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el lefébien
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je CRITIQUE et vous EXPLIQUE les images de déco, je DÉCORE, je DÉVOILE ma MAISON mon JARDIN, je COMMENTE les INFOS du jour les films et les séries en fait je PAPOTE comme devant un apéro ou un café . . . Il arrive aussi que je TRICOTE et que je CROCHÈTE
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11 juillet 2015

Le c à lire ok je sais c'est long mais je pense que ça peut vous interesser

Une  très jeune femme  m'a parlé, hier matin de ce livre .  . .  Vous me connaissez  :    j'ai de suite fait des recherches  sur ce sujet

Non je ne suis pas en total accord avec tout ce qui est noté ci - dessous mais peut être cela vous intéressera t- il et vous  aidera peut être  à trouver des outils   des déclics pour être mieux avec vous même SURTOUT  

en tous cas je vous suggère de me lire

enfin l'article de PSYCHO MAGAZINE

 

 Accords toltèques

 4 règles pour " être "

L’auteur : Miguel Ruiz

Quatre règles de vie à appliquer pour une promesse « de liberté, de bonheur et d’amour ». Philosophie à bon marché ou méthode efficace pour mieux se connaître et s’aimer ?

Enquête chez les Toltèques.

Si vous avez réussi à passer à côté jusqu’ici, cela ne devrait pas durer. Les Quatre Accords toltèques  est 1 livre de M. Ruiz

De quoi s’agit-il ?

On vous propose de passer avec soi disant quatre accords visant à briser nos croyances limitatives, ,celles que nous développons depuis l’enfance, qui distordent la réalité et nous maintiennent dans la souffrance. »

À force de conditionnements culturels et éducatifs (sur ce qui est juste ou faux, bon ou mauvais, beau ou laid) et de projections personnelles (« Je dois être gentil », « Je dois réussir »…), nous avons intégré une image fausse de nous-même et du monde.

Ces idées ne sont pas nouvelles. « Elles reprennent les principes de la thérapie cognitive, qui démontrent à quel point le manque de distance ou la généralisation abusive sont des pièges».

Pourquoi alors cet engouement ?

Ces quatre accords avec des mots simples et des cas concrets. « Il n’est pas nécessaire d’être initié pour les mettre en pratique , tout le monde peut le faire. »   Que votre parole soit impeccable     . . . Parlez avec intégrité, ne dites que ce que vous pensez. N’utilisez pas la parole contre vous ni pour médire d’autrui. 

Le pouvoir du verbe sur le psychisme : qui n’a pas gardé en mémoire une phrase blessante d’un parent ? Et ne la fait pas encore résonner une fois adulte ? » .  . .  La parole est un outil qui peut détruire -  Ou construire -  Contrairement à ce que nous croyons souvent, les mots ont du poids : ils agissent sur la réalité. « Dites à un enfant qu’il est enrobé et il se sentira gros toute sa vie

Comment s’y prendre ?

En cultivant la modération dans ses propos : ne pas en dire trop, ni trop vite. Et ça  commence dans le discours que l’on se tient à soi-même : « La clé, c’est l’attention à notre discours intérieur »

Les critiques et les jugements que nous cultivons sur autrui, mais aussi les sempiternels « Je suis nul », « Je suis incapable » ou « Je ne suis pas beau » que nous entretenons à notre sujet sont des paroles négatives qui polluent notre mental. Or, elles ne sont que projections, images faussées en réponse à ce que nous croyons que l’autre ou le monde attend de nous. Conclusion : parlons peu, mais parlons vrai, en valorisant aussi nos atouts et ceux d’autrui.

N’en faites jamais une affaire personnelle

Ce que les autres disent et font n’est qu’une projection de leur propre réalité. Lorsque vous êtes immunisé contre cela, vous n’êtes plus victime de souffrances inutiles. 

Les paroles et les actes de l’autre ne nous concernent pas en propre. « Ils lui appartiennent parce qu’ils sont l’expression de ses propres croyances. »

Vous êtes critiqué ? vous êtes  encensé ?

« C’est l’image que l’autre se fait de vous . . . Ce n’est pas vous. »    De même, les événements qui surviennent ne sont pas toujours des réponses à notre comportement.  . . .  nous devons sortir de cet égocentrisme qui nous fait croire que tout ce qui arrive autour de nous est une conséquence de notre attitude. Le « moi je » nous maintient dans l’illusion. Donc dans la souffrance.

