11 février 2021

Le c à lire CRISE SANITAIRE

a lire

leleleleele

je ne peux pas admettre que des EXPERTS 

restent sans réponse

 

L'équipe de l'Organisation mondiale de la santé (OMS) estime que le coronavirus a probablement migré de chauves-souris vers une espèce non déterminée avant de contaminer des humains. Elle a également jugé "hautement improbable" que le Covid-19 provienne d'un laboratoire de haute sécurité de Wuhan (centre), infirmant ainsi nombre de théories allant en ce sens.

Une pression planétaire pèse sur les experts depuis le début de leur enquête en Chine, ce qui revient à travailler "comme des fous dans l'environnement le plus chargé qui soit politiquement", selon l'un deux, Peter Daszak.  Après une mission de presque un mois, voici cinq questions restées sans réponse concernant l'origine du coronavirus.

 

L'origine animale ?

Selon les experts, des dizaines de milliers d'échantillons d'animaux sauvages, domestiques et d'élevage prélevés à travers le pays ont été analysés, mais aucun ne contenait le virus Sars-CoV-2.

La virologue néerlandaise Marion Koopmans a néanmoins expliqué que des espèces très sensibles au coronavirus - rat des bambous, blaireau, lapin - étaient vendues au marché Huanan de Wuhan, site d'un des premiers clusters, ce qui pourrait être un point de départ pour remonter la chaîne de contamination.

Le zoologue britannique Peter Daszak a ajouté que de nouveaux virus découverts sur des chauves-souris en Thaïlande et au Cambodge "déplacent le curseur vers l'Asie du Sud-Est". "Je pense que nous trouverons un jour", a-t-il jugé, mais "cela pourrait prendre du temps".

 

L'accès aux données ?

Certains se sont inquiétés des difficultés d'accès aux données chinoises pour les scientifiques, alors que Pékin avait été accusé d'avoir minimisé la gravité de l'épidémie à son début à Wuhan fin 2019.

Thea Kolsen Fischer, épidémiologiste danoise de l'OMS, a précisé que l'équipe n'avait pas reçu de données chinoises brutes, mais s'était appuyée sur les analyses des scientifiques chinois. Il est fréquent que des "données agrégées" soient fournies à des étrangers, a-t-elle ajouté.

Les experts de l'OMS ont assuré avoir obtenu accès à tous les sites et les personnes qu'ils ont souhaité.

 

La thèse des surgelés ?

Pékin a plusieurs fois évoqué la thèse que le coronavirus aurait pu être importé en Chine via des aliments surgelés.

Le responsable des situations d'urgence à l'OMS, Mike Ryan, estime qu'il n'y a "pas de preuve que des aliments ou la chaîne alimentaire participent à la transmission" du Covid-19.

Mais en Chine, son équipe semble avoir accordé un certain crédit à cette thèse. 

D'après le chef de la partie chinoise de la mission, Liang Wannian, le coronavirus peut voyager sur de grandes distances à la surface de produits froids, et l'analyse d'échantillons du marché de Huanan, qui vendait des animaux sauvages et des fruits de mer surgelés, a montré une "contamination généralisée" au Covid-19.

Le chef de l'équipe de l'OMS, Peter Ben Embarek, a néanmoins prévenu qu'on ignorait pour l'instant si le coronavirus pouvait se transmettre aux humains par la chaîne du froid.

 

De Chine ou d'ailleurs ?

Pékin a demandé avec insistance à l'OMS d'enquêter sur une éventuelle origine américaine de l'épidémie. Des responsables du ministère chinois des Affaires étrangères ont évoqué des théories sur la fuite du coronavirus d'un laboratoire militaire américain. 

Pressée d'échapper aux critiques internationales, la Chine a également diffusé des études suggérant que le Covid-19 serait apparu fin 2019 en Italie et dans d'autres pays.

Mais Mme Koopmans a jugé que ces études "ne fournissent aucune preuve d'une circulation antérieure" à décembre 2019 du virus hors de Chine, ajoutant néanmoins que des experts "devraient réellement rechercher des preuves d'une circulation antérieure".

 

Et maintenant ? 

Pour Mme Koopmans, les fermes fournissant en animaux sauvages le marché Huanan de Wuhan doivent faire l'objet de recherches supplémentaires.

