Mon image-photo-déco du jour . . . météo 10° nuageux triste moche il est 15 h
Et ça c'est mon truc
♥ ♥ ♥ ♥
♥ ♥ ♥
♥ ♥
♥
Pourquoi c'est mon truc ?
non il n'y a rien que je choisirais la- dedans : je parle du mobilier cette table et ce siège doré du tapis du cadre et du vase et de ses fleurs : NON RIEN
mais
c'est l'idée des "assorts" de couleurs qui me plaît
c'est l'idée de l'étagère coté cheminée fond vert planches noires mais retirons tout tout tout et voyons comment poser et accrocher des objets bien plus chouettes avec quand même quelques livres
si je garde le fauteuil de par sa couleur je fais mettre d’autres pattes : des rondes et je les peints en noir . . . sinon je trouve un crapaud velours de la même couleur : COULEUR PAON ! Un tapis jonc de mer pour rehausser l' atmosphère . . . je n'aime pas du tout le sol
L'histoire de l'art
J'ignore comment j'ai eu l'idée de faire ce post . . .
Sans doute à la suite des docs de fin de journal de 13 h sur tf1 : " des écrivains et de leur maison"
Une idée , chez moi , en entraînant toujours une autre . . .
Ce n'est pas évident de trouver des docs clairs suffisamment grand format sur ce sujet : HOMMES ET FEMMES Célèbres et leur ÉCRITURE . . .
je n'ai pas trouver de quoi comparer avec les écritures d'aujourd'hui il y en a mais très peu (rien de houellebeq)
oui combien font des collections de vieux documents toujours difficiles à déchiffrer : ça ne m'interesse pas du tout !
Et puis qui affirme que c'est leur écriture (toujours ces spécialistes qui savent tout sur tout) et pas celle de leur secrétaire " leur scribe " . . . qui peut AFFIRMER le document à 100%
j'aime ce qui est plus récent
tiens donc
allez : commençons par
Flaubert 1821 - 1880
observez moi cette modernité dans l'écriture c'est ça qui m'intéresse aussi LA CALLIGRAPHIE : ça m'péate grave !
En 1919 survient un débat sur les « fautes » de Flaubert.
Ce fut une révolution. Subitement, on semblait découvrir que ces grands écrivains qu’on avait toujours admirés n’avaient pas toujours scrupuleusement respecté les normes grammaticales. Ils auraient trahi la langue. Ce fut un choc. Pouvait-on être un écrivain et avoir une grammaire fautive ?
Flaubert, on le sait, est un homme qui travaillait et retravaillait ses textes. Jamais content de la forme obtenue, il raturait, puis raturait encore.
Après ce labeur épuisant, il se mettait à déclamer sa prose tout haut, en hurlant dans ce qu’il appelait son « gueuloir ».
C’est à l’épreuve de l’oralité qu’il décidait si le rythme et la musicalité de ses phrases étaient satisfaisants.
Peu d’écrivains ont manifesté un tel souci pour l’écriture, peu se sont donné autant de mal, au point que certains ont pu penser qu’il n’avait pas l’écriture facile, mais que celle-ci était le résultat d’un travail laborieux.
Peu importe, finalement.
Que Flaubert soit un génie qui ait poussé les capacités de la langue jusque dans ses derniers retranchements ou qu’il soit un tâcheron qui se donnait du mal, ce qui est sûr, c’est que tous les termes employés et toutes les tournures choisies ont été mûrement réfléchis.
S’il y a bien quelqu’un qui a fait tourner sept fois les mots dans sa tête avant de les coucher sur le papier, c’est lui. On comprend donc qu’il avait l’ambition d’accéder à un style parfait. Mais qu’est-ce qu’un style ? Là est toute la question.
