Le C à voir - FILM français -
il est 17h il fait 22° on est loin du grand soleil annoncé pour demain et dimanche : il fait très très lourd très orageux très moche à part quelques rayons et encore mais on se croirait en août
JE suis allée hier soir au cinéma mais à reculons
Ma kiné me dit allez vient on y va ça a l'air pas mal
pffffffffffffffffffff . . . On le sait : je déteste les salles noires grandes brrrrrrr : la peur d'un feu ??? Et bien oui je sais c'est débile mais c'est comme ça donc je me place près de la porte de sortie mais je reste mal à l'aise
Et puis j'aime tant être en négligé . . . Et habillée chaussée sans pouvoir tendre les jambes : c'est un supplice 1h30
nous sommes donc allées voir
LE SENS DE LA FÊTE
Premièrement JE VIENS DE VOIR LA Durée du film : jamais je n'aurais cru ça ! Oui ça passe vite quand c'est bon . . .
j ai vraiment aimé j'ai ri vraiment beaucoup par moment j'ai eu mal au ventre par contre ma kiné elle , a pleuré . . . . de rire
je vous le conseille vivement bien entendu
je dois l'avoir dit plusieurs fois : je n'aime que les films anglais d'époque ok quelques mignonnes séries françaises mais surtout surtout surtout jamais de film dits marrants
je ne supporte pas les " trucs " comme les "TUCHES" . . . "PROFS" et autres " imbécillités " du genre qui pour moi devraient être interdits : je ne comprends même pas qu'on rit avec DE FUNES
ici une chose qui ne fonctionne pas c'est le titre de ce film : mais ça n'a aucune espèce d'importance
par contre puisque je ne vais jamais sur les critiques avant d'aller voir un film je viens d'y aller à l'instant à 17h : et je ne comprends rien du tout . . .
nous étions 20 dans la salle (?????? c'est dire ok on était jeudi et nous sommes dans une toute petite ville . Cela dit : nous avons en novembre le festival de cinéma ou il arrive que nous ayons de prestigieux invités et des films pointus : je n'ai pas la culture pour tout ça
Oui les gens ont ri quelques fois mais pas comme moi pas comme ma "kiné" pourtant je le répète je suis allée à reculons je n'ai pas aimé la bande annonce je n'apprécie pas plus que ça les acteurs : tout y était pour que je ne sois pas d'humeur
wouahhhhhhhhhhhh avec ce genre de critiques de soi disant " cinéphiles " vaut mieux ne rien faire j'ai regardé ces 3 là et j'ai fermé !
comme quoi on en prend plein la gueule quelques soit le niveau de création et la dernière phrase du dernier commentaire ??? je ne la comprends même pas
je pense que seuls les DEZINGUEURS ont droit à la parole : on le voit partout et ouffffffffffffffffff je ne suis sur aucun réseau social mais rien que mon blog me permet de voir à quel point la haine et la violence font foi
Ma critique n'est pas une affaire de gout du tout , puisque je n'apprécie pas plus que ça BACRI ou les autres
EN fRANCE c'est LINDON pour moi
je supporte pas LUCHINI : et j'adore presque tous les films dans lesquels il est présent et son jeu est excellent surtout dans
les femmes du 6 ieme
alceste à bicyclette
dans la maison
les invités de mon père : par exemple
Bacri ? bof mais : j'ai adoré . . . CUISINE ET DEPENDANCES et comme une image
critiques chez nous en belgique
C’est le jour qu’il ne faut pas rater. Qu’on ne veut pas rater. On est prêt à mettre beaucoup d’argent pour le graver dans les mémoires. Pierre, le marié, a décidé de le jouer classique, carrément conservateur même. C’est château loué, champagne, petits fours, entrée, plat, gâteau. Discours, danses et surprise du marié.
Dérouler le programme comme du papier à musique, c’est l’affaire de Max à la tête de son orchestre de cuistots, de serveurs, de musiciens et d’extras. Il connaît la partition mais on n’est jamais à l’abri d’une fausse note. C’est là que l’expérience paie pour rattraper les situations, pour qu’on ne remarque rien
Le dernier film de Toledano et Nakache ressemble à un exercice imposé : réussir une comédie répondant aux règles classiques d’unités d’action, de temps, de lieu. Ils ont opté pour un mariage grand genre, mais traditionnel. La routine pour Max, sauf qu’il joue sa vie à chaque fois, comme il dit. Il s’en voudrait de gâcher la fête d’un client. Il a une certaine autorité Max, mais naturelle, concentrée dans son sens de la répartie. Quand on ne le cherche pas, c’est plutôt un brave type, le genre à prêter le camion pour un déménagement d’un membre de sa "brigade". Max, c’est le pivot, c’est lui qui fait tourner la cérémonie et au moindre accro, c’est vers lui qu’on se… tourne.
Toledano et Nakache réussissent, ici, une comédie humaine. Chacun a ses failles et le chaos a vite fait de les repérer pour les exploiter. Précisément, Max a de la bouteille pour le tenir à distance, il sait parler au photographe pique-assiette, au crooner qui s’y croit, au professeur de français recyclé dans la restauration. Ainsi, pour échapper aux demandes incessantes du marié, il a toujours un homme posté pour le tirer d’affaire, dans les deux minutes sous le moindre prétexte.
Ce mariage vu des cuisines, ce sont autant de croquis à la Sempé : drôles, efficaces, avec ce supplément de fantaisie. Chaque acteur en tire le maximum. Faut voir Gilles Lellouche enfiler le costume de crooner et le remplir d’humanité au fil du récit. Jean-Paul Rouve est irrésistible en photographe argentique et Eye Haidara est une absolue révélation. On peut continuer jusqu’à Bacri, fidèle à lui-même et néanmoins différent. Marrant, touchant, usé aussi par les soucis du petit patron. (c'est EXACTEMENT ça : pareil et différent)
La paire d’"Intouchables" revient à ses fondamentaux, le film choral, maîtrisé avec doigté, slalomant entre les clichés, arrimé au réalisme, injectant ici des touches d’humour littéraire, là des accents de modernité comme ce damné correcteur automatique d’orthographe.
"Le sens de la fête" séduit par sa fluidité, son efficacité, son absence de vulgarité, c’est du pur plaisir. Mais ces deux-là ont, jusqu’à présent, toujours mélangé comédie et vision sociale (sur le handicap, les sans papiers). Faut-il s’interroger ? Cette réception symbolise-t-elle la France d’aujourd’hui ?
La fête a-t-elle un sens ?