Le c à lire l'immobilier
je reviens aux agences immobilieres et prix des biens
à la différence entre le français et le belge en ce qui concerne les exigences
La résidence secondaire reste avant tout un achat coup de cœur
Pierre Nyssens, de l’agence Newton Sud Immo, et Jean Houtart, des Viviers,
nous parlent de ce secteur particulier de l’immobilier
Les résidences secondaires sont plus nombreuses qu’on ne pense.
Beaucoup de Belges, lorsqu’ils atteignent un « certain âge » se tournent vers ce produit de marché très particulier pour profiter d’un lieu où passer ses vacances, voire pour y couler des jours heureux
Pour en parler, nous avons réuni 2 spécialistes.
Pierre Nyssens, de l’agence Newton Sud Immo basée à Rixensart. et Jean Houtart, des Viviers, une agence de résidence de luxe
Avant toute chose, y a-t-il une période plus propice pour l’achat d’une résidence secondaire ?
P.N. Pas vraiment les vrais amateurs achètent pendant toute l’année. Quand je fais une visite un mois de janvier, je sais que l’acheteur que j’ai en face de moi est réellement intéressé car le bien qu’il visite est loin de se montrer sous son meilleur jour. La piscine est fermée, il y a des feuilles dedans, l’eau est verte et il n’y a pas de feuilles sur les arbres. S’il apprécie le bien hors saison, il sait qu’il ne sera pas déçu en été. On n’a pas affaire aux promeneurs du mois de mai qui visitent le week-end pour faire une belle balade et voir de belles maisons.
Acheter une résidence secondaire n’est pas un acte banal…
si je vendais , moi en tous cas, je fais visiter en novembre décembre parce que je trouve ma maison plus belle plus cosy l'automne et l'hiver . . ok l'été c'est l'arrière qui attirera l'attention ou même le coup de coeur puisque moi à l'époque c'est l'arrière qui m'a intéressée alors qu'il était en friche (je voyais le potentiel je voyais le nombre de m carrés que je n'entretiendrais plus surtout . . . . j'avais eu 10 ares et ça m'avait gonflée )
P.N. C’est un projet d’acquisition un peu plus compliqué qu’un achat normal puisqu’on achète loin de chez soi. C’est une démarche qui peut durer parfois un an ou deux, si pas plus, c’est un rêve que les gens ont à un moment donné de leur vie et qui tout d’un coup se déclenche. Les gens sont capables de faire 1.000 kilomètres pour voir un bien.
Quel type de bien recherche le Belge ?
P.N. Les gros biens sont plus difficiles à vendre, surtout pour une résidence secondaire. Au-dessus de 500.000 euros, c’est moins fréquent que les biens à 350.000 euros.
En Provence, le Belge recherche une propriété avec une piscine, des oliviers et un terrain. Mais pas un trop grand car il faut l’entretenir et le débroussailler pour prévenir les risques d’incendie l’été. . . . Par contre, le Belge veut un endroit privatif. Minimum trois chambres, et, si possible, avec un studio séparé qui permet de recevoir des amis en étant chacun chez soi. Heureusement, on trouve beaucoup de ce genre de biens sur le marché.
J.H. Nous vendons principalement en France, à Hardelot et au Touquet. (je viens de vous le dire ! ) C’est près de la Belgique et un peu plus accessible financièrement qu’à Knokke, et c’est aussi plus dépaysant puisqu’on est dans un autre pays. Le Belge recherche ce qu’il n’a pas chez lui et en France, il a tout ce qu’il veut. (????????????????????????????????????? là je ne suis pas d'accord justement)
Est-ce essentiellement un achat plaisir ou achète-t-on une résidence secondaire avant tout en vue d’obtenir un rendement ?
J. H. A la base c’est un achat plaisir. Mais il est vrai que la majorité des résidences secondaires sont louées quand elles ne sont pas occupées par les propriétaires, histoire de mettre un peu de beurre dans les épinards. Personne ne souhaite laisser la maison vide pendant huit mois par an.
P.N. Je confirme. Je n’ai jamais vu un Belge acheter une résidence secondaire uniquement pour un rendement. Il y a d’autres produits financiers pour cela, plus faciles à gérer et sûrement plus rentables car il faut savoir que les frais d’acquisition sont de plus en plus élevés en France.
