temps  (je ne prendrais rien qui ne s'explique pas et je me suis toujours informée  sur ce sujet)      JE CONTINUE   à en prendre malgré les prix  (je déteste les restos ça compense )

Les légumes n'ont plus de goût . . .   les fruits non plus  (mais ça je m'en rends moins compte car le fruit me laisse assez indifférente  puique je ne fais que m'obliger à  en  manger  )  . . .    par contre   LES LÉGUMES  c'est VITAL  pour moi     -   VITAL    -   . . .  cet appauvrissement je le sens  

par exemple   ;  je raffole des tomates  -   UNIQUEMENT L 'été -     et bien  depuis 5 ou 7 ans  chaque jour  je peste devant mon assiette  je ne goûte rien  il me faut un assaisonnement élaboré pour apprécier mon  "fruit "  (qu'il me faut dans l'assiette tous les jours) 

Tout ça n'est qu'une affaire d'argent  de rapport   . . . les tomates sont élévées dans les frigos  et on nous fait croire qu'il faut manger 5 légumes alors qu'  ils ne nous apportent plus rien

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9 mars 2020

LE C à LIRE . . . suite SANTÉ . . .

 

previsions de la semaine

 

4 millions de Français souffrent quotidiennement de brûlures d’estomac accompagnées de régurgitations acides.   Ce sont les symptômes typiques du « reflux gastro-oesophagien (RGO) ».

D’autres, presque aussi nombreux, sont touchés par cette pathologie sans le savoir.   C’est probablement le cas si vous vous réveillez régulièrement le matin avec la voix enrouée, si vous avez une toux persistante ou si vous avez régulièrement mal à la gorge ou le nez encombré.

Dans tous les cas, avoir du reflux n’est pas un motif de réjouissance.   Le reflux classique est douloureux et finit par causer des cancers de l’œsophage. Quant au reflux silencieux, il peut obstruer vos voies respiratoires et miner la qualité de votre sommeil.

Et pourtant, avoir un peu de reflux peut aussi être la chance de votre vie.    Ce pourrait être le coup de pouce décisif pour vous motiver à prendre soin de votre digestion, à renoncer à vos mauvaises habitudes, et bénéficier ainsi d’une cascade de conséquences positives pour votre forme, votre santé et votre longévité

Ne cherchez pas la pilule miracle !


Car de toute façon, il n’existe aucune pilule miracle contre le reflux.     Les laboratoires pharmaceutiques aimeraient vous faire croire le contraire. Mais la vérité est que les chercheurs sont loin, très loin d’être capables de fabriquer un remède susceptible de guérir un phénomène aussi complexe que le reflux.

Dans le meilleur des cas, ces médicaments soulagent vos symptômes. Souvent, ils sont inutiles. Et dans tous les cas, ils sont dangereux lorsqu’ils sont pris à long terme.

Contre le reflux, les médicaments les plus prescrits (les « IPP », inhibiteurs de la pompe à protons) ont un seul effet : réduire drastiquement l’acidité de l’estomac. Ils soulagent la douleur… mais ne risquent pas de vous guérir, car le reflux n’est pas causé par un estomac trop acide. Surtout, les IPP causent de graves maladies et des décès prématurés lorsqu’ils sont pris au long cours.

Heureusement, il existe des substances naturelles qui réduisent correctement l’acidité de l’estomac sans les effets secondaires des IPP, comme la mélatonine ou le gingembre . Il existe aussi des plantes qui soulagent efficacement l’œsophage irrité, comme la réglisse, la mélisse, la guimauve ou l’aloe vera  (vous pouvez consulter aussi d’autres astuces qui m’ont été envoyées par de fidèles lecteurs, en bas de ce message).

Mais ces substances ont beau être naturelles, elles doivent rester elles aussi des solutions temporaires… utiles sur une courte période, le temps de faire les ajustements que votre corps demande.    Car votre premier réflexe ne devrait pas être de vous demander « comment éteindre le feu », mais « qu’est-ce que mon corps cherche à me dire ? ».

Vous avez mal ?

Votre corps essaie de vous dire quelque chose !


Comprenez bien que votre corps ne vous veut pas de mal. Si vous avez une douleur quelque part, c’est généralement qu’il essaie de vous envoyer un signal, dans l’espoir que vous fassiez quelque chose.

Si vous mettez votre main sur une plaque brûlante, la douleur vous oblige à la retirer immédiatement. Ce n’est pas pour vous embêter, c’est pour vous protéger : si vous n’agissez pas immédiatement, vous risquez rapidement de ne plus avoir de main.

C’est la même chose avec la plupart des problèmes chroniques : si vous en souffrez, c’est généralement parce que vous faites subir à votre corps quelque chose qui ne lui convient pas.

