Le C à voir . . . . . ou pas d'ailleurs
premier jour de l' HIVeR
2017
nous n'avons pas la chance d'avoir de la neige ou une belle lumière au contraire le temps est d'une mocheté sans nom
j'étais occupée à remettre des images dans le post - des images de PAPIER PEINT - qui concerne le film avec Arditi
hier nous sommes allées : ma "kiné" et moi car elle est la seule avec qui je vais au ciné , pour lui faire plaisir , son mari n'aime pas particulièrement le cinéma car je le répète : non je ne suis pas bien au cinéma je suis contente quand ça se termine : mdr ! ! ! !
nous avons 2 salles ici éloignées de 500 m : nous avons donc les films les jours qu'ils sortent à PARIS puisque depuis 25 ans je crois nous avons le festival du cinéma
on attend : " LE CRIME DE L' ORIENT EXPRESS"
nous sommes donc allées voir
GARDE ALTERNÉe
Helene vincent toujours égale à elle -même : une surexcitée sexuelle je ne la connais pas autrement et je ne l'aime pas du tout elle m'embarrasse et depuis que dans un film (je cherche le nom . . ." les maris les femmes les amants" peut -être ) on la voit sur un pont de PARIS tripoter la" nouille" d'un homme qui a perdu connaissance (pardon mais c'est l'effet que ça faisait ) j'ai trouvé ça tellement osé et laid qu'elle m'a depuis toujours écoeurée je n'exagère pas
LAURENT STOKKER est génial comme toutes ses autres apparitions : il vieillit mais il vieillit très très bien on se souvient de PHILIBERT dans ENSEMBLE C' EST TOUT
les autres ? tout pareils :du bof !
c'est VALERIE BONNETON qui me plaît bien et qui m'a poussé a aller voir le film
Mais c'est d'une vulgarité . . . . . .wouahhhhh c'est à celle qui se mettrait à poil
du jamais vu
vraiment !
Isabelle carré : JE NE PEUX PAS décidément quand on aime pas on aime pas . . . . il y en a quelques - unes comme ça et c'est terrible
Mais alors Quand on a vu DIDIER BOURDON dans son plus simple appareil ça dure 2 secondes pas plus et je dis oufffff . . .. mais ça reste encré dans la mémoire . . . nous étions atterrées . . . heurtées
A quoi ça rime tout ça ??????? comment peut - on s'exhiber de la sorte quand on est si . . . .. .
il n'y a jamais personne dans la salle (25 /30 personnes maxi ) en tous cas depuis que j'y vais et à part nous deux qui avons ri a toutes ces grossièretés - et j'ai honte - (elle dictait à son portable des sms de ouffff dans le métro devant tout le monde . . . c'est vrai en France on le voit : personne n'est jamais choqué quand on parle de sexe quelque soit la situation ) nous n'avons entendu aucun rire dans la salle a u c u n ET ma copine est témoin
on SE CACHAIT POUR RIRE Tellement ON était Choquées et embarrassées : je vous promets que c'est vrai
Valérie Bonneton joue merveilleusement bien : trop parfois . . . .
rhoooooo je ne suis pas encore remise de la phrase quand on la ramène complètement "BOURRÉE" du commissariat : " . . . je ne suis pas sortie puisque je ne suis pas rentrée . . ." je suis pliée en l'écrivant et bien voilà de quoi je ris y a vraiment qu'elle pour dire un truc pareil le plus justement du monde
en sortant on s'est regardées et on a dit : rhooooooo m'enfin c'est quoi ça ! ! ! ! !
critique du quotidien belge : LE SOIR
Garde alternée Ce film est un leurre
Sandrine, mariée depuis quinze ans, découvre que son mari la trompe.
Banal !
Ce qui l’est moins, c’est le marché qu’elle propose à sa rivale : prendre son mari une semaine sur deux.
C’est le mari qui va faire ses bagages, pas les enfants !
Si cette proposition de garde alternée est un ressort de comédie plein de fraîcheur – quand le fruit défendu n’est plus défendu, il n’a plus la même saveur… –, le traitement qu’en fait Alexandra Leclère est décevant.
Elle exploite sans finesse et sans inspiration cette manière originale d’aborder le triangle amoureux – le mari, la femme et la maîtresse. . . . etc . .
je ne puis marquer la suite : je ne suis pas abonnée au journal . .
en meme temps nous ne rions pas des mêmes choses nous les belges par rapport aux français
Alors que toutes les 2 nous riions encore " DU SENS DE LA FÊTE " qu'on reverrait demain avec grand plaisir
on ne supporte pas ce genre de vaudeville vulgaire et grossier on ne s'attendait pas du tout à ça
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critique chez nous en Belgique
Plutôt que de rendre son mari Jean (Didier Bourdon) malheureux, Sandrine (Valérie Bonneton) décide de ne pas le priver de sa maîtresse Virginie (Isabelle Carré), dont elle vient de découvrir l’existence avec fracas après neuf mois de tromperie. A sa rivale, elle propose un deal : tu le prends une semaine sur deux. Une garde alternée en quelque sorte. Un peu surpris, le quinqua finit par accepter et profite à fond de cette offre de bigamie inattendue.
Le pitch est plutôt drôle. Il fait penser à celui de "Maggie’s Plan", où Julianne Moore poussait Ethan Hawke dans les bras de Greta Gerwig…
Malheureusement Alexandra Leclère n’est pas Rebecca Miller…
Depuis son premier film "Les sœurs fâchées" en 2004, la cinéaste française accumule les comédies de mœurs foutraques pour décrire les travers de la société française : famille, couple, racisme…
Si elle n’a jamais fait dans la finesse, elle est rarement tombée aussi bas que dans "Garde alternée", une comédie affligeante à laquelle on ne croit pas une seconde. Difficile en effet d’imaginer Didier Bourdon en grand séducteur, sur lequel se pâment Bonneton et Carré mais aussi ses étudiantes à la Fac et même son meilleur ami.
En plus d’être stupide, de donner une image rétrograde de la femme, Leclère s’offre des portraits d’homosexuels dignes de "La cage aux folles". On éprouve de la peine pour Laurent Stocker et Michel Vuillermoz, "de la Comédie-Française"… De même pour la douce Isabelle Carré, pas à l’aise dans ce registre. Au contraire de Bourdon et Bonneton (qui fait de plus en plus penser à Chantal Ladesou), comme des poissons dans l’eau, ce film pas fait et pas à faire en dit long sur l’état de la comédie française