Le c à lire - pour être un tout petit peu plus intelligent, plus justement dit : "pour ne pas mourir idiote"
qu'est ce que je suis heureuse de prouver à mes très chères détractrices critiqueuses moqueuses jalouses envieuses de mon blog et de mes fautes ! !
C'est bien connu , ces femmes -là mais sont si parfaites n'est -ce pas ? On le sait , elles ne font JAMAIS D 'ERREUR . . . vu qu'elles ne font rien non plus
A part ça on parle d'esprit de Noël
je me gausse
je me gausse
Des fautes pour lesquelles je ne manque jamais de m'excuser puisque j'en suis fortement embarrassée - très régulièrement tout au long de ce blog - et que j'essaie de corriger tous les jours que DIEU fait
je me demande ? Y a t il eu quelqu'un pour dire à APOLINAIRE ou à NAPOLÉON 3 qu'ils faisaient des fautes à faire peur ?
ET BIEN TIENS !
EN VOILA ENCORE UN EXCELLENT SUJET
de toutes façons quoiqu' "on" en dise il n'y a que des sujets intéressants sur ce blog
MDR
non je ne plaisante du tout je m'autosatisfais
je suis en fait
une autosatisfactrice !
on n'est jamais aussi bien servi que par soi-même
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Littérature
les fautes de français des grands écrivains
Dans le FIGARO 28/10/2016 à 10h03
. . ." Sachez d'ailleurs pour l'anecdote que même certains grands auteurs truffaient leurs copies de fautes d'orthographe. NAPOLEON III écrivait à JOSEPHINE des lettres d'amour remplies de "coquilles" , ALEXANDRE DUMAS fils , maître des envolées romantiques, n'arrivait pas au bout de la célèbre dictée de Mérimée sans réaliser une vingtaine d'erreurs.
De quoi relativiser ses propres maladresses orthographiques n'est-ce pas ? . . . "
Dans LE livre que je lis en ce moment de JEAN ANGLADE : il en parle lui aussi des fautes de Napoleon 3 . . . et voilà purquoi ce sujet il parle également d'un autre auteur connu pour ses plus de 200 fautes dans la dictée de MERIMÉE !
Dictée QUE TOUT LE MONDE CONNAIT aujourd'hui presque par coeur ! Et puis : Qui ne l'a pas faite ?
http://www.napoleon.org/histoire
. . . « Napoléon écrivait très mal ; la vivacité de son esprit ne pouvait se soumettre à la marche de la main. Il ne traçait que des caractères imparfaits et n’achevait jamais ni le mot ni la ligne, passant du reste sans scrupule par-dessus toutes les exigences de l’orthographe ; enfin le désordre était tel qu’il avait lui-même la plus grande peine à se relire. »
http://www.berthomeau.com/2016/02/badinguet-alias-napoleon-III-fit-75-fautes-a-la-dictee-concoctee-par-prosper-merimee
http://information.tv5monde.com/culture/les-fautes-de-francais-des-grands-ecrivains-67960
Que peuvent donc avoir en commun
Gide,
Baudelaire,
Camus,
Zola,
Voltaire
et tant d'autres écrivains de renom ?
Celui d'avoir fauté... en couchant leurs phrases.
Faire des fautes d'orthographe !
De nos jours, on ne risque rien sinon, peut-être, une vague "déconsidération" chez l'expéditeur du courrier, un air navré. Et puis, si c'est nous qui recevons la missive truffée de fautes, il est permis d'en sourire.
Et de penser à Gide : "Les fautes des autres, c'est toujours réjouissant".
Jules Verne,
Balzac,
Apollinaire,
Maupassant,
tous concernés !
Balzac prend sa plus belle plume quand il s'adresse à madame Hanska : "Allons adieu, vous une de mes consolations secrètes, vous vers qui volemon âme et ma pensée"
Balzac, dans La cousine Bette : "Ta pension de retraite et le peu que j'ai, en mon nom, nous suffira".
L'immense Victor Hugo lui-même ne dédaignait pas les fautes d'accord. . . . Dans " Le Mendiant " (Les Contemplations), il écrit :
"Et, pendant qu'il séchait ce haillon désolé
D'où ruisselaitla pluie et l'eau des fondrières
Je songeais que cet homme était plein de prières"
Balzac dans une lettre à sa soeur : Songes à mon bonheur si j'illustrais le nom Balzac!"
