Le C à lire les infos
quelques infos de la période de PAQUES
mon DIEU mais quelle horreur : ce qui m'a le plus traumatisée et c'est le mot : c'est SHANGAI . . . les pauvres gens c'est insupportable à voir alors à vivre ? Comment le peuvent ils comment vont ils ressortir de ça ? les chiens les chats dans des filets entassés comme dans un paquet de bonbons
Là pour moi L'organisation des DROITS DE L'HOMME DOIVENT A G I R
À Shanghai, un confinement a été décrété fin mars et est toujours en vigueur.Des restrictions très fermes ont été mises en place, y compris en matière de tests.Agnès, professeure au lycée français de la ville, livre son témoignage à TF1info.
Vingt jours se sont écoulés depuis le début du confinement à Shanghai, en Chine, où les contaminations sont reparties à la hausse. Le gouvernement chinois a même annoncé, ce lundi 18 avril, trois décès dus au Covid-19, et plusieurs centaines de milliers de cas positifs ces dernières semaines, selon l'AFP.
Pour faire face à ce rebond épidémique, des restrictions très strictes ont été mises en place pour les 25 millions d'habitants de la ville. Agnès, professeure d'histoire-géographie au lycée français de la capitale économique du pays, a raconté à TF1info son difficile quotidien.
Alors que les habitants ne sont pas autorisés à sortir, et que les magasins sont fermés, le gouvernement chinois a mis en place des systèmes de distribution de nourriture, à la charge de l'État. Malgré tout, les ravitaillements ne sont pas réalisés de façon régulière, et ne prennent pas en compte le nombre de personnes dans chaque foyer : "En trois semaines, j'en ai eu deux. J’ai eu un gros sachet de légumes, un litre d’huile et du lait. Par exemple, aujourd’hui, j’ai reçu du papier toilette devant ma porte", explique Agnès, 54 ans.
Ces approvisionnements restent insuffisants pour nourrir la population. Alors, les résidents peuvent commander leurs courses sur Internet et se les faire livrer. Mais depuis quelques semaines, certains rencontrent des difficultés à s'approvisionner en produits frais. En cause, notamment, le manque de personnels chargés de livrer les marchandises. Alors, des réseaux d'entraides se créent, "comme celui des expatriés, poursuit notre interlocutrice. Parfois, des voisins chinois nous aident. Certains mettent des sacs de farine dans les ascenseurs. On les récupère. Il y a beaucoup de solidarité, et ça fait chaud au cœur."
Une surveillance accrue
Sortir est devenu mission impossible, tant et si bien que les habitants ne peuvent pas franchir le seuil de leur appartement ou de leur maison. Une interdiction qui frappe même ceux qui ont la possibilité d'avoir un jardin : "Les gardiens dorment sur place et les portes sont surveillées jour et nuit."
Les citoyens de Shanghai ont par ailleurs l'obligation de se faire tester régulièrement. "On vient frapper à votre porte assez violemment, et peu importe l’heure de la journée ou de la nuit, raconte cette professeure. C'est toujours une petite angoisse de connaître le résultat".
Si le résultat du test s'avère positif, la personne est conduite dans un camp de quarantaine, puis isolée, même si elle est asymptomatique. Afin d'assurer cet encadrement, les citoyens testés positifs sont installés dans des centres adaptés ou des structures préfabriquées :"Le virus ne nous fait pas peur. Mais la hantise des expatriés est d’être testés positifs, confie la professeure. Puis d’être pris et emmenés dans des grands centres sans aucune intimité."
Pour l'instant, Shanghai ne prévoit aucun assouplissement des règles. Car une telle mesure pourrait, selon le ministère de la Santé, submerger le système sanitaire. Et aurait pour conséquence de provoquer des millions de morts, font valoir les autorités.
Malgré tout, Agnès alimente une petite lueur d'espoir. Cette professeure espère pouvoir retourner en présentiel pour accompagner ses élèves dans la préparation du baccalauréat : "Le bac chinois est début juin. Mais pour le moment, on n'a aucune visibilité, estime-t-elle. Les autorités chinoises maintiennent ce confinement très strict, notamment à cause des hôpitaux. Si l'épidémie repart à la hausse, ils ne résisteront pas."Marine Lemesle
ouffffff que voualaient ils encore décider ? opiour ce énième CODECO nous renfemrer comme à SHANGHAI ?
en attendant à SHANGHAI ils sont tous en prison