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el lefébien
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je CRITIQUE et vous EXPLIQUE les images de déco, je DÉCORE, je DÉVOILE ma MAISON mon JARDIN, je COMMENTE les INFOS du jour les films et les séries en fait je PAPOTE comme devant un apéro ou un café . . . Il arrive aussi que je TRICOTE et que je CROCHÈTE
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29 décembre 2018

Les ambiances hivernales

ambiance de fin d'année

très triste gris et humide

 

dgjet

sthrsh

en 1996  : je me souviens comme si c'était hier je le raconte d'ailleurs sur le blog je l'ai encore lu il y a quelques jours en corrigeant mes fautes 

mon dieu  ! ! quels souvenirs

après  le  brunch  de  11h  on partait  marcher mais attention : on attendait 13h 

on  aurait pu mourir là avec ce froid de canard    :  la marche durait  2 h

on ne se sentait plus  , on ne sentait plus notre corps  :   quelle sensation   . . .   j'avais des glaçons dans le nez

on rentrait pour le café on était rouges comme des tomates prêtes à exploser  dans la poêle

Les cuisses ? Pareilles ,   complètement gelées  elles  brûlaient pendant des heures  alors qu'on portait un  colant de laine sous les pantalons de velours 

(les hommes comme les femmes) 

les voitures bloquées dans la neige dure qu'il était  impossible de sortir de leur trou

je suis pliée quand j'y repense

----------------

j'ai connu quand j'avais 10 /12 /14 ans des températures extrêmes dans les hautes en hautes Ardennes (600 m d' altitude)  

le  "blizzard " soufflait . . . si si LE BLIZZARD   cette année là

une tempéte de neige  plus glaciale encore avec les - 20° -25° c'était quoi LE RESSENTI  ? 

à ce moment là on ne parlait pas de ça  !

ma mère est là pour le  raconter mieux que moi je pense . . . 

on partait  faire des courses dans un petit magasin (vous savez comme il y avait dans ces années là  ) 

on  y  vendait de tout  et surtout  il ouvrait jusqu'à pas d'heure

il fallait des victuailles  les voitures ne sortaient pas

on partait vers 18 - 19 h  il faisait nuit noire et   c'était loin de la maison . . . presque 2 km

le vent soufflait  si fort qu' on ne parvenait pas à traverser le pont  du chemin de fer de la route de  Marche  : ça me faisait peur même

un soir on a cru ne jamais arriver  on ne pouvait plus avancer  mais ma mère est têtue alors on a continué

moi  je ne pensais qu'à une chose le chemin du retour

puis à la sortie   à droite on prenait le chemin de MUZY pour trouver le magasin (c'était dans une maison normale )

c'était le pied ! ! !

comme ma mère adore discuter  on restait 1h - 1h30 et quand on ouvrait la porte

Mon dieu c'est pire qu'en arrivant car on était surchargées

on rentrait  prètes à tomber par terre   épuisées toutes les 2  et moi qui était maigre comme un haricot

je n'imagine pas une seconde qu'on puisse faire subir  ça aujourd'hui  à un gosse

pas une seconde

avec des - 20  / - 25 ° + des congères

au bout de ma rue , la rue de la chapelle, ces congères faisaient  plus de 1 m de haut  - MERVEILLEUX - 

on nous endurcissait quand même  ! ! ! et  avec le recul  c'était bien comme ça

et le must du must c'est qu'on ne mettait pas de  sel sur les routes et les chemins de campagne

on ne marchait pas dans la bouillasse 

c'était une espèce de sable pierreux et en 1963/65 la circulation  ??? ben à côté d'aujourd' hui ???   y avait pas  ! ! !

 ah oui alors  . . . 

OUI ALORS COMME c'était  bien mieux avant

j'aurais du vivre en Laponie  

non je plaisante je suis parfaitement bien icidans mon pays

mais la lumière me manque

 

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