Baudelaire adressant une missive à sa mère : "Ma chère mère, une de tes dernières lettres contenaient des promesses et des offres que pour rien au monde je n'accepterais."
Parlons donc des horreurs de Zola Dans La débâcle, les horreurs décrites semblent avoir découragé l'habituelle rigueur de l'écrivain : "Puis, c'était un capitaine, le bras gauche arraché, le flanc droit percé jusqu'à la cuisse, étale sur le ventre, qui se traînait sur les coudes."
On applaudit l'exploit... moi je suis morte de rire
Stendhal, dans le Rouge et le Noir : "C'est ce que je demande, s'écria-t-elle, en se levant debout."
Balzac dans Le Père Goriot : "Il regarda tristement son ouvrage d'un air triste, des larmes sortirent de ses yeux". . . . L'écrivain aurait dû se relire avant d'envoyer le manuscrit chez l'imprimeur. . . . Dans Une ténébreuse affaire, il écrit : "Le bruit du galop de son cheval, qui retentit sur le pavé de la pelouse, diminua rapidement."
Maupassant ! Est-ce la syphilis qui le grignotait doucement quand il écrit : "Je sortis et j'entrai dans une brasserie où j'absorbai deux tasses de café et quatre ou cinq petits vers pour me donner du courage.
(La Patronne, dans la revue La Lanterne en 1889).
Rimbaud à Verlaine. Les fautes d'accord traduisent ici l'affolement du cœur (?)
"Reviens, reviens cher ami, seul ami, reviens. Je te jure que je serai bon. (...) Tu n'as qu'à refaire le voyage. Nous revivrons ici bien courageusement, patiemment. Ah ! Je t'en supplie (...) Oh tu ne m'oubliera pas, dis ? Non tu ne peux pas m'oublier. Moi je t'ai toujours là. Dis, répons à ton ami, est-ce que nous ne devons plus vivre ensemble. Sois courageux. (...) A toi toute la vie
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. . « Il arrive parfois qu'entre gens de bonne société la conversation tombe sur une question d'ordre orthographique. Si quelqu'un évoque alors la dictée de Mérimée, dictée dont on a généralement entendu parler, mais que l'on n'a pas toujours vue, chacun craint que cette épreuve ne lui soit proposée.
Songez donc !
Lorsque Mérimée, voulant donner ce divertissement à la cour de Compiègne, lui soumit la dictée qu'il avait composée, l'impératrice Eugénie, qui, ne l'oublions pas, était née Espagnole, fit soixante-deux fautes.
Il est probable que les fautes d'accents, de traits d'union, de trémas, etc., furent sévèrement relevés par Mérimée, pour que Napoléon III ait, de son côté, fait quarante-cinq fautes (ndlr 75 fautes), tandis qu'Alexandre Dumas et Octave Feuillet, tous les deux académiciens, en commettaient, le premier 19, le second 24 ; à moins qu'empereur et courtisans en aient commis sciemment par un souci de galanterie, assurés d'avance que l'impératrice en ferait beaucoup. (???) Quant à la princesse de Metternich, elle était responsable de 42 fautes.
Le grand vainqueur de ce petit tournoi fut le prince de Metternich, l'ambassadeur d'Autriche, avec 3 fautes seulement.
Et pourtant, cette fameuse dictée n'apparaît pas
tellement hérissée de difficultés. »
et si on se la re - mémorait ?
Voici le texte de la dictée publiée par Léo Claretie en 1900.
La dictée de Mérimée, site officiel du Ministère français de la Culture.
Les mots expliqués sont en rouge.
" pour parler sans ambiguïté, ce dîner à Sainte-Adresse, près du Havre, malgré les effluves embaumés de la mer, malgré les vins de très bons crus, les cuisseaux de veau et les cuissots de chevreuil prodigués par l’amphitryon, fut un vrai guêpier.
Quelles que soient, quelque exiguës qu’aient pu paraître, à côté de la somme due, les arrhes qu’étaient censés avoir données la douairière et le marguillier, il était infâme d’en vouloir, pour cela, à ces fusiliers jumeaux et malbâtis, et de leur infliger une raclée, alors qu’ils ne songeaient qu’à prendre des rafraîchissements avec leurs coreligionnaires.
Quoi qu’il en soit, c’est bien à tort que la douairière, par un contresens exorbitant, s’est laissé entraîner à prendre un râteau et qu’elle s'est crue obligée de frapper l’exigeant marguillier sur son omoplate vieillie.
