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je CRITIQUE et vous EXPLIQUE les images de déco, je DÉCORE, je DÉVOILE ma MAISON mon JARDIN, je COMMENTE les INFOS du jour les films et les séries en fait je PAPOTE comme devant un apéro ou un café . . . Il arrive aussi que je TRICOTE et que je CROCHÈTE
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13 mai 2020

Le C à LIRE : LA CRISE SANITAIRE MONDIALE

quelques infos du jour

bhbhbgh

hbghbgg

tiens donc on va enfin venir en wallonnie passer quelques jours ??

mais on va les mettre où tous ces gens ?????

mdr

on ne sait rien on ne connait rien de ce virus mais les gens  continuent à réserver

 

dtrut§

c'est p'etre mieux comme ça non ???????

moi je trouve

dyut

c'est vrai que ça c'est primordial    . . . .

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5 mai 2020

LE C à LIRE . . . SANTÉ . . .

Un moyen simple d’éviter Alzheimer

Alzheimer est une des maladies que nous redoutons le plus.

Passé 60 ans, dès que vous oubliez où vous avez mis vos clés, dès que le nom de votre acteur préféré vous échappe, vous ne pouvez pas vous empêcher de penser : « et si c’était Alzheimer » ?

Cette maladie est effrayante parce qu’elle est incurable. Mais aussi parce qu’elle semble frapper au hasard.   On vous dit que, passé 65 ans, vous aurez bientôt une chance sur quatre de développer la maladie d’Alzheimer. Et on vous laisse comme ça, à prier pour que cela ne tombe pas sur vous.  Alors qu’on devrait plutôt vous expliquer comment vous en protéger.


Alzheimer n’a rien à voir avec le vieillissement

Car la maladie d’Alzheimer n’a rien d’une fatalité.    Elle n’existe pas dans les tribus de chasseurs cueilleurs qui ont conservé une alimentation et un mode de vie traditionnel, loin des toxines du monde moderne.     Lorsque le Dr Staffan Lindeberg a étudié les habitants de l’île de Kitava en Papouasie Nouvelle Guinée, il n’a observé aucun cas de démence sénile chez les plus de 65 ans.

Même au sein des pays développés, d’énormes différences existent : Alzheimer est 10 fois moins répandue au Japon qu’en Europe !

C’est bien la preuve que cette maladie est liée à nos comportements.   Les recherches les plus en pointes montrent que la maladie d'Alzheimer est liée à un état d’inflammation chronique de l’organisme, parfois silencieux … Or l’inflammation est presque toujours causée par un mode de vie qui laisse à désirer.     Certes, il existe des merveilles de la nature qui luttent contre l’inflammation et vous protègent d’Alzheimer :

vitamine D,

curcuma,

oméga-3,

myrtilles,

thé vert,

cannelle, etc.

Mais ces « remèdes » ne suffiront pas si vous négligez votre alimentation (trop de sucre, pas assez de végétaux), si vous ne bougez pas assez, si vous souffrez de stress chronique ou si vous ne dormez pas suffisamment.    Pour se donner toutes les chances d’éviter Alzheimer, ce sont souvent des habitudes entières de vie qu’il faut modifier !  Mais il existe aussi un geste très simple à réaliser. A lui seul, il permet de réduire nettement votre risque de contracter la maladie.

Il s’agit d’éviter autant que possible de prendre des médicaments.

Car il n’y a plus de doute à présent : certains des médicaments les plus courants causent la maladie d’Alzheimer.


Somnifères et anxiolytiques : les affreux « benzodiazépines »

Et cela commence par les « benzodiazépines » censés lutter contre l’anxiété et l’insomnie :

lexomil,

xanax,

valium, etc.

A eux seuls, ces médicaments sont responsables d’au moins 16 000 à 32 000 nouveaux cas d’Alzheimer en France chaque année. Cette estimation a été réalisée à partir des travaux d’une équipe de chercheurs bordelais, publiés dans le prestigieux British Medical Journal.

Ce qu’ils ont montré est tout simplement effrayant : au bout de seulement 3 mois de prise de ces médicaments, le risque d’Alzheimer augmente de 51 %.     Après 6 mois, il bondit à 80 %.    Il vous suffit donc d’avaler ce type de pilules pendant quelques mois seulement pour voir votre risque de contracter Alzheimer  être multiplié par deux !!

Et le pire est que ces médicaments sont hyper répandus : pas moins de 14 % des Français en prennent régulièrement.    Pire : passé 80 ans, près d’une femme sur deux se les voit prescrire par son médecin !    Alors qu’il existe des solutions naturelles plus efficaces dans la durée et sans le moindre effet secondaire contre l’anxiété et l’insomnie !


Médicaments anticholinergiques (allergies asthme, etc.)

Il existe une autre grande classe de médicaments qui cause Alzheimer : ce sont ceux qui ont un effet « anticholinergiques ».

Le drame est qu’ils sont partout : en France, plus de 300 médicaments sont anticholinergiques : on en trouve notamment dans des antidépresseurs,

somnifères et

anxiolytiques,

dans les antihistaminiques en vente libre (contre l’asthme ou les rhinites allergiques) ou encore dans les

médicaments contenant de la warfarine (utilisés contre les maladies cardiaques etc.).

Résultat un Français sur trois en consomme régulièrement !   Tout cela, alors que les laboratoires pharmaceutiques savent depuis longtemps qu’ils sont dangereux pour le cerveau.    Car ces molécules « anticholinergiques » ont pour effet d’empêcher l’action de l’acétylcholine, un neurotransmetteur par ailleurs essentiel pour… la mémoire et la santé du cerveau !