Comment s’y prendre ?

 « Il s’agit moins de rester stoïque que de prendre du recul » à soi ce qui appartient à l’autre déclenche inévitablement de la peur, de la colère ou de la tristesse, et une réaction de défense. L’objectif : laisser à l’autre la responsabilité de sa parole ou de ses actes et ne pas s’en mêler. Cela suffit souvent à calmer le jeu.

Ne faites aucune supposition

Ayez le courage de poser des questions et d’exprimer vos vrais désirs. Communiquez clairement avec les autres pour éviter tristesse, malentendus et drames.   C’est un travers banal . .  . Nous supposons, nous élaborons des hypothèses et nous finissons par y croire. » Un ami ne nous a pas dit bonjour ce matin, et nous imaginons qu’il nous en veut ! c’est un « poison émotionnel ». Pour s’en libérer, il faut apprendre  à mettre les choses à plat, par exemple en exprimant ses doutes. « Ce qui implique d’apprendre à écouter et d’être capable d’entendre

Comment s’y prendre ?

 Il s’agit de prendre conscience que nos suppositions sont des créations de notre pensée. Dès lors qu’une hypothèse devient une croyance (« Cet ami est fâché contre moi »), nous élaborons un comportement de pression (« Je ne l’aime plus non plus » ou « Je dois le convaincre de m’aimer à nouveau »), source d’angoisse et de stress.

Faites toujours de votre mieux

Votre “mieux” change d’instant en instant. Quelles que soient les circonstances, faites simplement de votre mieux et vous éviterez de vous juger.

« Cet accord découle des trois premiers lorsque vous en faites trop, vous vous videz de votre énergie et vous finissez par agir contre vous. Mais si vous en faites moins, vous vous exposez à la frustration, à la culpabilité et au regret. » Le but est de trouver le juste équilibre.

Comment s’y prendre ?

Ce qui est juste pour soi ne dépend en aucun cas d’une norme. Faire ce qu’il y a de mieux pour soi, c’est rester au lit. Dans tous les cas « le pire piège est la course à la perfection ». L’un des moyens d’éviter ce travers est de remplacer nos « Je dois faire ceci » par des « Je peux faire ceci ». « cela permet de s’approprier pleinement l’objectif à atteindre, sans se soucier du jugement et des attentes des autres ».

lisez plutôt ceci d'un autre magazine

c'est plus concret

vous aurez compris que les annotations en "turquoise"  c'est moi

 1. Le premier accord toltèque est : « Que votre parole soit impeccable »

La parole est omniprésente dans la vie de chacun de nous.

Dès que nous sommes en communauté nous nous sentons obligé de parler, sans cela le silence s’installe et  laisse place à un certain malaise.    BENOIT POELVOORDT  L'A TOUJOURS DIT  :   IL A PEUR DE CE SILENCE EN INTERVIEW  c'est pourquoi il en fait toujours des tonnes  mais  si vous saviez combien il est  100 fois +  calme  en Belgique durant  les interviews   parce qu'il est chez lui  il sait qu'on l'aime . on ne va pas l'attendre au tournant  c'est un fait certain   . . . 

et je suis pareille (je parle de caractère)  si je ne parle pas quand on est 2 l'autre ne dit rien  alors je comble  . . . voilà pourquoi être seule me convient fort bien  . .  . 

Que nous soyons en compagnie de quelqu’un ou non, la parole est constamment présente avec nous. La plupart des gens n’arrêtent jamais de penser. Or la pensé s’exprime sous la forme d’un dialogue interne.  COMPLÈTEMENT  ça c'est moi craché 

Étant sans arrêt en train d’utiliser cette arme à double tranchant qu’est la parole, on voit bien l’importance d’apprendre à en faire bonne usage. Malheureusement la plupart du temps nous ne maîtrisons pas nos pensées, et par conséquent les mots qui sortent de notre esprit et passent le seuil de notre bouche. JAMAIS EN CE QUI ME CONCERNE  car JE PENSE CE QUE JE DIS  et  je préfère ne rien dire   je ne regrette jamais mes paroles JAMAIS  /   que ça plaise ou non  . . .   j'ai des opinions . . .    je les formule et  c'est mon droit le plus stricte  !  . . .