Deux alvéoles furent brisés ; une dysenterie se déclara suivie d’une phtisie et l’imbécillité du malheureux s’accrut.
— Par saint Martin, quelle hémorragie ! s’écria ce bélître.
À cet événement, saisissant son goupillon, ridicule excédent de bagage, il la poursuivit dans l’église tout entière. »
on va tout de même aller plus loin en expliquant
les mots
ambiguïté, de l'adjectif ambigu au masculin (pluriel ambigus), ambiguë au féminin (ambiguës) : De même aigu, aigus, aiguë, aiguës, le tréma n'est pas sur le U, même chose pour contigu, contiguë, contiguïté, exigu, exiguë, exiguïté... et la ciguë. La Réforme de 1990 permet ambigüité
Un dîner, dîner, variante orthographique : un diner, diner (non admis par l'Académie ni par le Trésor). Réforme de 1990, l'accent disparaît.
Sainte-Adresse
Que Adresse soit une sainte ou non, on écrit Saint ou Sainte que l'on relie au nom qui suit par un trait d'union, dans les noms de rues, de places, de villes...
Ex : quartier Saint-Denis, place Saint-Pierre, rue Saint-Vincent.
Quand on parle d'un saint, on écrit (par ex.) saint Martin, sans trait d'union.
malgré n'a jamais de s, ni parmi.
effluve est masculin.
E précédant 2F en début de mot n'a pas d'accent, effet, effervescent...
embaumés, participe passé employé comme adjectif s'accorde avec effluves.
de très bons crus, si c'était un singulier, on aurait "d'un très bon cru".
un cuisseau : Partie du veau, coupée en deux, qui prend au-dessous de la queue et va jusqu'au rognon, et comprenant le quasi, la culotte, la noix pâtissière, la sous-noix et le jarret.
un cuissot : Cuisse de gibier de forte taille. Cuissot de cerf, de chevreuil, de sanglier.
prodigués s'accorde avec cuisseaux et cuissots
un amphitryon, celui qui reçoit à diner.
guêpier, mot qui vient de guêpe
-endroit bruyant
-piège, souricière
quelles que soient .. les arrhes
quel que : locution conjonctive de concession, suivie du verbe être au subjonctif
quel s'accorde avec le sujet du verbe être
quelle que dût être votre opinion, je ne m'en souciai guère.
quels que puissent être vos désirs, vous ne les accomplirez jamais.
Les semi auxiliaires (auxiliaires de mode) devoir et pouvoir accompagnent le verbe être dans ces deux phrases.
quelque exiguës qu'aient pu paraître... les arrhes
quelque ... que : locution conjonctive de concession, suivie d'un verbe au subjonctif.
ici, aient pu paraître est le verbe paraître accompagné du semi auxiliaire pouvoir au subjonctif passé.
-quelque + adjectif + que
quelque appliqué qu'il soit, il ne réussira jamais à avoir la moyenne.
ou
-quelque + syntagme nominal + que
Quelque effort que je fasse, tu restes indifférent.
paraître prend l'accent circonflexe sur le i devant le t
comme naître, les dérivés de paraître (apparaître, disparaître, comparaître), et de croître (accroître, décroître, surcroître). Ex. il naîtra, il croîtrait, nous disparaîtrons...
On a aussi : il clôt, il gît, il plaît.
Particularité de croître : il prend l'accent circonflexe à chaque fois qu'on peut le confondre avec croire.
Il croît, il a crû, MAIS il croissait, croissant, etc.
Surcroître est vieilli, on le trouve dans les expressions de surcroît, par surcroît.
la somme due, les sommes dues, l'emprunt dû
dû (de devoir) ne prend d'accent circonflexe que lorsqu'on peut le confondre avec du (partitif ou préposition, du = de + le)
J'ai du bon tabac dans ma tabatière. (du, partitif. Sens : une partie d'un tout, une certaine quantité de)
Je viens du marché. (du = de le)
J'ai dû parler. (devoir)
des arrhes, substantif féminin. On donne des arrhes pour un achat ou une location.
arrher, donner des arrhes.
arrhement, vieilli.
Les arrhes données ne sont pas rendues par le vendeur si l'acheteur se rétracte.
Les arrhes qu’étaient censés avoir données la douairière et le marguillier.
qu’étaient censés avoir données la douairière et le marguillier est une proposition relative complément de l'antécédent arrhes.
qu' (c'est-à dire que élidé) est un pronom relatif qui représente l'antécédent arrhes.