L’un des symptômes majeurs de la maladie d’Alzheimer est justement un déficit en acétylcholine… et le principal médicament anti-Alzheimer qui existe (Aricept) a précisément pour objectif essentiel d’aider l’acétylcholine à agir.   Personne ne peut donc prétendre être réellement surpris que les anticholinergiques puissent causer Alzheimer.

Et c’est aujourd’hui prouvé, grâce à une étude fracassante publiée en mars 2015 dans le JAMA Internal Medicine. Une équipe de chercheurs a suivi 3 434 participants de plus de 65 ans durant plus de 7 ans.

Et le résultat a été clair, net et précis : plus les participants ont pris des médicaments anticholinergiques, plus ils ont développé des démences type Alzheimer :

  • Au delà de 3 mois de prise de ces médicaments, le risque d’Alzheimer était augmenté de 19 % ;
  • Et après 3 ans, le risque bondissait à + 54 % !

Mais n’attendez pas que les autorités interdisent ces médicaments. A cause de la pression des laboratoires pharmaceutiques, il faudra des années avant qu’ils ne soient interdits. 

Par conséquent, voici ce que je vous invite à faire dès maintenant :

  • Vérifiez que vous (ou vos proches) ne prenez pas l’un de ces médicaments (vous trouverez ici la liste des médicaments ayant un effet anticholinergique) ;
  • Arrêtez-les immédiatement s’ils n’ont pas été prescrits par votre médecin ;
  • S’ils vous ont été prescrits, demandez à votre médecin une alternative sans effet anticholinergique.


Médicaments contre les brûlures d’estomac

Une autre classe de médicaments, dangereuse et pourtant extrêmement répandue, est celle des anti-acides (les « inhibiteurs de la pompe à protons », IPP).   Des millions de Français les utilisent régulièrement contre les brûlures d’estomac.

Il y a encore quelques années, la plupart des médecins disaient de ces médicaments qu’ils étaient « bien tolérés et sans effet secondaire significatif ».    En réalité, on manquait simplement du recul minimal pour pouvoir les évaluer sérieusement. Aujourd’hui, la vérité commence à apparaître… et elle n’est pas belle à voir.   Coup sur coup, plusieurs études récentes ont montré leurs effets dévastateurs sur le cœur (+ 21 % de risque de crise cardiaque ]) et sur les reins (+ 20 à 50 % de risque de maladie rénale grave ).

Mais les résultats les plus effarants sont venus d’une étude publiée en février 2016 dans le très reconnu Journal of the American Medical Association (JAMA).  Elle a montré que la prise de ces médicaments au-delà de 3 mois augmentait le risque de démence de type Alzheimer de 44 à 66 % !!     Alors même qu’il existe là encore des alternatives naturelles nettement plus efficaces pour faire disparaître durablement les brûlures d’estomac ! [10] 


Médicaments anti-cholestérol (statines)

S’agissant des médicaments anti-cholestérol, leur responsabilité dans la maladie d’Alzheimer n’est pas encore avérée. A ce jour, on ne dispose pas des mêmes preuves accablantes que pour les médicaments cités précédemment. . . .  Mais je suis convaincu que c’est une question de mois ou d’années : on devrait bientôt voir arriver des études prouvant que les médicaments qui font baisser le taux de cholestérol provoquent de sérieux problèmes cognitifs.

Car une chose est sûre: les personnes qui ont un taux de cholestérol élevé ont moins de risque de souffrir d’un déclin cognitif accéléré ou d’une démence de type Alzheimer.    Et c’est tout sauf une coïncidence. Le cerveau ne représente que 2 % du poids de l’organisme, mais renferme 25 % du cholestérol total ! C’est dire si le cholestérol lui est indispensable.

Le cholestérol est un composant essentiel de la myéline, cette membrane qui protège nos neurones… et que la maladie d’Alzheimer a justement la particularité de détruire !   Voilà pourquoi il est plus qu’imprudent de vouloir abaisser artificiellement son taux de cholestérol.

Si vous prenez ce type de médicaments, parlez-en en urgence avec votre médecin. S’il se montre hésitant, offrez-lui le livre du Dr de Lorgeril, L’horrible vérité sur les médicaments anti-cholestérol, il y a de bonnes chances qu’il vous propose de les arrêter.


Non, je ne suis pas « anti-médicaments »

Attention, ne croyez pas une seconde que je sois « anti-médicament ».     Je sais pertinemment que certains médicaments sauvent des millions de vies (antibiotiques, molécules anti-caillots juste après un infarctus, etc.) ou améliorent drastiquement la qualité de vie des patients (morphine, etc.). 

Mais il faut être réaliste.

Si vous avez un problème complexe et chronique (anxiété, insomnie, maladie du cœur, brûlures d’estomac, asthme, allergie), il est naïf d’imaginer qu’une simple pilule chimique pourrait vous en débarrasser.   Et il est encore plus naïf d’imaginer qu’elle pourrait être inoffensive. Irène Frachon, la pneumologue qui a révélé le scandale du Médiator l’explique bien :
 

« Le médicament qui ciblerait de façon spécifique la pathologie, sans risquer de perturber le reste de l'organisme, est une utopie. »


Voilà pourquoi il faut toujours préférer des solutions alternatives et sans danger, à chaque fois que c’est possible.   Et le fait est, qu’en dehors des cas d’urgence, c’est presque toujours possible.

Bonne santé,  Xavier Bazin

2 mai 2020

LE C à LIRE . . . SANTÉ . . .

