Le C à lire les infos sanitaires et autres
LES QUELQUES INFOS DU JOUR
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allez on recommence
c'est que rien n'a été fait je ne comprends pas
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je vous promets j'ai la même tête que le cochon . . . et je vous avoue avoir même pleurer
que va t -on faire ? Nous toutes qui n’avons pas une retraite décente ?
j'espère que va tous revenir à la normal sauf si le nouveau virus nous "emmerde "
mais je ne comprends pas POURQUOI CETTE BONNNE FEMME n'a pas réagi dès la première ou seconde semaine ?
34 mois ??????????
c'est pour passer sur les médias ????????????
de mon coté j'ai lavé ls cheveux de ma mère oarce qu'elle me le demandais et que j'étais aussi là pour ça ce n'est pas parcequ'ils ont en maison de retraite qu'on n'a pas à ranger les armoire refaire un lit correctement (car ça par contre ce n'est pas fait ) mais si elle est considérée je m'en fiche
j'ai du mal à comprendre comment ces anciens se sont retrouvés dans de tels état de mal nutrition, de jambes fracturées d 'être laissés par terre . . . non mais c'est quoi ça et on ne va pas intenter un procès aux enfants ? Car ce sont eux aussi qui maltraitent les leurs
MA MÈRE ne reste pas un seul jour sans voir un ou une de la famille
je viens juste de rentrer . . . je lui dépose son linge propre je reprends je le sale toujours en restant dehors . . . je cache dans le grand sac bonbons et chocolat + aujourd'hui une demi tarte au sucre pour son café (vendredi ce sera des babas au rhum son dessert préféré) ensuite je lui demande comment elle se sent . . . si on la traite bien . . . si elle n'a mal nul part et je repars rassurée
mais au lieu de rester 1h30 voire 2 h TOUS LES JOURS comme jusqu'au 1 novembre dernier . . . et bien je reste 15 minutes tous les 2 jours mais au moins je l'ai vue : le téléphone ne suffit pas
Nous savons tous (la famille) que si nous voyions un seul truc qui cloche on va faire un scandale de fou mais on le saura dans les heures qui suivent si mauvais traitement il y a . . . PUISQU ON S'en occupe
Donc honte a tous ceux qui ne vont pas voir les leurs . . .
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MA QUESTION EST : " COMMENT CETTE saloperie SE TROUVE T- ELLE dans des glaces "
n 'a t on pas dejà eu la meme chose la semaine derniere ?
Le c à lire LE MAZOUT DE CHAUFFAGE
de mazout de chauffage
alors que le 03/05/2021
le mazout de chauffage était à
0,5322 + 21% TVA . . .
j'ai pris 1.000 litres pour . . . 643,96 e
↓
↓
et bien ce jour 01/02/2022 12H
Le mazout de chauffage est à
0,7623 + 21%TVA . . .
j'ai pris 1000 litres pour 922,38 e
soit en 9 mois
278,42 e de +
pour la même quantité
et ils me disent qu'ils m'ont fait un prix préférentiel (???)
ma tête est toujours la m^me quand je dois remplir ma cuve mais là je vous assure que c'est pire
comment va t -on faire ? pour nous les "smicards" ?
c'est dur quand même et de chauffage on ne peut se priver
Le c à voir UNE NOUVELLE SERIE
et bien
BoNJouR FÉVRIER 2022
que nous réserves -tu cette année ?
en tous cas tu commences bien mal tu nous offres un début de matinée très moche très gris
très froid +2,3°
tiens tiens tiens IL NEIGE
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j'entends hier qu'une nouvelle série est sortie sur NEFLIX (que je ne connais pas du tout)
on compare toujours avec quelque chose qui a marché du tonnerre
ils ne devraient pas puisque plus jamais ils ne feront une telle merveille
déjà ça ça me coupe les " ailes "
ok il s'agit de JULIAN FELLOWES
mais ici la série est américaine et non ANGLAISE : ce qui est diamétralement opposé
J'en suis certaine , je vais comparer on ne devrait pas comparer à DOWNTON qui est tellement bon (la série a 10 ou 12 ans ça n'a pas pris UNE RIDE . . . le plaisir est tel qu'au moment de sa sortie
Je suggère que vous achetiez LA SÉRIE COMPLÈTE : si on la regarde tout de long à raison de 3 épisodes par jour non entrecoupés par de multiples bandes de publicités et surtout sans attendre la semaine suivante pour voir la suite vous verrez TOUT AUTRE CHOSE : c'est UNE MERVEILLE
Et puis CHOSE IMPORTANTE ils ont eu la merveilleuse idée aussi de ne pas mettre une musique constante qui me hérisse le poil (ça veut dire que les dialogue sont bof bof ) et qui finit par toujours m'endormir même si c'est pas trop mal
Lors de l’écriture de Downton Abbey, Julian Fellowes a étudié les « dollars princesses », ces riches héritières américaines de la « période dorée » comme Cora (Elizabeth McGovern) que des aristocrates européens comme Lord Robert Grantham (Hugh Bonneville) ont épousées afin de renflouer leur fortune en déclin. Cela a conduit le scénariste à s’intéresser aux familles dynastiques américaines comme les Vanderbilt, les Astor et les Gould, et au boom financier qui a suivi la guerre civile.