Par contre  je dis rarement ce que je pense à quelqu'un  - de lui ou d'elle  -    mais s'il ou elle demande  oulalala     tant pis  mais je ne mentirai jamais . . .    je   serai diplomate CERTES  . . .  je prendrai des gants  . . CERTES  . . MÊME AVEC CEUX QUI N4EN PRENNENT PAS   5MAIS JE NE SUIS PAS TOUT LE MONDE  j'ai des limites j'ai des filtres  . . . TOUT NE PEUT PAS SE DIRE . . .que ces gens là  ne s'attendent surtout pas à ce que je les brosse dans le sens du poil   et pourtant les gens aiment ça et ceux qui le font c'est toujours dans un but bien égoïste et non pour faire un pur plaisir gratuit  

J'ai un principe JE ME TAIS même sous les insultes  . . .  sinon je sais que je vais sortir des choses qui vont assassiner  : je veux rester IMPASSIBLE  si je rétorque la personne ne se relèvera pas je connais le poids de mes mots  ...

C’est trop dommageable et cela a pour conséquence d’empoisonner notre environnement mental et social.   En effet si une parole réussit à capter notre attention, elle peut changer nos croyances et notre façon de percevoir le monde. Or, au cours de notre socialisation nous avons émis des tas d' opinions sur les autres et les autres aussi en ont émis sur nous. Ainsi, si un jour un professeur de mathématiques dit à un enfant

« Tu es bête, tu ne comprends rien ! »

L’enfant va peut-être croire ces paroles et grandir avec le sentiment d’être mauvais en mathématiques, voir même en milieu scolaire, indépendamment du fait qu’il le soit ou non.    Il perdra confiance en lui et ainsi rentrera dans un cercle vicieux qui ne fera que reproduire ce que l’on attend de lui, à savoir « être mauvais », et ainsi il y croira de plus en plus.

en tous cas j'ai un  autre principe  :  si un enfant me fait  un dessin   je serai  très heureuse  de le recevoir et le lui dirai   . . . MAIS  s'il me demande si c'est beau je ne ferai pas de compliments excessifs  et exagérés  . . ça ne leurs permet pas d'évoluer ils vont penser que tout ce qu'ils font est parfait ! ! ! ! ben non  ça ne marche pas comme ça avec moi ! ! !

Ils ne feront alors jamais mieux et ne se décarcasseront jamais pour arriver au meilleur   . .  .ils se contenteront du minimum et ça pour moi ce n'est pas possible    :  . . .  les remercier  les embrasser tendrement  leurs dire  qu'on les aime   et  en ajoutant  : mais ne serais -tu pas aller un peu vite  pour faire cet éléphant  je pense que c'est tellement tu avais envie de m'offrir  ton dessin   ??

j'ai une formation d'institutrice gardienne (j'aurais été terriblement sévère  . . . en stage je l'étais ! )  

il va répondre  : " . .  .ben si j'ai été vite  . . . et trouvera  toutes sortes  excuses  si si  écoutez- les  ! ! !

je répondrai :  "  .  . .Je pense moi    :  même si j'adore  ce geste  et même que j'aime  ton dessin ,  que tu es  très très très capable de faire 1.000 fois mieux  . . .   je te connais ! ! ! 

Il répond : " . . .ben oui je sais  . . .  si je m'applique il sera bien plus beau  ! ! !

je l'ai vécu

alors ???     non je sais que je n'ai pas blessé le gosse (Leona en l'occurence je suis sa grande-tante )   puisque l'enfant continue de me faire des dessins   ! ! ! ! et je continue d'être heureuse et ça c'est ce qu'il  le sent ! ! !  et moi je sens les efforts

Et à chaque fois l'enfant me demande : "  . . . et celui là tu le trouves comment . . .  ?  et il se fait lui même le compliment  avant la réponse :  " MOI JE L 'TROUVE trop BEAU  ! ! !

MDR  . . . les enfants ??   ils vous en apprennent des choses  . . . 

Si vous avez peur de chanter devant des gens par exemple, c’est probablement parce que quelqu’un vous a dit que vous chantiez mal, ou quelque chose s’en rapprochant, et que vous y avez cru. Vous avez donc cessé  de chanter même si c’est une chose que vous aimiez beaucoup faire, pour préserver votre estime personnelle et votre sentiment de compétence. Alors qu’en vous entraînant un minimum vous auriez pu être très doué, et prendre du plaisir à cela.   Prendre conscience que votre parole a une importance capitale  aura donc des effets surpuissants, surtout si vous l’utilisez de la bonne façon.  m'enfin ÉVIDEMMENT ! ! 

