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el lefébien
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je CRITIQUE et vous EXPLIQUE les images de déco, je DÉCORE, je DÉVOILE ma MAISON mon JARDIN, je COMMENTE les INFOS du jour les films et les séries en fait je PAPOTE comme devant un apéro ou un café . . . Il arrive aussi que je TRICOTE et que je CROCHÈTE
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18 septembre 2014

Le C à LIRE

 

ma dernière

lecture

DE Denis Diderot, né  en 1713 à Langres  mort en  1784 à PARIS  c'est un écrivain philosophe d'accord  c'est à peu près la seule chose que je savais  . . .  .. . j'ai très peu de souvenir  de mes lectures   OBLIGATOIRES  durant mon adolescence   - je détestais lire -   de CELLE -LA , en tous cas ,   il ne m'en restait RIEN  . . . . . .  jusqu'à son prénom que jamais je n'aurais pensé être possible d'être donné à un enfant de  1.700 

je ne suis pas très cultivée . En littérature moins encore . Pourtant je suis très intéressée . je suis tentée parfois par les plus grands ;  tel VICTOR HUGO   - non pas pour faire bien mais  pour connaitre pour savoir  . . . . . . ? Je m'y essaie régulièrement  -  Je n'yfait pas  - ! Pas encore en tous cas  . . . peut être plus tard ça m'interessera - t- il  ?

Bon j'ai eu bien du mal avec ce livre dont l'éloquence du style m'a quelque peu  déstabilisée  et  pourtant lu presque d'une traite contrairement aux autres ou je lis 1 chapitre et oups je dors .

Mais avant de l'acheter :  je me suis intéressée sur ce livre  

je savais donc  à quoi m'attendre  et c'est justement cette  mystification qui m'a un peu déçue  . . .Et ces astérisques * tout au long du texte auquels se référer à la fin du livre  . ..  ça,  j'ai abandonné très vite ! 

L'écriture m'ayant quelque peu déstabilisée , je vous l'ai dit ,  figurez vous qu'après quelques 20 pages  . . . . . .me voila habituée au phrasé  . . . . . trouvant bien dommage de ne plus entendre parler  de cette façon en ces temps modernes dans lequel je vis !

pfffffffffffffffffffffffff ! HELLO QUOI  (rhooooo je plaisante ! )

il s'agit du livre :

LA RELIGIEUSE

      9782253009696-T

La Religieuse est un ROMAN MÉMOIRES  achevé vers  1780  publié à titre posthume, en 1796 .  . . .      Lorsque, en 1760, Diderot commence la Religieuse,  - SOUS FORME DE MÉMOIRES -  ET rédigé à la  PREMIÈRE PERSONNE  . . .(?)  . . . .  . qu’une religieuse échappée du couvent adresse  à un MARQUIS notoire afin de solliciter  son aide,  . . . . . IL S 'AGIT  en fait d’une mystification de ses amis qui voulaient attirer de nouveau à Paris le dite MARQUIS  qui s’était retiré chez lui en Normandie  . . . .  .

Et c'est en  1760 que  Diderot en reprend l’écriture  -  (c'est là que je suis un peu paumée de lire au féminin quelqu'un de masculin entre autre  )  -    Le roman fut édité en  1796  au gré de la découverte de copies que Diderot, échaudé par ses ennuis passés, (je ne sais de quoi il s'agit )  n’envisageait pas de publier de son vivant  

je ne comprends pas dès lors pourquoi il n'a pas brûlé ces papiers ??????

SES SOURCES

Le texte de Diderot s'inspire de sources historiques et littéraires.    L’histoire est inspirée de celle d’une religieuse de l ABBAYE DE LONGCHAMP , c'est MARGUERITE DELAMARRE  qui avait fait parler d’elle dans les salons en  1758, pour avoir écrit à la justice, demandant d’être libérée du cloître où ses parents l’avaient enfermée. En effet, elle est l’enfant illégitime entre sa mère et un autre homme que son père. De peur d’aller en enfer, sa mère, par un chantage affectif, la persuade d’aller dans ce couvent. Diderot intègre certainement à son roman des éléments de la vie de sa sœur, morte folle au couvent.  . .. mais oui c'est un fait plus que certain  . ..  comment sinon décrire aussi bien  l'intérieur de ce qui se passe dans ces endroits à cette époque et même bien plus tard  . . . . 