Quatre trucs inattendus pour maigrir

(sans régime)

pour maigir san rgime ??????? moi je vous donne la solution  ayez un accident un peu grave et vbous verrez le poids que vous allez perdre  . . .  rohhh je plaisante

Cher lecteur, (ce n'est pas moi qui parle n'est ce pas ) 

Cela peut paraître fou, mais la nature a tout prévu pour vous empêcher de prendre des kilos en trop.     Je ne parle pas de ces petites « réserves naturelles », que votre corps peut choisir de stocker en prévision de coups durs. Un peu de graisse sous la peau n’a rien de malsain, surtout lorsqu’elle est répartie harmonieusement sur l’ensemble du corps
Ce que votre corps est programmé pour éviter, c’est l’excès de graisse dite « viscérale », au niveau du ventre. Et pour cause : ce qu’on appelle familèrement la « bedaine » est associée à un risque accru de diabète et de mort prématurée par maladie cardiaque.

Pour préserver votre santé (et votre silhouette), votre corps a une arme secrète : la sensation de faim. S’il estime que vos réserves de graisse sont suffisantes, il vous envoie un signal de « satiété », et vous perdez l’envie de manger.    Ce « thermostat » est très efficace. Lorsqu’il fonctionne correctement, vous n’avez pas à vous préoccuper de votre poids. C’est pourquoi des personnes conservent le même poids, à 2 kilos près, pendant des dizaines d’années… sans jamais faire le moindre effort !  en ce qui me concerne : de 16 ans à 50 ans j'ai à peine varié de 2 kg  entre 46 à 49 kg  (évidemment j'ai plein de photos)

A l’inverse, cela signifie qu’il est impossible d’être en surpoids sans avoir déréglé cette belle mécanique. Dans ce cas, votre corps semble vous trahir. Vous avez beau manger suffisamment, vous avez encore faim. Pire : vous avez régulièrement de furieuses tentations de gras ou de sucré !

Comment en arrive-t-on là ?

Et bien c’est LA question que vous devez vous poser avant de commencer un régime, sans quoi il sera voué à l’échec. Vous devez agir en priorité sur les mauvaises habitudes qui dérèglent la sensation de faim.

Parmi celles-ci, il y a bien sûr le choix de mauvais aliments, toxiques ou addictifs, comme le fructose des jus de fruit ou des produits industriels. Mais je voudrais insister ici sur des pratiques qu’on oublie trop souvent… car elles n’ont rien à voir avec le contenu de votre assiette. 

1. Chassez le stress… surtout au moment des repas !

Le stress chronique est le pire ennemi de la minceur pour une raison simple : il ouvre l’appétit !     C’est un mécanisme tout à fait naturel. Imaginez que vous ayez à faire un long discours en public, et que cela vous terrifie. Votre organisme va alors mobiliser toute son énergie pour vous aider à passer cette épreuve dans les meilleures conditions.

Mais une fois que votre discours sera fini (et que vous serez soulagé), votre organisme vous demandera du réconfort… pour récupérer de cet effort ! Juste avant le discours, vous étiez sans doute incapable d’avaler quoi que ce soit. Mais juste après, une fois la tension retombée, votre organisme est programmé pour vous inciter à vous jeter sur la nourriture, si possible la plus calorique qui soit !   Lorsque ce type de stress reste ponctuel, cela ne pose pas de problème. Mais si vous êtes constamment stressé, cela perturbe le fonctionnement du cortisol, l’hormone du stress, et vous risquez de « surcompenser » par un excès de nourriture.

Dans ce cas, la tentation est généralement à son maximum le soir, après une dure journée. C’est ce que mon ami le docteur Jean-Paul Curtay appelle le « dîner psychotrope » : on mange trop (et mal) pour se « faire du bien » après une journée stressante.

Si vous êtes dans ce cas, votre priorité doit évidemment être de mieux gérer votre stress : maigrir en sera la conséquence naturelle.

N’hésitez pas à vous lancer dans une des activités anti-stress les plus reconnues, comme le yoga, la sophrologie ou la méditation. (je déteste tout ça )   Au minimum, pensez à la « cohérence cardiaque », c’est simplissime à faire et l’effet est garanti.  Voici comment cela se pratique : le matin au réveil, asseyez-vous sur une chaise, le dos droit, inspirez par le nez pendant 6 secondes puis expirez doucement, par la bouche, pendant 6 secondes également. Faites cet exercice pendant 5 minutes, et vous en ressentirez immédiatement les bienfaits.    Plutôt de compter dans votre tête, n’hésitez pas à vous aider des applications sur téléphone mobile qui existent, comme Respirelax. Et si vous le pouvez, répétez ce petit exercice en fin de matinée, puis en milieu d’après-midi, pour profiter de l’effet tout au long de la journée.

Une autre astuce très simple pour lutter contre le stress ET l’envie de grignoter est de recourir à une plante africaine, le Griffonia.  (??????)  Elle est riche en « 5-HTP », un acide aminé qui apaise le stress et l’anxiété naturellement, et limite ainsi votre appétit.

Faites aussi très attention aux effets délétères du stress pendant vos repas. Car le stress peut vous conduire à engouffrer le contenu de votre assiette le plus vite possible, ce qui dérègle les signaux naturels de satiété, qui vous disent quand vous avez assez mangé.  Pour renouer avec les besoins naturels de votre organisme, coupez vos aliments en petits morceaux et mastiquez-les lentement. De nombreuses études ont montré que manger trop vite ou avaler de trop grosses bouchées conduisait à consommer davantage de calories.

Au total, ne mangez jamais votre repas en moins de 20 minutes, (moi c'est 10 et encore)  c’est le temps minimal nécessaire pour que les hormones de la satiété produisent leur effet. Profitez de chaque bouchée, buvez un peu d’eau, faites de petites pauses en inspirant tranquillement : tout ceci vous aidera à ne manger que ce dont votre corps a vraiment besoin. 