En plus de prélever davantage d'échantillons sur des animaux sauvages en Chine et ailleurs, M. Ben Embarek a suggéré de retester des échantillons en utilisant de "nouvelles approches" pour les analyses sanguines et de rechercher des cas antérieurs à décembre 2019 à Wuhan.

La Chine, de son côté, espère que les prochaines investigations auront lieu dans un autre pays.

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Les ventes ont par ailleurs nettement augmenté de 9% à 26,6 milliards de dollars sur un an, tirées par les nouveaux médicaments, la forte demande de produits contre des troubles générés par le virus, contre l'asthme par exemple. 

Cela malgré la baisse des revenus sur d'autres produits dont la distribution aux patients été ralentie par la pandémie, notamment en oncologie, à cause de traitements repoussés pour donner la priorité à ceux contre le virus.

Le groupe a également enregistré une hausse de ses coûts notamment logistiques, ou d'équipements à cause de la pandémie.

"Les réussites dans nos médicaments en développement, l'accélération de la performance de notre entreprise et les progès du vaccin contre le Covid-19 montrent ce que nous pouvons réaliser", tandis que l'acquisition proposée d'Alexion à 39 milliards de dollars "vise à accélérer notre évolution commerciale et scientifique", a commenté Pascal Soriot, le directeur général.

AstraZeneca prévoit des ventes en hausse de 1 à 4% et un bénéfice "qui accélère" l'an prochain mais souligne que ces prévisions ne prennent pas en compte les ventes de vaccin contre le virus, pour lequel il publiera des résultats à part à compter du prochain trimestre.

"Les activités hors pandémie continuent à progresser" remarque Richard Hunter, analyste de la plateforme de courtage en ligne Interactive Investors, étant donné que les ventes et profits tirés du vaccin ne sont pas inclus dans les chiffres publiés jeudi.

AstraZeneca souligne aussi avoir initié des essais de phase 3 pour un médicament à base d'anticorps contre le Covid-19. 

 

Doutes sur le vaccin

Le sérum a valu au laboratoire d'être initialement salué par la communauté internationale, qui table sur les vaccins pour tenter de tourner la page de la pandémie, mais des retards de livraison en Europe et des doutes sur l'efficacité pour les plus de 65 ans ont créé la polémique.

Le groupe rappelle avoir reçu en décembre l'autorisation d'urgence pour commencer la distribution de son vaccin au Royaume-Uni, suivi par l'Inde, l'Argentine, le Mexique, le Maroc et l'agence européenne du médicament (EMA).

En outre, l'OMS a annoncé mercredi que le vaccin anti-Covid d'AstraZeneca pouvait être administré aux plus de 65 ans et dans les pays où circulent des variants, malgré les doutes de plusieurs pays européens notamment la France et l'Allemagne.

L'EMA a pour sa part annoncé mercredi avoir demandé à tous les développeurs de vaccins d'évaluer si leur produit est efficace contre les nouvelles mutations du coronavirus.

Malgré les assurances de l'OMS, l'Afrique du Sud s'est aussi dite prête à revendre ou échanger un million de doses d'AstraZeneca, écarté au profit de celui de Johnson & Johnson.

Pour rassurer, AstraZeneca a dit mercredi s'associer avec l'allemand IDT Biologika afin d'être capable de produire dès le deuxième trimestre davantage de vaccins pour l'Europe.

L'action prenait 1,70% en début de séance dans un marché londonien en petite hausse. 

"Pour une entreprise à l'avant-garde de la lutte contre le Covid-19 la performance de l'action d'AstraZeneca a été médiocre, avec un cours au plus bas depuis dix mois", remarque Michael Hewson, analyste de CMC Markets.

"Beaucoup de cela est dû au fait qu'AstraZeneca et son partenaire l'université d'Oxford produisent le vaccin sans en tirer de bénéfice (...) ce qui n'est pas le cas pour ses concurrents", d'autant que le groupe a reçu beaucoup de critiques "sur la distribution plus lente que prévue du vaccin dans l'Union européenne", ajoute-t-il.

