de Glenway Wescott

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en rouge mes annotations

 

Peut-on allier l'empathie et l'absence de compassion ? Curieux roman que ce huis clos dans un «quatre pièces agréables mais petites dans le centre-ville». Une famille grecque subit de près l'occupation allemande, puisqu'elle doit laisser la moitié de son logis à un officier allemand, d'abord odieux, puis humain, ce qui s'avérera désastreux. synopsis de DE libération  ah oui CURIEUX  C EST VRAIMENT LE MOT J4AI PERDU MON TEMPS

 

Tout comme son extraordinaire Faucon pèlerin (un des " trésors"  de la littérature américaine du XXe siècle ", a écrit le New Yorker   (??????????) je n'ai pas lu et surtout je ne veux pas le lire  .  . . . ..

Un appartement à Athènes de Glenway Wescott décrit une troublante relation triangulaire.  " TROUBLANTE " ,,,  chiante oui   Dans cette histoire d'un couple de Grecs qui, dans l'Athènes occupée par les nazis, est obligé de partager son appartement avec un officier allemand, Wescott met en scène un intense drame de la cohabitation et du rejet, de la résistance et de la contrainte. Un appartement à Athènes - le livre de Wescott qui, de son vivant, a connu le plus grand succès critique et commercial  ça alors je n'y comprends plus rien   - décrit une grande et terrible guerre vue sous l'angle de la vie quotidienne.  ça pourrait être  des otages occupés mais qui jouissent de la liberté sauf dans leur appartement se passant   à l'heure actuelle   C'est l'histoire forte  (forte????) et insolite d'un combat spirituel  JE N Y AI REIN VU DE SPIRITUEL SI CE N EST  1 COUPLE ARCHI ÉGOÏSTE ET ÉGOCENTRIQUE DÉTESTANT LEURS ENFANTS  comme il n'est pas permis  et c'est bien fait pour eux  ce qui leurs arrive  surtout pour elle  . .  . . .. . Quand je lis les critiques des journaux  je me demande si vraiment ils n'ont pas lu ces livres  en diagonal  . . . .  ou alors je n'y connais rien , je suis une conne  une sous douée c'est fort possible  après tout   dans lequel il est presque impossible de distinguer le triomphe de la défaite. " Je n'ai lu aucun autre livre - qu'il soit fiction ou document - qui m'ait, autant qu'Un appartement à Athènes, fait sentir la faim et l'étouffement, le repli sur des positions intérieures, le besoin de construire des défenses intérieures, de réorganiser et de réorienter, derrière le masque de la soumission, toute la structure de sa vie et toute sa raison d'être. " (Edmund Wilson) "   ben ça alors ils ont été payés pour écrire des choses pareilles Une belle étude de l'humiliation et de la noblesse, culminant dans le drame et se résolvant dans le désespoir...  UNE ÉTUDE RIEN QUE ÇA  ! ! ! non mais là alors que celle qui l'a lu m'explique Sa modération, son absence l'exagération et sa sérénité sont aussi admirables que l'idéal grec qu'elles reflètent et honorent. Partout éclate la dignité d'un style dans lequel rien n'est inutile ou insuffisant. " (Eudora Welty

je suis à la page 179  je passe à l'autre page  IL N Y A PAS DE CHIFFRE  . . . .  il faut passer encore à la page suivante pour avoir le 181 chapitre 13 ok ????? vous me suivez ?    sur celle qui n'a pas de chiffre  qui devrait être donc la 180 . . .la bonne femme  dit en parlant de son fils de 12 ans  a qui elle a envie de foutre un raclée  :  " Alex finit par baisser  . . . . . . . . .  ..pauvre petit diable avec son physique calamiteux , sa peau jaune sa maigreur et son ventre ballonné . . . . etc . . ."      . . . . . puis  a la page  182 elle reparle d'ALEX  : " .  . . . il était transfiguré  . . . . .  . .son beau visage était blanc  . . . . . . son regard brillait d'un éclat MORBIDE  je ne comprends pas  tout ça  . . . . . . Sur 20 phrases  l'enfant passe de laideur insoutenable   à beau  . . . . pour moi  il n'y a aucun sens dans ce livre  . . ..  je ne vois pas ce que l'auteur a voulu raconter  si ce n'est un huit clos tout ce qu'il y a de plus banal ! j'aurais pu en faire autant je pense  . . .(rhoooo . . . .   je plaisante)  

mon avis   ?  Et bien vous venez de le lire en rouge dans les synopsis des autres  bien plus calé que moi sur le sujet   . . .  Pourquoi  ai- je continué à le lire ?  Parce que parfois j'abandonne un peu trop vite . .  . . . . il arrive que j'arrive à la page 100  avec  pfffff  l'idée de'arreter là et tout à coup  . . . . . .  à la page 102   j'ai un truc un effet un évènement qui fait qu'il faut qUE JE CONTINUE  ! 

qulle deception ! mais  que de temps perdu

Je  sortais d'un KENNEDY   - QUITTER  le MONDE  -   toujours aussi gai Le Douglas  . . . . et pourtant j'y retourne mais j'ai une excuse j'ai recu le livre en cadeau souvenez vous  . .. . du gros paquet de livres reçu de mon cousin  : cela dit j'ai tout lu de lui je dois être maso