Bien sûr, il existe des maladies purement génétiques. Bien sûr, des personnes naissent plus vulnérables que d’autres vis-à-vis des maladies.

Par exemple  :  vous avez plus de chances de faire du reflux si vous avez une hernie hiatale. Mais tous ceux qui ont une hernie hiatale ne font pas de reflux, loin de là !

En réalité, dans la plupart des cas, on peut vaincre les brûlures d’estomac en modifiant ses habitudes, plutôt qu’en cherchant à tout prix à les soulager après coup.



Cela passe par des conseils très simples pour améliorer la digestion

Interdiction de s’allonger après les repas

Une digestion normale, vous le savez, va de haut en bas : de la bouche vers l’œsophage, puis de l’estomac au duodénum, puis de l’intestin grêle au côlon.  Le problème du reflux est qu’une partie du liquide acide de l’estomac remonte vers l’œsophage… et lui cause de sérieuses brûlures.    Pour l’éviter, la première chose à faire est de profiter de la loi de la gravité : plus la pente est raide, moins il est facile pour le liquide gastrique de remonter.     C’est pourquoi on déconseille toujours de s’allonger juste après le repas. Le soir, mieux vaut se coucher deux à trois heures minimum après avoir dîné.

Parce que le reflux se manifeste souvent la nuit, vous pouvez aussi surélever le haut de votre lit de 10 à 20 centimètres à l’aide de simples cales. Là encore, cela augmentera vos chances d’empêcher le contenu de votre estomac de remonter.

Faites attention également à la position dans laquelle vous dormez. D’après l’équipe du Dr Lauren Gerson de l’université de Stanford, dormir sur le ventre aggrave nettement les symptômes du reflux. L’idéal serait de dormir sur le côté gauche (cela dit, si vous êtes comme moi, et que vous changez constamment de position pendant la nuit, il vous sera difficile de suivre ce conseil !).

Arrêtez de compresser votre ventre !

Il n’y a pas que la position allongée qui favorise les remontées acides. Pour des raisons tout aussi mécaniques, le reflux s’aggrave lorsque votre ventre est comprimé.

Or il y a des façons très simples de réduire cette pression. Il faut éviter :

  • De porter des vêtements trop serrés ;
  • De se pencher en avant après un repas ;
  • De prendre des repas trop gras ou trop copieux ;
  • Et d’être en surpoids.

Si vous avez des kilos en trop, le reflux est une excellente raison de les perdre !   Car le surpoids, surtout au niveau abdominal, peut être vecteur de maladies sérieuses comme le diabète et les maladies cardiaques !    C’est pourquoi les brûlures d’estomac peuvent être une chance : ce problème relativement bénin pourrait vous donner un surplus de motivation pour maigrir.   Pour la même raison, le reflux pourrait vous motiver à attaquer de front un autre vecteur de maladies : le stress chronique.

Relâchez la pression sur votre estomac… et dans votre vie

Le stress est « l’explication » standard des gastro-entérologues lorsqu’ils ne savent pas trop pourquoi vous avez mal (pendant des années, les médecins ont expliqué à leurs patients que leur ulcère était causé par le stress… jusqu’à ce qu’on découvre le principal responsable en 1984, la bactérie Helicobacter Pylori).

Mais il est incontestable que le stress aggrave le reflux. Il provoque des spasmes de l’estomac et a tendance à ralentir la vidange de l’estomac en bloquant la petite porte qui le sépare du duodénum (le pylore).   Plus profondément, le stress perturbe la digestion du début à la fin… en commençant par diminuer la sécrétion de salive.

Or si vous salivez à la vue d’un repas délicieux, ce n’est pas par hasard : c’est tout simplement indispensable à la digestion.    C’est d’ailleurs l’une des raisons pour laquelle le tabac est fortement déconseillé aux victimes du reflux : parmi ses innombrables défauts, il réduit la sécrétion salivaire ! A l’inverse, des études ont montré que mâcher un chewing-gum (sans sucre) après un repas, pendant 30 minutes, réduit les symptômes du reflux.

Retenez donc que la gestion du stress est une arme indispensable contre tous les problèmes digestifs.   Si vous êtes stressé ET victime de reflux, c’est le moment ou jamais de vous mettre au yoga, à la cohérence cardiaque, à la sophrologie ou à la méthode que vous préférez.  . . .  Faites particulièrement attention pendant le repas : essayez d’en faire un instant privilégié, voire un instant de méditation. Prenez quelques instants avant de commencer, salivez tranquillement. Puis mâchez doucement, en pleine conscience. Cela aidera considérablement votre digestion.