A F P

Posté par javi53 à 15:30 - - Permalien [#]

Les "balades" en France

Il faisait très beau ce matin  . . . vous l'avez vu  . . . mais le soleil à cette heure a disparu  - il est 12h -   PUIS IL REVIENT  . . . MAIS C'EST PAS TERRIBLE  IL FAIT - 0,2° 

je viens de rentrer . Oui je devais tout de même aller chercher  la commande de ma collection de livres  -  vous le savez   -   pas question de laisser  penser  ces gens que je ne viendrais pas et qu'ils auraient ça sur le dos JE SUIS LA SEULE A SUIVRE  la collection (,,,)  et ils me font confiance mais connaissent  les soucis frontaliers  . . . Qquel intérêt de la commencer alors ? d'autant que le premier coutait 3 e on se rend compte de suite si va nous plaire ou pas . .c'est la première fois que je fais la collection de quelque chose  je ne suis pas déçue du tout 

je suis donc à 16 km de Montmedy  mais à 4 km DE LA Frontière pour y aller . .. par contre   je suis à 2km  là au dessu de saint mard  j'y allais toujours à pieds me balader mais ça c'était avant 

Avant de partir j'ai rempli une fiche     :   on ne sait jamais   . . . Bien que  dans certains médias  on pouvait  soi disant passer sans problème  . . .et que  dans d'autre il faut remplir sa fiche 

JE PRÉFÈRE SUIVRE LA Règle et   c'est tout à fait normal

On peut aller faire nos courses en France disent- ils tous ici   . . . pourquoi puisque nous avons "1000"  supers marchés alentours d'ici sur 15 km à la ronde    . . . 

Bref j'arrive à la frontière  et ça n'a pas fait un pli  :  je savais qu'on m’arrêterait  . . . ils étaient là debout  à coté de la voiture frigorifiés (mdr)

j'enfile mon masque  . . .  on me demande où je vais . . .  pour combien de temps  :   très bien   . . .  montrer moi votre papier (je l'ai sur mon GSM )   :   très bien

je leurs dit que je ne resterai que 10 minutes comme  c'est noté mais que je repasserai là -haut en face par la corniche

POURQUOI ?

JE FAIS  ça chaque fois   parce que je fais de la photo . . . . 

Non pas de photo madame  . . . vous pouvez faire vos courses point final  on ne s’arrête pas pour les photos VOUS FAITES CE QUE VOUS VOULEZ  A PARTIR  DU MOMENT OU VOUS ÊTES DE NOUVEAU EN BELGIQUE

ok  pas d 'souci

Je n'allais pas lui dire que je faisais mes photos en roulant  et que je ne sortais pas de la voiture  :  ça n'aurait pas été bien vu   . . .

A SAVOIR  : il n'y a pas un chat qui se promène là -haut je suis souvent la seule à passer par là mais si c'est la règlec'est la règle

moi je dirais plutôt UN GROS EXCÈS DE ZELE

un peu fort de café

comme quoi à  2km  de la frontière  . . .   on fait tout un PATACAISSE . . .    quand d'autres vont se balader au COSTA RICA   pour emmerder tout le monde et les locaux et la France   . . .  cherchez DONC  l'erreur  :   pourtant  de l'autre coté plein de voitures françaises passaient  pour entrer en Belgique des vieux comme des jeunes  ? 

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là je prouve que je fais les photos PARTOUT  de ma voiture   JE NE PENSE PAS CONTAMINER QUI QUE CE SOIT DANS DES VILLAGES QUASIMENT MORTS

MDR

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là c'est avec mon APN

DESFOIS QUE PASSERAIT LA MARÉCHAUSSÉE

DANS LA VOITURE JE SUIS RESTÉE

LONGER UN TEL PAYSAGE

SANS POUVOIR  EXPRIMER MES RAMAGES

C'EST JUSTE PAS POSSIBLE

RHOOOOO PFFFFFFFFFFFFF TROP BÖÖÖÖ . . .   j'adoooore

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ce sont les inondations de ces dernières semaines

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EN CONDUISANT CE N'EST PAS ÉVIDENT  la terre vient d'être retournée et comme elle est mouillée elle donne toute sa couleur

c'est moins beau l'été

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zut plus de soleil

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trop trop beau

j'habite vraiment une trop belle région

m^me si elle n'est pas comparable  à plein de régions de France extraordinaires  : elle est belle