Je remplace que par ce qu'il représente :
la douairière et le marguillier étaient censés avoir donné des arrhes
données est un participe passé, il suit la règle de l'accord des participes passés qui veut qu'un participe passé employé avec l'auxiliaire avoir s'accorde avec le complément d'objet direct si celui-ci le précède.
Dans ce cas le complément d'objet direct est que (= arrhes) féminin pluriel, et il est placé avant (avoir) données. Donc accord.
étaient censés s'accorde avec le sujet inversé douairière et marguillier
censés, adjectif qualificatif attribut de douairière et marguillier, s'accorde avec ces substantifs.
Être censé, être supposé.
MAIS être sensé, avoir du bon sens.
douairière, marguillier, fusilier . . . la douairière s'est laissé entraîner
On est dans le cas où le participe passé laissé est suivi d'un infinitif, entraîner.
Lorsque le sujet ne fait pas l'action de l'infinitif, le participe passé est invariable.
Elle s'est laissé battre (on l'a battue)
Elle s'est laissée mourir (elle est morte)
On préfére aujourd'hui " LAISSÉ " suivi d'un infinitif, invariable dans tous les cas.
elle s'est crue obligée
Le participe passé d'un verbe pronominal (se croire) suivi d'un attribut du pronom réfléchi s'accorde avec lui (obligée attribut de se).
infâme a un accent circonflexe, infamie n'en a pas.
malbâti, du verbe bâtir (accent circonflexe) et de l'adverbe mal.
Au pluriel malbâtis
Dont le corps n'est pas bien bâti, qui a une mauvaise tournure. Un homme malbâti. Substantivement : un grand malbâti. Littré
rafraîchissement, accent circonflexe comme dans rafraîchir, fraîchir, fraîcheur.
coreligionnaires, de la même religion
Il n'y a pas d'accent sur le e de core-
exigeant, l'adjectif et le participe présent ont la même graphie.
(et non pas exigent comme dans ils exigent)
MAIS on a divergent (adj.) divergeant (part. prés.), convergent, convergeant, négligent, négligeant, émergent, émergeant.
son omoplate vieillie
omoplate est féminin. On écrit son omoplate par euphonie, devant une voyelle, son étant ici féminin. Cela pour éviter l'hiatus sa omoplate.
alvéoles est ici au masculin ce qui justifie l'accord du participe brisés.
Mais le genre de alvéole peut se discuter.
phtisie, une ancienne graphie était phthisie, cf. Littré 2ème édition 1872-1877 (en ligne)
imbécillité : 2L, imbécile : 1L
s'accrut, verbe s'accroître au passé simple
Il n'y a pas d'accent circonflexe sur le u parce que :
-accroître est différent du verbe croître qui prend un accent lorsqu'on peut le confondre avec le verbe croire. Il crût, il accrut, il s'accrut.
-il s'accrût serait la forme du subjonctif imparfait, ce qui n'est pas le cas ici.
bélître, homme de rien, sot, importun : L'Académie (1798-1932) écrit belître sans accent aigu sur e. La finale -itre ne prend l'accent circonflexe que dans les trois mots suivants : bélître, épître, huître. Ainsi pitre, chapitre et pupitre n'ont pas d'accent.
excédent, noter le exc
bagage, un bagage
tout entière
tout adverbe. Les adverbes sont généralement invariables. Tout pour raison d'euphonie fait toute lorsqu'il se trouve devant une consonne ou un h aspiré.
Elle est toute mouillée, elle est toute honteuse.
Mais il reste invariable devant une voyelle ou un h muet
Elle est tout étonnée, elle est tout horrifiée.
La version de 1990 supprime les accents circonflexes et écrit ambigüité, exigüe et marguiller, graphies que je n'ai trouvées dans aucun des dictionnaires que j'ai consultés.
La réforme de 1990 (?)
Dans les modifications orthographiques de la réforme de 1990, on propose de laisser tomber cet accent circonflexe. Après plus d'une quinzaine d'années, on constate que personne ne laisse tomber le chapeau. Cette proposition doit donc être considérée avec la plus grande vigilance d'autant plus que la règle est assez simple.
http://mamiehiou.over-blog.com/article-la-dictee-de-merimee-avec-les-fautes-a-ne-pas-faire-expliquees-par-le-menu-regles-d-orthographe-et-84602130.html
Les premières ambiances hivernales
eh oui il est 9 h
le temps est abominable en
cette avant veille de Noël 2016
La DecoPeleMele - HALLS PALIERS COULOIRS -
paliers -halls et
couloirs
j'aime vraiment beaucoup cette pièce . . . je pense même qu'elle est ma préférée . . . Alors que la plupart n'en prend pas "soin " !