Pour Flaubert, comme pour Maupassant d’ailleurs, il n’y a qu’une bonne façon de dire une chose. Mais si l’écrivain qu’il était se devait de trouver le mot juste, il ne pouvait pas toucher à la syntaxe. Celle-ci, immuable, appartient à la collectivité. Selon cette conception, l’écrivain est un homme qui maîtrise à la perfection la langue commune.
Les citoyens ordinaires attendent de lui non seulement qu’il ne fasse pas de fautes, mais en plus qu’il pousse la langue jusque dans ses derniers retranchements, la faisant « vibrer » comme personne d’autre que lui ne sait le faire. Pour le dire autrement, l’écrivain est donc celui qui respecte la langue au point de lui donner la possibilité de briller de tous ses feux.
Respect absolu
Le problème commence lorsque cet écrivain se permet une déviance.
Emploie-t-il un terme avec une acceptation un peu particulière ou trouve-t-il une tournure quelque peu singulière, qui s’écarte de la norme habituelle, aussitôt lecteur est sur ses gardes.
La liberté d’un écrivain comme Flaubert s’arrête là.
Il peut jouer avec la langue, mais il ne peut jamais aller trop loin. S’il respecte ces règles, il sera reconnu par le public et par ses pairs comme un grand romancier.
Dans un tel contexte, l’école estimera de son devoir d’enseigner la littérature, qui est l’exemple à suivre pour acquérir une bonne connaissance de la langue.
Imiter les grands écrivains par des dissertations dans lesquelles il s’agit de reproduire leur manière d’écrire permettrait, par assimilation en quelque sorte, de se familiariser avec la norme de la langue puisque précisément ces écrivains sont ceux qui l’ont le mieux respectée.
C’est qu’il n’y a qu’une bonne façon de dire les choses et seuls les écrivains peuvent parvenir à cet idéal. Dans un tel contexte, la littérature précède la grammaire puisqu’elle incarne la perfection de la langue. En cas de doute, on citera des exemples tirés des grands littérateurs pour expliquer telle tournure de style, telle métaphore ou tel emploi du subjonctif.
À ce stade, qui correspond donc à l’époque de Flaubert, l’écrivain jouit d’un prestige considérable. C’est un sage que l’on écoute, y compris parfois dans des domaines qui sortent de son cercle strictement littéraire. Quelqu’un comme Hugo, par exemple, a des idées qui comptent en politique. On se réfère à lui, mais si on le fait, c’est parce que son « aura » d’écrivain est tellement prestigieuse.
De tout ce que nous venons de dire, il faut donc retenir que la marge de manœuvre du littérateur est assez mince. À cette époque, pas question pour lui d’innover n’importe comment. Il ne peut jamais dépasser les règles imposées par la langue, il peut juste se permettre d’aller à la limite de ces règles. Il lui est donc très difficile d’avoir un style personnel et spécifique (en réalité, il en a un, bien entendu, mais il ne le sait pas). Point de néologismes à tour de bras, de sens déviés ou de tournures de phrases trop singulières. Tout cela lui serait aussitôt reproché.
Voilà donc sans doute pourquoi Flaubert raturait à l’infini.
C’est qu’il était persuadé qu’il n’y avait qu’une manière de tourner sa phrase afin que celle-ci exprimât au mieux sa pensée.
Plus tard, au contraire, des écrivains comme Proust penseront qu’ils peuvent utiliser la syntaxe comme moyen de singulariser leur style, de le rendre unique et donc d’affirmer leur personnalité via leur style propre. Mais nous n’en sommes pas là.
À l’époque qui nous occupe, on considère soit que la bonne littérature respecte la grammaire soit, ce qui revient finalement au même, que la beauté de la langue française lui vient de ses grands écrivains, lesquels, en bons grammairiens qu’ils sont, ont su affiner au mieux les règles de syntaxe et de vocabulaire.
-----------------------------------
tiens donc ?