Faites attention aux interactions que les gens ont entre eux. Elles sont remplies de jugements, qui sont le plus souvent négatifs. La médisance est partout, nous avons appris à l’utiliser et en sommes devenue esclave. Sans y faire attention nous jugeons constamment les autres ,    M'enfin  ÉVIDEMMENT  sans même parfois les connaître, par envie, jalousie, haine…     je vis ça au quotidien et  non je ne suis pas PARANO          C’est commun, c’est simple, on aime médire des autres, comme ça on a l’impression de se sentir nous-mêmes un peu mieux.   (Wouahhhh  c'est grave quand même  j'avoue le plus sincèrement du monde que je ne suis pas comme ça MAIS bien évidemment que je juge mon prochain   si je le connais )  

Nous médisons même sur les personnes qui nous sont les plus chère. Mais finalement, médire sur quelqu’un n’est pas seulement néfaste pour la personne qui reçoit ce jugement, cela l’est aussi pour la personne qui l’émetJe suis plus qu'en accord avec ce qui est dit là :  je dirais même que ça nuit plus encore  à la personne qui émet c'est si mauvais si méchant si faux parfois que cette haine cette jalousie  se voit sur leur visage  . . ce visage se marque  méchamment lui aussi et très rapidement  et si mochement et qu'elles en deviennent la caricature d'elle même  ça ne se rattrape jamais  : j'ai ça autour de moi  . . même dans la famille   :  combien c'est triste ! ! !   En effet, en jugeant et en comparant sans cesse, c’est finalement notre propre mental qui est sous le joug de la négativité et du poison émotionnel.  VOUS VOYEZ J'AI RAISON ! ! ! 

J’en arrive donc à un autre point très important, c’est la parole que vous entretenez avec vous-même. Car si l’on peut être horrible avec les autres, c’est souvent envers nous-mêmes que nous sommes les pires juges. « Je me trouve trop gros », « je suis trop petit », « je suis un imbécile »… sont autant de paroles que l’on peut facilement avoir envers soi, et qui ont un effet dévastateur.

m'enfin BIEN ÉVIDEMMENT 

Essayez donc pendant une journée entière de vous concentrer sur ce que vous vous dites à vous-même. Vous allez probablement vous rendre compte que durant cette journée vous vous serez auto-jugé des dizaines de fois,    je m'auto juge tout le temps   et je ne prends pas de gant je vous l'assure  mais je m'autosatisfais presqu'autant je vous le dis souvent  et que vous aurez ressassé un nombre considérable d’idées négatives ne vous apportant rien de constructif.

Après avoir conscientisé ce fait il devient évident de faire attention à notre dialogue interne et aux idées qu’il en ressort. Pourquoi vouloir continuer à mal utiliser son mental après en avoir pris conscience et que changer cela ne demande qu’un simple effort de volonté ? Apprenez à ne plus juger à tout va pour n’importe quoi, à être plus indulgent envers vous-même et envers les autres ! Juger c’est en quelque sorte agir contre soi-même, c’est stupide, arrêtez donc.

Une de mes connaissances  venait ici  tous les mercredis  (pffff)    : chaque fois qu'elle sortait de chez moi , j'avais une migraine épouvantable  ÉPOUVANTABLE  ! ! ! !   j'ai essayé quelques mois  puis il y a peu j'ai du cesser !

Après être rentrée de la mer , d'elle même elle n'est plus revenue  . . .  : de toutes façons j'aurais cessé  ces "entretiens nocifs"   . .  je n'ai jamais entendu personne être aussi négative . . .   je me sentais si mal que  je me suis demandé comment on pouvait continuer de vivre et de faire chier son monde ,  et surtout consciemment ou pas d'ailleurs ,   tenter d'entrainer l'autre dans son mal être constant  ???? Elle aurait fini par m'envoyer en dépression  . . . . mais je  me sens plus forte que ça  - je l'espère  - et j'ai dit  : STOP STOP STOP

S'en rend  -elle compte ? 

je n'en sais rien et je ne veux pas le savoir  - elle dit avoir fait  20 ans de thérapie  -  et soutient que son psy l'a démolie ! ! ! Alors que c'est elle qui a le don de démolir ceux qui l'entoure  : pour preuve !