Si The Gilded Age n’est pas, comme certains l’ont supposé, un préquel de Downton Abbey, il est impossible de ne pas voir les liens de parenté entre les deux œuvres.
Au cœur de l’élite New-Yorkaise
L’intrigue de The Gilded Age commence en 1882 lorsque Marian Brook (Louisa Jacobson, une des filles de Meryl Streep qui fait ici ses débuts à l’écran) est contrainte de quitter sa Pennsylvanie natale après la mort de son père qui l’a laissée désargentée.
Elle s’installe à New York où vivent ses richissimes tantes Agnes van Rhijn (Christine Baranski, qui joue Diane Lockhart dans The Good Wife et The Good Fight) et Ada Brook ( Cynthia Nixon, qui joue Miranda Hobbes dans Sex and the City et And Just Like That). A la gare, elle se lie d’amitié avec Peggy Scott (Denée Benton, Eliza Hamilton dans la production de Broadway, Hamilton), une écrivaine en herbe afro-américaine.
L’arrivée des deux jeunes femmes dans la vie des deux matriarches coïncide avec l’installation de nouveaux voisins dans l’imposant manoir d’en face que les deux tantes ne voient pas du tout d’un bon œil, celle de la famille Russel. Le mari, George Russell (Morgan Spector, vu dans The Plot Against America et Homeland) a amassé une immense fortune grâce à l’industrie ferroviaire.
Son épouse, l’ambitieuse Bertha (Carrie Coon, Nora Durst dans The Leftovers), est bien déterminée à intégrer la bonne société new-yorkaise. Ce personnage s’inspire d’Alva Vanderbilt, l’épouse de William Kissam Vanderbilt, petit-fils de Cornelius, le fondateur de la dynastie éponyme. Comme elle, Bertha Russell doit faire face à Caroline Schermerhorn Astor (Donna Murphy), qui gère le club des « 400 » rassemblant l’élite de Big Apple.
Comme le film Downton Abbey, qui mêlait la famille fictive Crawley à un vrai événement historique, une visite à Wentworth Woodhouse dans le Yorkshire par le roi George et de la reine Mary en 1912, Julian Fellowes mélange personnages de fiction et véritables magnats de la « période dorée ».
Au cœur d’un conflit social
A son corps défendant, Marian se retrouve au beau milieu d’un conflit social, qui oppose les « Old Money », les héritiers des riches familles de la vieille garde qui dominent la haute société américaine depuis avant la Révolution américaine à celui des « New Money », les nouveaux riches, des entrepreneurs qui ont bâti leur fortune récemment sur l’industrie du charbon, du cuivre ou les chemins de fer.
« Tu es ma nièce et tu appartiens au vieux New York », avertit d’emblée sa tante Agnes van Rhijn, qui partage le sens de la repartie acérée de Lady Violet Crawley, tandis qu’Ada Brook est dotée de la bienveillance d’Isabelle Grey.
Agnes est « une merveilleuse snob, mais qui ne voudrait pas jouer une snob écrite par Julian Fellowes ? », s’amuse Christine Baranski dans les colonnes du New York Times.
« Elle est consternée par le changement dans la ville, car les gens dépensent des sommes folles pour impressionner les autres », explique-t-elle à What to Watch.
Le respect de l'étiquette
The Gilded Age suit la découverte des codes de la haute société new-yorkaise de Marian tout comme Downton Abbey suivait l’entrée dans le monde des trois filles Mary, Edith et Sybil dans le monde aristocratique britannique. Le casting a lu les romans d’Edith Wharton et d’Henry James avant le tournage, et a reçu des leçons sur l’étiquette, la diction et les coutumes de la « période dorée ».
« La culture des cartes de visite était une danse complexe et délicate », s’amuse Louisa Jacobson dans le New York Times. « C’était comme Instagram », a-t-elle ajouté. On comprend vite qu’elle n’est pas insensible au charme de Larry, le fils des Russel (Harry Richardson, la star de Poldark), ni à celui de son avocat Tom Raikes (Thomas Cocquerel, aperçu dans Les 100).
« Marian sait que son destin probable sera de se marier du mieux qu’elle peut, mais elle en veut plus. Elle est restreinte par les règles de son époque, mais il y a un côté moderne en elle. Elle veut faire quelque chose de sa vie », résume Louisa Jacobson à What to Watch. Marian suivra-t-elle les règles liées à son rang ou apprendra-t-elle à les contourner ?
« C’est la plus grande construction que j’ai jamais faite »
Comme dans Downton Abbey, le ballet des domestiques, en coulisses, est toujours aussi savamment mis en scène. The Gilded Age bénéficie comme son aînée d’une production impeccable, faite de costumes somptueux, de robes et chapeaux extravagants, et de décors impressionnants. Des intérieurs soignés à la reconstitution d’une partie du Manhattan au XIXe siècle : « C’est la plus grande construction que j’ai jamais faite », se réjouit Bob Shaw, le chef décorateur, qui a travaillé sur Les Sopranos et Boardwalk Empire dans le New York Times.
Avec les dialogues érudits et tranchants de Julian Fellowes et sa valeur d’apparat hérité de Downton Abbey, son casting époustouflant et son propre mélange capiteux d’opulence, de romance et de coups de poignards, The Gilded Age risque bien d’être une nouvelle mine d’or pour le créateur !
j'ai trop hate (si je suis toujours de ce monde) de visionner cette série car j 'ignore en quelle année elle va sortir