JANE AUSTEN,sa piètre orthographe et son relecteur de talent
jane AUSTEN . . . . extrait de page de PERSUASION
l'écriture est plus comme celle qu'on retrouve dans les document notariaux on le voit c'est moins moderne
L'auteur britannique la plus populaire, dont les œuvres sont pourtant acclamées pour leur prose élégante, était tellement mauvaise en grammaire et en orthographe que ses copies devaient être sérieusement revues par un correcteur, a révélé samedi une experte de l'université d'Oxford. "On considère très généralement que Jane Austen avait un STYLE PARFAIT .
Son frère Henry avait dit, en 1818, dans une phrase célèbre, que 'tout ce qui sortait de sa plume était achevé' et les commentateurs continuent à PARTAGER cette opinion", déclare Kathryn Sutherland, professeure au St Anne's College d'Oxford.
"Mais, en relisant les manuscrits, il devient vite évident que cette délicate précision n'était pas là", ajoute la chercheuse, qui a étudié 1 100 pages non publiées de la romancière. "On voit la création se FAIRE et, dans le cas de Jane Austen, on découvre une manière d'écrire très antigrammaticale", explique-t-elle, expliquant en particulier n' avoir pas retrouvé la "ponctuation impeccable et le style épigrammatique" que l'on peut voir dans certaines des œuvres de la romancière.
Cela suggère que quelqu'un d'autre était fortement impliqué dans le processus de correction entre le manuscrit et le livre publié ; des lettres entre John Murray II, l'éditeur de Jane Austen, qui reconnaissait le désordre du style de Jane Austen et le correcteur William Gifford, auquel il suggérait comment le corriger, semblent l'identifier comme le coupable", explique Mme Sutherland.
En savoir plus sur
http://www.lemonde.fr/livres/article/2010/10/24/jane-austen-etait-nulle-en-orthographe-et-en-grammaire_1430568_3260.html#5UTUtLMiEr1Xk8pF.99
lu dans LE MONDE
-------------------------------
à bon entendeur !
je dis donc
salut à mes détracteurs à mes critiqueurs à mes accusateurs à mes contrôleurs à mes destructeurs à mes envieurs et jalouseurs !
--------------------------------
je le répète . . . en ce qui concerne toutes les fautes que je fais et que je ne cesse de corriger au fil du temps des mois des jours . . . et que je continue pourtant à faire . . . je ne pense pas que quiconque sur canablog écrit autant que moi et directement sur le post accompagnée que je suis d' un correcteur inexistant à part, et encore , l'orthographe des mots . . .
je sais , et franchement , vous seriez de mauvaise foi , que vous devez savoir que s'il n'y a pas par exemple de S à : " des " faute " " il ne s'agit pas d'inculture . . . mais il s'agit d'inattention et ne me taxez pas d'imbécile : ce serait bien
La seule chose que je n'arriverai jamais à comprendre et à écrire correctement : c'est le pluriel des chiffres c'est un enfer pour moi . . . et certains mots composés : si nous faisons une dictée je ne serai , soyez en certains - pas dans les dernières !
je me souviendrai toute ma vie : quand je rentrais de l'école avec la feuille des résultats d'une de mes dictées, le soir la famille participait : je dictais . . . ils écrivaient . . .on corrigeait . . on discutait
non ce n'était pas Mérimée . . . mais c'était souvent très tordu
je ne connais pas beaucoup de famille où on faisait ça ! Prière de ne plus me titiller sur le sujet : j'en suis assez embarrassée . . . croyez - le
je dis S T O P
-----------------------
miro 1893 - 1883
ici , moi ne tous cas , je ne suis pas étonnée par son écriture quand on connaît le sens de ses toiles . . . il y a beaucoup de naïveté et de bonhomie là- dedans
----------------------------
john kennedy 1917 - 1963
----------------------------
De Gaulle 1890-1970
quelqu'un de pressé
-----------------------------
1955
c'est l' écriture d'un "artiste"
-------------------------
1981 - 1995 et ici aussi ou alors qui aime l'art
------------------------------
jean-luc godard 1930 . . . écriture normal même si l'homme ???? ne l'est pas tant que ça (mdr)
----------------------------------
ALFRED de MUSSET 1810 -1857 écriture que je trouve magnifique une calligraphie artistique aussi
-----------------------
1966 moi j'aime tellement cette femme que je ne sais rien dire sur son écriture
-----------------------------
Marguerite Yourcenar 1903-1987
terriblement actuelle cette écriture d'une femme libre . . . artiste aussi mais ça on le voit par les petits dessins
------------------------------
IONESCO 1909-1994
belle écriture . . et pourtant l'homme ? il est beaucoup dans sa tête
Eugène Ionesco, à travers son oeuvre « Rhinocéros » (que j'ai lu ouffffffffffffffff j'ai détesté ! ) tente donc de sensibiliser le lecteur à l’horreur humaine et nous amène à réfléchir sur le sens de la vie.