2. Dormez davantage… et mieux !
Si vous ne dormez pas assez, vous n’avez aucune aucune chance de perdre vos kilos en trop – et vous risquez à tout moment d’en gagner de nouveaux.     Pourquoi ? Tout simplement parce que mal dormir donne faim. Exactement comme le stress.

Et pour cause : la privation de sommeil EST une forme de stress chronique pour votre organisme. Avec les mêmes effets : perturbation du cortisol, hausse de l’appétit et tentations accrues pour les aliments gras et sucrés.   Mais le manque de sommeil a aussi un autre effet hormonal, encore plus direct et pernicieux : il augmente mécaniquement la production de la ghréline, une hormone qui vous ouvre l’appétit. Et, à l’inverse, il réduit la production de leptine, une hormone qui donne le sentiment de satiété.
Retenez bien le nom de cette hormone, la leptine. C’est elle qui signale à votre cerveau que votre corps a stocké suffisamment de graisse… et qu’il est donc temps de s’arrêter de manger.   Lorsque votre leptine ne joue plus son rôle, par exemple après une nuit d’insomnie, votre cerveau croit qu’il est en mode « famine » et il fait tout pour vous inciter à prendre du poids et du gras !

Au total, il suffit de quelques années de mauvais sommeil pour transformer votre silhouette.

Une étude a suivi des jeunes adultes pendant 5 ans. Ceux qui dormaient moins de 5 heures par nuit ont vu leur tour de taille exploser : leur graisse abdominale a augmenté trois fois plus que celle de ceux qui dormaient 6 à 7 heures par nuit.

PAR CONTRE QU ON M' EXPLIQUE ISABELLE MOrINI BOSC  dort juste 3 h   . . .  elle fait peur tant elle est maigre ?Donc moi je dis  que tout dépend de chaque personne de son ADN  de son héritage de ses parents et grands parents  POINT

La conclusion est évidente : ne vous privez jamais volontairement de sommeil. Essayez de revoir vos priorités, couchez-vous plus tôt s’il le faut.    Et si vous souffrez d’insomnies, la première des choses à faire est de… lutter contre le stress, qui en est bien souvent la cause !  çA C'EST ENFONCER UNE GROSSE PORTE TRèS OUVERTE 

Si cela ne suffit pas, aidez-vous de molécules naturelles. Les plantes comme la valériane et l’escholtzia (pavot de Californie), ou des compléments alimentaires à base de mélatonine sont particulièrement efficaces pour induire un sommeil réparateur. 

3. Protégez vous des polluants toxiques

Il n’y a pas que le manque de sommeil qui perturbe vos hormones. Il y a aussi les fameux « perturbateurs endocriniens » des produits chimiques, auxquels il est désormais bien difficile d’échapper.     Le plus connu, le bisphénol A, est directement impliqué dans l’obésité, ainsi que dans des maladies graves comme le diabète et le cancer du sein.

Jusqu’à une date récente, on en trouvait un peu partout, des plastiques des biberons aux boîtes de conserve, en passant par les tickets de caisse. Il est désormais interdit en France dans tous les contenants alimentaires… Mais il est de plus en plus remplacé par le « bisphénol S », dont tout porte à croire qu’il a les mêmes effets délétères !

parfois j'ai la vague impression qu'on se fiche vraiment de nous 

Les phtalates, utilisés pour rendre les plastiques plus souples, sont eux aussi clairement soupçonnés de nourrir l’épidémie d’obésité . On en trouve dans les vernis à ongles, les cosmétiques, les jouets pour enfants, les gants en plastiques, les emballages alimentaires, les déodorants, certains savons, etc…      Et je ne vous parle pas des pesticides, comme l’atrazine ou les tributylétains : on manque de preuves définitives, mais les études sur les rats suffisent pour me convaincre de les fuir – et pas uniquement pour éviter de grossir.

Voici donc une recette inattendue (mais efficace) pour maigrir : mangez bio, fuyez les cosmétiques industriels et privilégiez les contenants en verre ou en métal (plutôt que le plastique).  Désolée : je donne mon avis ?????  je n'en crois rien du tout

Soyez très attentif à tout ce qui pourrait vous « polluer ». Jusqu’à l’eau du robinet, dans laquelle on trouve de plus en plus de résidus de médicaments (le plus souvent des pilules contraceptives… qui font grossir !).  pendant 25 ans on nous a serinées que la pilule ne faisait pas grossir : elle ne m'a jamais fait prendre un gr  

L’eau de source, en revanche, doit être bue sans modération. Quand votre corps n’est pas suffisamment hydraté, il peut vous arriver de ressentir une sensation de faim…   (exact quand j'ai envie de grignoter je bois un tres grand verre d'eau  . . . DU ROBINET mais ce n'est pas un scoop   )   qui n’est autre qu’une soif dissimulée, et qui disparaît dès que vous prenez un peu d’eau. Mieux : plusieurs études ont montré que boire un demi litre d’eau 30 minutes avant chaque repas était un moyen simple et très efficace de perdre du poids.   ça je suis d'accord mais aussi   si vous prenez un apéro  et bien  avant prenez un très grand verre d'eau 

4. Ne misez pas tout sur le sport

moi  et le sport ???   non je dis non . . .   je me suis entretenue durant 20 ans -   en salle  chez moi  -    ça ne m'a pas empêchée d'avoir  "une grave ostéoporose fulgurante à  44 ans"  qui m'a fait perdre un tas de kgs 

ne faites que de l'entretien à mon age  cela suffit largement 

C’est l’erreur numéro 1 de tous ceux qui cherchent à perdre du poids : croire qu’il suffit de faire de l’exercice pour brûler les calories en trop.      La réalité est toute autre. En fait, il est impossible de compenser des excès alimentaires en faisant du sport.