Pfffff moi je mange tellement vite que ma table et ma vaisselle sont  déjà rangée que j'ai à peine terminé mon assiette le pire c'est que je LE SAIS  


Prenez soin de vos intestins – et dites adieu aux ballonnements

Les gaz et ballonnements, eux aussi, compriment votre ventre et favorisent le reflux. C’est une raison parmi beaucoup d’autres de prendre soin de vos intestins ! Commencez par vous méfier des produits laitiers : si vous souffrez de ballonnements ou crampes d’estomac inexpliquées, c’est peut-être que, comme 40 % de la population française, vous ne supportez pas le lactose ! Essayez de l’exclure totalement de votre alimentation pendant quelque temps.

Si cela ne fonctionne pas, faites la même chose avec le gluten : son éviction peut avoir des résultats miraculeux sur les douleurs digestives. Et plusieurs études confirment qu’une diète sans gluten peut résoudre définitivement les problèmes de reflux.    Dans les deux cas (lait et gluten), n’ayez surtout pas peur de supprimer durablement les aliments qui en contiennent.    Car non seulement ils ne contiennent rien d’essentiel d’un point de vue nutritif, mais leur éviction peut soulager près de 91 maladies majeures dont les maladies auto-immunes

psoriasis,

sclérose en plaques,

polyarthrite,

thyroïdite de Hashimoto,

les allergies,

l'asthme,

l'arthrose,

les maux de tête,

les dépressions,

les insomnies,

en plus des troubles gastriques et intestinaux.

Mais attention : on peut aussi avoir des ballonnements sans être intolérant au lactose ou sensible au gluten. Dans ce cas, c’est le signe d’un déséquilibre général de la flore intestinale.   Et pour y remédier, il n’y a pas de secret : il faut soigner son alimentation, dans la durée.

Je ne peux pas ici détailler ce que cela signifie précisément, mais retenez deux choses essentielles : pour avoir des intestins en bonne santé, il faut

augmenter très nettement sa consommation de légumes, et

diminuer drastiquement sa consommation de produits industriels et de sucres rapides : sucre blanc, pain, pâtes ou pommes de terre.

En faisant ces changements, ce n’est pas « seulement » votre reflux que vous soignerez : vous réduirez au passage drastiquement votre risque de souffrir un jour d’une maladie chronique, que ce soit le cancer, l’arthrose ou encore le diabète ou l’hypertension.

Trop de gens attendent d’être victimes de ce genre de maladies pour se décider à changer leurs habitudes. C’est dommage, mais c’est logique : comment se motiver quand on n’a pas de problème de santé ?

Mais si vous avez du reflux, cela peut vous faciliter la tâche.   C’est pourquoi je vous conseille de ne pas vous contenter de masquer ses symptômes, même par des remèdes naturels. N’essayez pas à tout prix de faire taire votre corps. Commencez par l’écouter : s’il se plaint, c’est probablement que vous devez changer quelque chose.

Sa mise en garde est une chance : saisissez-là, et vous ferez le plus grand bien à votre santé.    Et un jour, peut-être, vous remercierez le ciel… d’avoir eu cette maladie bénigne !

Bonne santé,

Xavier Bazin

PS : suite à ma lettre sur les médicaments anti-acides, beaucoup de lecteurs ont partagé leurs secrets pour se débarrasser du reflux, et je les en remercie.

Certains ont changé leurs habitudes, et je ne peux que vous encourager dans cette voie. D’autres donnent leurs « trucs » pour soulager la douleur, cela ne règle pas le problème de fond mais c’est toujours bon à savoir !



Voici donc des témoignages qui pourraient vous aider, si vous avez du reflux :

Pour soulager les brûlures en cas de crise :

je me prépare un petit mélange : 2 c à soupe de vinaigre de cidre+2 c à soupe de sirop d’érable + 25 cl d’eau. Et j’en bois deux gorgées qq minutes avant chaque repas. (Perrier)

« Contre l’acidité gastrique, je prends du jus de citron et du bicarbonate de soude dans un demi verre d’eau. » (Raphaëlle)

« Lors de mes quelques remontées gastriques (brûlures eosophage) je prends 1/2 c à café de bicarbonate de soude (alimentaire) diluée dans un verre d’eau pour moi c’est radical et une seule prise ! » (Solange)

« Personnellement j’utilise du Bicarbonate de sodium officinal 1 cuillère à café de Bicarbonate mélangé à deux cuillères à soupe de citron bio dans un grand verre d’eau. Simple et efficace. 2 semaines de cette mixture,puis 1 semaine d’arrêt,ainsi de suite pendant 3 mois. » (Igor)

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