Pour cela, il utilise une écriture dite de la tromperie.
Derrière des effets évidents, le spectateur doit y trouver un sens caché pas toujours évident.
A titre d’exemple, lorsque des personnages parlent d’événements futiles, un événement beaucoup plus important et grave est annoncé (la scène où Jean et Bérenger parlent au café illustre parfaitement ce propos), lorsque la situation devient absurde, elle prend en réalité un sérieux indéniable.
Qui plus est, Eugène Ionesco se sert de l’humour pour dissimuler la vérité. Eugène Ionesco base son oeuvre « Rhinocéros » sur le thème de la métamorphose.
-------------------------------
George SAND 1804-1876 . . moderne aussi
EXTRAIT LA MARE AU DIABLE
----------------------------------------
Louis Ferdinand CELINE 1894-1961
on clique !
une écriture : très grippe sous selon moi
-------------------------------
boris vian 1920 -1959
oui très moderne je parle d' écriture
----------------------
? facile à lire ?
1840-1902 ZOLA EMILE
--------------------------
FREUD sigmund 1856-1959 très sûr de lui selon moi
--------------------------
JEAN PAUL Sartre 1905- 1980 . . . je ne sais pas ?
______________________
si on m'avait présenté ce papier parmi d'autres : je vous donne ma parole que je reconnaissais immédiatement PICASSO sur le papier pas sur la lettre du tout sans doute la lettre est plus jeune
Pablo PICASSO 1881-1973
--------------------------
Jean d'ORMESSON 1925
je n'aurais pas su que c'était lui . . . . mais il faut aussi voir à quel âge a été écrit ce mot
---------------------------
JEAN anglade 1905 . . . 101 ANS CLIQUEZ SUR LA PHOTO TROP BELLE
jamais je n'aurais pu dire que c'était de lui cette écriture
vu que je connais toute son oeuvre ou presque
j'adore ce bonhomme
-----------------------
BERNANOS 1888 - 1948
-------------------------
François MAURIAC 1885-1970 . . . j'aurais juré que c'était l'écriture d' une femme
-----------------------------
1895-1952 paul eluard
ah bon ???? mais je ne connais pas assez
je déteste la poesie
----------------------------
aragon Louis 1897-1982
jamais lu
----------------------
Balzac Honoré ! 1799 - 1850 (je pensais bien plus tard au moins 50 ans de moins pour lui ! ! !) il écrit comme à l'époque de ma mère
les livres que j'ai lus . . . obligés de lire . . . mais que j'ai beaucoup aimés
j'ai tout lu
j'ai lu medecin de campagne
-------------------------------
1889-1953 si je lis JEAN rien que la signature je sais de qui il s'agit ! (sans l'étoile évidemment)
je n'aime pas
___________________________
Franz KAFKA 3 juillet 1883 à Prague et mort le 3 juin 1924 . . pas mal pourtant j'aurais imaginé plein de griffonnages de ratures bref une écriture KAFKAÏENNE QUOI
surtout pas
-----------------------
jacques prevert 1900 - 1977 à part des poemes obligés à apparendre ? je ne connais aucun de ses livres
------------------------------
Marcel PROUST 1871 - 1922, PAS MAL . . . .
j'ai lu le second
--------------------------
Là je reconnais desuite que c'est BB c'est une écriture comme celle de mes copines qui écrivaient très bien dans les années 70 . . une écriture aussi belle et aussi sure à cet âge là ??????? ben oui la date est de 2003 elle avait 80 ans
j'ai vraiment bien aimé on me les a offerts et je les ai lus
-------------------------------
ET PUIS
?
