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je COMMENT et je vous EXPLIQUE les images de déco., je DÉCORE, je vous DÉVOILE ma MAISON et mon JARDIN, je COMMENTE les INFOS du jour les films et les séries en fait je PAPOTE . . . Il arrive aussi que je TRICOTE et que je CROCHÈTE
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17 avril 2020

Le C à LIRE : LA CRISE SANITAIRE MONDIALE

 quelques infos du jour 

supplémentaires ???  plus on avance pire c'est plus on en apprend

JFHGJUTHGUJTH

Une majorité de décès liés au Covid-19 concerne des seniors dont l’immunité est déficiente. Mais des personnes en bonne santé meurent aussi. Médecins et experts expliquent "en partie" ces décès par le phénomène de «tempête cytokinique».

Un choc cytokinique (en anglais cytokine storm, littéralement « tempête de cytokines » ou orage cytokinique) ou syndrome de libération des cytokines (SLC) est une production excessive de cytokines déclenchée par un agent pathogène et qui se manifeste par une violente réponse inflammatoire du système immunitaire. C'est une réponse inadaptée, nocive et généralement mortelle sans traitement approprié1.

C'est parfois un effet secondaire de médicaments à anticorps monoclonaux, ou d'« immunothérapies adoptives » à base de Lymphocyte T aussi dénommés cellules T2,3. S'il fait suite à l'administration du médicament en intraveineuse, on parle de réaction de perfusion4.

Le choc cytokinique explique probablement une grande partie des décès dus à la COVID-19 émergente5.

Selon Randy Q. Cron, rhumatologue pédiatrique à l'Université de l'Alabama à Birmingham et auteur du premier manuel dédié aux tempêtes de cytokines en novembre 2019, et W. Winn Chatham, immunologiste et rhumatologue, la communauté médicale doit pouvoir la diagnostiquer rapidement par un dosage de la ferritinémie permettant un traitement plus rapide pour diminuer la mortalité6.

Ce terme est à reconsidérer dans la mesure où il correspond en tout point au syndrome d'activation des macrophages (SAM), ce dernier étant bien mieux documenté dans la littérature scientifique, en particulier pour les infections virales dont il est une complication potentiellement létale.

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et dans d'autres quotidiens c'est stable   :  stop ras le bol mettez vous d'accord

Sophie Wilmès, la première ministre belge, a annoncé, mercredi 15 avril, la prolongation jusqu’au 3 mai des mesures de confinement initialement fixées jusqu’au 20 avril. Des mesures de sortie progressive de la phase d’urgence interviendront à ce moment, a déclaré la chef du gouvernement fédéral, une coalition soutenue temporairement par sept partis d’opposition.

Dans l’immédiat, l’épidémie de Covid-19 reste préoccupante, a admis Mme Wilmès. Le pays a effectivement été choqué en apprenant qu’il avait enregistré, vendredi 10 avril, un pic du nombre de morts − 496 −, établissant ainsi un triste record mondial, celui du plus grand nombre de décès par million d’habitants en l’espace d’une seule journée. Une annonce officielle maladroite puisqu’elle incluait des disparitions, survenues au cours des dernières semaines, mais non recensées jusque-là, de pensionnaires de maisons de retraite.

L’épisode a, en tout cas, focalisé l’attention et entraîné une double question : la Belgique connaît-elle une surmortalité, et pourquoi ? Avec ses 11,4 millions d’habitants, elle totalisait, jeudi 16 avril, 4 857 morts du Covid-19. L’Autriche (9 millions d’habitants) et la Suède (10,2 millions d’habitants) en annonçaient respectivement 393 et 1 203. Plus marquant encore : le royaume recense 1 300 décès de plus que les Pays-Bas (17,3 millions d’habitants, 3 134 morts), le voisin souvent mis en cause pour sa stratégie du « confinement intelligent », moins restrictif que celui décrété depuis le 18 mars en Belgique. Par rapport à son autre voisin, l’Allemagne (83 millions d’habitants, 3 528 morts), la Belgique totalise, en proportion, huit fois plus de morts.

« Surévaluation »

Interrogé le 14 avril par le magazine Le Vif, Philippe Laurent, ancien patron de Médecins sans frontières Belgique et de la Croix-Rouge, est cinglant : « La Belgique va se retrouver dans quelques jours à la première place au classement des pays connaissant le plus grand nombre de décès par habitant. » Les autorités sanitaires belges « noient-elles le poisson », comme l’affirme cet expert ?

les chiffres à 19h

Le coronavirus en Belgique présente des différences géographiques.

La Flandre est davantage touchée que la Wallonie.

Mais on observe des écarts notables entre communes comme le montrent les chiffres collectés par l'institut de santé publique belge, Sciensano.

Ces chiffres sont à prendre avec précaution. Ils concernent uniquement les cas confirmés, c'est-à-dire les personnes qui ont été testés positivement au virus SARS-Cov-2.

De nombreuses autres présentant des symptômes de la maladie Covid-19 ont été invités à rester chez eux sous surveillance de leur médecin traitant.

On ne sait pas si ces personnes ont/ont eu le coronavirus ou pas.

Par ailleurs, il faut évidemment tenir compte de la population de la commune. Certaines communes dépassent les 100.000 habitants là où d'autres en compte à peine une dizaine de milliers . . . tjrs plus de 490 communes qui ne donnet pas leurs chiffres 

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17 avril

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