J. H. La Côte d’Azur reste prisée et chère. Il y a des disparités très importantes d’une région à l’autre. D’après la Chambre des notaires, la région Paca (Provence, Alpes, Côte d’Azur) a connu un tassement de 6,5 % sur 2015. Mais nous ne sommes pas non plus dans une chute vertigineuse comme en Normandie, par exemple, où les biens ont chuté de plus de 20 %.
P.N. Ma perception est différente : en Paca, les prix ont énormément chuté depuis 2008, sauf sur la côte. Les biens restent à vendre très longtemps. Beaucoup de maisons restent sur le marché pendant deux ans. C’est dû aux propriétaires locaux qui attendent le « pigeon », qu’il soit Belge, Hollandais ou Suisse, et qui mettent en vente à un prix exorbitant. (que vous ai je dis ce matin ? ) Et comme il ne s’agit pas de sa maison principale, il peut se permettre d’attendre. Moi aussi je veux bien vendre ma maison si un acheteur me donne 30 % de plus que sa valeur…
C’est une situation compliquée pour vous ?
P.N. Non car avec l’habitude, je ne prends plus ce genre de bien en portefeuille car le propriétaire ne va pas baisser son prix.
Est-ce qu’on discute moins le prix?
J.H. oui, parce que c’est un achat moins rationnel et plus émotionnel.
P.N. De plus, les gens connaissent moins le marché étranger. Quand ils achètent en Belgique, ils y sont déjà établis donc ils connaissent bien les prix. . . . A l’étranger, et par exemple en France, ce n’est pas pareil, d’autant que les prix varient fort d’une région à l’autre.
Quelles sont alors les principales notions financières que chacun doit connaître, pour un achat en France par exemple?
P.N.
* Ça commence par les droits d’enregistrement avec le pourcentage du notaire qui est plus ou moins équivalent à ce qui se fait en Belgique. J’annonce en général 7% tout compris, droits d’enregistrement et frais de notaire. Ça varie un peu d’un département ou d’une région à l’autre.
* Il y a ensuite le foncier, qui correspond au précompte immobilier – cadastre comme on dit aussi chez nous. Il dépend de la valeur du bien, de la région, de la commune. Il y a ainsi des communes chères et d’autres plus abordables.
* Enfin, il y a la taxe d’habitation qu’il faut payer chaque année. Elle dépend normalement des revenus mais pour les Belges qui sont en général fiscalisés en Belgique, c’est un montant forfaitaire qui est à peu près égal à celui du foncier.
* Ce qui a fait peur et nuit au marché, c’est la taxe sur la plus-value à la revente. Il y a des gens qui voulaient vendre et qui n’ont pas pu parce qu’ils perdaient trop. La taxe sur la plus-value couvrait une durée de 15 ans mais Nicolas Sarkozy l’a portée à 30 ans, contrairement à 5 ans en Belgique.
Quels autres conseils pourrait-on donner aux acheteurs potentiels de résidences secondaires? Faut-il par exemple se méfier des frais et des modalités d’entretien?
P.N. Les gens qui ont ce projet savent à quoi s’attendre et se sentent armés pour le faire. Dans toutes les régions que je connais, il est en plus très facile de trouver des locaux qui vont se proposer pour faire une sorte de gardiennage de la maison, aller voir si tout se passe bien. La région est très organisée pour proposer ce genre de services. Je n’effrayerais donc pas les acheteurs avec ça.
J.H. C’est vrai, il ne faut pas se faire peur pour rien au niveau de l’entretien mais il faut être conscient que la distance complique un peu les choses.
Tiens on ne me dit pas à quel prix ?????? ce service . .. les 2 agents n' en parlent pas !
Quelles sont les régions les plus recherchées par le Belge en France?
J.H. : La Côte d’Azur et la Provence pour des raisons évidentes de climat, mais aussi les Alpes pour la montagne.