C’est mathématique : si vous courrez pendant une heure entière, vous perdrez environ 500 calories… soit l’équivalent d’une simple tablette de chocolat. Un repas trop abondant, lui, peut facilement dépasser les 1 200 calories.    Mais c’est surtout physiologique : si vous faites de longues séances de sport, votre corps vous réclamera davantage de nourriture pour se remettre ! Vous aurez donc plus d’appétit, et votre « volonté » pèsera bien peu contre celle de votre propre corps.     Voilà qui explique une découverte surprenante, réalisée grâce à une étude danoise : ceux qui font une heure de sport d’endurance par jour perdent moins de poids en moyenne que ceux qui se contentent de 30 minutes.

Cela dit, faire du sport pour maigrir reste un excellent conseil. Mais pas n’importe lequel, et pas pour les raisons que l’on imagine.

En fait, l’activité physique est un allié minceur par son rôle indirect :

  • Le sport est anti-stress : il conduit votre cerveau à produire des endorphines, qui sont des petites molécules de plaisir, qui vous mettent dans un état de calme et d’apaisement ;
  • L’activité physique améliore votre sommeil : après une journée active, vous vous endormez plus rapidement et votre sommeil est plus réparateur ;
  • Bouger et transpirer détoxifie votre organisme des polluants chimiques auxquels vous êtes exposés au quotidien.

Le sport ne sera jamais un raccourci miracle qui « brûlera » vos kilos en trop. Mais c’est un allié de choix pour aider votre organisme à retrouver son réglage naturel.     Son action est d’ailleurs particulièrement efficace lorsque vos hormones sont perturbées. Il réduit la résistance à l’insuline, dont souffrent les diabétiques, et améliore le contrôle du sucre sanguin. Il améliore le fonctionnement de la leptine, « l’hormone de la satiété » . Et il normalise les taux d’œstrogène, dont les variations peuvent contribuer au surpoids, notamment chez la femme à la ménopause.

Et la bonne nouvelle est que vous pouvez profiter de tous ces bienfaits sans passer des heures interminables à courir ou en salle de sport.

Car l’idéal pour perdre du poids et préserver sa santé est de faire des exercices courts à haute intensité.

Maigrir n’est rien d’autre qu’améliorer sa santé

Je pense que cela ne vous a pas échappé, mais je voudrais quand même le souligner : les meilleurs secrets pour perdre du poids sont aussi ceux qui vous permettent par ailleurs de vivre plus longtemps et en meilleure santé.    C’est tout sauf une coïncidence : conserver son poids de forme n’est rien d’autre que la conséquence d’une vie saine et heureuse.

Alors méfiez vous comme de la peste des régimes extravagants ou, pire encore, des médicaments chimiques « coupe-faim »pour moi c'est criminel  de la part de ces médecins qui gagnent un fric fou avec ça dont fait partie ce cher Dr COHEN  on voit comment a bien marché le régime de HOLLANDE après son régime foudroyant  ma mère a déclaré une maladie auto immune AH NON ELLE N4A PAS REPRIS DE POIDS MAIS JE nE VOUS RACONTE PAS CE QU'ELLE A SOUFFERT   (une dermatopolymyésite  ça ne s'invente pas  . . . si ?  ça fait partie des maladies dites orphelines  )     

Commencez par prendre des habitudes un peu plus saines, dans tous les domaines.   ben ça aussi c'est enfoncer une porte ouverte   Et vous verrez, progressivement, vous perdrez des kilos… sans même vous en apercevoir !  je doute je doute  quand on est gros on est gros
Bonne santé !     Xavier Bazin

15 avril 2020

Le C à LIRE . . . santé . . .

un peu de philosophie ?

ça me plait de les entendre  discourir

Si j'avais un maitre dans ce domaine  , un domaine dans lequel je n'ai aucune connaissance  et qui pourtant m'interesse  énormément  parce que dans des moments de doute sur la vie  : ils me font réfléchir . . . . Mais attention  POINT TROP N ' EN FAUT parce  que parfois ça me dépasse  et je finis par ne plus rien y comprendre   :   c'est  vers la sagesse et la douceur de  BORIS CYRULNIK vers lequel pencheraient mes idées et  mes pensées  . . .

Le philosophe Blaise Pascal avait-il raison, au 17e siècle, en affirmant que "tout le malheur des hommes vient d'une seule chose, qui est de ne pas savoir demeurer en repos dans une chambre" ?

Pour CLAIRE MARIN , cette situation est insupportable car elle nous renvoie à nos pensées sur notre misérable condition, à la peur de la maladie et de la mort. C'est pour cela que l'on essaie généralement à tout prix de ne pas rester seul avec soi-même.

Pour beaucoup, à l'heure du confinement, la chambre ou l'espace domestique est devenu quelque chose qui n'est plus seulement la sphère privée, ajoute Alexandre Lacroix. Le lieu est redoublé d'autres dimensions : une école pour les cours à distance, un bureau pour le télétravail, un lieu de réflexion sur la crise sociale et politique... Tous ces lieux, d'habitude disséminés, se retrouvent tout d'un coup recroquevillés dans un lieu unique.

Tout ce qui est vivant meurt un jour, c'est-à-dire que nous sommes contraints à la pulsation, explique Boris Cyrulnik :

le jour/la nuit, l'éveil/le repos, la chambre/le social.

Les deux sont opposés et pourtant fonctionnent ensemble.