C'est trop dommage puisqu'elle annonce "ce " qui va suivre !
oui c'est beau le sol est magnifique : je pense que nous sommes aux USA . . . LA PORTE VITRÉ qu'est ce qu'elle est belle il semblerait que nous soyons dans une maison de ville longue et étroite ! je ne change rien ici j'aime trop même si c'est noir et blanc ! En même temps en tant que mobilier on choisira ce qu'on désire UNE LONGUE CONSOLE lampe belles garnitures
j'adore trop
je dis wouahhh parcequ'il me reste quelque chose de mes goûts d'antan : oui j'ai adoré les murs en PIERRES DE TAILLE . . . et non aujourd' hui je n'en voudrais plus !
je trouve qu'il y a un truc qui cloche et c'est sans doute pour ça que je "tique" : le sol et sa couleur + la pierre bleue + la plinthe (?) couleur et hauteur ??
Ensuite nous sommes dans une maison ultra moderne et je ne vous pas ce que ces PANAMAS font là en multiplicité ici donc il y a INCOHÉRENCE !
ah ben ça alors ! !! nous ne sommes pas dans une maison ultra moderne mais contemporaine car oui : C 'EST LA MÊME MAISON que sur la photo ci -dessus
on reconnaît la pierre bleue et la plinthe
le brun foncé c'est toujours excellent ou que ce soit : séjour- hall -chambre
alors là oui j'aodr'e mais pas chez moi par contre quand c'est chez des parents oui ça ça me plaît ! j'aime le "capharnaum" ailleurs surtout comme celui -ci . . .tiens voilà que ce mot me fait penser à mon enfance :
chez grande tante Madeleine et grand oncle Denis - fermiers - , attenant à la pièce télé, il y avait une porte juste à côté du post : je n'y suis jamais allée - JAMAIS - d'abord PARCE QUE je ne SUIS PAS CURIEUSE DU TOUT , pas pour un sou même , je me fiche de ce qui se passe chez les autres . . . Ils appelaient ce petit endroit - ou grand endroit , je l'ignore - le "CAPHARNAÜM "
Seules les 2 petites- filles et le petit- fils (mes petits cousins donc) pouvaient y aller mais uniquement si on leurs demandait d'aller y chercher quelque chose
Ce CAPHARNAÜM me faisait un peu peur et comme ma grand- mère maternelle qui était la soeur de DENIS disait toujours quand elle lisait le journal (une lecture quotidienne qu'elle n'aurait manqué pour rien au monde - tous les articles y passaient) : QUI VA AU DANGER Y PÉRIRA ! En français mais en PATOIS AUSSI Donc pour moi le capharnaüm de Denis et Madeleine était sans doute un danger : puisqu'il me faisait peur
Pire je n'ai jamais demandé à mes petits cousin -cousines ce qu'il y avait dedans
vous savez quand j'étais petite : moi ou mes cousins- cousines n'avions aucun droit dans une maison ! Ni celui de monter de descendre sans une sacrée raison valable dans la maison de la grand -mère (ma grand -mère paternelle surtout) ( je dis chez les grands- mères LOUISA et HELENE puisque les grands -pères GEORGES et MARCEL étaient morts dans la cinquantaine et dans les années 50 - je ne m'en souviens pas du tout très malheureusement ) : on n'entrait pas dans les pièces comme on voulait il n'y avait rien de commun tout était clos !
Savez - vous qu'il y a des pièce chez une d'entre elle (paternelle) que je n'ai jamais connues dont je n'ai jamais ouvert la porte puisque je n'avais pas le droit de monter : sa chambre par exemple était SON ENDROIT . Les autres restaient fermées depuis le départ de ses 5 enfants .
La grande pièce , la plus belle et la mieux décorée avec les objets dits précieux , n'était ouverte que lors des visites importantes ou celle de la famille à la grand- fête ou aux enterrements pour ceux revenaient de Bruxelles ! Et puis des premiers de l'an - quand j'étais petite - car quand elle a eu la télé elle s'y est installée . . .
