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el lefébien
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je CRITIQUE et vous EXPLIQUE les images de déco, je DÉCORE, je DÉVOILE ma MAISON mon JARDIN, je COMMENTE les INFOS du jour les films et les séries en fait je PAPOTE comme devant un apéro ou un café . . . Il arrive aussi que je TRICOTE et que je CROCHÈTE
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19 février 2021

Le C à voir

1.   "En Thérapie"

est une série  audacieuse  parfois dérangeante,  on plonge dans le processus psychanalytique de plusieurs patients  qui a pour contexte

L 'APRÈS BATACLAN

ouffffffffffff enfin autre chose   un autre cinéma  . . . 

et les acteurs qu'on aime ou pas on s'en fout  wouahhh  ils  jouent merveilleusement bien  . . .  TOUS TOUS TOUS

gyj

ug!of

EXPLICATION  et critiques je n'avais jamais entendu parler de cette série

gtyju

 En thérapie : creuser au plus profond de soi

Pas moins de quinze pays ont déjà adapté la série israélienne originale Betipul, créée par Hagai Levi, dont la plus connue est In Treatment dans sa version américaine.

Il ne manquait plus que la France pour se prêter à l’exercice et c’est une sacrée équipe qu’on retrouve aux manettes. La série En thérapie a en effet été initiée par Eric Toledano et Olivier Nakache, également crédités au scénario, avec David Elkaïm, Vincent Poymiro, Pauline Guéna, Alexandre Manneville et Nacim Mehtar.

On retrouve aussi les deux compères à la réalisation, s’essayant pour la première fois, autant dans une série que dans un sujet qui ne prête pas à la comédie. Ils sont accompagnés par trois autres réalisateurs de cinéma : Mathieu Vadepied, Pierre Salvadori et Nicolas Pariser.

Le concept de En thérapie figure dans le titre même : les spectateurs assistent aux séances de psychanalyse menées par Philippe Dayan (Frédéric Pierrot). Il reçoit ses patients dans son cabinet situé à 200 mètres du Bataclan, lieu qui a son importance, autant que les dates des séances. Car la première séance commence le 16 novembre 2015, soit trois jours après les attentats. Le choix a été fait par l’équipe française de placer la série dans ce contexte très particulier, donnant à voir une ville et une société confrontées à l’effroi et la peur.

Le choix des patients n’est pas anodin non plus, puisque certains ont directement été confrontés aux attentats. Ainsi le policier de la BRI Adel (Reda Kateb) ou la chirurgienne Ariane (Mélanie Thierry). D’autres vivent cette période douloureuse en arrière-plan, comme la nageuse de haut niveau Camille (Céleste Brunnquell) ou le couple en crise formé par Damien (Pio Marmaï) et Léonora (Clémence Poésy).

Un contexte qui rappelle de bien mauvais souvenirs

Ce positionnement post-Bataclan peut laisser perplexe. Car il n’est pas certain que les spectateurs éprouvent l’envie de se replonger dans ces moments traumatisants et encore bien présents dans les esprits. On est bousculé, voire anéanti - mais comment ne pas l’être -, par les souvenirs et les ressentis des patients. Ainsi, quand Adel convoque son entrée dans le Bataclan, ou quand Ariane détaille les blessures des survivants.

Cette évocation provoque même un certain malaise, comme celui exprimé en 2018 par des personnes ayant vécu de près les attentats à propos de la fiction Ce jour-là et les jours suivants. Ils avaient trouvé indécent que la réalisatrice Marion Laine fasse une fiction aussi peu de temps après les faits, mettant en plus en scène une relation amoureuse entre deux personnages.