"On est contraint à la chambre avec plaisir, à condition d'avoir eu auparavant et de rêver après de social. On est contraint au social à condition de pouvoir de temps en temps se réfugier dans les bras du lit et de régresser un peu. On est contraint aux deux en même temps."


Que peut nous apporter la philosophie en ce moment ?

Pour Alexandre Lacroix, "le moment que nous traversons est un moment intrinsèquement philosophique, il est en lui-même une expérience philosophique. C'est un moment d'arrêt. Sous la pression de la globalisation libérale, d'économies tirées par la croissance, nos sociétés modernes se sont lancées dans la passion de l'accélération. Et là, il y a un point d'arrêt qui n'est pas individuel, comme le serait une maladie ou une retraite, il y a un point d'arrêt collectif."

Tout à coup, on ne peut plus courir, il faut rester chez soi. Nous traversons collectivement un moment où nous pouvons nous interroger sur nos valeurs. La lecture de textes de philosophie, l'écoute de conversations avec des philosophes ou des penseurs apportent du discernement.

La thérapie par la philosophie, c'est la clarification conceptuelle, c'est-à-dire le discernement, le fait de ne pas se laisser emporter trop loin par les affects, de pouvoir mettre des mots précis sur les expériences que nous vivons, de pouvoir y voir un peu plus clair pour ne pas se laisser emporter par les angoisses qui peuvent remonter de l'intérieur, secrétées par le confinement et l'isolement.

Ce moment de suspension peut être vécu comme philosophique pour certains, pour qui c'est un luxe, une expérience un peu privilégiée, observe Claire Marin. Ils peuvent trouver dans la philosophie des supports de pensée, des horizons, des portes pour s'évader, que l'on peut trouver aussi dans la littérature.

Pour d'autres, au contraire, c'est malheureusement une période où ils ont encore moins le temps de penser qu'auparavant.

Il y a des gens confinés chez eux et d'autres obligés par leur métier d'assurer le maintien de la civilisation matérielle et il y a là le germe d'une lutte des classes possibles.
 

Ce qui se joue aujourd'hui va-t-il nous transformer individuellement et collectivement ?

Comme après tous les traumatismes, nous allons être obligés de penser la vie autrement. Sinon, nous resterons prisonniers du passé, prisonniers du malheur, nous ne ferons que répéter, nous arrêterons de penser. C'est ce que l'on appelle le syndrome psychotraumatique.

"Si l'on pense, on est invité par le trauma à envisager une autre manière de vivre, et c'est la définition de la résilience, explique Boris Cyrulnik"On est contraint à réfléchir pour essayer de s'en sortir. On ne peut être bien dans sa chambre qu'en période de paix. Quand on est en guerre contre l'invisible, on a des angoisses. Si on ne fait rien, on est prisonnier, on est gelé. Si on se met à penser, on peut soit créer des merveilles et inventer une autre manière de vivre, soit créer des boucs émissaires, et là on ajoute du malheur au malheur."

Boris Cyrulnik  (UN MAITRE)  lit pour le moment des livres d'histoire et de civilisations. Il relit Sandraï qui raconte comment les épidémies ont modifié les cultures. Depuis que l'écriture existe, on voit comment les épidémies, en tuant beaucoup de monde, modifient la civilisation et nous obligent à penser différemment.


Est-il normal d'avoir peur ?

"Le confinement est une protection physique, mais c'est une agression psychique. En neurologie, on sait qu'un cerveau seul s'éteint.  (voilà pourquoi le blog me sauve il me permet d etre un tout petit peu avec vous )  Un cerveau a besoin d'un autre pour être éveillé, pour se mettre à fonctionner.  C4EST UNE EVIDENCE . On a besoin de la présence et de la parole des autres pour que notre cerveau soit stimulé. Je ne peux devenir moi-même que s'il y a un autre auprès de moi, sinon je m'éteins".

Boris Cyrulnik pense que le confinement, qui est bien sûr nécessaire, va provoquer des troubles psychiques. "Mais cela nous contraint à augmenter les mécanismes de défense. On peut être alors dans la production artistique, dans la philosophie. Certains auront une plongée intérieure, probablement mystique."

A chaque catastrophe ou épidémie, on observe le même processus : 

augmentation du mysticisme,

augmentation de la plongée dans un monde intérieur - la philosophie, la réflexion - ,

augmentation de la protection familiale et du groupe, et

augmentation de la haine, de la recherche du bouc-émissaire.

Il est prouvé neurologiquement que la prière, les croyances aident à lutter contre l'angoisse. JE PENSE AUSSI 


Assiste-t-on à la disparition de l'insouciance ?

On est en train de découvrir un autre versant de la réalité, qui touchait déjà les malades, les personnes âgées, qui vivent le confinement et l'angoisse.

On découvre ce qu'est une menace, une inquiétude vitale.

On assiste à une prise de conscience violente, radicale, de la fragilité d'un monde ou d'un système auquel on croyait de manière un peu légère.

Que penser des jeunes insouciants et inconscients ? L'adolescence, c'est l'âge de la transgression, rappelle Boris Cyrulnik.

On a besoin de s'affirmer en s'opposant aux règles. Les ados croient se personnaliser en ne tenant pas compte des prescriptions sociales. "Sur le plan psychologique, ils font leur boulot d'adolescents. Mais sur le plan épidémiologique, ce comportement est dangereux parce qu'il fait voyager le virus."

Quels liens humains à l'heure du coronavirus ?

Les liens humains se reconfigurent, se réinventent. 