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rholala on croirait une peinture sur toile  les couleurs sont belles même si le soleil disparait

le gel n'a pas encore fondu là haut

Posté par javi53 à 12:30 - - Permalien [#]

Le c à lire LA CRISE SANITAIRE

les quelques infos du jour

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alors quoi IL FAUT LES PLAINDRE ?

pire ce ne sont pas des jeunes ils ont plus de 65 ans

n'a t -on pas insiste sur le fait  qu'il fallait éviter de partir  ?   et EUX  sont tellement plus fort que tout  qu'ils sont partis  . . .  et bien qu'on les y laisse

 

Vingt touristes originaires de Lorraine, tous positifs au coronavirus, sont bloqués au Costa Rica depuis le 25 janvier dernier.

Sept d'entre eux sont hospitalisés, les 13 autres sont confinés dans leur hôtel.

Ils étaient partis en voyage le 16 janvier dernier dans ce pays qui n'exige aucun test PCR à l'entrée de son territoire. Dans l'intervalle, une nouvelle réglementation de leur compagnie aérienne ne leur a pas permis de monter à bord de leur avion retour. Depuis, ils sont tous contaminés et n'arrivent plus rentrer.

UNE BANDE DE DÉBILES INCONSCIENTS et on doit faire quelque chose pour eux  ?  . . . mais ils ont bravé les regles  je suppose qu'ils ont crotiqué tous les rassemblements de jeunes à coté de chez eux ?????? honte à eux

C'est le deuxième voyage de groupe que Cécile Perez , responsable de l'agence Couleurs du monde, avait réussi à organiser en un an depuis la pandémie. Un groupe de 22 touristes lorrains, originaires de Metz, Thionville et Nancy, ont souscrit à un voyage organisé de 10 jours au Costa Rica, par le biais du Groupement d'action sociale de Moselle (GDAS) Orange et La Poste. Le pays d'Amérique central n'impose aucun test de dépistage du Covid à l'entrée sur son territoire. Les voyageurs sont donc partis sans avoir eu besoin de se faire dépister.

ça va être de la faute du CISTA RICA maintenant ?

Test antigénique imposé : des centaines de passagers refoulés

Pour rentrer en France, les 22 voyageurs se soumettent au test PCR. Il se révèle positif au coronavirus pour six d'entre eux. Les 16 autres se présentent à l'aéroport le 25 janvier, avec un test PCR négatif. Ils doivent faire escale aux Pays-Bas. Deux jours plus tôt, le gouvernement néerlandais a décidé d'imposer à tous les passagers voyageant par avion de fournir un test rapide (« antigénique ») négatif immédiatement avant leur départ, en plus du test PCR négatif déjà obligatoire à réaliser dans les 72 heures qui précèdent. 

Plusieurs centaines de passagers sont refoulés, dont les 16 passagers lorrains. Problème : il est impossible de réaliser un test antigénique au Costa Rica, selon leur tour-opérateur.

Le virus importé depuis la France

Les touristes lorrains retournent à leur hôtel. Deux d'entre eux seulement, toujours testés négatifs, rentrent ensuite chez eux via un vol Air France, qui n'exige qu'un test PCR. Les 14 autres voyageurs qui s'étaient présentés à l'aéroport repassent un test PCR qui se révèle cette fois positif. Ce sont désormais 20 lorrains qui sont contaminés : " D'après ce que j'ai pu comprendre à l'hôpital, c'est un virus qui est français. Ils l'ont pris avec eux et se le sont passés pendant les 12 jours de vacances ", déclare Cécile Perez, la responsable de leur agence de voyages.

Sept touristes hospitalisés

Sept des 20 touristes sont hospitalisés au Costa Rica. Leur guide costaricain l'est également. Guy Poirot, âge de 65 ans, originaire de Metz, fait partie de l'un d'entre eux. Il est hospitalisé à San José, la capitale costaricaine, et sous oxygène depuis lundi soir : " Moi ça va bien, mais j'aimerais bien que le groupe puisse rentrer. Je n'ai pas de nouvelles des six autres à l’hôpital. La plupart ont autour de 65 ans.

