Le c à lire LA CRISE SANITAIRE
les quelques infos du jour
mais c'est juste pas possible de se faire remarquer encore
comme ça
une histoire belge mais pas bonne du tout
non mais je rêve
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Selon le psychologue Alain Van Hiel, la peur du virus, qui s'était un peu dissipée après la première vague, reviendra lorsque les gens seront confrontés à des images effrayantes de malades dans les couloirs ou lorsque la maladie frappera dans leur entourage.
La peur est un facteur déterminant du comportement humain. Elle explique pourquoi nous sommes bien sagement restés chez nous lors du confinement au printemps dernier. La peur de l’inconnu, qui n'est autre qu'un virus potentiellement mortel. Toutefois, cette crainte s'est quelque peu dissipée à l'arrivée de l'été, alors que les hôpitaux se vidaient. Mais comme le virus, la peur de celui-ci peut également connaître une deuxième vague et déterminer à nouveau notre comportement, expliquent les professeurs de psychologie sociale Frank Van Overwalle (VUB) et Alain Van Hiel (UGent).
Pourquoi la peur est-elle un moteur si puissant pour le comportement humain?
Frank Van Overwalle: “Car la peur est une émotion qui indique dans quelle mesure les gens s’attendent à ce que quelque chose de négatif se produise. Au printemps, le virus nous était totalement inconnu et semblait très menaçant. Nous estimions le risque de conséquences négatives pour nous-mêmes et notre environnement comme étant très élevé. À l’époque, le gouvernement n’a d’ailleurs pas dû faire grand-chose pour nous convaincre de rester chez nous.”
Alain Van Hiel: “Mais un tel effet s’estompe assez rapidement. Souvenez-vous du tout premier film des frères Lumière, “L’Arrivée d’un train en gare de La Ciotat.” Lorsqu’il fut projeté au cinéma, les spectateurs sont sortis de la salle parce qu’ils pensaient que le train allait vraiment les heurter. Bien sûr, cela n’a pas duré. Si vous avez vu ou entendu des stimuli effrayants dix ou cent fois, vous finissez par vous y habituer.”
Parce qu’une vie dominée par la peur est invivable, nous avons donc dû développer une “stratégie d’adaptation?”
Frank Van Overwalle: “Les gens veulent avoir le contrôle. Ou du moins l’impression qu’ils l’ont. Ils raisonnent comme tel: “Nous connaissons déjà un peu le virus, de nombreuses recherches ont déjà été effectuées à son sujet, moins de gens sont admis en soins intensifs, ...” Le fait d’avoir déjà vécu cela, de ne pas avoir été infecté, en sachant aussi qu’à présent nous avons des masques joue également un rôle. Ce sont autant d’éléments qui donnent aux gens l’impression qu’ils ont une emprise sur la situation. Cela réduit l’anxiété.”
Alain Van Hiel: “Prétendre qu’il n’y a pas de problème aide en effet. Cette attitude a été adoptée cet été par un certain nombre d’experts qui ont publié des cartes blanches pour dire que la situation n'était pas si grave. Ils ont sapé l’idée que nous étions confrontés à un réel problème. C'est suite à cela que la peur a commencé à diminuer dans la population, dont une partie n'a plus respecté les règles de manière aussi stricte.
Cette attitude n'est-elle pas étrange pour une société qui, dans de nombreux autres domaines - 5G, climat, santé -, accorde une si grande importance au principe de précaution?
Frank Van Overwalle: “Le principe de précaution a joué un rôle très important lors de la première vague. Ce fut moins le cas par après. Notamment parce qu’on n’a pas suffisamment insisté sur le fait qu’assouplir les mesures pouvait conduire à un nouveau confinement. Certains ont abandonné les règles de base du jour au lendemain. Et ils sont punis pour cela, comme l’ensemble de la population à qui l’on impose à nouveau des mesures strictes.
Alain Van Hiel: “Le principe de précaution est en effet très présent dans notre société. Nous vivons depuis longtemps dans une société stricte et autoritaire, qui veut tout contrôler. Nous vivons dans une culture de la peur. Nous savons aussi ce qui va se passer. Mais nos réactions arrivent toujours trop tard. C’est quelque chose de très humain.”
La peur comme moyen de déterminer le comportement humain semble donc avoir une durée limitée. Y a-t-il une alternative?
Frank Van Overwalle: “Ne vous méprenez pas. Oui, la peur n’est plus aussi grande qu’en mars et avril. Mais l’anxiété demeure. Je vois soudain les gens reprendre leurs distances et être plus prudents, et ce alors qu’ils avaient un peu oublié les règles depuis quelques semaines. La vigilance est de retour. Je le constate dans mon entourage. D’ailleurs, une grande majorité des citoyens sont favorables à un renforcement des mesures.”
Alain Van Hiel: “N’oubliez pas qu’il y a deux semaines déjà, 84% des Flamands estimaient déjà84% des Flamands estimaient déjà (sondage publié dans Het Laatste Nieuws, NDLR) qu’il fallait être plus strict. Une part importante de la population doit donc être encore plus anxieuse aujourd’hui. Je suis sûr que la peur reviendra bientôt, lorsque les gens seront confrontés à des images effrayantes de malades dans les couloirs ou lorsque la maladie frappera dans leur entourage. Nous y sommes encore sensibles. Nous avons eu un peu de répit entre les deux vagues. Mais ce temps est révolu.”
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et on se pose encore des questions de savoir comment c'est possible ????
entendu aux infos de 12h30 sur rtl
alors si c'est vrai JE NE VOIS PAS CE QU' ON PEUT FAIRE . . . . il n'y a aucune solution à part un vaccin
MAIS QUI VA oser se faire inoculer ce VACCIN ???
ben j'espère qu'ils ne rentrerons pas
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au nom de la liberté d'expression JE SUIS OBLIGÉE D'ACCEPTER
non MAIS je dois tolérer et surtout . . . ne jamais la regarder
ET VOUS MES LECTRICES VOUS RIEZ DE TOUT vous ? Et bien je vous envie - vraiment - car pour moi c'est juste impensable