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je CRITIQUE et vous EXPLIQUE les images de déco, je DÉCORE, je DÉVOILE ma MAISON mon JARDIN, je COMMENTE les INFOS du jour les films et les séries en fait je PAPOTE comme devant un apéro ou un café . . . Il arrive aussi que je TRICOTE et que je CROCHÈTE
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28 juin 2016

Le c à voir

j'ai aimé mais j'ai aussi apprécié le livre

 

Thérèse-Desqueyroux-poster

Thérèse Desqueyroux

c'est un film français de 2012

réalisé par CLAUDE MILLER

avec AUDREY TAUTOU  et GILLES LELOUCHE

Adaptation de  roman de FRANçOIS MAURIAC paru en  1927

Cette ultime réalisation de Claude Miller, mort en avril 2012, a fait la clôture du FESTIVAL DE CANNES 2012

Dans le sud-ouest de la France, à la fin des années 1920.

Thérèse Laroque a fait un mariage de convenance entre familles aisées, et a épousé Bernard Desqueyroux, bourgeois propriétaire terrien.

Ils s'installent alors dans la propriété familiale située dans un vaste domaine s'étendant sur des hectares de pinèdes.

Bernard est un homme du terroir, passionné par la chasse, et qui défend avec conviction les traditions familiales. Cependant, Thérèse se trouve rapidement étouffée par la monotonie de sa vie maritale.

Le désintérêt qu'elle affiche pour son mari et son ennui au quotidien semblent la pousser à rechercher un ailleurs, qu'elle ne parvient pourtant pas à définir elle-même, mais qui l'arracherait à sa vie terne.

Son ressentiment augmentera encore lorsqu'Anne, son amie d'enfance, sa confidente, qui est aussi la sœur de son mari, découvre l'amour passionnel auprès de Jean Azevedo ; la famille d'Anne désapprouve cet amour naissant et lui interdit de le revoir, car elle veut la destiner à un autre homme, qui est un meilleur parti pour la famille.

Cet amour simple, que vit son amie et qu'elle-même n'a jamais vécu auprès de son mari, suscite en elle un sentiment de jalousie au point d'inciter Jean Azevedo, avant qu'il ne parte pour Paris pour suivre des études, à écrire à Anne, pour lui annoncer la rupture et pour clarifier la situation, car lui-même n'éprouve pas d'amour pour Anne, mais veut vivre sa vie en y prenant du plaisir, en s'inspirant du livre Les Nourritures terrestres, dont il cite un passage à Thérèse, alors qu'elle-même se sent déjà enfermée dans une vie privée de toutes perspectives et aggravée par le fait qu'elle est enceinte, ce qui l'enferme un peu plus dans une vie toute tracée.

La naissance de sa fille ne vient pas dissiper ce désarroi ; elle laisse sans remords Anne s'occuper de sa fille, lors de ses visites, car elle sent que sa propre fille se trouve mieux dans les bras de son amie  et belle soeur que dans les siens

Lorsque Bernard, qui a fait plusieurs malaises et à qui on a prescrit de l'arsenic, va physiquement de plus en plus mal, Thérèse saisit l'occasion qui s'offre à elle d'empoisonner son mari, mais commet une maladresse à la pharmacie en présentant des ordonnances falsifiées.

Elle est découverte et, en plus d'être déshonorée par sa propre famille, elle l'est aussi par celle de son mari.

Elle devra faire face à la justice pour ce supposé assassinat, puis à son mari et à sa belle-famille qui entendent sauvegarder les apparences auprès de la société provinciale.

Ils vivront sous le même toit, mais Bernard se montrera froid envers elle, exigera le vouvoiement, lui interdira d'accéder à toutes les pièces de la maison, d'être libre d'aller où elle souhaite à l'extérieur, mais surtout, de voir sa fille, sous peine de la dénoncer à la justice pour tentative d'empoisonnement.

Les seuls moments où ils seront vus ensemble, pour faire bonne figure, sont leur sortie à la messe et au marché.

Ce traitement, en plus du décès de sa tante qui prenait soin d'elle, la fera petit à petit dépérir, jusqu'à ce que Bernard, pris de pitié, lui rende sa liberté ; elle la reçoit comme une délivrance et Bernard l'autorise à partir à Paris, où elle fuit cette vie bourgeoise et provinciale, qu'elle exécrait tant, et dont elle ne pouvait s'accommoder, tant son besoin de liberté était grand.

Avant de partir, elle confiera à Bernard, à demi-mot, les raisons qui l'ont poussée à vouloir l'empoisonner, à savoir, ce sentiment de malaise qu'elle ressentait depuis toujours, dans cette société, trop étroite pour elle.

 j'ai passé une excellent soirée  . . .  J'aime  la douceur la lenteur  l'ambiance de ce genre de film  . . . mais c'était un peu  mollasson monotone un peu plat . . .  

j'aime AUDREZ TAUTOU  je trouve que ce genre de film lui va comme un gant son physique aussi correspond aux films d'époque  quand à GILLES LELOUCHE  que j'aime beaucoup  IL n'y a pas sa place  . . . Maintenant  ce n'est que  mon humble avis . . .  Seulement je n'y ai pas compris grand chose ni le pourquoi ni le comment  . . .  on peut quand on se sent  aussi mal , comme elle , partir sans pour autant vouloir assassiner quelqu'un qui ne lui a rien fait  ! ! ! elle renie son enfant   La raison est  plus profonde   : unecertaine folie  mais  ce serait aussi une raison plus matérielle  et calculée que sentimentale ou haineuse ou mal être

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