Parmi les sept personnes à l'hôpital , trois autres messins : Armand, âgé de 75 ans,   (autour de 65  c'est pas 75 ans si ???)  et un couple de retraités âgé d'un soixantaine d'années. Leur fils a pu les contacter : " Ma mère s'en remet, mon père est endormi dans un état stable".  Une dame de 72 ans, originaire de Pont-à-Mousson, qui vit aujourd'hui en Creuse, fait également partie des patients. 

Les autres sont confinés dans leur hôtel depuis deux semaines. Certains n'ont pas de symptômes, mais les derniers tests PCR se révèlent toujours positifs : " On ne sait pas combien de temps ça va durer, combien de temps le test va continuer d'être positif ", commente Cécile Perez, à pied d'œuvre tous les jours pour essayer de dégager ses clients de cette situation. 

CELUI QUI VA AU DANGER Y PERIRA  disait ma grand mère   ;  c'est à cause d'inconscient pareils qu'on attrape LE VIRUS 

Demande de rapatriement

Guy Poirot dit qu'il attendra le temps qu'il faudra, mais veut juste que ses co-voyageurs puissent rentrer : " Le Quai d'Orsay ne fait rien, dit-il. J'ai demandé à une attachée de presse de prévenir le maire de Thionville, le maire de Metz, le maire de Nancy, et le Président du conseil départemental de Moselle ainsi que les députés."

Qu'est ce qu'on fait si nous sommes toujours positifs au bout de 12 jours de confinement ? On tourne en rond - Christine, touriste confinée

tu n'avais qu'à rester chez toi tu y serais parfaitement bien et libre

Christine, originaire de Vandoeuvre-les-Nancy, avait réservé ce voyage de rêve il y a plus d'un an, et se mord les doigts d'être partie : " J'avais vu sur le site du ministère des Affaires étrangères qu'il était déconseillé de partir.  MAIS ELLE EST PARTIE QUAND MËME c'est pas 20/ 30ans qu'elle a c'est plus de 65 ???????? Ce que je ne comprends pas, c'est que l'agence n'a pas exigé de tests PCR au départ, parce que le Costa Rica ne l’exigeait pas. Nous, nous l'avons fait de nous-mêmes, nous étions négatifs. Je conçois qu'on a pris des risques effectivement, mais il y a une grosse responsabilité de l'agence pour nous faire partir " , explique-t-elle.   c'est toujours la faute des autres TOUJOURS  

L'agence de voyages indique s'être conformée aux recommandations du ministère des Affaires étrangères, qui n'interdisait pas le départ vers cette destination : " Le Costa Rica est une destination ouverte depuis le mois de novembre, ce sont donc des conditions d'annulation classiques qui s'appliquent, précise Cécile Perez, de Couleurs du Monde, mais le responsable du groupe aurait pu demander un report du voyage ". En cas de test positif au Covid au départ, l'assurance prise par les voyageurs aurait également pu couvrir leurs frais d'annulation.  

Christine indique avoir reçu une première réponse de la part du ministère des Affaires étrangères, qui se déclare incompétent dans le litige qui l'oppose à l'assurance du tour-opérateur.

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et bien oui nous sommes à 2 pas de BRAY DUNES  de DUNKERQUE

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si avec tous ces gros titre on dit encore qu'on ne savait pas ??????

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quand j'ai vu comme sont saccagés les sentiers balisés en bois c'est une honte  . . . le monde est vraiment pourri on parle de notre environnement  d'écologie  de changement climatique  je suis POUR BIEN ÉVIDEMMENT   mais commençons tous  CHEZ SOI  et à COTE DE CHEZ SOI . . .

MOI JE VIENS DE DÉNONCER   mon voisinage vous le savez  j'ai posté ds photos  . ..  il vont recevoir  la visite de la police et l'obligation de dégager : je reçois le courrier communal à l'instant

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tyu'§ gyjkry

allez voir  cette vidéo  : c'est de la folie est ce le COVID  ou LA PANDÉMIE  ou les restrictions   je ne sais mais des grands malades mentaux y en a plus dehors que dedans

c'est de la daube

BIEN FAIT POUR ELLE   . . . c'est de la DAUBE copy/ collé avec les USA  et cette femme est une teigne  . . .vraiment une teigne mal élevée  . . . aucune éducation

je l'ai entendue en interview  quand je pense qu'elle tape sur son oncle mais qu'avant elle savait mais  n'avait jamais rien dit ?????