je vous donne ma parole d'honneur  que  j'ai tenté de lui tendre des perches et qu'elle n'a jamais  tendu le bras pour les  attraper  -  TANT PIS POUR ELLE -  je ne suis pas faite pour ça et je ne suis pas payer  pour ça non plus ÇA SUFFIT  d'être pressée comme un citron

Elle  ne me lit  pas  ( d'une jalousie  et d'une envie à faire peur )  alors  qu'elle me dit a d o r e r   la photo (?) alors   qu'elle dit A D O R E R   la lecture (elle ne sait plus le lendemain ce qu'elle a lu la veille )  . . . mais bof  . . . elle dit aimer la couture mais bof  . . .  elle dit  aimer apprendre mais bof  . . .  elle dit  qu'elle aurait aimer faire ceci ou cela mais bof ! ! ! !  si ce n'était pas MéBOF  alors   c'était   . . . pfff j'ai pas bien choisi ma blouse  pfff men-fou . . . pfffff j'aurais du t'écouter pour la porte   pfff m'enfou toutes façons  . . ! !

leS Madames  Menfou c'est comme les Madames TAKA  (ben  t'as qu'à )    moins je les vois mieux j'me porte ! ! !    Dans chaque phrase y avait un bof et un menfou  et  bien je vous l'dis tout net :  si par hasard elle veut savoir  ce que je deviens  et qu'elle décide  d'aller sur mon blog :  elle se reconnaîtra   je l'espère et  grand bien lui fasse de savoir que je ne l'aime pas du tout  . . .   oui j'en suis là je ne pensais jamais dire ça un jour ! (mais j'ai d'autres très bonnes raisons sachez le  . . . qu'il serait malvenu de raconter ici  : oui je ME  filtre  je ne peux pas tout dire non plus ! !) 

Pour conclure ce premier accord toltèque je vous laisse sur une citation M. Ruiz, auteur  :  

« Vous pouvez évaluer le degré auquel votre parole est impeccable à l’aulne de l’amour que vous avez pour vous-même. L’intensité de votre amour-propre et les sentiments que vous nourrissez envers vous sont directement proportionnels à la qualité et à l’intégrité de votre parole. Lorsque celle-ci est impeccable, vous vous sentez bien ; vous êtes heureux et en paix. »  pffffffffff je suis en accord archi total  ! ! ! ! 

 2. Le deuxième accord toltèque est : « Quoi qu’il arrive, n’en faites pas une affaire personnelle »

Si vous respectez le 1 ier accord TOLTEQUE  vous aurez déjà fait la moitié du chemin. Les trois autres accords sont en quelque sorte des précisions du premier, ils en découlent. Ainsi, avec le premier accord vous avez compris que vous deviez faire attention à votre parole, afin qu’elle devienne impeccable. Pour faire simple, vous avez appris à freiner vos jugements personnels.

Nous allons maintenant voir en quoi consiste le deuxième accord Toltèque, et comment il est possible de le mettre en œuvre.

Le SECOND ACCORD TOLTEQUE  EST : « Quoi qu’il arrive, n’en faites pas une affaire personnelle ». Pour prendre un exemple simple, si quelqu’un vous insulte il ne faut pas prendre ce que cette personne vous dit de façon personnelle. Une personne qui vous insulte vous envoie du poison. En ne prenant pas personnellement ce qu’elle vous dit, vous vous immunisez contre ce poison. FACILE à  DIRE ??  je le prends  pour moi mais je me tais JAMAIS JE NE RÉTORQUE  mais je vais tenter  . . . 

Nous avons tous des représentations mentales différentes, nous percevons le monde de différentes manières. Cela vient de notre éducation, de nos expériences, de nos croyances… Si bien que quand une personne vous dit quelque chose de mal, elle vous transmet ses propres croyances, ses propres insécurités.

Lorsque l’on vous insulte, vous n’êtes finalement pas tellement concerné. Si je vous dis que vous êtes incompétent, je vous transmets ma vision du monde. Cela n’a donc aucun intérêt pour vous puisque ce n’est pas la vérité dans l’absolu. Ce n’est que ma vérité, ou ce que j’ai envie de vous dire pour vous faire du mal.