Mais chez aucune d'entre elles il n'y avait ces " fourzitouts" intéressants comme ça dans l'entrée !
Quand je vois maintenant dans les émissions de déco en Belgique - UNE BRIQUE DANS LE VENTRE - pas une seule fois je n'ai vu une maison sans enfant qui joue soit au ballon , qui monte et qui descend les escaliers et qui roule au SKATE BOARD !
ET OUI LES TEMPS CHANGENT c'est bien pour ça que tout va si bien !
si je vais le dire : c'est trop LIGNES et CARRES DE CIMENT c'est pour moi en tous cas TOUT JUSTE PAS POSSIBLE
quand je regarde coté porte oulalala quelle horreur ! ! !
tout est çà faire car la pièce est trop belle le reste est une horreur pourquoi ??????? NE CHERCHEZ A FAIRE D' UNE MAISON NORMALE UN CHATEAU c'est VRAIMENT ridicule
j'aime l'idée des CASIERS mais ça on le sait par contre le sol oulalala
bof vraiment sans couleur c'est ARCHI NUL !
j'adore enfin ce que j'aodre c'est le mur noir mat et la console noir satin ou brillant ! ! !
franchement le meuble d'époque archi guindé avec à côté un hall vestibule vestiaire ?? c'est un peu fort de café : il faut une porte impérativement
on se croirait dans 2 maison différentes très différente : un sacré manque d' unité et de cohérence
j'adore le tapis
l'escalier
la rampe ?
des merveilles
mais c'est quoi ce bois sur les escaliers : on croirait des restes de caissons de construction ? et puis cette table Napoléon 3 je ne comprends pas !
non je ne suis pas pour le mélange de style sauf pour celles qui s'y connaissent
c'est un espace - UN HALL SPLENDIDE - qui déssert toutes les pièces un peu comme chez HAUSMAN
alors :
cette console , indienne je pense , cette toile de maître " ancienne " + les 2 lampes de chez IK ! ! Non mais franchement , c'est pathétique, car vouloir montrer ce qu'on a de plus beau (?) (des oeuvres d'art ? ) et y ajouter ça ??? on ne doit pas bien connaître les codes essentiels !
comme quoi dans la vie il faut éviter de "péter" plus haut que son derrière !
ce mélange de toiles : une à l'huile peinte à l'ancienne + ce tableau moderne illuminé par une tache rose le fil qui pend dessous ????? quel manque de COHERENCE !
Ensuite grand manque d' EQUILIBRE : LE FAUTEUIL d'poque bien trop petit
par contre cet espace me parait cosy mais c'est du aux couleurs MAIS SURTOUT SURTOUT SURTOUT AU TOTZL LOOK
PLAFOND PEINT Dans le même ton !
je n'aime pas
pourquoi ?
ça fait trop école gardienne
ah oui c'est du beau mais pareil école gardienne j'aime ce bleu ciel avec le blanc
j'adore il me manque 2 gros fauteuils puisqu'il y a 2 radiateurs et 2 toiles
oui j'aime ça dans une entrée d'appartement en décorant mieux en mettant une multiplicité de cadre et de la couleur bien entendu
tiens on retrouve nos bêtes ! voyez vous là c'est plus triste et plus " sombre PLUS GLAUQUE aussi " qu'un noir peint sur les murs
je n'aime pas du tout le damier ! c'est fatiguant
très glacial ! rien de cosy m^me si il y a une peau
palier de repos ???????? UN RÊVE ! Donc moi je peins tout en vert rouge ou ocre et . . . . .noir . . .tiens c'est peu de choses mais j'ajoute une lampe sur l'appui de fenêtre
j'aime . . . . j'adore cette banquette mais bon sang j'ajoute de la couleur ou alors oui ok pour le blanc mais des blancs différents . . montrer qu'on n'est pas en pleine déménagement
je dis non mais HELLO QUOI ! je retire les cadres et le canapé ! je peins en vert foncé et menuiserie noire (gris anthracite comme le cabochon du sol)
ce sont là 2 halls en enfilade EXCELLENT ! je change les couleurs
j'adore ! ! ! ! ! mais je jette immédiatement ce canapé ! et cette table d'appoint et je fais appel à un spécialiste qui va me proposer quoi mettre à la place comme style de canapé et de table
pour moi ce serait un table NAPOLÉON 3 PLEIN CENTRE