Je pense aussi que des endroits plus proches comme la Côte d’Opale sont de plus en plus prisés, peut-être même au détriment de notre mer du Nord. (et voilà j'avais raison )
L’île de Ré est aussi un endroit où il y a beaucoup de Belges mais c’est très cher. (oui j'en connais : celle qui a acheté la maison de mes parents au lac de rabais ses parents possèdent une super jolie maison à l'ile de ré : ils n'y vont qu'à PÂQUES et aux grandes vacances le reste du temps elle est vide : et elle pue le moisi (??????????? ) moi je me dis que quand on a les moyens d'avoir une maison là on a aussi les moyens d'avoir quelqu'un qui vient chauffer et surveiller l'hiver
jdisça jdisrien ! Pour se défaire de cette odeur ??????? quasi impossible Au sein même de l’île, vous avez toutefois des différences de prix assez fortes selon que l’on se trouve par exemple au nord ou au sud.
mes parents ont acheté une jolie villa en espagne en 1978 nous n'étions plus sous franco mais pas loin quand même , la villa n' était occupée que durant quelques 4 mois sur l'année : jamais on a senti quelqu 'odeur de moisi que ce soit JAMAIS
En dehors de la France, il y a d’autres pays privilégiés par le Belge: l’Italie, l’Espagne et maintenant dans une certaine mesure le Portugal. moi je dis depuis très longtemps . mon très cher cousin J-L ,décédé aujourd'hui , a acheté il y a 20 ans une jolie villa que sa femme posséde toujours mais n'y vit pas ( il aurait 66 ans en juillet ) et il adorait . . . pffff il en a si peu profité . . . puis mon cousin frère de JL d'ailleurs et sa femme N. ont acheté à LES MAGES dans le vAR une grande propriété (avec petite maison d'invités en bas de la piscine ) ils ont tout vendu ici et voilà qu'à peine avoir déménagé les travaux de restauration terminés ma cousine est décédée : en janvier 2015 - 66 ans - . . . . je pense qu'aller vivre ailleurs est un choc émotionnel puissant . . . (le déménagement serait tout aussi traumatisant émotionnellement qu'un mariage , qu'un deuil ou qu' une naissance ce n'est pas moi qui le dis mais je le crois fortement )
ceux qui restent où ils se sont expatriés sont ceux qui ont quitté la Belgique très tôt pour le travail . .
ceux qui ont acheté sur le tard - à la retraite - jamais ils ne s'y font : les enfants ne sont pas là . . . ils ne voient leurs petits enfants que par écrans interposés . . . ils perdent tous leurs repères . . . tiens aux dernières nouvelles on discute pour vendre le "var" dans le but d' acheter un super appartement à la mer du nord . . . la mer qui se trouve à 1h30 d'où ils habitaient (bruxelles) alors qu'il détestait la mer du nord !vous me direz qu'il n'y a que les imbéciles qui ne changent pas d'avis : je suis quelqu'un de constant j'ai du mal à comprendre les choix de certains : je déteste le changement de quel qu'ordre que ce soit
Mais le premier pays vers lequel nos concitoyens se tournent reste très souvent la France.
Le Belge est très exigeant au niveau de la qualité du bâti, beaucoup plus que le Français, sans doute en raison de notre climat qui nous a habitués à vivre dans des maisons solides.
Or en France, il y a beaucoup de maisons où quand il y a quelqu’un qui tousse, tout le monde se réveille!
Pour les salles d’eau également, les exigences divergent: le Belge en veut minimum 2 par maison, et pour les biens de luxe, il en faut quasiment 1 par chambre. Pas toujours évident à trouver outre-Quiévrain.
Vous arrive-t-il souvent de refuser de rentrer un bien en portefeuille ?
J.H. Oui, quand les conditions de vente me paraissent complètement farfelues ou quand on est la vingtième agence sur le coup. Il ne sert à rien de perdre son temps. . . . C’est pareil en Belgique: quand un propriétaire nous demande la lune, on refuse.
P.N. Je recherche exclusivement des biens dont je sais qu’ils vont correspondre aux souhaits de mes clients.
je sais que ce sujet n'intérese personne
moi c'est mon dada c'est mon sujet de prédilection c'est ce que je lis en premier dans un magazine ou un quotidien tout ce qui touche à l'immobilier la construction
AU FAIT EN CE MOMENT SONT A VENDRE
170 . 000 e à DISCUTER 0 VAiSON LA ROMAINE
je préfère ça ET DE TRES LOIN à un appartement étriqué DE de 60 m carrés à PARIS à 680.000 euros AVEC DES VOISINS QUI VOUS ENMERDENT et des vius à vis de tous cotés et quand on y va pour les vacances le moindre long congés on s'habituent au lieu au voisinage à la région
ci dessous
239.000 euros à discuter
vaison la romaine ou NYONS
je prends je prends je prends
------------------
je peux vous en montrer des dizaines comme ça