Ce contexte permet sans doute aux auteurs de justifier l’agressivité permanente et assez peu crédible, dont font preuve les patients à l’égard de Dayan, réceptacle de leurs névroses. Ils le jugent, l’interpellent brutalement sur sa façon de subir les événements. Ils le poussent dans ses retranchements ou l’interrogent de façon intrusive sur sa vie privée. Car quiconque a déjà expérimenté des séances avec un psychothérapeute - qu’il soit psychanalyste, psychologue ou psychiatre - sait bien que ce genre d’agressivité n’a pas vraiment lieu d’être.

Tout du long de ces 35 épisodes de 25 minutes, la mise en scène au sein du cabinet permet de saisir le langage du corps des patients que Philippe rencontre à raison d’un jour par semaine. Car la façon dont ils s’installent sur le canapé en dit aussi beaucoup sur eux. On se plaît d’ailleurs à tenter de reconnaître la patte des réalisateurs en charge des personnages : Pierre Salvadori réalise les épisodes avec Camille, et Nicolas Pariser ceux avec Damien et Léonora.

Une série qui décrit de l'intérieur le processus analytique

En thérapie offre la possibilité rare de dévoiler aux spectateurs les ressentis et les émotions des personnages, généralement peu visualisables à l’écran. Et pourtant, rendre intéressant un huis clos par le biais d’échanges avec un psy est un exercice plutôt risqué, et en l’occurrence assez inégal. Car là où le bât blesse, c’est d'une part ce mode narratif parfois lassant. Et d'autre part, la nature même de certaines problématiques de la vie des patients, qui ne sont pas toujours captivantes. Ce qui n'empêche pas les scénaristes de parfois appuyer un peu trop sur la corde sensible des spectateurs.

Au fur et à mesure des épisodes, En thérapie gagne en profondeur et en puissance, rendant ces vies plus intéressantes car explicitées d’un point de vue psychanalytique. La vérité intime éclot, l’inconscient est enfin mis à nu. Des serrures trouvent enfin leurs clés du côté de l’enfance et des vies des parents des patients, mais surtout des pères. Mention spéciale à deux pères d’analysants très émouvants : celui d’Adel (Djemel Barek, décédé en 2020 et à qui est dédié l’épisode 31) et celui de Camille (Pascal Demolon). Car pour une fois, les mères ne sont pas nécessairement la source névrotique des patients.

La série souffre pourtant du cœur même de son sujet et les auteurs semblent avoir péché par leur volonté d’exhaustivité. Comme s'ils étaient comme prisonniers d’une check-list d’expressions, d’attitudes, de méthodes ou d’explications. Ils noient ainsi les spectateurs sous un millefeuille de dialogues trop écrits et saoulant de détails ou de métaphores lourdingues, laissant peu de place aux émotions pures. De même, les écoles et les citations freudiennes ou lacaniennes apparaissent comme des querelles de clocher destinées, celles-ci, aux seuls praticiens.

Pourtant, on est parfois saisi par des moments de grâce, quand Dayan touche juste et que l’œil de ses patients s’éclaire. On assiste alors à de très émouvantes performances d’acteurs. Ça fonctionne bien avec Céleste Brunnquell, déjà très touchante dans Les Éblouis, et assez bien avec Reda Kateb. Mais ça ne marche pas vraiment avec Mélanie Thierry et pas du tout avec Pio Marmaï et Clémence Poésy. Sans doute parce que leurs personnages et leurs histoires de vie ne parviennent pas à susciter vraiment l'empathie.

Tout mal-être du présent trouve sa source dans le passé

Ce qui est très réussi dans En thérapie, c’est la façon dont les auteurs donnent à voir la transformation opérée chez Philippe après les attentats. Être témoin de l'évolution de son regard au cours de ces sept semaines est passionnant, tout comme son changement d’attitude avec sa superviseuse analytique Esther (Carole Bouquet), avec laquelle il fait le point. Il essaye de comprendre ce que ces séances provoquent chez lui et les raisons pour lesquelles elles le fragilisent. Ensemble, ils s’interrogent sur le sens de son travail, sa pratique, l'éthique, les risques de manipulation et la fameuse distance émotionnelle.