?
?
j'ingorais totalement
CHARLES BAUDELAIRE 1821-1867 oui l'écriture date bien de cette époque là
OBLIGÉE DE LIRE - évidemment - LES fleurs du mal
j'ignorais même jusqu'au titre du second livre : alors déjà je ne l'aimais pas mais maintenant JE LE DETESTE !
que je vous raconte :
Pauvre Belgique est un pamphlet inachevé commencé en juin 1864.
Dans cet essai il critique la Belgique , où il s'était pourtant installé avec de nombreux espoirs
Selon ROBERT KOPP la « lecture des quelques (j'ai ajouté le S qui n'y était pas ! ! ! ) trois cents soixante feuillets qui constituent les brouillons de Pauvre Belgique laisse une impression pénible.
On supporte mal tant de colère et de haine qui n'ont pas de but précis mais reflètent surtout l'état misérable du poète
mais ça c'est toujours et de tous temps les gens hargneux , méchants, haineux sont des gens fonciérement malheureux : cela dit je ne le plains pas (rires)
les mœurs,
les arts (car l’explosion artistique des lettres et de l’art belges se feront à la fin du XIXè) ,
la politique,
la religion.
Ca commence comme suit :
« Qu’il faut, quoi que dise Danton, toujours « emporter sa patrie à la semelle de ses souliers. . . . La France a l’air barbare, vue de près. Mais allez en Belgique et vous deviendrez moins sévère pour votre pays. Comme Joubert remerciait Dieu de l’avoir fait homme, et non femme, vous le remercierez de vous avoir fait, non pas Belge, mais Français.
Grand mérite à faire un livre sur la Belgique. Il s’agit d’être amusant en parlant de l’ennui, instructif en parlant du rien. »
« Pauvre Belgique » est demeuré à l’état de notes. Baudelaire en effet n’a pas pu achever son ouvrage, réduit qu’il était à l’état d’épave, hémiplégique, aphasique, « sentant passer sur [lui] le vent de l’aile de l’imbecillité ».
A ce propos, saviez vous que le dernier mot qu’il était capable de prononcer et qu’il répétait constamment était « Crénom !» ?
Fin tragique pour le plus grand poète des lettres françaises.
Ce sont donc des notes que l’on retrouve, où la Belgique et surtout les Bruxellois en prennent plein la tronche. « Le visage belge, ou plutôt bruxellois. . . . Chaos. . . . Informe, . . . difforme . . . rêche, . . .lourd . . . dur . . . non fini . . . taillé au couteau. . .. Dentition angulaire. . . . Bouche non faite pour le sourire. . . . Le rire existe, il est vrai, mais inepte, énorme, à propos de bottes. »
C’est assez hallucinant. Il s’acharne sur leur accent, leur maîtrise relative du français, leur saleté, leur bêtise, leur démarche, leur volonté d’imiter la France et les Français
La dimension scatologique de l'auteur : Il compare la Senne à une immense latrine, la Belgique à « un bâton de merde », il commente les habitudes latrinesques des Belges.
En revanche, il est très admiratif de l’architecture et de la sculpture. C’est étonnant de voir ces louanges au milieu d’insultes.
Comme ce sont des notes non organisées, on ne comprend pas forcément toutes les références, même si l’édition Pléiade est extrêmement bien faite. Mais au moins, elles révèlent une véritable obsession et une formidable colère de la part de Baudelaire à l’égard de la Belgique, car les mêmes sujets reviennent tout le temps, reformulés de différentes manières, plus ou moins développés.