Cependant, d’après M. Ruiz nous avons besoin de prendre tout ce qui nous arrive de façon personnelle. Ainsi, on renforce notre sentiment « d’importance personnelle », autrement dit l’importance que l’on s’accorde à soi-même. On aime se sentir important, se prendre au sérieux, cela flatte notre orgueil, et on finit par se dire que tout ce qui arrive nous concerne. Malheureusement, cela a pour conséquence de nous apporter de la souffrance.  (? là je ne suis certaine alors je vais y réfléchir

Cet accord vous apprend à vous détacher de votre sentiment d’importance personnelle. Et grâce à cela, tous les événements qui vous arrivent au quotidien n’auront plus d’emprise sur vous. On gagne énormément en liberté quand le regard extérieur nous importe peu.    Tout à fait OK  Si l’on a conscience que chacun a ses propres filtres pour percevoir le monde, et que quoique que l’on fasse les autres nous jugerons, alors on comprend que prendre personnellement tous ce qui nous arrive est une grave erreur.  ok  je comprends mieux  Dans l’absolu, même si la Terre entière médisait de vous cela ne devrait pas vous atteindre. pfffff facile à dire ! !

Quand le jugement des autres ne vous atteint plus, vous pouvez prendre vos propres décisions sans avoir peur d’être ridicule, ou de ne pas être accepté.  Vous pouvez aborder ce que vous voulez sans aucune crainte. Chacun est responsable de ses décisions, mais pas de celles des autres. Il faut donc prendre confiance en soi et en ses décisions, pour ne plus être dépendant des autres. je trouve que c'est cet  excès de confiance en soi qui est nocive pour nous -même et  on en devient même  risible  pour les autres  je ne suis donc pas d'accord ! ! 

Concrètement, pour mettre en œuvre cet accord il faut d’abord prendre conscience du fait que nous avons souvent tendance à prendre les choses qui nous arrivent, ou ce que les gens nous disent, de façon personnelle. Ensuite, et ce sera la même chose pour tous les accords, vous devrez vous exercez à changer la perception que vous avez de votre environnement en vous référant à ces mantras.

Prenez par exemple un jour par semaine pour chaque accord toltèque, disons le lundi pour le premier, le mardi pour le deuxième, etc… et lors de ce jour vous devrez faire très attention à appliquer le plus possible cet accord. Avec le temps et la répétition vous changerez votre façon de percevoir le monde et ces accords deviendront une seconde nature.

Pour résumer et conclure le deuxième accord toltèque, je vous propose une citation de  Ruiz, qui reflète la manière de penser vers laquelle vous devriez essayer de tendre :

« Ce que vous pensez, ce que vous ressentez, c’est votre problème, pas le mien. C’est votre façon de voir le monde. Cela ne me touche pas personnellement, parce que vous n’êtes confronté qu’à vous-mêmes, pas à moi. D’autres auront une opinion différente, selon leur système de croyances.»

bon ?? quand je regarde une émission sur LES HÔTELS (tf1 en semaine à 18h) . . . des trucs  tellement minableS que c'est à se taper le "cul"   par terre de voir même que ça existe en 2015  et que ces gens pensent que chez eux c'est super bien  et que le jugement des autres ne les importe pas  -  JE NE SUIS PAS D ACCORD DU TOUT   -  . . . d'autant qu'il font payer cher  des clients  qu'ils vont faire dormir dans des placards mais   qui pour eux sont des  belles chambres   :   donc je suis contre ce qui est dit !

3. Le troisième accord est : « Ne faites pas de suppositions »

Le troisième accord toltèque porte sur une forte tendance que chacun de nous, à savoir : faire des suppositions. Les suppositions sont du même ordre que la médisance.   JE SUIS TOUT A FAIT D ACCORD  ! ! !  si on n a pas vu de ses yeux vus on se tait  sinon cela devient des rumeurs malsaines     On pourrait même dire que dans la plupart des cas la médisance prend racine dans nos suppositions. Nous en faisons sans arrêt, sans y faire attention tant l’habitude d’en faire est ancrée en nous, et pourtant elles sont à l’origine de beaucoup de peine :

« Cette femme a dix ans de moins que lui, elle n’est intéressée que par son argent »

«Il a oublié mon anniversaire, il n’en a rien à faire de moi »

« Cette fille est trop bien pour moi, je n’ai aucune chance ! » .  .  .   Le problème c’est qu’à force faire des suppositions nous finissons par les croire.