Le numérique joue un grand rôle : il y a une intensification d'échanges via internet, des écrits, des photos, des conversations... "Bizarrement, je ressens une certaine chaleur, constate Alexandre Lacroix. "Les gens se demandent des nouvelles les uns des autres, entre collègues,... Il y a une proximité qui s'installe, un surcroît de civilité, de politesse, on est content de voir que l'autre est bien portant. Il y a pour le moment une revivification des liens humains, qui passe étrangement par la technostructure."

On redécouvre aussi le téléphone, on s'appelle, ce qu'on ne faisait plus, ajoute Claire Marin. Il y a dans la voix quelque chose de plus touchant, de plus directement humain que dans les messages. 

Ce qui est premier dans les échanges, c'est d'abord le souci de l'autre, la dimension professionnelle vient après.

C'est une belle expérience que nous faisons. 

Il y a des formes de solidarité inédites, qui avaient un peu disparu, entre voisins, entre amis. Dans ces contacts, se manifestent des formes d'affection qui d'habitude n'osent pas se dire, peut-être par pudeur ou par contrainte sociale.

Peut-on espérer une décroissance de l'égoïsme à l'échelle mondiale ?

Le confinement va nous obliger à activer l'attachement : ceux qui étaient bien avant le virus vont téléphoner, lire, organiser des réunions par skype, des rituels familiaux, ils vont profiter de cette épreuve pour activer l'attachement et augmenter la solidarité.

Ceux qui étaient fragilisés avant vont par contre être altérés par l'isolement social et décompenser, avoir des bouffées délirantes.

"Je pense qu'il va y avoir une révolution culturelle, avance Boris Cyrulnik. "Je fais le pari que quand la vie reprendra, que le virus sera mort et qu'on sera à nouveau autorisé à vivre, que culturellement beaucoup vont mettre en cause le sprint et l'excès de machines."

Alexandre Lacroix est plus modéré : de façon structurelle, beaucoup d'entreprises, pour ne pas avoir à licencier, vont devoir rattraper la croissance perdue, il y aura donc un risque de réaccélération brutale, tout simplement pour ne pas risquer de perdre son travail. On pourrait tomber dans un productivisme post-crise, qui reproduirait en pire les travers de la période précédente.

Il est inquiet de voir déjà, après quelques jours de confinement, plusieurs lignes de front sociales se dessiner : une opposition entre les jeunes insouciants et les personnes âgées durement frappées, entre les bourgeois au confinement confortable et les prolétaires qui doivent travailler à l'extérieur et s'exposer au risque, entre la campagne et la ville. Il craint que ces lignes de fracture ne fassent quelques dégâts.

Après cette épidémie, l'idée de la fragilité qui est la nôtre va s'installer psychiquement en nous.

L'incertitude sera plus intime, plus présente et plus angoissante.

On peut espérer que cela engendrera des réactions positives, une prise de conscience.

Mais on peut se rappeler aussi que souvent après une catastrophe, on voit émerger une forme de déni, de refoulement, et retrouver la vie d'avant peut nous donner l'impression que c'était juste une parenthèse et que cela n'arrivera plus, explique Claire Marin.
 

Notre rapport au temps va-t-il changer ?

Nous vivons avec le temps des écrans et tout à coup ce temps spatialisé se déchire, s'effondre sur lui-même. Pour Alexandre Lacroix, cela va laisser resurgir le temps psychologique, le temps du corps, le temps de la nature. Nous allons redécouvrir des temporalités que nous avions enfouies. Des temporalités plus incarnées, plus archaïques, plus sensibles.

Nous étions prisonniers du temps social et nous sommes en train de redécouvrir le temps intime.

A quoi se raccrocher pour tenir sur la distance ?

Alexandre Lacroix conseille de tenir un carnet de bord, d'écrire ou de dessiner, de retrouver ses passions de jeunesse, d'en tout cas faire quelque chose de ces semaines de confinement. Il suffirait de passer 2 ou 3 heures par jour à travailler à un beau projet pour que tout le reste de la journée soit coloré par autre chose que l'ennui, l'angoisse et les nouvelles alarmistes.  Je suis en total accord 

Pour Boris Cyrulnik, la recette d'adaptation au confinement tient à 3 choses : l'action, l'affection, la réflexion.

1 heure de culture physique devant son miroir pour secréter des endorphines tranquillisantes,

des manifestations d'affection, comme celles qui ont soutenu les soldats pendant les guerres,

et la réflexion, car comprendre, c'est maîtriser, c'est reprendre un peu de liberté.

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en ce qui me concerne  je ne vois pas l'avenir d'une couleur très rose  . . . et à un certain âge c'est je pense encore plus dur  . . .

je suis convaincue qu'on a eu UNE TROP BELLE VIE DEPUIS la fin de la guerre 40/45  . . .   ça ne pouvait plus durer   . . .    LE DEVOIR DE MEMOIRE  parfois ça me fait sourire  . . .  c'est comme d'applaudir les infirmieres et infirmiers tous les soirs et d'aller se balader dans les parcs le lendemain 

on n'a fait attention à rien 

on a gaché la planète 

non je persiste à dire que je ne suis pas une écolo mais je respecte TOUT   ET PLUS ENCORE  quand ça ne m'appartient pas  : c'est un devoir c'est tout

rendez -vous compte : dans certaines familles il y a 4 voitures en  action  allez ? ne me dites pas que c'est normal ??

on achete on jette on consomme on coupe on scie  des forets entières  on bouzille la flore la faune  

on utilise des pesticides des colorants des produits plus toxiques  les uns que les autres  et on s'étonne ?

on a voulu la mondialisation  : on l'a eue 

qui a eu la cvonscience  vraiment de ce qu'il s'est passé en australie il y a quelques mois ?????