LE RESUME

Au XVIIIe siècle, une jeune fille nommée Suzanne Simonin est contrainte par ses parents de prononcer ses vœux au terme de son noviciat.

En effet, pour de " prétendues "   raisons financières, ceux-ci ont préféré enfermer leur fille au couvent.

C’est en réalité parce qu’elle est une enfant illégitime et que sa mère espère ainsi expier sa faute de jeunesse.

C’est dans la communauté des clarisses de Longchamp qu’elle rencontre la supérieure de Moni. Celle-ci, une mystique, se lie d’amitié avec la jeune fille avant de mourir. La période de bonheur et de plénitude s’achève pour l’héroïne avec l’arrivée d’une nouvelle supérieure : Sainte-Christine. Au courant que Suzanne désire rompre ses vœux et que pour ce faire, elle a intenté un procès à la communauté, la supérieure opère un véritable harcèlement moral et physique sur Suzanne. L'infortunée subit de l’ensemble de la communauté, à l’instigation de la supérieure, une multitude d’humiliations physiques et morales.

En perdant son procès, Suzanne est condamnée à rester au couvent. Cependant son avocat, Maître Manouri, touché par sa détresse, obtient son transfert au couvent Saint-Eutrope. Au terme de son calvaire, Suzanne pardonne à ses bourreaux tout en continuant à poursuivre ses réflexions éminemment subversives sur le bien-fondé des cloîtres et de l’univers conventuel. Son arrivée dans la communauté de Saint-Eutrope marque le début de l’épisode le plus fameux de La Religieuse.

En effet, cette période est caractérisée par l’entreprise de séduction de la supérieure à son égard. Celle-ci sombre dans la folie devant l’indifférence et l’innocence  (je  NE CROIS PAS A l'innocence ) . Consciente   . .. si elle est consciente  elle n'est pas innocente  . .  . de la dangerosité de ses désirs pervers qu’elle ne peut refouler, elle se livre aux macérations et au jeûne avant de mourir démente. Incapable de rester plus longtemps cloîtrée,

Suzanne réussit à s’enfuir du couvent. Dans une conclusion à peine esquissée, l’auteur nous fait comprendre que Suzanne dans la clandestinité attend l’aide du marquis de Croismare et vit dans la peur d’être reprise.  drôle de fin  ce " roman je suis restée PAF  à la fin et j'en reste sur ma faim en tous cas  moi la lectrice  qui ne connais rien à la littérature

on dit de cette oeuvre qu'elle est anticléricale

Diderot fait le procès des institutions religieuses coercitives, contraires à la véritable religion dans la mesure où elles mènent les individus aux souffrances terrestres et à la damnation éternelle. Le monde clos entraîne la dégradation de la nature humaine.  : Oisiveté, inutilité sociale, promiscuité plongent peu à peu les reclus dans les rêveries morbides ou mystiques, puis dans la folie et les mènent parfois au suicide .

C'est une réalité  surtout à l'époque ce n'est pas ,selon moi , anticléricale ce n'est que rapporté la réalité des faits 

Œuvre anticléricale par excellence  la qualifie t-on  . .. . . , La Religieuse  est une ode à la liberté de choisir son destin. L’aliénation religieuse créée par l’univers conventuel y est dénoncée de manière polémique. Diderot prête sa voix et ses idées sur le couvent à Suzanne, qui, contrairement à l’auteur, est une croyante convaincue .   (je ne suis pas certaine que suzanne ait été une croyante convaincue ) 

c'est à lire

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