 

a lire

ICI ON NE PARLE PAS DE VACANCIERS

MAIS D'EXPATRIÉS DE PLUSIEURS PAYS D'EUROPE A  wuang

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Nicolas Cuvelier faisait partie des passagers.

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HUKFY

JE N'OSE IMAGINER L'ÉTAT D'ESPRIT DE CES RAPPATTRIÉS

Ce Belge avait décidé de quitter Wuhan le jour où les supermarchés ont annoncé leur fermeture, signe que le confinement de la ville devenait désormais total : "On voyait vraiment tout qui se fermait progressivement. On nous a dit que la nourriture allait être livrée par l'armée. C'est à ce moment-là que moi, j'ai décidé de partir". 

Dans l'avion, Nicolas a dû monter au second niveau, celui des asymptomatiques, parce qu'il avait des maux de tête. L'ambiance y était assez tendue : "Certaines personnes s'énervaient notamment parce qu'elles avaient peur de ceux qui semblaient malades. Je me rappelle qu'il y avait un Portugais assis à côté de moi. Il se lavait les mains à l'alcool toutes les cinq minutes. Dès que quelqu'un éternuait, il sursautait. C'était stressant."

Johan Smets et son épouse faisaient eux aussi partie du voyage. Johan avait rejoint sa femme qui était partie plus tôt que lui à Wuhan pour y fêter le Nouvel An chinois. "Il y avait du stress mais j'étais aussi soulagé de partir et de pouvoir rentrer chez moi. Si je refusais ce rapatriement, on m'a dit que je risquais d'être bloqué là-bas pendant des semaines, voire des mois". 

Atterrissage à Istres

L'avion atterrit à l'aéroport militaire de Istres aux alentours de 15h. "Les français nous y attendaient pour faire un premier tri des malades et un check-up des analyses qui avaient été faites en amont à l'aéroport de Wuhan. Ils ont vérifié s'il y avait vraiment des cas graves ou pas".

Parmi les Belges, certains présentent des symptômes équivalant à ceux d'un rhume. Rien d'alarmant donc.

Les 9 Belges devront attendre le début de soirée pour prendre un deuxième avion en direction de l'aéroport de Melsbroek en Belgique.

A son bord, se trouvaient également des Danois, des Tchèques ou encore des Hollandais pour qui Melsbroek n'est donc pas la destination finale mais une transition de plus pour leur pays, qu'ils rejoindront via un autre vol ou par autocar. 

Arrivée des Belges à Melsbroek : "La bascule, elle s'est faite ici"

A 21h, l'avion atterrit à l'aéroport de Melsbroek qui a dû aménager ses infrastructures en très peu de temps pour pouvoir prendre en charge ces personnes rapatriées et potentiellement infectées par le virus. "C'était une course contre la montre", explique le commandant Benoît Meurice, directeur adjoint de l'aéroport. Nous avons eu royalement trois jours pour tout installer. On a modifié l'infrastructure pour avoir une zone d'accueil de ces passagers dans le hall d'entrée de l'aéroport et trois tentes dans notre zone cargo initiale pour assurer un support psychosocial si nécessaire". 

L'arrivée des Belges a profondément marqué les équipes de l'aéroport.

Pour le commandant Benoît Meurice : "C’est là qu’on s’est rendu compte qu’on est dedans. La machine est lancée. La bascule, elle s’est faite ici, à l'aéroport. Ça, c’est une chose que, personnellement, je retiendrai. A partir du moment où le premier vol estampillé Covid a eu lieu, c’était switch dans un nouveau monde. Tout a changé après".

C'est d'ailleurs à partir de cet instant que l'adjudante Chantal Limbourg, hôtesse d'accueil au checking, également présente ce jour-là, a décidé de commencer à s'isoler de ses proches; bien avant que notre gouvernement ne tire la sonnette d'alarme : "Après ce rapatriement, je me suis auto-confinée. Je trouvais que c'était important. J'ai envoyé un message à mes proches en disant que j'avais été en contact avec des gens qui revenaient de l'Asie. J'ai donc fait attention à garder mes distances au travail et à la maison". Pour elle aussi : "Il y a un avant et un après ce rapatriement".