En faisant des suppositions nous interprétons des évènements en leur donnant le sens que nous pensons qu’ils ont. Ensuite, nous nous convainquons que ces interprétations sont le reflet de la réalité. Au final, nous prêtons des intentions aux autres sur la seule base de suppositions, souvent erronées, auxquels nous nous sommes convaincu de croire.  tout à fait OK 

Une des suppositions les plus communes est de croire que les autres pensent de la même manière que nous. Nous oublions souvent que chacun à sa propre perception du monde, que chacun réagit différemment à des situations semblables. Nous en arrivons à croire que tout le monde juge, pense et agit de la même façon que nous.  Et c’est souvent à partir de cela que nous créons des scénarios factices à propos des gens qui nous entourentJE N'AI JAMAIS pensé comme ça  . .  . mais si j'en reviens à mon blog  : nous devons aussi  suivre une théorie dans chaque domaine   tout comme il fautde la farine pour faire un gateau . . .  tout comme 2  et 2 font 4 . . .    il y a des règles  dont on ne doit déroger   et souvent je  l'écris :    ce n'est que mon avis  oualors je dis  :   ou selon moi   . . .  JE NE VOUS IMPOSE RIEN   . .  . . JE  PRENDS UN TEMPS FOU  à   VOUS EXPLIQUER LE POURQUOI DU COMMENT  . . . AVEC DES IMAGES      

Les personnes sur lesquelles nous faisons le plus de suppositions sont les personnes avec qui nous sommes les plus proche. En effet, lorsque nous sommes avec un(e) ami(e) proche, voir avec notre partenaire, nous nous disons que cette personne nous connaît vraiment bien.     je ressens pil poil   le contraire   COMBIEN DE FOIS JE ME DIS MAIS ENFIN  ON NE ME CONNAÎT VRAIMENT PAS  et j'en suis même   malade ! ! il suffit de voir les cadeaux qu'on nous fait    mais c'est toujours l'inverse de ce qui me plaît   TOUJOURS  sauf  en ce qui concerne ma lectrice Mme MonInconnue qui tape dans le mil chaque fois et c'est ce qui me "déstabilise"  le plus   :  d'être si bien  "cernée"  je me sens RESPECTÉE    et même si un cadeau coûte 3 euros  et alors  ! ! ?  on a tout compris et ça ça n'a pas de prix !   

Elle sait quels sont nos besoins si bien que nous ne sentons plus la nécessité de les exprimer parfois. On se dit que l’autre sait ce que l’on veut, il n’est donc pas utile de le rappeler. Ainsi, quand cette personne ne fait pas ce que nous attendions d’elle nous nous sentons blessé : « Tu aurais dû le savoir ».  

moi je ne dis RIEN  mais combien je suis triste  . . . vous qui lisez mon blog si vous dites que vous ne connaissez pas mes goûts alors là ?? je continue en famille d'avoir des cadeaux qui n'ont rien a voir avec moi voilà pourquoi JE DÉTESTE RECEVOIR DES CADEAUX  - JE DÉTESTE  -   ce ne sont pas des mots en l'air  il ne s'agit pas tant du cadeau il s'agit  simplement de voir à quel point vous avez  si peu d'importance  à quel point on ne vous voit pas  à quel point ce que vous dites n'a aucune valeur  . . .

Le paradoxe avec les suppositions c’est que souvent on en veut aux autres pour des choses qu’ils n’ont pas faites. C’est assez stupide quand on y réfléchit. Au lieu de cela, osez poser des questions. Vous vous éviterez ainsi de nombreux problèmes inutiles.

Je vous laisse comme à l’habitude avec une citation de l’auteur :

 « Voilà donc quel est le troisième accord toltèque : ne faites aucune supposition. Formulé ainsi, cela semble facile, mais je suis conscient combien c’est difficile à mettre en œuvre. La difficulté provient de ce qu’on fait généralement l’inverse. On a tous des habitudes dont on n’est même pas conscient. Les amener à la conscience et comprendre l’importance de cet accord est donc le premier pas à franchir.

Mais la compréhension n’est pas suffisante. Une information ou une idée ne sont que des graines dans notre esprit. Ce qui va vraiment faire la différence, c’est l’action. Le fait de mettre une chose en pratique, jour après jour, renforce votre volonté, nourrit la graine et établit des fondements solides pour que se développe une nouvelle habitude. »

4. Le quatrième accord toltèque est : « Faites toujours de votre mieux ».

Nous en sommes  au quatrième et dernier accord toltèque. Il est le pilier de votre changement. C’est celui qui vous permettra d’agir de façon durable en respectant les trois autres accords, d’en faire des habitudes de chaque instant.