Et si tout ça était lié  

je ne sais

je ne me pose que des questions  c'est déjà ça   . . . mais j'ai peur

rendez vous compte à quel point le progres s'est développé  en nouvelles technologies  déjà ????  rien que les antennes les pilones les éoliennes  combien de SATELLITES tournent autour de notre terre   . . . je lis       https://www.futura-sciences.com/sciences/questions-reponses/satellite-satellites-tournent-autour-terre-7065/ . . .    tout ça depuis 1963

uirhtyuhu'(yt

jfhgujhrziyjgz

tout ça pour nos GSM  nos MAILS  nos ordinateurs

si on déconfinait  demain matin   :  

des millions de personnes reprendraient l'avion pour un petit week end BIEN ETRE comme si de rien était  je me demande si un jour ça s'arrete  on va changer quelque chose à leur  MODE vie ??? MOI JE DIS NON  je trouve moi qu'il n'y a plus de conscience  de rien  on parle on parle c'est tout

QUAND je pense à tous ces zoonings commerciaux  despui les années 75/80 qui pullulent et poluent qui ont rasé toutes les petites boutiques  des jolis petits quartiers de villes d'antan   melées d'atelier d'artistes  et d'aretisa,ns surtout  . . ..  je vais rarement dans ces grands centres ça me donne le tournis

 

je suis à cet instant   17h19

sur les télévisions belges  un flash spécial

les virologues des experts  chercheurs et  savants s'entendent pour nous affirmer  qu' il va falloir des mois et des mois     pour reprendre une vie qui ne sera plus la m^me qu'avant  :  port du masque distance   . . . nous en aurions pour des mois voire  2 ou 3 ans une seconde vague du virus est possible et plus forte encore  . . .

comment on va faire ? 

13 avril 2020

Le c à ECOUTER

c'est à écouter merci

c'est excellent

tyuièt

voici le lien

 

https://www.jeanmarcmorandini.com/article-421564-confinement-regardez-la-parodie-de-sandrine-sarroche-sur-paris-premiere-qui-reprend-la-celebre-chanson-de-juliette-greco-qui-devient-deconfinez-moi-video.html

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13 avril 2020

Le C à LIRE : LA CRISE SANITAIRE MONDIALE et ma petite personne

Voilà une nuit de passée  . . .   une nuit de 2 x 2h30 de semi comas  . . . Très moche ;  ça on s'en serait douté  . . . un lit d'une personne c'est vraiment terrible quand on a les 2 demi- jambes plâtrées   pas moyen de les étendre   . . . j'ai besoin de 180 ou 220   . . .  90  c'est la mesure de la calamité . . .

je ne pense pas que j'y arriverai ,  seule  . Mon état d'esprit est assez moche aussi . . . démotivée, découragée,   à la limite de la grosse déprime  cette fois . . .  et oui je vous dis exactement comment je me sens  et encore je n'ose tout vous dire

J'ai très mal partout  mais vraiment PARTOUT  . . . .

JE DOIS dépenser 1.500 calories rien que pour me mettre sur la chaise de bureau et aller jusqu'à la cuisine  c'est dingue  je n'ai plus de force

j'ai pris 10 ans suite à la fracture dorsale je vais en prendre 15 cette fois- ci je serai donc confinée plus longtemps que vous toutes

Ce serait bien qu'on n'en finisse et qu'on me pique de suite comme un chien qui a la gale    je dis MERCI PAR AVANCE

Merci à vous MESDAMES de penser  à moi  .  je le savais de toutes façons je ne suis pas étonnée de vos gentillesses DE VOTRE SYMPATHIE et de la confiance que vous me portez  (Pasquale) 

Depuis que le soleil est levé il fait grand bleu  . . . puis là  10 h  sonnent  zou il est parti  , +9° gros refroidissement   on était prévenus depuis 3 jours

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Alors au sujet du covid19

JE DOIS AJOUTER des informations suite à ce que je vous ai raconté au sujet de la soeur de MAURiCETTE    , Annik , qui a contracter le COVID  restée confinée chez elle et elle a été très mal vraiment  . . . je vous disais que son mari n'avait rien eu

Si  si    ;    il a contracté le covid et il a mieux supporter qu'Annik.  Leur médecin DrT.  , qui est d'ici est lui aussi contaminé  mais c'est supportable pour lui par contre sa compange elle même médecin l'est mais plus fortement  . . . Dr T leurs a dit qu'il y avait un nombre considérable de personnes ayant déclaré le virus 

Les chiffre qui paraissent dans tous les quotidiens et que je rapporte ici seraient donc très inférieurs à la réalité    Pourquoi ?

Quand au sujet des invités de la fête  : je n'en sais pas plus   . . . il m'étonnerait fort qu'il n'y ait pas de cas ???????????

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dernières nouvelles

hier je ne m'en suis guère préoccupée

no 1

n 2

n 3

ygygygygygy

et il nous dit ça avec un immense et  beau sourire

yuku

rtjyijtihyjt lkutl

jgjhjgtjhgt jgfjgfjgjg

première photo  :   ne vous ai je pas proposé il y a quelques temps de faire vous même vos masques en lin ????? ben si

gyyytftf hgyhgygyg

premiere image : oui je  suis allée lire il y a 15 jours  mais  c'était atroce   

seconde image : allez ?   si ça c'est vrai  . . . . ?????????????

chjdtyj

terrible gfbhjgbh

première photo  les pauvres   ça c'est aux soins intensifs 

seconde photo  JE L'AI MONTRÉ AUSSI   cette allergie à ce fichu gel    :  je prends un savon surgras  et un MARSEILLE

carte 8 avril 11 avril

12 avril

voyez les dates  . . . ici ça augmente  chaque jour

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