En un an, les rapatriements de Belges depuis des zones infectées se sont multipliés à l'aéroport de Melsbroek. "On ne doit pas être loin de la quarantaine", précise Benoît Meurice.

Transfert vers l'hôpital militaire 

Après avoir notamment profité d'un repas à l'aéroport militaire, les Belges sont invités à monter dans un autocar pour rejoindre l'hôpital militaire Reine Astrid. "On était escorté par la police", explique Johan Smets. "Ils ont fait un détour pour éviter la presse".

Arrivés à l'hôpital, le personnel les accueille un par un : "On a été conduits dans notre chambre. Et là, la quarantaine a commencé". Une quarantaine minutieusement préparée elle aussi : "Tout a été mis en place pour hospitaliser ces personnes", explique le lieutenant-colonel Patrick Soentjens, chef de service des maladies infectieuses à l'hôpital militaire. "Les mesures d'hygiène étaient très strictes. On avait mis en place une unité de quarantaine et autour de cette unité, une zone de sécurité pour éviter une éventuelle propagation du virus dans l'hôpital".

Si les procédures mises en place rassurent les membres du personnel, ces derniers ont naturellement une appréhension face à un virus inconnu : "Il y avait une crainte de l'attraper et on se demandait quelles conséquences cela avait sur le corps. C'était du stress pour notre propre santé et pour celle de nos proches". 

Le lundi matin, les Belges sont soumis à une batterie de tests : "On a fait le fameux test PCR et c'était la première fois en Belgique. Les tests ont pris une journée pour être analysés", explique Patrick Soentjens. A 18h, les résultats tombent enfin. A la surprise générale, aucune des personnes semblant enrhumées n'est positive. C'est finalement un homme asymptomatique qui est diagnostiqué premier cas Covid-19 en Belgique. Suite à ce résultat, Patrick Soentjens et l'équipe médicale ont à nouveau dû agir très rapidement : "On a transféré le patient discrètement vers l'hôpital Saint-Pierre dans la soirée, pour préserver son identité".

Testés négatifs, les autres Belges peuvent quant à eux très vite sortir de leur chambre pour se balader dans la zone de quarantaine aménagée spécialement pour eux. Ordinateurs, revues et même une salle de gymnastique sont mis à leur disposition pour rendre le temps moins long. Car ce n'est que le 16 février qu'ils sortent de quarantaine.

Prise en charge du premier cas au CHU Saint-Pierre

C'est donc au CHU Saint-Pierre que le premier cas Covid-19 est admis. L'hôpital est en effet le centre de référence belge des maladies infectieuses telles qu'Ebola ou la tuberculose. Philip Soubry passera près de deux semaines dans une des 30 chambres à pression négative de l'hôpital et sera soumis à une série de tests. Malgré lui, il a permis à la Belgique de mieux comprendre cette maladie : "L'hospitalisation a été plutôt surréaliste puisqu'il était asymptomatique. Donc c'était compliqué pour lui. C'était lourd de rester enfermé. On avait décidé qu'on le laisserait sortir s'il avait deux tests PCR négatifs consécutifs". Mais à chaque fois que Philip Soubry obtient un test négatif et qu'il pense pouvoir bientôt sortir, le test suivant s'avère positif et détruit ses espoirs de sortie. "A l'époque, on connaissait moins bien les choses et donc on lui demandait énormément de contribution à la sciences. On le faisait cracher aussi, on lui faisait des examens des selles et d'urine tous les jours".

Philip Soubry pourra enfin sortir de quarantaine après deux tests PCR négatifs consécutifs le 15 février. Considéré comme guéri, il n'aura eu aucun symtôme du début à la fin de la maladie. Contacté par téléphone, Philip Soubry nous a expliqué être rentré rapidement à Wuhan où il habite avec son épouse et où il tente d'oublier cette mésaventure. 

