Le c à voir
j'ai aimé mais j'ai aussi apprécié le livre
Thérèse Desqueyroux
c'est un film français de 2012
réalisé par CLAUDE MILLER
avec AUDREY TAUTOU et GILLES LELOUCHE
Adaptation de roman de FRANçOIS MAURIAC paru en 1927
Cette ultime réalisation de Claude Miller, mort en avril 2012, a fait la clôture du FESTIVAL DE CANNES 2012
Dans le sud-ouest de la France, à la fin des années 1920.
Thérèse Laroque a fait un mariage de convenance entre familles aisées, et a épousé Bernard Desqueyroux, bourgeois propriétaire terrien.
Ils s'installent alors dans la propriété familiale située dans un vaste domaine s'étendant sur des hectares de pinèdes.
Bernard est un homme du terroir, passionné par la chasse, et qui défend avec conviction les traditions familiales. Cependant, Thérèse se trouve rapidement étouffée par la monotonie de sa vie maritale.
Le désintérêt qu'elle affiche pour son mari et son ennui au quotidien semblent la pousser à rechercher un ailleurs, qu'elle ne parvient pourtant pas à définir elle-même, mais qui l'arracherait à sa vie terne.
Son ressentiment augmentera encore lorsqu'Anne, son amie d'enfance, sa confidente, qui est aussi la sœur de son mari, découvre l'amour passionnel auprès de Jean Azevedo ; la famille d'Anne désapprouve cet amour naissant et lui interdit de le revoir, car elle veut la destiner à un autre homme, qui est un meilleur parti pour la famille.
Cet amour simple, que vit son amie et qu'elle-même n'a jamais vécu auprès de son mari, suscite en elle un sentiment de jalousie au point d'inciter Jean Azevedo, avant qu'il ne parte pour Paris pour suivre des études, à écrire à Anne, pour lui annoncer la rupture et pour clarifier la situation, car lui-même n'éprouve pas d'amour pour Anne, mais veut vivre sa vie en y prenant du plaisir, en s'inspirant du livre Les Nourritures terrestres, dont il cite un passage à Thérèse, alors qu'elle-même se sent déjà enfermée dans une vie privée de toutes perspectives et aggravée par le fait qu'elle est enceinte, ce qui l'enferme un peu plus dans une vie toute tracée.
La naissance de sa fille ne vient pas dissiper ce désarroi ; elle laisse sans remords Anne s'occuper de sa fille, lors de ses visites, car elle sent que sa propre fille se trouve mieux dans les bras de son amie et belle soeur que dans les siens
Lorsque Bernard, qui a fait plusieurs malaises et à qui on a prescrit de l'arsenic, va physiquement de plus en plus mal, Thérèse saisit l'occasion qui s'offre à elle d'empoisonner son mari, mais commet une maladresse à la pharmacie en présentant des ordonnances falsifiées.
Elle est découverte et, en plus d'être déshonorée par sa propre famille, elle l'est aussi par celle de son mari.
Elle devra faire face à la justice pour ce supposé assassinat, puis à son mari et à sa belle-famille qui entendent sauvegarder les apparences auprès de la société provinciale.
Ils vivront sous le même toit, mais Bernard se montrera froid envers elle, exigera le vouvoiement, lui interdira d'accéder à toutes les pièces de la maison, d'être libre d'aller où elle souhaite à l'extérieur, mais surtout, de voir sa fille, sous peine de la dénoncer à la justice pour tentative d'empoisonnement.
Les seuls moments où ils seront vus ensemble, pour faire bonne figure, sont leur sortie à la messe et au marché.
Ce traitement, en plus du décès de sa tante qui prenait soin d'elle, la fera petit à petit dépérir, jusqu'à ce que Bernard, pris de pitié, lui rende sa liberté ; elle la reçoit comme une délivrance et Bernard l'autorise à partir à Paris, où elle fuit cette vie bourgeoise et provinciale, qu'elle exécrait tant, et dont elle ne pouvait s'accommoder, tant son besoin de liberté était grand.
Avant de partir, elle confiera à Bernard, à demi-mot, les raisons qui l'ont poussée à vouloir l'empoisonner, à savoir, ce sentiment de malaise qu'elle ressentait depuis toujours, dans cette société, trop étroite pour elle.
j'ai passé une excellent soirée . . . J'aime la douceur la lenteur l'ambiance de ce genre de film . . . mais c'était un peu mollasson monotone un peu plat . . .
j'aime AUDREZ TAUTOU je trouve que ce genre de film lui va comme un gant son physique aussi correspond aux films d'époque quand à GILLES LELOUCHE que j'aime beaucoup IL n'y a pas sa place . . . Maintenant ce n'est que mon humble avis . . . Seulement je n'y ai pas compris grand chose ni le pourquoi ni le comment . . . on peut quand on se sent aussi mal , comme elle , partir sans pour autant vouloir assassiner quelqu'un qui ne lui a rien fait ! ! ! elle renie son enfant La raison est plus profonde : unecertaine folie mais ce serait aussi une raison plus matérielle et calculée que sentimentale ou haineuse ou mal être
La Question COULEUR - VERT -
IL EST 14H30 IL FAIT parfois GRAND SOLEIL ciel très couvert et toujours menaçant - 21,4° - ça change . . . .
on le sait c'est une de mes catégories préféres : la question couleur et
Le VeRT
on a du vert dans l'intérieur . . . les objets . . . la peinture . . . la mode . . . le maquillage
magnifique ! ! !
dans la verdure comme ici je n'aime pas . . . . trop peur des bestioles . . . grenouilles serpents et autres horreurs
rholalala que c'est joli !
alors là m^me si c'est un peu froid : JE PRENDS
Oublions les chaises . . . . d'accord ?