Pourquoi tant de haine ?
En partant pour la Belgique, il espérait faire publier ses œuvres complètes et se faire un peu d’argent (il a vécu dans la misère presque toute sa vie) en intervenant dans des conférences.
Bien sûr il s’est fait jeter par les éditeurs, et les conférences furent très mal payées.
Disons qu’il semble avoir, au seuil de son existence, reporté sur la Belgique toute sa colère, son amertume et sa frustration, sa rancune envers son pays et son siècle. Même s'il devait y avoir du vrai, « Pauvre Belgique » apparaît comme un délire ultime.
Les Belges et la Lune"
On n'a jamais connu de race si baroque
Que ces Belges. Devant le joli, le charmant,
Ils roulent de gros yeux et grognent sourdement.
Tout ce qui réjouit nos coeurs mortels les choque.
Dites un mot plaisant, et leur oeil devient gris
Et terne comme l'oeil d'un poisson qu'on fait frire;
Une histoire touchante, ils éclatent de rire,
Pour faire voir qu'ils ont parfaitement compris.
Comme l'esprit, ils ont en horreur les lumières;
Parfois, sous la clarté calme du firmament,
J'en ai vu, qui rongés d'un bizarre tourment,
Dans l'horreur de la fange et du vomissement,
Et gorgés jusqu'aux dents de genièvre et de bières,
Aboyaient à la Lune, assis sur leurs derrières. »
et bien voilà qui est dit
merci mr. CHARLES
La DecoAnglaise : VISITES -
3 visites anglaises
Ce sont des visites bien différentes . . . quand on voit sur un même post 3 intérieurs aussi différents . . .
on se dit QUE TOUT EST POSSIBLE - vraiment tout - dans une maison et que tout n' est pas mal que tout varie selon la personnalité de celui qui habite . . .
on passe ici du chic simple assez minimaliste au frourzitout et en fin de compte : j'aime tout quand à y vivre c'est encore une autre histoire
même comme ça c'est vraiment très beau je le reconnais . . . mais je reconnais aussi qu'à un moment donné je vais peindre . . c'est d'une grande simplicité dans le mobilier et je dois dire que la grande armoire vitrée aux portes coulissantes ??????? c'est d'enfer !
Une "pièce" comme celle-là dans une maison suffit à donner le ton !
je déteste les suspensions on croirait des grand spots de terrain de foot
Les poutres : peintes en blanc c'est plus que parfait . .. c'est vrai que la pièce est non seulement haute mais lumineuse mais surtout que tout est en équilibre
évidemment non je n'aime pas l'ilot central
rholala c'est trop beau ! oui les chaises sont simples aussi et originales de par le motif
la cuisine ? c'est tout ce qui me plaît ! chic classieuse et simple à la fois je n suis pas certaine que j'aurais placé ces séparations noires
m a g n i f i q u e
____________________________
zut je viens de voir que j'avais déjà posté ces photos- là
allez revoir la même catégorie je pense qu'il y a plus d'observations
by fatimah namdar designer caroline holdaway je n'aime rien si ce n'est l'ambiance !
ces poutres là c'est terrifiant
ce côté- là je prends : je n'imagine pas qu'à 70 ans avec une hanche défaillante . . . des genoux cagneux et un bassin fragile on puisse monter et descendre tous les jours
----------------------
ici on est dans une maison normale comme il y a en campagne décorée de papiers peints anciens peut- être . . .l'ambiance est chouette mais je n'aime pas
ça c'est pas pour moi !
ça non plus
la montée : ça c'est pour moi
trop grossier à mon goût
trop de tout même si j'aime le fourzitout je le veux maîtrisé
je ne me sens pas bien du tout là- dedans
là j'aime
il y a du bon . . . LA BASE est bonne
non ce n'est pas pour moi