Mais au soulagement de Philip Soubry et des Belges rapatriés de l'hôpital se mêlent déjà l'inquiétude du personnel soignant face à l'arrivée attendue d'autres cas Covid-19. "On était déjà en train de constituer des stocks d'urgence de masques, de protections", explique le directeur du CHU Saint-Pierre, Philip Leroy. "On améliorait nos protocoles d'habillage du personnel soignant et de prise en charge des patients de ce type. Donc pour nous, c'était la très grande effervescence. Il y avait une espèce de dichotomie entre l'attention médiatique sur ce patient en particulier alors que nous, on était complétement tourné vers l'avenir, vers la préparation d'une crise qu'on pressentait". Même s'ils se doutent à cet instant que d'autres personnes infectées seraient hospitalisées, les membres du personnel de l'hôpital comme Michèle Bernard, hygiéniste, était loin de s'imaginer l'ampleur qu'allait prendre cette crise. "Quand le premier patient a été accueilli ici, on ne s’attendait pas à ce qu’un an plus tard, il y ait toujours deux unités remplies de patients Covid et que les équipements de protection fassent encore partie de notre quotidien, en particulier le masque qu'on ne quitte que quand on va dormir". 

Un sentiment partagé par Dany Roemers, infirmier au CHU Saint-Pierre : "On ne s'attendait pas à ce tsunami. Cela a été très difficile. L'exemple est peut-être fort mais personnellement, je l'ai vécu comme une guerre".

 

tout viendrait de produits congelés venant d'ailleurs que de chine ??????? en attendant on est bel et bien dans le caca ET POUR TRES LONGTEMPS ENCORE  

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Les VRAIES ambiances d'hiver

voici l'ambiance  de 8h30  toujours - 7°

la couleur  de l'ambiance était très  ocrée

voici UN HIVER   

I  D É A L

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La DecoHollandaise : VISITES 2

il est 8h il fait - 7°  ciel clair  hier nous avons eu du soleil

toujours la déco  aux Pays- Bas

pourquoi pas ? je n'aime que celle - là

maison 2

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maison 2 a 7

très belle façade

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maison 2d

on entre de suite  dans la cuisine  je poserais une cloison vitrée évidemment

mai 5

c'est drole toutes ces armoires sur ce pan de mur de droite

maison 2 f

tout en longueur c'est pour moi

oui le mur de bardage est beau mais  pour moi  je n'aime pas trop  à l'intérieur  . ..  oui les suspensions sont super belles

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c'est super joli ce mur bardagé mais  ne s'en fatigue t- on pas  vite  . . .wouahhh la table est faite sur mesure avec des traverses de chene massif : trop beau  surtout si on aime le moderne ça c'est d' la balle

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c'est moderner mais pourtant très chaleureux

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c'est très classe

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j'adore ces murs remplis de cadres  et de toiles et ce petit coin bureau excellent

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le mobilier n'est pas pour moi

la cheminée je prends et tout ce qu'il y a dessus aussi 

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c'est  un plafiond cathédrale  mais en mezzanie on a quelque chose contraitrement à ce qu'on voit  tout le temps (un vide sidéral) ici  c'est rempli

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maison 2b

comme c'est beau  regardez il mesemble que dans les ouverture il y a des miroirs   : quelle belle idée !

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je ne vois pas ce qu'est le sol  mais il y a des ARBRES EN PALISSADE  c'est un reve et je pense que je pourrais faire ça ici mais seulement  avec 2

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la console est la m^me que celle de ma cuisine qui est blanche  j'avais le choix avec celle là

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ici c'est plus contemporain  et m^me si tout ça est joli ce n'est pas pour moi du tout

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sincérement c'est quoi CETTE GROSSE MASSE plein centre de la belle grande pièce ???

je ne comprends pas

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par contre la cuisine c'est pour moi

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ce coté noir ???????????? je comprends encore moins

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wouahhh tout en longueur sans meuble haut  et en chêne massif  j'aime trop

les petites appliques très délicat  : j'adore

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ok c'est plus que parfait mais je ne pourrais plus supporter ces dalles noirs : pour moi ce serait du blanc partout  ainsi terminé on y touche plus jamais  mais ce blanc serait adouci par des étagères de chêne naturel   et de très très beaux essuies

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le sol l'espace qui donne sur coté cour trop trop beau

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ça me plait cette table mais pour dehors

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classe : ici pavé : grandes dalles de Schiste PEUT ETRE

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trop trop bien chez soi  : je prends  tout wouahh le sol est hyper chic mais ça glisse mais c'est trop beau 

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