Le quatrième accord est : « Faites toujours de votre mieux ». Comme vous avez pu le voir, les quatre accords Toltèques sont des mantras très simples à comprendre. Malgré cela, pour que vous puissiez en tirer de réels bénéfices il est nécessaire que vous suiviez le quatrième accord et que vous fassiez toujours de votre mieux.

pffff c'est  ma vie  : je fais de mon mieux si j'entreprends  un truc  je me donne à fond

Faire de son mieux c’est quoi ? C’est faire que chaque tâche que vous réalisez, vous la réalisiez en donnant le meilleur de vous-même. C’est être concentré sur le présent, être totalement absorbé par ce que vous faîtes, et le faire bien. Attention, votre « mieux » est variable d’un jour à l’autre, d’une minute à l’autre.

Si vous êtes malade vous ne serez pas capable de faire les mêmes choses que si vous êtes au top de votre forme. De même, si vous êtes fatigué, si vous apprenez une mauvaise nouvelle, etc… Votre mieux fluctue constamment.

Il faut donc faire de son mieux, ni plus ni moins. Si vous vous acharnez à vouloir faire toujours mieux que ce que vous pouvez, vous vous épuiserez et prendrez finalement plus de temps à atteindre vos objectifs. Si vous faites moins que ce dont vous êtes capable vous ne progresserez pas, ou peu. La progression devient optimale lorsque vous faites de votre mieux, ni plus ni moins. Il faut cependant être attentif à ne pas émettre de jugement envers soi-même.

Vous l’avez compris vous ne serez pas toujours au top. Concrètement, pour faire de votre mieux il vous faudra agir. L’action est primordiale. L’inertie est votre grande ennemie sur la voie du développement personnel. Albert Einstein disait

« Le savoir passe par l’expérience, le reste ne sont que des connaissances ».

Dans le cadre des quatre accords Toltèques, si vous vous contentez de les lires et de vous dire « Oui, c’est vrai que ça à l’air bien tout ça ! », pour ensuite les laisser aux oubliettes le jour qui suit,je vous conseille de cliquer dès maintenant sur la petite croix rouge en haut à droite de votre écran.

Evidemment si vous lisez  ceci essayez tout de même d'aller plus loin J'espère que tout ceci sera un de vos sujets de réflexion de cet été . . .

Passer à l’action peut parfois être difficile, mais c’est le seul moyen pour progresser, et accomplir les choses qui sont importantes à vos yeux.

Un autre point important est que chaque action que vous entreprenez est à entreprendre pour le plaisir. Le plaisir d’agir sans attendre quelque chose en retour vous fera apprécier chacune de vos expériences. Et si vous passez à l’action, et que chaque action entreprise l’est dans le plaisir, alors il vous sera bien plus simple de faire de votre mieux. Cette attitude vous permet de profiter pleinement de la vie, sans aucun regret.

Pour prendre un autre exemple que les quatre accords Toltèque, si vous effectuez un travail qui vous ennuit il est très difficile de donner de son mieux. En revanche lorsque vous travaillez sur un projet qui vous tiens à cœur et qui vous procure un certain plaisir à réaliser, là vous donnez le meilleur de ce que vous avez, et ce sans aucune difficulté. c'est une évidence une vérité" de lapalisse pour moi 

« Ne vous attendez pas à vous exprimer toujours avec une parole impeccable. Vos habitudes sont trop fortes et trop bien ancrées dans votre esprit. Mais vous pouvez faire de votre mieux. […] En faisant de votre mieux, l’habitude de mal utiliser votre parole, celle de faire une affaire personnelle de tout ce qui vous arrive et celle de faire des suppositions vont s’affaiblir et se manifester de moins en moins souvent.Si vous faites de votre mieux, vous vous sentirez bien même en faisant encore des suppositions, même s’il vous arrive encore de réagir de façon personnelle, même si votre parole n’est pas tout le temps impeccable. »

je reviendrai sur le sujet  je n'ai fait que survoler parce que je 'étais pressée de savoir de quoi tout ça  allait me parler  :   et ça me parle

je n'ai pas déjeuner encore et j'aimerais commencer  à PONCER 

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