Le C à voir - UN FILM

Passé sur la RTBF.1 ce début de semaine  . .  ..  vous allez sans doute aussi le voir sur une chaine française d'ici peu 

alors je vous le suggère

un film réalisé par PIERRE SALVADORI

Une comédie de 2010

Avec AUDREY TAUTOU  NATHALIE BAYE  et SAMY BOUAILA  

un matin Emilie  (Audrey T.) reçoit une lettre d'amour qu'elle ne prend pas du tout au sérieux , quoi bien écrite, et elle  la met aussitôt à la poubelle . Seulement  celui qui l'a écrite est son homme   à tout faire dans son salon de coiffure, jean (Samy B. ),    Un homme au parcours universitaire hors normes mais elle l'ignore  . . .  Quand à sa mère, (Nathalie B..) , elle parvient difficilement à sortir la tête hors de l'eau depuis que son mari l'a quitté  : c'est à dire 4 ans déjà  . Emilie ne peut plus supporter voir sa mère  partir à la dérive et elle voit en cette lettre le moyen de  la sauver  . Elle recopie  cette  missive  manuscrite toute chiffonnée   à la machine et l'envoie à sa mère  afin que ces  jolis mots lui redonnent  un peu de baume au coeur. . . . Seulement ce sera sans compter , une seconde,  qu'elle va être projetée  dans des quiproquos inextricables . . . 

CRITIQUE PERSO 

c'est un film qui m'a amusé . J'ai passé un bon moment  . . .  . . .  vraiment  . . .   pourtant je n'aime pas  N.B. C'est une comédie  sans prétention sympa  amusante et  bien interprétée avec  quelques répliques  rigolotes

En tous cas ça me fait plus de bien que de voir des super productions américaines dont je n'ai plus rien à fiche . Pour moi le film français ? Et bien  y a que ça de vrai  ! Et même si c'est un petit film il fait passer un très bon moment .

j'en reviens à mes réflexions bébêtes habituelles :  pas de sexe ,pas de sang,  pas de crime abominable, pas de saloperie qui vous donnent des hauts- le -coeur , bref  pas de shrek ni de shrak  et encore moins de SHROK . . . .  

Alors là, moi, maintenant  et à mon âge  : ça me convient et non seulement ça me convient mais ça me met de bonne humeur . Un film comme ça  il en faut . . . .