Oublions surtout leur MAUVE d'accord ?
Oublions le bouquet qu'on déposera devant la porte du voisin d'accord ?
j'adore ! ! ! !
j'aime
les verts sont beaux avec le rouge oui . . . mais ce style un peu bon marché : non
oulalal la couleur paille pas question ! si on aime le jaune ok : mais alors un très soutenu un peu grisé
j'aime cette chambre ! ! !
D'ailleurs j'ai passé du temps dans ma chambre aujourd'hui à nettoyer . . . à changer mon lit . . . à réorganiser . . . puis en fin de compte à remettre tout comme avant : je n'aime pas le changement
Oui
quelques garnitures
tableaux
coussins
plaids
lampes et abat jour : ça je fais sans cesse mais bouger le mobilier non !
aie !
aie ! ! !
oulalala non
oui mais je retire le divan de gauche la table et les garnitures le reste je garde ! par contre je change toutes les pattes je choisis des rondes (des arrondies style boule)
ce vert est trop dur mais bon
j'aime trop ce hall
oui c'est beau mais attention avec les lignes ??
le tapis vache ne convient pas le papier peint est trop chic non je n'aurais pas choisi du vert mais un bordeaux foncé pour un beau divan en velours lisse
le divan quand on a la place ok c'est vachement confort mais ce ne sera pas pour chez moi
ouiiiiiiiiiiiiiiiiiii
je bazarde les 2 siéges
oui oui ce vert vif olive jaunatre avec un BLEU PAON FONCÉ : c'est excellent
c'est classieux c'est original aussi
m a g n i f i q u e
rhoooooooooooooooooo je veux et on dit que c'est ikea stokholm mais ça je prends d'où qu'il vienne
Les Avant - Après - ÉTAGERE -
Il fait aussi mauvais qu'hier au levé
D'ailleurs hier il a plu mais il a plu . . . fin de journée ce fut constant ! ! ! ! je n'ai jamais vu autant de pluie de ma vie
Bon sang ! ! ! Quelle horreur cette ambiance . . . il est 7h15 et nous avons 15,6°
oui je vais redescendre le tableau du dessous ou celui du dessus chépas !
j'avais une planche de sapin dans le garage . . . j'ai tenté de scier aux mesures (à la largeur) de cet espace ! . . . j'ai scié en me démembrant les bras j'avais déjà scié l'arbuste . . . . il fallait laisser plus ou moins 4 mm . . .puis j'ai essayé . . . trop large . . . alors :
j'ai limé . . . .
puis j'ai réessayé . . .
puis j'ai relimé . . .
et re et re et re
ça a duré 2 h . . . je n'y arrivait pas j'allais aller trop loin pendant ce temps je réfléchissais à comment je pourrais " fixer" cette planche si je trouvais que ça donnait bien . . .
après un tout dernier limage j'ai compris que ça allait entrer dans la largeur mais je n'ai pas insisté trop de peur d'arracher le papier peint texture DAIM vert foncé . . . posé depuis bientôt 30 ans !!!
je décide donc de peindre la planche . . . 3 couches puisque le sapin brut s'imbibe très fort ! !
Oui mais c'était sans compter que mouillée par ces couches de peintures : la planche avait pris de l'apaisseur !
Rhoooooooooooooo
rebelote
relimage
j 'éponge donc je suis
encore 20 minutes de LIMAGE car point trop n'en fallait . . . sans doute allait - elle se rétracter encore et une fois bien séchée . . . paf par terre !
Car oui oui : j'avais trouvé entre temps comment accrocher cette étagère !
SANS ACCROCHAGE ! dans le vide mdr ! ! ! ! c'est tout moi ça j'ai fait pareil au toilettes et ça résiste depuis oulalala . . . 3 ans ?
alors avec mon marteau j'ai taper très faiblement et délicatement de façon à la faire rentrer dans cette largeur entre le mur de l'arcade et le mur du miroir
et voilà ça tient ! C'est ce qui s'appelle le bricolage maison . . . et voilà que j'essaie la lampe non seulement le pied est juste à la mesure quand à l'abat jour j'vous raconte pas ! ! ! !
chui contente et vous voyez pour 2 / 3 euros : on passe son temps et on se retrouve avec un joli coin original . . .
c'est ce que je vous disais hier au sujet des étagères dans la cuisine . . .
regardez chez vous , cherchez les petits espaces qui pourraient accueillir quelques planches . . . non seulement ça fera :
* un rangement pour vos livres de poches
* un présentoir de cadres de familles
* un présentoir d'objets que vous aimeriez mettre en valeur
Mais surtout , surtout : ce sera aussi un espace qui pourra rendre très cosy :
* une entrée ,
* un hall de nuit ,
* votre cuisine
* votre séjour
* même la salle à manger
je ne vous parle pas de * vos chambres . . . .