La vie de couple de Philippe avec son épouse Charlotte (Elsa Lepoivre) explose, comme en résonance au fracas du monde, réalité qui pénètre brutalement dans son cabinet protecteur. Il est en effet souvent question de miroir et d’écho dans En thérapie. D’un souvenir à un autre, d’un massacre à un autre, d’une mort à une autre, d’une femme à une autre.

Les auteurs ont eu la bonne idée d’aérer un peu les personnages, en les faisant parfois sortir du cadre du cabinet. Par contre, l’intégration au scénario d’une rencontre entre deux patients, donnant lieu à l’analyse des points de vue de chacun et plaçant le psy dans une position délicate, n’est pas vraiment convaincante.

Frédéric Pierrot porte tout de même avec brio En thérapie sur ses épaules, offrant à son personnage une grande palette d’émotions, dont on le savait déjà capable dans ses rôles précédents (Polisse, Marguerite et Julien). Bien que En thérapie possède les défauts de ses qualités, la série se laisse regarder jusqu’au bout car on a vraiment envie de savoir si la thérapie est une réussite ou un échec. Bien ancrée dans la réalité de notre temps, elle aborde de façon originale le versant intime des problématiques qui traversent la société française. Telles le terrorisme, les défaillances parentales, l’avortement, le viol, les conséquences du divorce, le cyberharcèlement, le poids des origines ou encore le désir des femmes.

maintenant si vous aimez LES TUCHES  vous ne pouvez pas apprécier ceci

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2. " LA FAUTE A ROUSSEAU " 

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dgyj

trop bien cette actrice

rhoooo elle  elle est trop bien  . . . .

 

© Jean-Philippe Baltel/FTV . . .La Faute à Rousseau débutait ce mercredi soir, prime sur TF1. (je pensais que c'était sur fr2)   . . .   Le comédien belge Charlie Dupont y incarne Benjamin Rousseau, un prof de philosophie qui exerce dans le lycée de sa mère, campée par Anny Duperey. Dans l’épisode 1, diffusé à 21h05, Paul, mystérieux et très beau garçon, est nouveau dans l’établissement. Il fascine tout le monde, à commencer par Théo. Lorsque Paul commence à s'ouvrir sur son passé douloureux, Benjamin découvre un élève persuadé que sa vie est foutue. Paul doit-il pour autant considérer que tout, désormais, est écrit d'avance? Qu'il sera toujours fatalement ramené à la faute qu'il a commise ?…

Que pensent les critiques de la nouvelle série de France 2 ?

ben oui il me semblait bien que c'était fr 2  ils ne savent m^me pas se relire

Télé 7 jours est séduit : "Une série intelligente et divertissante servie par des acteurs tour à tour tendres, drôles et attachants parmi lesquels l’excellent Charlie Dupont qui apporte toute sa verve et sa folie." Même avis du côté de Télé Loisirs, qui loue "Une belle et juste étude de caractères et des personnages attachants, interprétés par de jeunes acteurs convaincants",ainsi que Télé Z : "Rafraîchissante, cette série fait un bien fou. Drôle, attachante, inventive et certes, truffée de bons sentiments, la fiction idéale à regarder en ce moment". Côté audiences, le lancement a rassemblé 3 290 000 téléspectateurs, soit 13,3% du public.  (plus de 7.000.0000  pour capitaine marleau  )Un score qui a placé la chaine troisième de la soirée, derrière la série italienne Doc sur TF1 (4 091 000 téléspectateurs et 17% de pda) et le deuxième épisode de Top Chef sur M6 (3 406 000 téléspectateurs et 16% de pd

c'est à désespérer 

et on va mettre l'embrouille dans le cerveau des jeunes

avec l'écriture INCLUSIVE

embrouillez- les plutôt avec un belle langue . . .  un beau phrasé  . . .    de belles  et bonnes connaissances

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